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- cressidaJe viens de m'inscrire !
Bonjour
Dans mon cours d'anglais de troisième, deux élèves ont échangé un petit mot écrit ; je précise que cela faisait suite à une remontrance sur l'attitude générale de la classe que je trouvais désastreuse.
J'ai d'abord intercepté le mot qu'il échangeait discrètement et j'ai eu la surprise de découvrir que dedans il y avait marqué "la prof grosse débile" et l'autre a ajouté et "grosse ***."
On est vraiment au registre des incivilités les plus incroyables
J'ai demandé une sanction disciplinaire exemplaire(je souhaite au moins un avertissement ou un blâme, voir une exclusion temporaire) mais les parents convoqués par le principal rétorquent que cela relève de la correspondance privé entre deux élèves et contestent la sanction disciplinaire
Est ce que pour autant on a le droit d'écrire de telles insultes ?
Merci de votre avis
Dans mon cours d'anglais de troisième, deux élèves ont échangé un petit mot écrit ; je précise que cela faisait suite à une remontrance sur l'attitude générale de la classe que je trouvais désastreuse.
J'ai d'abord intercepté le mot qu'il échangeait discrètement et j'ai eu la surprise de découvrir que dedans il y avait marqué "la prof grosse débile" et l'autre a ajouté et "grosse ***."
On est vraiment au registre des incivilités les plus incroyables
J'ai demandé une sanction disciplinaire exemplaire(je souhaite au moins un avertissement ou un blâme, voir une exclusion temporaire) mais les parents convoqués par le principal rétorquent que cela relève de la correspondance privé entre deux élèves et contestent la sanction disciplinaire
Est ce que pour autant on a le droit d'écrire de telles insultes ?
Merci de votre avis
- Clecle78Bon génie
Hallucinant ! Il n'y a pas de correspondance privée dans les cours !
- IphigénieProphète
Correspondance privée en classe? On aura tout entendu décidément!! Les parents
Pour ma tranquillité, cela dit, j’ai toujours ostensiblement jeté immédiatement les mots interceptés sans les lire....( conseil d’ « anciens hussards » quand j’étais jeune prof déjà )
Les idioties échangées entre élèves sur le coup de la colère ou d’une vexation ça a toujours existé sans conséquences.( voir mon dessin avatar de Daumier . )
Là maintenant que l’affaire est au grand jour il faut évidemment sanctionner et le principal, j’espère, a su répondre aux parents! Sinon....
Pour ma tranquillité, cela dit, j’ai toujours ostensiblement jeté immédiatement les mots interceptés sans les lire....( conseil d’ « anciens hussards » quand j’étais jeune prof déjà )
Les idioties échangées entre élèves sur le coup de la colère ou d’une vexation ça a toujours existé sans conséquences.( voir mon dessin avatar de Daumier . )
Là maintenant que l’affaire est au grand jour il faut évidemment sanctionner et le principal, j’espère, a su répondre aux parents! Sinon....
- EnglishTidsearNiveau 9
Mais ils n'ont pas à s'échanger des mots pendant le cours et encore moins t'insulter par écrit !
- Fesseur ProGuide spirituel
"correspondance privée" :sourit:
On aura tout vu !
On aura tout vu !
_________________
Pourvu que ça dure...
- AmauryNiveau 5
Certains parents se font vraiment l'avocat du diable, c'est complètement dingue. Pas tous, heureusement.
- EnglishTidsearNiveau 9
L'argument "correspondance privée" ne tient pas dans le cadre d'une salle de classe. Tout comme tu es légitime pour vérifier la tenue des cahiers, tu es légitime pour vérifier leur "correspondance" qui ne peut donc pas être privée pendant ton cours.
- cressidaJe viens de m'inscrire !
Merci à tous de vos réponses
En fait il disent que le mot ne m'était pas adressé, au sens propre du terme c'est à dire qu'il ne m'a pas été transmis.
Ceci dit je reconnais que ce n'est pas faux mais je suis quand meme tombé dessus ! malheureusement.
Est ce que certains ont des exemples de sanctions ou de non sanction suite à des mots saisis ?
En fait il disent que le mot ne m'était pas adressé, au sens propre du terme c'est à dire qu'il ne m'a pas été transmis.
Ceci dit je reconnais que ce n'est pas faux mais je suis quand meme tombé dessus ! malheureusement.
Est ce que certains ont des exemples de sanctions ou de non sanction suite à des mots saisis ?
- scot69Modérateur
Si on parle niveau "papiers", ça m'est arrivé il y a très longtemps, c'était beaucoup moins insultant. La gamine avait eu une punition pour le motif qu'elle faisait autre chose que suivre le cours, alors que ses notes d'anglais étaient déjà très basses.
