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- Chloé92Niveau 2
Bonjour,
Actuellement professeur certifiée de lettres à Créteil, je souhaite repasser le capes pour basculer dans l'enseignement privé dans une autre académie. Je me suis donc inscrite au concours sur Cyclades, cependant j'ai mis l'adresse de ma soeur, qui vit à Nantes, afin de pouvoir passer les écrits dans cette académie et pouvoir ensuite y rester. Quelqu'un sait-il si cela pourrait poser un problème ?
Autre question : je suis actuellement en poste, dois-je démissionner afin de pouvoir passer le concours ? Dois-je attendre ?
Merci
Actuellement professeur certifiée de lettres à Créteil, je souhaite repasser le capes pour basculer dans l'enseignement privé dans une autre académie. Je me suis donc inscrite au concours sur Cyclades, cependant j'ai mis l'adresse de ma soeur, qui vit à Nantes, afin de pouvoir passer les écrits dans cette académie et pouvoir ensuite y rester. Quelqu'un sait-il si cela pourrait poser un problème ?
Autre question : je suis actuellement en poste, dois-je démissionner afin de pouvoir passer le concours ? Dois-je attendre ?
Merci
- LyoraneNiveau 7
Sans pouvoir répondre précisément à tes questions, pour être sûre : tu parles bien du CAFEP CAPES, pas du CRPE ?
Il ne me semble pas inutile dans ce cas de rappeler que le CAFEP reste un concours national, et que dans certaines matières et académies il n'est à l'heure actuelle plus du tout possible d'être assuré de rester dans son académie. Est-ce que tu t'es renseignée sur la situation de ta matière dans l'académie de Nantes ?
Mieux vaut aller à la pêche aux infos en amont pour éviter les désillusions potentielles, surtout en étant déjà titulaire !
Il ne me semble pas inutile dans ce cas de rappeler que le CAFEP reste un concours national, et que dans certaines matières et académies il n'est à l'heure actuelle plus du tout possible d'être assuré de rester dans son académie. Est-ce que tu t'es renseignée sur la situation de ta matière dans l'académie de Nantes ?
Mieux vaut aller à la pêche aux infos en amont pour éviter les désillusions potentielles, surtout en étant déjà titulaire !
- totoroMonarque
Quelle langue enseignes-tu ?
Anglais et espagnol, je pense que ça se tente. Pour les autres, même s'il y a des besoins, c'est en effet plus risqué.
J'ai vu des collègues mutés dans d'autres régions parce qu'il n'y avait pas de postes dans leur discipline dans l'académie.
Anglais et espagnol, je pense que ça se tente. Pour les autres, même s'il y a des besoins, c'est en effet plus risqué.
J'ai vu des collègues mutés dans d'autres régions parce qu'il n'y avait pas de postes dans leur discipline dans l'académie.
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- CasparProphète
totoro a écrit:Quelle langue enseignes-tu ?
Anglais et espagnol, je pense que ça se tente. Pour les autres, même s'il y a des besoins, c'est en effet plus risqué.
J'ai vu des collègues mutés dans d'autres régions parce qu'il n'y avait pas de postes dans leur discipline dans l'académie.
Chloé dit être certifiée de lettres.
- Chloé92Niveau 2
Merci pour vos réponses . Oui en lettres modernes. Je ne savais pas qu'on pouvait être muté dans d'autres académies dans le privé. Je pensais que justement l'avantage était de pouvoir rester dans le département de son choix...
- CasparProphète
Chloé92 a écrit:Merci pour vos réponses . Oui en lettres modernes. Je ne savais pas qu'on pouvait être muté dans d'autres académies dans le privé. Je pensais que justement l'avantage était de pouvoir rester dans le département de son choix...
S'il y a des postes...mais en lettres les besoins doivent être importants. Renseigne-toi quand même sur le sujet (des postes en lettres dans le département que tu vises).
