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- EnaecoVénérable
Je suis content de savoir que cette filière bénéficie des mêmes conditions que les autres dans certains établissements.
Dans notre bassin, la filière STMG est la filière déversoir des élèves qui ne sont pas adaptés au lycée GT. Elle y rassemble les élèves en grandes difficultés depuis le collège et les perturbateurs.
(En 2 semaines j'ai déjà une idée de quels élèves parmi mes 2nde se dirigeront vers cette filière, par défaut, en fin d'année).
Les taux de réussite en bac techno me semblent assez révélateurs quand on voit les sujets et qu'on connait le niveau de bienveillance des correcteurs
Dans notre bassin, la filière STMG est la filière déversoir des élèves qui ne sont pas adaptés au lycée GT. Elle y rassemble les élèves en grandes difficultés depuis le collège et les perturbateurs.
(En 2 semaines j'ai déjà une idée de quels élèves parmi mes 2nde se dirigeront vers cette filière, par défaut, en fin d'année).
Les taux de réussite en bac techno me semblent assez révélateurs quand on voit les sujets et qu'on connait le niveau de bienveillance des correcteurs
- CasparProphète
https://fr.finance.yahoo.com/actualites/gironde-faute-professeurs-principal-coll%C3%A8ge-153522339.html?guccounter=1&guce_referrer=aHR0cHM6Ly93d3cuZ29vZ2xlLmNvbS8&guce_referrer_sig=AQAAAFQV79HRpRDkjuBWrP56nYoCEF2jmxlF776Y07oTVxWfn42_HTaJj7sEy8ayJ5h-UZccGXQ31_NkupqTE2DPpaN-jBLD1sTGk_nkhpvfvg5QXrU72tgyJekhUrqzLUp8NXE2vt7PRB7F0T4WnV1lPYYkTXI8cBiA1rqqn3Di3oVS
Gironde: faute de professeurs, ce principal de collège demande aux parents d’élèves de lui fournir des CV
Dans un établissement girondin, pas moins de quatre postes ne sont pas pourvus en cette rentrée. Le principal a donc fait appel au réseau des parents d'élèves.
Quatre professeurs manquants en cette rentrée 2023? Qu'à cela ne tienne, le principal du collège François-Mauriac de Saint-Symphorien (Gironde) a innové en faisant appel au réseau des parents des 400 élèves de son établissement, rapporte Sud-Ouest.
"Afin de fournir des solutions de déblocage, je fais appel à vous pour me communiquer des CV d'éventuelles connaissances prêtes à s'engager dans le métier du professorat", a-t-il demandé jeudi dans une lettre partagée aux familles.
Face à "l'impossibilité d'obtenir du personnel par manque de candidatures" dans le territoire, ce chef d'établissement, pourtant en lien avec le rectorat de Bordeaux, a tenté le tout pour le tout.
Deux de ses classes de 4ème sans professeur de maths, un professeur de physique absent pour cinq classes en 6ème et 5ème, un documentaliste et un remplaçant pour palier le congé maternité d'une titulaire depuis février... Les besoins ne manquent pas, ce qui agace les parents d'élèves.
(Et un autre article sur le même sujet, concernant un collège cette fois, et dans une académie pourtant très demandée)
Gironde: faute de professeurs, ce principal de collège demande aux parents d’élèves de lui fournir des CV
Dans un établissement girondin, pas moins de quatre postes ne sont pas pourvus en cette rentrée. Le principal a donc fait appel au réseau des parents d'élèves.
Quatre professeurs manquants en cette rentrée 2023? Qu'à cela ne tienne, le principal du collège François-Mauriac de Saint-Symphorien (Gironde) a innové en faisant appel au réseau des parents des 400 élèves de son établissement, rapporte Sud-Ouest.
"Afin de fournir des solutions de déblocage, je fais appel à vous pour me communiquer des CV d'éventuelles connaissances prêtes à s'engager dans le métier du professorat", a-t-il demandé jeudi dans une lettre partagée aux familles.
