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- AbraxasDoyen
Un certain Dominique Le Mèner, député UMP de la Sarthe — chez Fillon —, dont John vous parle par ailleurs (à propos des "rémunérations complémentaires") s'est donc fendu d'un rapport intéressant sur la profession.
N'écrit-il pas que :
"Premièrement, le regard porté sur le métier est devenu très critique (même si, comme on le verra plus loin, cette évolution doit être nuancée) et réduit, de fait, l’attractivité de cette profession. Deuxièmement, la hausse du niveau de formation initiale, que la réforme dite de la mastérisation ne fait que consacrer, crée un décalage, difficile à justifier, entre les qualifications désormais exigées et les salaires en début de carrière. Enfin, les inquiétudes que suscite, sur les personnels, la stratégie de dynamisation de la gestion des ressources humaines mise en œuvre à l’occasion des départs à la retraite rendent d’autant plus nécessaire le respect du contrat moral qui lie l’exécution de cette politique à une
meilleure reconnaissance du travail des enseignants."
Et de noter, plus loin, que les salaires enseignants sont, en France, parmi les plus bas de toute l'UE (globalement, un enseignant en début de carrière ici gagne 55% de ce qu'il gagne en Allemagne…). Et qu'en région parisienne, la contrainte locale (logement / transports) est telle que "le directeur des ressources humaines de l’académie de Créteil est dans l’obligation de distribuer à de jeunes enseignants des bons d’achat d’une valeur de 200 euros pour les produits alimentaires."
Si ! Nous voici revenus à l'heureux temps de guerre / après-guerre, avec les tickets "viande" et les tickets "chaussures".
Comment s'étonner dès lors qu'il y ait une légère baisse des motivations ? Entre 2005 et 2009, -35% dans le nombre de candidats au CAPES (le chiffre est bien plus élevé si l'on repart 10 ans en arrière : pour le seul CAPES de Lettres, 12000 candidats en 1999, un peu plus de 4000 en 2009, pour un nombre de postes (800 / 900) à peu près constant.
Moyennant quoi, on se heurte toujours aux même problèmes. "La revalorisation indiciaire des débuts de carrière s’impose, car c’est cette mesure qui traduira très concrètement, dans le traitement du jeune enseignant, la reconnaissance par l’État de sa qualification de niveau bac + 5. Dans le même temps, il s’agit d’une opération délicate, car toute revalorisation au bas de l’échelle implique de pratiquer ce qu’on appelle techniquement une « reprise d’ancienneté », c’est-à-dire de grimper les « barreaux » suivants de la grille indiciaire, pour éviter des effets de tassement trop importants. Ainsi, selon le ministère de l’éducation nationale, une revalorisation au 1er échelon pourrait entraîner une reprise d’ancienneté jusqu’au 7ème échelon. Lors de son audition par la commission des affaires culturelles et de l’éducation, le 6 octobre dernier, le ministre de l’éducation nationale, M. Luc Chatel, a précisé que « la revalorisation des débuts de carrière ne pourrait être inférieure à une centaine d’euros ».
Mais, Monsieur le Ministre, que voulez-vous qu'ils fassent avec 100 euros de plus — alors même qu'on leur en accorde 200 en tickets / nourriture ?
Il faut absolument en finir avec cet effet de levier automatique, et quitte à renforcer notablement les primes à l'installation, revaloriser au moins de 50% les salaires de départ.
Les syndicats objectent que du coup, on rompt la loi d'airain de la fonction publique, qui veut qu'aucun salaire de milieu de carrière n soit inférieur à celui d'un débutant. Eh bien, tassons — il y a mille façons de donner des raisons de rester dans la carrière (actuellement, d'après ledit rapport, 45% des enseignants rêvent de faire autre chose — un post récent sur Néoprofs en attestait largement).
Bon, je ne vais pas vous le résumer in extenso, autant le lire :
http://www.assemblee-nationale.fr/13/pdf/budget/plf2010/a1968-tiv.pdf
N'écrit-il pas que :
"Premièrement, le regard porté sur le métier est devenu très critique (même si, comme on le verra plus loin, cette évolution doit être nuancée) et réduit, de fait, l’attractivité de cette profession. Deuxièmement, la hausse du niveau de formation initiale, que la réforme dite de la mastérisation ne fait que consacrer, crée un décalage, difficile à justifier, entre les qualifications désormais exigées et les salaires en début de carrière. Enfin, les inquiétudes que suscite, sur les personnels, la stratégie de dynamisation de la gestion des ressources humaines mise en œuvre à l’occasion des départs à la retraite rendent d’autant plus nécessaire le respect du contrat moral qui lie l’exécution de cette politique à une
meilleure reconnaissance du travail des enseignants."