- DorineHabitué du forum
Ce qu'ils avaient à se dire était si important que ça ne pouvait pas attendre la fin du cours, d'où la correspondance privée. Et dire que les parents les soutiennent...
- LagomorpheFidèle du forum
J'ai eu dans le passé un proviseur juriste de formation et particulièrement retors, notamment contre les parents procéduriers. Un joueur d'échec, capable en toute circonstance de trouver une pirouette intellectuelle qui permet d'atteindre le but recherché (un lycée bien tenu, où les professeurs sont respectés parce qu'en cas de dérapage des élèves, quoiqu'ils fassent, à la fin eux et leurs éventuels parents contestataires perdront la partie). Une vraie source d'inspiration.
Voilà, je pense, ce qu'il aurait dit:
- évitons de considérer le contenu du mot comme le motif de la sanction: il n'était, effectivement, pas adressé au professeur, et pas destiné à être public
- il n'en reste pas moins que l'écriture d'un petit mot pendant un cours constitue un manquement grave de la part des élèves concernés, tout particulièrement dans ce contexte où le professeur venait précisément de procéder oralement à une mise au point concernant le comportement de la classe, qu'il jugeait dommageable aux progrès scolaires des élèves
- ce simple fait incontestable justifie donc la sanction: écart de comportement immédiatement consécutif à une mise en garde du professeur
- certaines sanctions sont à la discrétion du chef d'établissement, notamment l'exclusion temporaire jusqu'à 8 jours
- elles ne sont alors pas sujettes à appel (contrairement à celles d'un conseil de discipline) sauf à nier la matérialité des faits, ce qui est impossible ici
- le chef d'établissement est donc dans son droit lorsqu'il inflige la sanction (en off: qu'il réserve habituellement aux insultes à un professeur)
- (en off: même si bien entendu le motif officiel restera "échange de petits mots pendant un cours")
- (en off: échec et mat)
Voilà, je pense, ce qu'il aurait dit:
- évitons de considérer le contenu du mot comme le motif de la sanction: il n'était, effectivement, pas adressé au professeur, et pas destiné à être public
- il n'en reste pas moins que l'écriture d'un petit mot pendant un cours constitue un manquement grave de la part des élèves concernés, tout particulièrement dans ce contexte où le professeur venait précisément de procéder oralement à une mise au point concernant le comportement de la classe, qu'il jugeait dommageable aux progrès scolaires des élèves
- ce simple fait incontestable justifie donc la sanction: écart de comportement immédiatement consécutif à une mise en garde du professeur
- certaines sanctions sont à la discrétion du chef d'établissement, notamment l'exclusion temporaire jusqu'à 8 jours
- elles ne sont alors pas sujettes à appel (contrairement à celles d'un conseil de discipline) sauf à nier la matérialité des faits, ce qui est impossible ici
- le chef d'établissement est donc dans son droit lorsqu'il inflige la sanction (en off: qu'il réserve habituellement aux insultes à un professeur)
- (en off: même si bien entendu le motif officiel restera "échange de petits mots pendant un cours")
- (en off: échec et mat)
- henrietteMédiateur
Il y a quelques années, un de mes collègues a ramassé par terre une feuille de papier pliée. Il l'a ouverte et y a découvert de très violentes insultes dirigées contre un autre collègue nommément cité, avec des menaces de tortures et de mort.
Les comparaisons des écritures ont permis d'identifier deux élèves qui ont reconnu avoir écrit cela. Deux excellents élèves au demeurant, sans problèmes de discipline jusque-là.
Le collègue concerné a porté plainte. Les parents ont pris des avocats qui ont voulu utiliser l'argument de la violation de correspondance privée pour attaquer le collègue qui avait ramassé et lu la feuille. Ils n'ont pas eu gain de cause pour la seule et unique raison que la feuille ayant été trouvée au sol, elle était littéralement parlant tombée dans le domaine public.
Donc dans ton cas, aussi sidérant que cela puisse sembler, puisque tu as intercepté ce papier, l'argument tient.
Par contre, comme le dit Lagomorphe, il y a d'autres moyens de punir ces élèves.
Les comparaisons des écritures ont permis d'identifier deux élèves qui ont reconnu avoir écrit cela. Deux excellents élèves au demeurant, sans problèmes de discipline jusque-là.
Le collègue concerné a porté plainte. Les parents ont pris des avocats qui ont voulu utiliser l'argument de la violation de correspondance privée pour attaquer le collègue qui avait ramassé et lu la feuille. Ils n'ont pas eu gain de cause pour la seule et unique raison que la feuille ayant été trouvée au sol, elle était littéralement parlant tombée dans le domaine public.