Face à "l'impossibilité d'obtenir du personnel par manque de candidatures" dans le territoire, ce chef d'établissement, pourtant en lien avec le rectorat de Bordeaux, a tenté le tout pour le tout.
Deux de ses classes de 4ème sans professeur de maths, un professeur de physique absent pour cinq classes en 6ème et 5ème, un documentaliste et un remplaçant pour palier le congé maternité d'une titulaire depuis février... Les besoins ne manquent pas, ce qui agace les parents d'élèves.
(Et un autre article sur le même sujet, concernant un collège cette fois, et dans une académie pourtant très demandée)
- A TuinVénérable
Clecle78 a écrit:
Le fils d'une participante de l'émission familles XXL sur TF1 n'est toujours pas affecté en STMG à Montpellier suite au déménagement de ses parents en juin...
Enfin, tu as tout dit. Famille XXL.
Ces émissions sont montées, on retient ce qu'on veut montrer et diffuser. Peut-être que c'est vrai, peut-être que c'est faux, et peut-être que l'élève n'a pas fait ses vœux d'orientation comme il faut.
- CasparProphète
A Tuin a écrit:Clecle78 a écrit:
Le fils d'une participante de l'émission familles XXL sur TF1 n'est toujours pas affecté en STMG à Montpellier suite au déménagement de ses parents en juin...
Enfin, tu as tout dit. Famille XXL.
Ces émissions sont montées, on retient ce qu'on veut montrer et diffuser. Peut-être que c'est vrai, peut-être que c'est faux, et peut-être que l'élève n'a pas fait ses vœux d'orientation comme il faut.
Je n'ai pas vu l'émission mais je pense que le problème a plutôt été abordé par la mère sur les réseaux sociaux (ces familles profitent de leur petite notoriété acquise à la télé pour devenir "influenceurs").
- TrucOuBiduleHabitué du forum
Je confirme les propos de Jenny. Déjà signalé l'an passé :Jenny a écrit:Il faudrait sans doute améliorer les conditions de travail au lieu de saborder l'éducation prioritaire et le lycée pro.
Une répartition équilibrée aide aussi : prendre une ou deux STMG, ça va. J'en ai 2, je vais en récupérer une 3e quand la création de la classe sera validée, c'est gérable et c'est un public que je peux apprécier à petite dose mais 6, j'avais trouvé que c'était un enfer.
Ces élèves restent fréquemment non affectés. Cette année, c'est terrible avec les résultats du bac en retrait et des classes de plus en plus pleines. Je me récupère des élèves en STMG après la rentrée de l'autre bout de l'académie mais aussi des académies voisines faute de place.
https://creteil.snes.edu/Premieres-STMG-les-effectifs-par-classe-explosent.html
https://www.bondyblog.fr/societe/education/penurie-de-places-en-stmg-des-eleves-sans-affectation-ou-forces-de-redoubler/
- Clecle78Bon génie
C'est vrai. Le gamin passe en terminale et donc n'a pas de place, rien à voir avec ses voeux. La famille n'est plus dans l'émission de toutes façons. J'ai vu ça passer sur Facebook, je crois. Peut-être que les parents s'y sont pris trop tard mais le fait est qu'il n'est pas scolarisé depuis septembre. Les gens ne sont pas censés savoir que leur enfant n'est pas certain d'être pris au lycée. C'est tout de même aberrant cette situation.A Tuin a écrit:Clecle78 a écrit:
Le fils d'une participante de l'émission familles XXL sur TF1 n'est toujours pas affecté en STMG à Montpellier suite au déménagement de ses parents en juin...
Enfin, tu as tout dit. Famille XXL.
Ces émissions sont montées, on retient ce qu'on veut montrer et diffuser. Peut-être que c'est vrai, peut-être que c'est faux, et peut-être que l'élève n'a pas fait ses vœux d'orientation comme il faut.
- EnaecoVénérable
Cette année, les établissements étaient limités dans leur offre d'orientation vers la STMG car pas assez de places. Des classes déjà à 35.