Et de noter, plus loin, que les salaires enseignants sont, en France, parmi les plus bas de toute l'UE (globalement, un enseignant en début de carrière ici gagne 55% de ce qu'il gagne en Allemagne…). Et qu'en région parisienne, la contrainte locale (logement / transports) est telle que "le directeur des ressources humaines de l’académie de Créteil est dans l’obligation de distribuer à de jeunes enseignants des bons d’achat d’une valeur de 200 euros pour les produits alimentaires."
Si ! Nous voici revenus à l'heureux temps de guerre / après-guerre, avec les tickets "viande" et les tickets "chaussures".
Comment s'étonner dès lors qu'il y ait une légère baisse des motivations ? Entre 2005 et 2009, -35% dans le nombre de candidats au CAPES (le chiffre est bien plus élevé si l'on repart 10 ans en arrière : pour le seul CAPES de Lettres, 12000 candidats en 1999, un peu plus de 4000 en 2009, pour un nombre de postes (800 / 900) à peu près constant.
Moyennant quoi, on se heurte toujours aux même problèmes. "La revalorisation indiciaire des débuts de carrière s’impose, car c’est cette mesure qui traduira très concrètement, dans le traitement du jeune enseignant, la reconnaissance par l’État de sa qualification de niveau bac + 5. Dans le même temps, il s’agit d’une opération délicate, car toute revalorisation au bas de l’échelle implique de pratiquer ce qu’on appelle techniquement une « reprise d’ancienneté », c’est-à-dire de grimper les « barreaux » suivants de la grille indiciaire, pour éviter des effets de tassement trop importants. Ainsi, selon le ministère de l’éducation nationale, une revalorisation au 1er échelon pourrait entraîner une reprise d’ancienneté jusqu’au 7ème échelon. Lors de son audition par la commission des affaires culturelles et de l’éducation, le 6 octobre dernier, le ministre de l’éducation nationale, M. Luc Chatel, a précisé que « la revalorisation des débuts de carrière ne pourrait être inférieure à une centaine d’euros ».
Mais, Monsieur le Ministre, que voulez-vous qu'ils fassent avec 100 euros de plus — alors même qu'on leur en accorde 200 en tickets / nourriture ?
Il faut absolument en finir avec cet effet de levier automatique, et quitte à renforcer notablement les primes à l'installation, revaloriser au moins de 50% les salaires de départ.
Les syndicats objectent que du coup, on rompt la loi d'airain de la fonction publique, qui veut qu'aucun salaire de milieu de carrière n soit inférieur à celui d'un débutant. Eh bien, tassons — il y a mille façons de donner des raisons de rester dans la carrière (actuellement, d'après ledit rapport, 45% des enseignants rêvent de faire autre chose — un post récent sur Néoprofs en attestait largement).
Bon, je ne vais pas vous le résumer in extenso, autant le lire :
http://www.assemblee-nationale.fr/13/pdf/budget/plf2010/a1968-tiv.pdf
- Reine MargotDemi-dieu
oui, ils "revalorisent" (en fait du foutage de gueule) les débuts de carrière mais pas les milieux de carrière...et je ne parle pas de ceux qui n'accèdent pas à la hors classe.
_________________
Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- DwarfVénérable
En Allemagne, il n'y a pas qu'en début de carrière que les salaires sont bien supérieurs : mais ils ont un temps de présence complet, c'est la différence (avec un lieu de travail personnel, en général).
- Reine MargotDemi-dieu
eh oui, il faut voir aussi les conditions de travail derrière.
_________________
Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- DaphnéDemi-dieu
Si ça vous intéresse, les demandes du SNALC-CSEN lors de son audition par Dominique Le Mèner.
http://www.snalc.fr/affiche_article.php?actu=1&id_rep=281
Voir l'article le SNALC et la CSEN auditionnés.........
http://www.snalc.fr/affiche_article.php?actu=1&id_rep=281
Voir l'article le SNALC et la CSEN auditionnés.........
- DaphnéDemi-dieu
Voir l'article Le SNALC et la CSEN auditionnés...........
- DaphnéDemi-dieu
Ca bugge ou quoi, jédite pour faire un rajout et rien à faire, ça ne passe pas ??
- ThalieGrand sage
Je participe à un échange en Allemagne. Ils n'ont pas de lieu de travail personnel. Ils ont une immense salle des profs avec des tables immenses qui sont attribuées, enfin, un coin de bureau est attribué à chacun sur cette grande table.Dwarf a écrit:En Allemagne, il n'y a pas qu'en début de carrière que les salaires sont bien supérieurs : mais ils ont un temps de présence complet, c'est la différence (avec un lieu de travail personnel, en général).