Donc dans ton cas, aussi sidérant que cela puisse sembler, puisque tu as intercepté ce papier, l'argument tient.
Par contre, comme le dit Lagomorphe, il y a d'autres moyens de punir ces élèves.
_________________
"Il n'y a que ceux qui veulent tromper les peuples et gouverner à leur profit qui peuvent vouloir retenir les hommes dans l'ignorance."
- IphigénieProphète
Encore heureuxcressida a écrit:Merci à tous de vos réponses
En fait il disent que le mot ne m'était pas adressé, au sens propre du terme c'est à dire qu'il ne m'a pas été transmis.
Ceci dit je reconnais que ce n'est pas faux mais je suis quand meme tombé dessus ! malheureusement.
Est ce que certains ont des exemples de sanctions ou de non sanction suite à des mots saisis ?
Lagomorohe a sans doute raison de « biaiser » le motif de punition mais bon, à force de vouloir mettre du droit là où il faut juste un minimum de discipline ( ou de bon sens) ...c’est drôle que les banques puissent imposer leur système de sanction en étant juge et partie- et pas l’école, je trouve
.
- zigmag17Guide spirituel
Tout ce qui est / se déroule dans la salle de classe appartient / dépend au (du) prof.
Communication par papiers interposés (= sans l'aval du prof): sanction si thème de l'échange sujet à caution. Para-langage déplacé qui empêche le cours de se dérouler normalement: rappel au règlement intérieur et possiblement sanction. Portable allumé en dépit de l'interdiction de son usage = idem.
Seuls appartiennent à la sphère privée de l'élève: la tenue de son classeur et ses prises de notes, tant que les cours sont pris en intégralité et les travaux demandés, faits; ses pensées (la dystopie que nous vivons laisse présager des jours (mal)heureux pendant lesquels peut-être un jour nous saurons ce que pensent les élèves pendant nos cours, ça fait peur à tous les niveaux ).
Ni plus ni moins.
Un papier de la sorte que j'intercepte (cela m'est arrivé une fois) c'est un aller direct chez le proviseur, et une explication de texte avec convocation des parents si la teneur de l'échange est grave, sinon sanction en interne et demande d'excuses.
Sinon: j'avais cru comprendre que depuis l'assassinat de Samuel Paty, l'institution serait vigilante et éviterait les attitudes intrusives des parents dans le fonctionnement des cours. Pas du tout le même niveau de mise en danger évidemment, mais sur le principe... J'aurais mal compris?
Edit: sans compter les insultes à un représentant de l'Etat. L'Ecole n'est pas en-dehors de la loi, et vice-versa.
Communication par papiers interposés (= sans l'aval du prof): sanction si thème de l'échange sujet à caution. Para-langage déplacé qui empêche le cours de se dérouler normalement: rappel au règlement intérieur et possiblement sanction. Portable allumé en dépit de l'interdiction de son usage = idem.
Seuls appartiennent à la sphère privée de l'élève: la tenue de son classeur et ses prises de notes, tant que les cours sont pris en intégralité et les travaux demandés, faits; ses pensées (la dystopie que nous vivons laisse présager des jours (mal)heureux pendant lesquels peut-être un jour nous saurons ce que pensent les élèves pendant nos cours, ça fait peur à tous les niveaux ).
Ni plus ni moins.
Un papier de la sorte que j'intercepte (cela m'est arrivé une fois) c'est un aller direct chez le proviseur, et une explication de texte avec convocation des parents si la teneur de l'échange est grave, sinon sanction en interne et demande d'excuses.
Sinon: j'avais cru comprendre que depuis l'assassinat de Samuel Paty, l'institution serait vigilante et éviterait les attitudes intrusives des parents dans le fonctionnement des cours. Pas du tout le même niveau de mise en danger évidemment, mais sur le principe... J'aurais mal compris?
Edit: sans compter les insultes à un représentant de l'Etat. L'Ecole n'est pas en-dehors de la loi, et vice-versa.
- henrietteMédiateur
Ce n'est pas ce que dit la loi.
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"Il n'y a que ceux qui veulent tromper les peuples et gouverner à leur profit qui peuvent vouloir retenir les hommes dans l'ignorance."
- valleExpert spécialisé
Lagomorphe a sans doute raison: sanction du chef d'établissement et basta. Ceci dit, je suis d'accord avec Iphigénie: si on "recule" devant chaque menace, fondée ou non, on en arrivera a perdre le bon sens... Les élèves ont des droits, évidemment, mais, lorsque tu as intercepté le message, était-il vraiment protégé par le secret des correspondances ? Avais-tu des indices qui t'auraient indiqué que c'était une correspondance privée ("message exclusivement destiné à une ou plusieurs personnes physiques ou morales, déterminées et individualisées", dixit CNIL) ? S'agissait-il d'un message sous pli, ouvert ou fermé, avec un destinataire clairement identifié? Ou tu avais plutôt l'assurance que c'était...