On a envoyé en spécialité des élèves pour qui ça sera très compliqué d'obtenir le bac (sans parler de Parcoursup)
On a envoyé en spécialité des élèves pour qui ça sera très compliqué d'obtenir le bac (sans parler de Parcoursup)
- Manu7Expert spécialisé
Au sujet des recrutements locaux, il y a aussi les AESH, notre CDE en a déjà trouvé 2 localement, mais elles ont été nommées dans un autre établissement où le manque était plus important... Pour la 2ème, elle ne s'est pas rendue sur son lieu de nommination car s'était trop loin, elle voulait uniquement venir dans notre collège mais l'administration a refusé, ce n'est pas l'AESH qui choisit !
- zigmag17Guide spirituel
Enaeco a écrit:Les classes difficiles (collège difficile, classes techno et pro) sont celles qui ont le plus besoin de cadre, de stabilité et de personnel expérimenté expérimenté mais en réalité, il se passe l'inverse parce que les enseignants fuient ces classes et on n'agit à aucun niveau pour éviter ce phénomène
Non seulement on n'agit pas mais on sabre notre bonne volonté. L'AG de prérentrée a donné le ton cette année lors de la lecture des statistiques de réussite à l'examen données par le Cde : j'avais suivi une classe de bac pro qui avait été portée à bout de bras pendant 3 ans dans des conditions inimaginables ( chahut, insolence, insultes, menaces verbales et physiques sur un collègue, exclusion définitive d'un élève, conseils de discipline, démission de certains élèves gentils et studieux qui n'en pouvaient plus etc).
Résultat : 1 élève sur 35 (UN) n'a pas eu son bac.
Commentaire du CdE lors de l'AG , chiffres à l'appui, désignant cette classe et une autre :"Il faut essayer de faire réussir tous les élèves, on ne peut pas laisser les élèves... ". J'ai réagi.
Je suis très en colère.
Je repique au truc et je suis la même filière cette année car je connais ces profils d'élèves et en effet nous sommes plusieurs à être volontaires pour les "porter".
Mais quand on sait que l'on doit se battre toute l'année pour les garder en classe et les faire travailler correctement, et se battre aussi contre une direction qui fait dans le "pas de vague" au maximum, quand on sait d'où l'on est partis avec eux, je trouve que le minimum de reconnaissance ou même la moindre des politesses aurait été de nous remercier pour tout le boulot qui a été fait parce que un échec pour 34 réussites à l'examen alors que si on regarde la classe on se serait plutôt attendu à l'inverse, eh bien c'est plutôt bien hein.
Je suis dans un état d'écoeurement avancé.
Pour éviter le turn-over dans ces classes ( parce qu' hormis le noyau dur, il y a un turn- over démentiel dans certaines matières, l'année dernière c'est un stagiaire qui travaillait avec eux dans une matière pro), il serait bien aussi de mettre en place un vrai accompagnement, que l'on sente qu'il y a un vrai soutien, avec des modalités d'enseignement différentes, par exemple des modules ou autres et pas des blablas à n'en plus finir avec CPE et tout le tintouin pour savoir si c'est l'élève ou le professeur qui a tort). On verrait sûrement la différence et davantage de collègues choisiraient des classes difficiles. Au lieu de ça on nous laisse patauger dans le marasme et en plus on se prend des reproches.
Je dois avouer que depuis ce petit speech hiérarchique je ne suis pas contente du tout ( déjà que...).
- Clecle78Bon génie
C'est exactement le style de ma chef qui n'avait eu que des mots désagréables l'an dernier et pas un seul compliment à nous faire alors qu'on s'était démenés en plein COVID et qu'on avait été nombreux à avoir été contaminés sur notre lieu de travail. Je dois dire que cette ingratitude managériale a joué sur ma décision d'anticiper la retraite. J'en avais marre des éléments de langage et du mépris institutionnel.zigmag17 a écrit:Enaeco a écrit:Les classes difficiles (collège difficile, classes techno et pro) sont celles qui ont le plus besoin de cadre, de stabilité et de personnel expérimenté expérimenté mais en réalité, il se passe l'inverse parce que les enseignants fuient ces classes et on n'agit à aucun niveau pour éviter ce phénomène
Non seulement on n'agit pas mais on sabre notre bonne volonté. L'AG de prérentrée a donné le ton cette année lors de la lecture des statistiques de réussite à l'examen données par le Cde : j'avais suivi une classe de bac pro qui avait été portée à bout de bras pendant 3 ans dans des conditions inimaginables ( chahut, insolence, insultes, menaces verbales et physiques sur un collègue, exclusion définitive d'un élève, conseils de discipline, démission de certains élèves gentils et studieux qui n'en pouvaient plus etc).