Ensuite, ils enseignent deux, trois voire 4 disciplines.
- DaphnéDemi-dieu
Je ne comprends pas ce qui se passe sur ce sujet, le dernier message est posté à 9h43 or rien depuis 9 h 17 ??
C'est mon ordi ou quoi ??
C'est mon ordi ou quoi ??
- DaphnéDemi-dieu
Ah ça a l'ait d'être rentré dans l'ordre maintenant.
Mais ce topic a été bloqué sur mon ordi de 9 h 14 à maintenant !
Mais ce topic a été bloqué sur mon ordi de 9 h 14 à maintenant !
- carineNiveau 5
Thalie a écrit:Je participe à un échange en Allemagne. Ils n'ont pas de lieu de travail personnel. Ils ont une immense salle des profs avec des tables immenses qui sont attribuées, enfin, un coin de bureau est attribué à chacun sur cette grande table.Dwarf a écrit:En Allemagne, il n'y a pas qu'en début de carrière que les salaires sont bien supérieurs : mais ils ont un temps de présence complet, c'est la différence (avec un lieu de travail personnel, en général).
Ensuite, ils enseignent deux, trois voire 4 disciplines.
Au risque d'en faire hurler plus d'un : enseigner deux disciplines ne me choque pas, ni même un temps de présence complet...surtout si c'est pour gagner plus.
Le "temps de présence complet" est composé de combien d'heures? et de combien d'heures de cours?
- AbraxasDoyen
Daphné a écrit:Ah ça a l'ait d'être rentré dans l'ordre maintenant.
Mais ce topic a été bloqué sur mon ordi de 9 h 14 à maintenant !
Y'a quelqu'un(e) qui ne m'aime pas !
- Libé-RationGuide spirituel
Disons que SI on pouvait travailler vraiment au lycée, et seulement 35 heures... peut-être...
Parce qu'honnêtement, comptez vos heures, vous travaillez combien de temps chaque semaine? Et en période de conseil de classe, d'orientation, etc ?
J'enseigne deux disciplines, mais par contre, là, j'estime que c'est un choix personnel, et en l'occurence, c'est quand même proche, disons que c'est la pédagogie qui diffère. Je ne me verrais pas enseigner l'histoire par exemple !
Et malgré les différences d'exercices, les différences de salaire sont quand même scandaleuses. On a vu récemment un post sur les difficultés financières de nombreux d'entre nous ! C'est quand même grave que ceux qui forment la jeunesse de demain, qui disent aux futurs citoyens "travaillez si vous voulez réussir !" soient eux-mêmes si mal payés !
Avant, l'instit' du village, c'était quelqu'un ! Aujourd'hui, on se moque de nous. Mais il a raison, Kévin, de nous dire "zyva!" ; c'est ce que nous dit notre gouvernement !
Parce qu'honnêtement, comptez vos heures, vous travaillez combien de temps chaque semaine? Et en période de conseil de classe, d'orientation, etc ?
J'enseigne deux disciplines, mais par contre, là, j'estime que c'est un choix personnel, et en l'occurence, c'est quand même proche, disons que c'est la pédagogie qui diffère. Je ne me verrais pas enseigner l'histoire par exemple !
Et malgré les différences d'exercices, les différences de salaire sont quand même scandaleuses. On a vu récemment un post sur les difficultés financières de nombreux d'entre nous ! C'est quand même grave que ceux qui forment la jeunesse de demain, qui disent aux futurs citoyens "travaillez si vous voulez réussir !" soient eux-mêmes si mal payés !
Avant, l'instit' du village, c'était quelqu'un ! Aujourd'hui, on se moque de nous. Mais il a raison, Kévin, de nous dire "zyva!" ; c'est ce que nous dit notre gouvernement !
- LeilEsprit éclairé
Daphné a écrit:Ah ça a l'ait d'être rentré dans l'ordre maintenant.
Mais ce topic a été bloqué sur mon ordi de 9 h 14 à maintenant !
Le problème est-il réglé ?
_________________
http://www.bricabook.fr/
- DaphnéDemi-dieu
Bon, c'est encore bizarre, il y a des réponses et mon ordi n'affiche rien du tout.
Uniquement sur ce topic, les autres ça marche, je ne comprends pas
Uniquement sur ce topic, les autres ça marche, je ne comprends pas
- AbraxasDoyen
D'après le ministère lui-même, un prof travaille en moyenne 39h1/2 par semaine.
- Libé-RationGuide spirituel
Ah, si c'est 39h30 selon le Ministère, c'est combien selon les organisateurs ? Et selon la Police ?
- ThalieGrand sage
En Allemagne, les deux collègues, que l'on a beaucoup interrogées, travaillent tous les jours de 8h à 14/15h avec une toute petite pause déjeuner.