...un exercice du cours ?
...un message générique qui circulait dans la salle sans un destinataire particulier ?
...un simple papier "jeté" ?
...un message qui t'était adressé ?
...un exercice du cours ?
...un message générique qui circulait dans la salle sans un destinataire particulier ?
...un simple papier "jeté" ?
...un message qui t'était adressé ?
- Manu7Expert spécialisé
Dans mon collège, nous avons déjà eu un cas identique, l'élève a été exclu définitivement.
- Manu7Expert spécialisé
cressida a écrit:Merci à tous de vos réponses
En fait il disent que le mot ne m'était pas adressé, au sens propre du terme c'est à dire qu'il ne m'a pas été transmis.
Ceci dit je reconnais que ce n'est pas faux mais je suis quand meme tombé dessus ! malheureusement.
Est ce que certains ont des exemples de sanctions ou de non sanction suite à des mots saisis ?
Les élèves savent qu'il est interdit de se transmettre des messages en cours. Ils savent que si le prof voit le message, il va le confisquer. Donc ils savent que le prof peut tomber dessus c'est d'ailleurs le principe de ce genre de transgression. Donc ce n'est pas privé. Sinon le prof n'aurait en aucun cas le droit d'intercepter les messages. Donc oui l'insulte n'était pas adressée directement au professeur mais c'est bien deux enfants entre eux qui insultent le prof.
- Philomène87Grand sage
En plus, cela voudrait dire que si tu les avais entendus dire cela de toi, tu n'aurais pas eu le droit de les punir car c'est une conversation privée ?
Ce qui me fait halluciner, c'est l'attitude des parents. Leurs enfants sont convoqués pour avoir insulté le prof, et eux ce qu'ils trouvent à dire, c'est "vous z'avez pas le droit car c'est une correspondance privée".
Ce qui me fait halluciner, c'est l'attitude des parents. Leurs enfants sont convoqués pour avoir insulté le prof, et eux ce qu'ils trouvent à dire, c'est "vous z'avez pas le droit car c'est une correspondance privée".
- RosanetteEsprit éclairé
S'il faut vraiment jouer aux c***, allons-y franchement, on parle d'injure privée, avec discrimination sur le sexe, l'apparence,...
Si le mot peut être intercepté, c'est qu'il pouvait être lu par plusieurs élèves de la classe lors de son trajet de l'élève A à B, les destinataires du mot étaient-ils clairement identifiables ou le mot était-il susceptible de tourner ?
L'attitude des parents est hallucinante. Cela vaudrait presque le coup de les menacer de porter l'histoire auprès de la PQR histoire de voir comment est perçue cette argumentation.
Si le mot peut être intercepté, c'est qu'il pouvait être lu par plusieurs élèves de la classe lors de son trajet de l'élève A à B, les destinataires du mot étaient-ils clairement identifiables ou le mot était-il susceptible de tourner ?
L'attitude des parents est hallucinante. Cela vaudrait presque le coup de les menacer de porter l'histoire auprès de la PQR histoire de voir comment est perçue cette argumentation.
- sookieGrand sage
cressida a écrit:Bonjour
Dans mon cours d'anglais de troisième, deux élèves ont échangé un petit mot écrit ; je précise que cela faisait suite à une remontrance sur l'attitude générale de la classe que je trouvais désastreuse.
J'ai d'abord intercepté le mot qu'il échangeait discrètement et j'ai eu la surprise de découvrir que dedans il y avait marqué "la prof grosse débile" et l'autre a ajouté et "grosse ***."
On est vraiment au registre des incivilités les plus incroyables
J'ai demandé une sanction disciplinaire exemplaire(je souhaite au moins un avertissement ou un blâme, voir une exclusion temporaire) mais les parents convoqués par le principal rétorquent que cela relève de la correspondance privé entre deux élèves et contestent la sanction disciplinaire
Est ce que pour autant on a le droit d'écrire de telles insultes ?
Merci de votre avis
Et finalement comment a réagi le principal ? La sanction a t-elle été mise ou non?
- pseudo-intelloSage
Dans ce genre de situations, la bonne question est "what would Professor Snape do ?". :diable:
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- Maya34789Niveau 4
Je n'ose imaginer sa réaction
- RendashBon génie
Comment le principal a-t-il réagi ?
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"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- zigmag17Guide spirituel
henriette a écrit:Ce n'est pas ce que dit la loi.
(article 433-5 du code pénal) - 29 nov 2018
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