Résultat : 1 élève sur 35 (UN) n'a pas eu son bac.
Commentaire du CdE lors de l'AG , chiffres à l'appui, désignant cette classe et une autre :"Il faut essayer de faire réussir tous les élèves, on ne peut pas laisser les élèves... ". J'ai réagi.
Je suis très en colère.
Je repique au truc et je suis la même filière cette année car je connais ces profils d'élèves et en effet nous sommes plusieurs à être volontaires pour les "porter".
Mais quand on sait que l'on doit se battre toute l'année pour les garder en classe et les faire travailler correctement, et se battre aussi contre une direction qui fait dans le "pas de vague" au maximum, quand on sait d'où l'on est partis avec eux, je trouve que le minimum de reconnaissance ou même la moindre des politesses aurait été de nous remercier pour tout le boulot qui a été fait parce que un échec pour 34 réussites à l'examen alors que si on regarde la classe on se serait plutôt attendu à l'inverse, eh bien c'est plutôt bien hein.
Je suis dans un état d'écoeurement avancé.
Pour éviter le turn-over dans ces classes ( parce qu' hormis le noyau dur, il y a un turn- over démentiel dans certaines matières, l'année dernière c'est un stagiaire qui travaillait avec eux dans une matière pro), il serait bien aussi de mettre en place un vrai accompagnement, que l'on sente qu'il y a un vrai soutien, avec des modalités d'enseignement différentes, par exemple des modules ou autres et pas des blablas à n'en plus finir avec COE et tout le tintouin pour savoir si c'est l'élève ou le professeur qui a tort). On verrait sûrement la différence et davantage de collègues choisiraient des classes difficiles. Au lieu de ça on nous laisse patauger dans le marasme et en plus on se prend des reproches.
Je dois avouer que depuis ce petit speech hiérarchique je ne suis pas contente du tout ( déjà que...).
- Manu7Expert spécialisé
Enaeco a écrit:Cette année, les établissements étaient limités dans leur offre d'orientation vers la STMG car pas assez de places. Des classes déjà à 35.
On a envoyé en spécialité des élèves pour qui ça sera très compliqué d'obtenir le bac (sans parler de Parcoursup)
Avant la réforme on pouvait hésiter entre STMG et ES, maintenant l'écart me semble trop important entre STMG et une triplette SES - Maths - HGGSP surtout au niveau des maths donc le choix STMG est plus rassurant et on y fait encore des maths. Car on peut toujours choisir une triplette sans Maths mais ces élèves ne pourront pas suivre dans un BTS Gestion ou un BUT "Tech de Co" et ils ne seront même pas pris. D'ailleurs même avant la réforme un Bac S de niveau correct n'était pas facilement pris en IUT Tech de Co donc le choix STMG est vraiment conseillé pour ce genre de filière.
- zigmag17Guide spirituel
Clecle78 a écrit:C'est exactement le style de ma chef qui n'avait eu que des mots désagréables l'an dernier et pas un seul compliment à nous faire alors qu'on s'était démenés en plein COVID et qu'on avait été nombreux à avoir été contaminés sur notre lieu de travail. Je dois dire que cette ingratitude managériale a joué sur ma décision d'anticiper la retraite. J'en avais marre des éléments de langage et du mépris institutionnel.zigmag17 a écrit:Enaeco a écrit:Les classes difficiles (collège difficile, classes techno et pro) sont celles qui ont le plus besoin de cadre, de stabilité et de personnel expérimenté expérimenté mais en réalité, il se passe l'inverse parce que les enseignants fuient ces classes et on n'agit à aucun niveau pour éviter ce phénomène
Non seulement on n'agit pas mais on sabre notre bonne volonté. L'AG de prérentrée a donné le ton cette année lors de la lecture des statistiques de réussite à l'examen données par le Cde : j'avais suivi une classe de bac pro qui avait été portée à bout de bras pendant 3 ans dans des conditions inimaginables ( chahut, insolence, insultes, menaces verbales et physiques sur un collègue, exclusion définitive d'un élève, conseils de discipline, démission de certains élèves gentils et studieux qui n'en pouvaient plus etc).