- Chloé92Niveau 2
Merci mais je ne sais pas comment faire pour me renseigner sur le sujet, c'est difficile à évaluer et il n'y a pas les chiffres sur internet à ma connaissance...
- CasparProphète
Chloé92 a écrit:Merci mais je ne sais pas comment faire pour me renseigner sur le sujet, c'est difficile à évaluer et il n'y a pas les chiffres sur internet à ma connaissance...
Peut-être en contactant le rectorat (Je pense qu'il gèrent aussi les professeurs du privé pour certaines choses), ou des établissements, ou peut-être aussi le diocèse mais il faudrait que des collègues qui enseignent dans le privé nous éclairent...
- Chloé92Niveau 2
Merci j'ai posté à ce sujet
- UbuNiveau 3
Caspar a écrit:Chloé92 a écrit:Merci mais je ne sais pas comment faire pour me renseigner sur le sujet, c'est difficile à évaluer et il n'y a pas les chiffres sur internet à ma connaissance...
Peut-être en contactant le rectorat (Je pense qu'il gèrent aussi les professeurs du privé pour certaines choses), ou des établissements, ou peut-être aussi le diocèse mais il faudrait que des collègues qui enseignent dans le privé nous éclairent...
À mon avis, plutôt la DDEC, ou alors un syndicat de l'enseignement privé (de l'académie visée). Ils savent en général quelles sont les matières proches de la saturation dans l'académie.
- kazamasogetsuNiveau 5
Renseignes toi auprès de la Direction Diocesaine de l'Enseignement Catholique (DDEC) de Nantes. Ainsi qu'auprès du rectorat. Eux sauront te dire s'il y a des postes.
Le diocèse étant dans le top 3 au moins, quand il n'est pas LE premier diocèse de France pour le nombre d'élèves, il y a des postes. Du coup c'est rare de voir partir des néo titulaires surtout dans des matières générales.
Après si tu es titulaire dans le public, tu peux demander un détachement vers le privé, cela pourrait t'éviter de repasser le concours et de surtout t'infliger une nouvelle année de stage. Pour ça il te faudra démarcher les chefs d'établissement car il te faudra un poste dans le privé et avoir l'accord du rectorat ( et ça c'est bien plus difficile). Et tu cumules les avantages du public ( salaires retraites, protection de ton poste) et ceux du privé (pas de système de mutation injuste, public plus "calme" globalement" à moins que tu ne soit déjà dans un établissement prestigieux)
Je connaissais un prof qui n'a pas démissionné du public avant de repasser son CAFEP, du coup il a fait deux stages, subi deux inspection de titularisation. Ca a été compliqué, le rectorat les considérant comme un traitre, le privé ne sachant pas quoi en faire. Il ne rentrait dans aucune case. Un sacré bordel administratif. En plus l'INSPE lui faisait du chantage à la validation, alors qu'il avait déjà son master MEEF et qu'il était titulaire du public.... Année horrible pour lui
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Le diocèse étant dans le top 3 au moins, quand il n'est pas LE premier diocèse de France pour le nombre d'élèves, il y a des postes. Du coup c'est rare de voir partir des néo titulaires surtout dans des matières générales.
Après si tu es titulaire dans le public, tu peux demander un détachement vers le privé, cela pourrait t'éviter de repasser le concours et de surtout t'infliger une nouvelle année de stage. Pour ça il te faudra démarcher les chefs d'établissement car il te faudra un poste dans le privé et avoir l'accord du rectorat ( et ça c'est bien plus difficile). Et tu cumules les avantages du public ( salaires retraites, protection de ton poste) et ceux du privé (pas de système de mutation injuste, public plus "calme" globalement" à moins que tu ne soit déjà dans un établissement prestigieux)
Je connaissais un prof qui n'a pas démissionné du public avant de repasser son CAFEP, du coup il a fait deux stages, subi deux inspection de titularisation. Ca a été compliqué, le rectorat les considérant comme un traitre, le privé ne sachant pas quoi en faire. Il ne rentrait dans aucune case. Un sacré bordel administratif. En plus l'INSPE lui faisait du chantage à la validation, alors qu'il avait déjà son master MEEF et qu'il était titulaire du public.... Année horrible pour lui
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- CasparProphète
kazamasogetsu a écrit:Renseignes toi auprès de la Direction Diocesaine de l'Enseignement Catholique (DDEC) de Nantes. Ainsi qu'auprès du rectorat. Eux sauront te dire s'il y a des postes.