Ils font un en-cas à la récré aussi. Ils mangent tout le temps de petits sandwichs, nos élèves étaient atterrés.
Ils surveillent à tour de rôle les récrés car il n'y a ni surveillant, ni sonnerie.
Les profs se chargent de gérer les absences et les retards, pas de CPE non plus évidemment.
Ensuite, elles nous disaient beaucoup travailler à la maison en rentrant pour la correction des copies.
Bref, quand elles rentrent en début d'aprèm, elles se remettent au travail à la maison.
D'ailleurs, toutes les deux viennent d'accoucher et une ne reviendra certainement pas.
Ils font un en-cas à la récré aussi. Ils mangent tout le temps de petits sandwichs, nos élèves étaient atterrés.
Ils surveillent à tour de rôle les récrés car il n'y a ni surveillant, ni sonnerie.
Les profs se chargent de gérer les absences et les retards, pas de CPE non plus évidemment.
Ensuite, elles nous disaient beaucoup travailler à la maison en rentrant pour la correction des copies.
Bref, quand elles rentrent en début d'aprèm, elles se remettent au travail à la maison.
D'ailleurs, toutes les deux viennent d'accoucher et une ne reviendra certainement pas.
- carineNiveau 5
Je sais que le système allemand n'est pas parfait, mais moi, 8h-14h ça m'a toujours fait rêver (je souligne que le midi, je ne mange qu'une barre hyperprotéinée, alors 5 minutes suffisent).
Les copies, nous en avons tout autant (si, si!), et je crois que le temps où le prof faisait 18 ses heures et rentrait chez lui appartient au passé, nous sommes de plus en plus sollicités pour la vie scolaire. Alors, si ce temps passé en plus pouvait être considéré comme du temps de service (et donc pris en compte dans notre rémunération), pourquoi pas.
PS : Je ne crois pas que les habitudes alimentaires allemandes tiennent au système scolaire.
Les copies, nous en avons tout autant (si, si!), et je crois que le temps où le prof faisait 18 ses heures et rentrait chez lui appartient au passé, nous sommes de plus en plus sollicités pour la vie scolaire. Alors, si ce temps passé en plus pouvait être considéré comme du temps de service (et donc pris en compte dans notre rémunération), pourquoi pas.
PS : Je ne crois pas que les habitudes alimentaires allemandes tiennent au système scolaire.
- DaphnéDemi-dieu
Moi aussi le système 8 h-14 H me fait rêver ainsi que la suppression des cours à partir de 30° !
Mais en France les parents ne l'accepteraient pas, ils veulent qu'on garde les enfants si possible jusqu'à 18 h !!
Et trouvent que nous on ne bosse pas quand on a une demie journée de libre pour justement faire notre travail.
Alors si on avait toutes nos après-midi, quel bonheur ! Mais vous imaginez les réactions ??
Mais en France les parents ne l'accepteraient pas, ils veulent qu'on garde les enfants si possible jusqu'à 18 h !!
Et trouvent que nous on ne bosse pas quand on a une demie journée de libre pour justement faire notre travail.
Alors si on avait toutes nos après-midi, quel bonheur ! Mais vous imaginez les réactions ??
- Reine MargotDemi-dieu
carine a écrit:Thalie a écrit:Je participe à un échange en Allemagne. Ils n'ont pas de lieu de travail personnel. Ils ont une immense salle des profs avec des tables immenses qui sont attribuées, enfin, un coin de bureau est attribué à chacun sur cette grande table.Dwarf a écrit:En Allemagne, il n'y a pas qu'en début de carrière que les salaires sont bien supérieurs : mais ils ont un temps de présence complet, c'est la différence (avec un lieu de travail personnel, en général).
Ensuite, ils enseignent deux, trois voire 4 disciplines.
Au risque d'en faire hurler plus d'un : enseigner deux disciplines ne me choque pas, ni même un temps de présence complet...surtout si c'est pour gagner plus.
Le "temps de présence complet" est composé de combien d'heures? et de combien d'heures de cours?
Il faudrait déja avoir pour cela une double licence ou M2, sans quoi on n'est pas aussi compétent pour enseigner une autre matière que la sienne que qqn qui a été formé.
_________________
Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- ThalieGrand sage
carine a écrit:
PS : Je ne crois pas que les habitudes alimentaires allemandes tiennent au système scolaire.
Je ne crois pas avoir dit cela. Simplement, leur alimentation éparpillée tout au long de la journée a étonné nos élèves.
Moi, par contre commencer tous les jours à 8h c'est ma hantise, quelle horreur ! Je suis un oiseau de nuit ! :sorciere:
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