Résultat : 1 élève sur 35 (UN) n'a pas eu son bac.
Commentaire du CdE lors de l'AG , chiffres à l'appui, désignant cette classe et une autre :"Il faut essayer de faire réussir tous les élèves, on ne peut pas laisser les élèves... ". J'ai réagi.
Je suis très en colère.
Je repique au truc et je suis la même filière cette année car je connais ces profils d'élèves et en effet nous sommes plusieurs à être volontaires pour les "porter".
Mais quand on sait que l'on doit se battre toute l'année pour les garder en classe et les faire travailler correctement, et se battre aussi contre une direction qui fait dans le "pas de vague" au maximum, quand on sait d'où l'on est partis avec eux, je trouve que le minimum de reconnaissance ou même la moindre des politesses aurait été de nous remercier pour tout le boulot qui a été fait parce que un échec pour 34 réussites à l'examen alors que si on regarde la classe on se serait plutôt attendu à l'inverse, eh bien c'est plutôt bien hein.
Je suis dans un état d'écoeurement avancé.
Pour éviter le turn-over dans ces classes ( parce qu' hormis le noyau dur, il y a un turn- over démentiel dans certaines matières, l'année dernière c'est un stagiaire qui travaillait avec eux dans une matière pro), il serait bien aussi de mettre en place un vrai accompagnement, que l'on sente qu'il y a un vrai soutien, avec des modalités d'enseignement différentes, par exemple des modules ou autres et pas des blablas à n'en plus finir avec COE et tout le tintouin pour savoir si c'est l'élève ou le professeur qui a tort). On verrait sûrement la différence et davantage de collègues choisiraient des classes difficiles. Au lieu de ça on nous laisse patauger dans le marasme et en plus on se prend des reproches.
Je dois avouer que depuis ce petit speech hiérarchique je ne suis pas contente du tout ( déjà que...).
Si je pouvais je partirais. Je suis lasse de tout, beaucoup plus de ce management que des élèves finalement . Mais je ne peux pas.
- YansoNiveau 6
Caspar a écrit:Enaeco a écrit:Les classes difficiles (collège difficile, classes techno et pro) sont celles qui ont le plus besoin de cadre, de stabilité et de personnel expérimenté expérimenté mais en réalité, il se passe l'inverse parce que les enseignants fuient ces classes et on n'agit à aucun niveau pour éviter ce phénomène
Encore une fois ce n'est pas le cas dans mon lycée, mais je ne suis pas dans une académie où la pénurie de professeurs est trop visible. Tous les collègues qui enseignent en classes technologiques sont expérimentés et ont tendance à prendre les mêmes sections et le même niveau (en tout cas dans ma matière mais c'est aussi le cas dans les autres à ma connaissance).
Chez nous, ils ont trouvé une solution pour inciter les collègues de général expérimentés à demander à des classes STMG : dédoubler la classe en enseignement général. Et devinez où ils ont trouvé les heures ? Ils les ont prises aux collègues d'enseignement technologique lors de la réforme. C'est la seule discipline non représentée à la commission permanente et ils n'ont pas de coordinateur. C'est sympa chez nous, les collègues technos sont traités comme leurs élèves.