Le diocèse étant dans le top 3 au moins, quand il n'est pas LE premier diocèse de France pour le nombre d'élèves, il y a des postes. Du coup c'est rare de voir partir des néo titulaires surtout dans des matières générales.
Après si tu es titulaire dans le public, tu peux demander un détachement vers le privé, cela pourrait t'éviter de repasser le concours et de surtout t'infliger une nouvelle année de stage. Pour ça il te faudra démarcher les chefs d'établissement car il te faudra un poste dans le privé et avoir l'accord du rectorat ( et ça c'est bien plus difficile). Et tu cumules les avantages du public ( salaires retraites, protection de ton poste) et ceux du privé (pas de système de mutation injuste, public plus "calme" globalement" à moins que tu ne soit déjà dans un établissement prestigieux)
Je connaissais un prof qui n'a pas démissionné du public avant de repasser son CAFEP, du coup il a fait deux stages, subi deux inspection de titularisation. Ca a été compliqué, le rectorat les considérant comme un traitre, le privé ne sachant pas quoi en faire. Il ne rentrait dans aucune case. Un sacré bordel administratif. En plus l'INSPE lui faisait du chantage à la validation, alors qu'il avait déjà son master MEEF et qu'il était titulaire du public.... Année horrible pour lui
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La "bienveillance" dont on nous rebat les oreilles n'est décidément pas souvent appliquée aux professeurs.
- LyoraneNiveau 7
Je plussoie : DDEC (adresse trouvable en ligne), syndicats du privé sont de bons interlocuteurs !
Je vois que tu évoques d'abord académie, puis carrément département : si tu es aussi précise que ça, c'est effectivement d'autant plus important de vérifier. La règle officieuse (puisque officiellement le concours reste national) a toujours été académique et non départementale.
Pour donner mon exemple : lettres modernes, Finistère. A l'heure actuelle, il est presque impossible pour un néotit sans priorité d'obtenir le département. Avec priorité B1 (mari marin, deux enfants en bas-âge), une connaissance a récemment réussi à obtenir les Cotes d'Armor, puis au bout de deux ans le Finistère, mais seulement parce qu'elle a accepté un temps partiel. En anglais, on sort carrément de l'académie.
J'ai été mutée d'office car en perte d'heures il y a quatre ans. Entre le serrage de vis toujours plus fort sur la DGH et la baisse démographique, les heures vacantes laissées par les départs en retraite sont réduites à peau de chagrin. Quand je me suis remise dans le mouvement l'année suivante, mon syndicat m'a dit que j'aurais du mal à obtenir quelque chose avant une dizaine d'années : trop jeune, y a beaucoup trop de monde avant moi. Donc oui, même dans les matières générales, ça peut être chô, mais ça dépend beaucoup trop de la situation de chaque académie / département pour que je fasse de mon cas une généralité. Il sera vraiment de bon aloi d'aller à la pêche aux infos
Je vois que tu évoques d'abord académie, puis carrément département : si tu es aussi précise que ça, c'est effectivement d'autant plus important de vérifier. La règle officieuse (puisque officiellement le concours reste national) a toujours été académique et non départementale.