- Clecle78Bon génie
Exactement ! Mo,i enseigner j'adorais et j'aimais les collègues et les élèves mais le reste je ne supportais plus ...zigmag17 a écrit:Clecle78 a écrit:C'est exactement le style de ma chef qui n'avait eu que des mots désagréables l'an dernier et pas un seul compliment à nous faire alors qu'on s'était démenés en plein COVID et qu'on avait été nombreux à avoir été contaminés sur notre lieu de travail. Je dois dire que cette ingratitude managériale a joué sur ma décision d'anticiper la retraite. J'en avais marre des éléments de langage et du mépris institutionnel.zigmag17 a écrit:Enaeco a écrit:Les classes difficiles (collège difficile, classes techno et pro) sont celles qui ont le plus besoin de cadre, de stabilité et de personnel expérimenté expérimenté mais en réalité, il se passe l'inverse parce que les enseignants fuient ces classes et on n'agit à aucun niveau pour éviter ce phénomène
Non seulement on n'agit pas mais on sabre notre bonne volonté. L'AG de prérentrée a donné le ton cette année lors de la lecture des statistiques de réussite à l'examen données par le Cde : j'avais suivi une classe de bac pro qui avait été portée à bout de bras pendant 3 ans dans des conditions inimaginables ( chahut, insolence, insultes, menaces verbales et physiques sur un collègue, exclusion définitive d'un élève, conseils de discipline, démission de certains élèves gentils et studieux qui n'en pouvaient plus etc).
Résultat : 1 élève sur 35 (UN) n'a pas eu son bac.
Commentaire du CdE lors de l'AG , chiffres à l'appui, désignant cette classe et une autre :"Il faut essayer de faire réussir tous les élèves, on ne peut pas laisser les élèves... ". J'ai réagi.
Je suis très en colère.
Je repique au truc et je suis la même filière cette année car je connais ces profils d'élèves et en effet nous sommes plusieurs à être volontaires pour les "porter".
Mais quand on sait que l'on doit se battre toute l'année pour les garder en classe et les faire travailler correctement, et se battre aussi contre une direction qui fait dans le "pas de vague" au maximum, quand on sait d'où l'on est partis avec eux, je trouve que le minimum de reconnaissance ou même la moindre des politesses aurait été de nous remercier pour tout le boulot qui a été fait parce que un échec pour 34 réussites à l'examen alors que si on regarde la classe on se serait plutôt attendu à l'inverse, eh bien c'est plutôt bien hein.
Je suis dans un état d'écoeurement avancé.
Pour éviter le turn-over dans ces classes ( parce qu' hormis le noyau dur, il y a un turn- over démentiel dans certaines matières, l'année dernière c'est un stagiaire qui travaillait avec eux dans une matière pro), il serait bien aussi de mettre en place un vrai accompagnement, que l'on sente qu'il y a un vrai soutien, avec des modalités d'enseignement différentes, par exemple des modules ou autres et pas des blablas à n'en plus finir avec COE et tout le tintouin pour savoir si c'est l'élève ou le professeur qui a tort). On verrait sûrement la différence et davantage de collègues choisiraient des classes difficiles. Au lieu de ça on nous laisse patauger dans le marasme et en plus on se prend des reproches.
Je dois avouer que depuis ce petit speech hiérarchique je ne suis pas contente du tout ( déjà que...).
Si je pouvais je partirais. Je suis lasse de tout, beaucoup plus de ce management que des élèves finalement . Mais je ne peux pas.
Édit
Gabriel Attal au sommet de sa popularité dans les sondages. France Inter dithyrambique sur le ministre ce matin. On n'est pas sortis des ronces, malheureusement.
- EnaecoVénérable
Manu7 a écrit:Enaeco a écrit:Cette année, les établissements étaient limités dans leur offre d'orientation vers la STMG car pas assez de places. Des classes déjà à 35.
On a envoyé en spécialité des élèves pour qui ça sera très compliqué d'obtenir le bac (sans parler de Parcoursup)
Avant la réforme on pouvait hésiter entre STMG et ES, maintenant l'écart me semble trop important entre STMG et une triplette SES - Maths - HGGSP surtout au niveau des maths donc le choix STMG est plus rassurant et on y fait encore des maths. Car on peut toujours choisir une triplette sans Maths mais ces élèves ne pourront pas suivre dans un BTS Gestion ou un BUT "Tech de Co" et ils ne seront même pas pris. D'ailleurs même avant la réforme un Bac S de niveau correct n'était pas facilement pris en IUT Tech de Co donc le choix STMG est vraiment conseillé pour ce genre de filière.