Pour donner mon exemple : lettres modernes, Finistère. A l'heure actuelle, il est presque impossible pour un néotit sans priorité d'obtenir le département. Avec priorité B1 (mari marin, deux enfants en bas-âge), une connaissance a récemment réussi à obtenir les Cotes d'Armor, puis au bout de deux ans le Finistère, mais seulement parce qu'elle a accepté un temps partiel. En anglais, on sort carrément de l'académie.
J'ai été mutée d'office car en perte d'heures il y a quatre ans. Entre le serrage de vis toujours plus fort sur la DGH et la baisse démographique, les heures vacantes laissées par les départs en retraite sont réduites à peau de chagrin. Quand je me suis remise dans le mouvement l'année suivante, mon syndicat m'a dit que j'aurais du mal à obtenir quelque chose avant une dizaine d'années : trop jeune, y a beaucoup trop de monde avant moi. Donc oui, même dans les matières générales, ça peut être chô, mais ça dépend beaucoup trop de la situation de chaque académie / département pour que je fasse de mon cas une généralité. Il sera vraiment de bon aloi d'aller à la pêche aux infos
- eauderoseNiveau 10
Bonjour, il faut contacter la DDEC de Nantes et demander à passer le pre-accord collégial, sans quoi tu ne rentres pas dans les listes des futurs potentiels entrants.
Attention cependant : l'enseignement catholique perd des élèves au niveau national et aussi localement dans les pays de Loire et certains établissements du centre de Nantes notamment perdent beaucoup d'heures et suppriment des postes. Ce que je veux dire, c'est que les choses sont de moins en moins simples et sûres. Il y a aussi beaucoup de postes partagés sur deux établissements.
Attention cependant : l'enseignement catholique perd des élèves au niveau national et aussi localement dans les pays de Loire et certains établissements du centre de Nantes notamment perdent beaucoup d'heures et suppriment des postes. Ce que je veux dire, c'est que les choses sont de moins en moins simples et sûres. Il y a aussi beaucoup de postes partagés sur deux établissements.
- LyoraneNiveau 7
kazamasogetsu a écrit:Renseignes toi auprès de la Direction Diocesaine de l'Enseignement Catholique (DDEC) de Nantes. Ainsi qu'auprès du rectorat. Eux sauront te dire s'il y a des postes.
Le diocèse étant dans le top 3 au moins, quand il n'est pas LE premier diocèse de France pour le nombre d'élèves, il y a des postes. Du coup c'est rare de voir partir des néo titulaires surtout dans des matières générales.
Après si tu es titulaire dans le public, tu peux demander un détachement vers le privé, cela pourrait t'éviter de repasser le concours et de surtout t'infliger une nouvelle année de stage. Pour ça il te faudra démarcher les chefs d'établissement car il te faudra un poste dans le privé et avoir l'accord du rectorat ( et ça c'est bien plus difficile). Et tu cumules les avantages du public ( salaires retraites, protection de ton poste) et ceux du privé (pas de système de mutation injuste, public plus "calme" globalement" à moins que tu ne soit déjà dans un établissement prestigieux)
Je connaissais un prof qui n'a pas démissionné du public avant de repasser son CAFEP, du coup il a fait deux stages, subi deux inspection de titularisation. Ca a été compliqué, le rectorat les considérant comme un traitre, le privé ne sachant pas quoi en faire. Il ne rentrait dans aucune case. Un sacré bordel administratif. En plus l'INSPE lui faisait du chantage à la validation, alors qu'il avait déjà son master MEEF et qu'il était titulaire du public.... Année horrible pour lui
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A vérifier parce que pour le coup je ne suis pas sûre de moi, mais je crois avoir déjà lu sur le forum que si le détachement est obtenu, on reste toujours la première personne à sauter en cas de fermeture de classe. Suivant la situation dans l'académie, si c'est particulièrement tendu, c'est peut-être un élément supplémentaire à prendre en compte...
- Chloé92Niveau 2
Merci beaucoup pour toutes vos réponses ! Le détachement j'y ai pensé mais ça me paraît impossible car je ne connais personne et je ne suis pas prioritaire (les titulaires du privé l'étant avant moi ce qui normal). Savez-vous néanmoins si on peut postuler au mouvement du privé lorsque les postes vacants apparaissent ?
- kazamasogetsuNiveau 5
Chloé92 a écrit:Merci beaucoup pour toutes vos réponses ! Le détachement j'y ai pensé mais ça me paraît impossible car je ne connais personne et je ne suis pas prioritaire (les titulaires du privé l'étant avant moi ce qui normal). Savez-vous néanmoins si on peut postuler au mouvement du privé lorsque les postes vacants apparaissent ?
Appelle la DDEC 44 et la Division de l'Enseignement Privé. Ils sauront te dire. Si tu regardes le site de la DDEC, tu verras 7 postes à pourvoir en ce moment. Le privé souffre aussi de la pénurie de profs. S'il manque du monde, tu peux te "caser". Quant au fait que tu ne connaisse personne, ne t'en fais pas. Les CDE sont loin de connaitre tout le monde, tu serais une candidate comme une autre....
- LyoraneNiveau 7
N'ayant jamais assisté à une commission, ma réponse n'est pas une certitude mais je ne vois pas trop comment étant donné le fonctionnement du mouvement dans le privé. Les commissions ont les listes de poste, et attribuent les vœux ensuite par ordre de priorité : d'abord les gens en perte de poste, puis perte d'heure, puis mutation avec priorité, etc. jusqu'à arriver aux stagiaires. A l'heure actuelle il me semble que tu ne rentreras dans aucune catégorie mais si quelqu'un en sait plus qu'il n'hésite pas, je spécule !
La première chose à faire en tout cas, comme l'a noté eauderose, c'est passer le pré accord collégial, obligatoire pour qui veut enseigner dans l'enseignement catho sous contrat, même en tant que contractuel : c'est un bon début.
La première chose à faire en tout cas, comme l'a noté eauderose, c'est passer le pré accord collégial, obligatoire pour qui veut enseigner dans l'enseignement catho sous contrat, même en tant que contractuel : c'est un bon début.
- Chloé92Niveau 2
D'accord merci beaucoup pour ces informations !
- lilith888Grand sage
Attention : les détachements sont de plus en plus rares...
- Marat13Niveau 2
Bonjour,
Les sites académiques publient la liste des postes vacants et susceptibles de l être dans l enseignement privé. L'académie de Nice le fait, je n'ai rien pour Nantes mais je n'ai pas vraiment cherché...
Les sites académiques publient la liste des postes vacants et susceptibles de l être dans l enseignement privé. L'académie de Nice le fait, je n'ai rien pour Nantes mais je n'ai pas vraiment cherché...
- LogonautaNiveau 4
Salut,
Pour avoir été récemment titularisé dans l’académie de Nantes, je peux t’assurer qu’il y a de la place pour de nouveaux professeurs de lettres. Cette année encore tous les postes n’ont pas été pourvus et la DDEC a du piocher dans sa réserve de contractuels.
Pour avoir été récemment titularisé dans l’académie de Nantes, je peux t’assurer qu’il y a de la place pour de nouveaux professeurs de lettres. Cette année encore tous les postes n’ont pas été pourvus et la DDEC a du piocher dans sa réserve de contractuels.
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Adore ici l’écho qu’adorait Pythagore
- Chloé92Niveau 2
Merci! Sais-tu s'il est possible d'avoir un poste proche de Nantes ? Ou est-ce difficile ? Je ne sais pas si c'est aussi compliqué dans le privé d'avoir un poste dans une grande ville ou proche de celle-ci que dans le public...
- kazamasogetsuNiveau 5
C'est moins compliqué parce que tu peux muter tous les ans si tu veux. Et si aucun poste ne te conviens, tu n'es pas tenu de muter
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