Sauf que par manque de places en STMG, les moins mauvais iront en SES-Maths-HGGSP.
Enfin en réalité, ils ne feront pas ce choix de spécialités. Le choix de la STMG n'était pas motivé par un projet professionnel donc il n'y a pas de raison de prendre un équivalent en terme de spés.
Ces élèves partiront sur les spés où ils réussissent le mieux (échouent le moins).
Chez nous, ça se finit souvent avec une combinaison parmi Arts, SES, LLCE, HGGSP, HLP, (SVT)
- JennyMédiateur
Effectivement, le choix d'une STMG est souvent un meilleur choix en terme d'orientation post-bac, ces élèves sont prioritaires sur les formations courtes (et la prépa ECT est également une filière intéressante pour les plus sérieux d'entre-eux).
- nonoHabitué du forum
+1000 pour chaque mot que tu as écrit.zigmag17 a écrit:Enaeco a écrit:Les classes difficiles (collège difficile, classes techno et pro) sont celles qui ont le plus besoin de cadre, de stabilité et de personnel expérimenté expérimenté mais en réalité, il se passe l'inverse parce que les enseignants fuient ces classes et on n'agit à aucun niveau pour éviter ce phénomène
Non seulement on n'agit pas mais on sabre notre bonne volonté. L'AG de prérentrée a donné le ton cette année lors de la lecture des statistiques de réussite à l'examen données par le Cde : j'avais suivi une classe de bac pro qui avait été portée à bout de bras pendant 3 ans dans des conditions inimaginables ( chahut, insolence, insultes, menaces verbales et physiques sur un collègue, exclusion définitive d'un élève, conseils de discipline, démission de certains élèves gentils et studieux qui n'en pouvaient plus etc).
Résultat : 1 élève sur 35 (UN) n'a pas eu son bac.
Commentaire du CdE lors de l'AG , chiffres à l'appui, désignant cette classe et une autre :"Il faut essayer de faire réussir tous les élèves, on ne peut pas laisser les élèves... ". J'ai réagi.
Je suis très en colère.
Je repique au truc et je suis la même filière cette année car je connais ces profils d'élèves et en effet nous sommes plusieurs à être volontaires pour les "porter".
Mais quand on sait que l'on doit se battre toute l'année pour les garder en classe et les faire travailler correctement, et se battre aussi contre une direction qui fait dans le "pas de vague" au maximum, quand on sait d'où l'on est partis avec eux, je trouve que le minimum de reconnaissance ou même la moindre des politesses aurait été de nous remercier pour tout le boulot qui a été fait parce que un échec pour 34 réussites à l'examen alors que si on regarde la classe on se serait plutôt attendu à l'inverse, eh bien c'est plutôt bien hein.
Je suis dans un état d'écoeurement avancé.
Pour éviter le turn-over dans ces classes ( parce qu' hormis le noyau dur, il y a un turn- over démentiel dans certaines matières, l'année dernière c'est un stagiaire qui travaillait avec eux dans une matière pro), il serait bien aussi de mettre en place un vrai accompagnement, que l'on sente qu'il y a un vrai soutien, avec des modalités d'enseignement différentes, par exemple des modules ou autres et pas des blablas à n'en plus finir avec CPE et tout le tintouin pour savoir si c'est l'élève ou le professeur qui a tort). On verrait sûrement la différence et davantage de collègues choisiraient des classes difficiles. Au lieu de ça on nous laisse patauger dans le marasme et en plus on se prend des reproches.
Je dois avouer que depuis ce petit speech hiérarchique je ne suis pas contente du tout ( déjà que...).
Combien de temps encore avant la retraite pour toi ?
_________________
Prof en LP
- zigmag17Guide spirituel
nono a écrit:+1000 pour chaque mot que tu as écrit.zigmag17 a écrit:Enaeco a écrit:Les classes difficiles (collège difficile, classes techno et pro) sont celles qui ont le plus besoin de cadre, de stabilité et de personnel expérimenté expérimenté mais en réalité, il se passe l'inverse parce que les enseignants fuient ces classes et on n'agit à aucun niveau pour éviter ce phénomène
Non seulement on n'agit pas mais on sabre notre bonne volonté. L'AG de prérentrée a donné le ton cette année lors de la lecture des statistiques de réussite à l'examen données par le Cde : j'avais suivi une classe de bac pro qui avait été portée à bout de bras pendant 3 ans dans des conditions inimaginables ( chahut, insolence, insultes, menaces verbales et physiques sur un collègue, exclusion définitive d'un élève, conseils de discipline, démission de certains élèves gentils et studieux qui n'en pouvaient plus etc).
Résultat : 1 élève sur 35 (UN) n'a pas eu son bac.
Commentaire du CdE lors de l'AG , chiffres à l'appui, désignant cette classe et une autre :"Il faut essayer de faire réussir tous les élèves, on ne peut pas laisser les élèves... ". J'ai réagi.
Je suis très en colère.
Je repique au truc et je suis la même filière cette année car je connais ces profils d'élèves et en effet nous sommes plusieurs à être volontaires pour les "porter".
Mais quand on sait que l'on doit se battre toute l'année pour les garder en classe et les faire travailler correctement, et se battre aussi contre une direction qui fait dans le "pas de vague" au maximum, quand on sait d'où l'on est partis avec eux, je trouve que le minimum de reconnaissance ou même la moindre des politesses aurait été de nous remercier pour tout le boulot qui a été fait parce que un échec pour 34 réussites à l'examen alors que si on regarde la classe on se serait plutôt attendu à l'inverse, eh bien c'est plutôt bien hein.
Je suis dans un état d'écoeurement avancé.
Pour éviter le turn-over dans ces classes ( parce qu' hormis le noyau dur, il y a un turn- over démentiel dans certaines matières, l'année dernière c'est un stagiaire qui travaillait avec eux dans une matière pro), il serait bien aussi de mettre en place un vrai accompagnement, que l'on sente qu'il y a un vrai soutien, avec des modalités d'enseignement différentes, par exemple des modules ou autres et pas des blablas à n'en plus finir avec CPE et tout le tintouin pour savoir si c'est l'élève ou le professeur qui a tort). On verrait sûrement la différence et davantage de collègues choisiraient des classes difficiles. Au lieu de ça on nous laisse patauger dans le marasme et en plus on se prend des reproches.
Je dois avouer que depuis ce petit speech hiérarchique je ne suis pas contente du tout ( déjà que...).
Combien de temps encore avant la retraite pour toi ?
Six ans (au maximum pour avoir une pension honnête)... C'est là que l'on se rend compte que le temps est relatif parce que quelque chose me dit que je vais trouver ça très long...
- JennyMédiateur
Je sens que vous allez adorer cette idée :
Je peux avoir des sous à la place ? Je suis vénale.
https://www.ouest-france.fr/education/concours-decriture-test-de-redaction-les-mesures-dattal-pour-favoriser-lecrit-a-lecole-14ee0fa0-5391-11ee-96b7-58a6b4e9c452Gabriel Attal dit enfin souhaiter créer « dès cette année » un « double grand concours national d’écriture » : l’un pour les élèves en fin de primaire et en fin de collège, l’autre pour… les enseignants, « dont le talent, la créativité méritent d’être mieux reconnus et partagés ».
Je peux avoir des sous à la place ? Je suis vénale.
- valleExpert spécialisé
Seulement si les professeurs gagnants reçoivent un badge numérique. (Sinon, c'est vraiment humiliant, depuis tellement de points de vue que j'ai la flemme d'en faire la liste).
- PrezboGrand Maître
Phocea a écrit:Clecle78 a écrit:
Non parce beaucoup de musulmanes ne portent pas ce vêtement même si elles se voilent ou mettent des manches longues.C'est le signe d'une forme d'intégrisme relié aux pays du Golfe et à l'influence actuelle de ces pays qui voudraient l'imposer aux filles, notamment en France.
Impression d'être sur Cnews. C'est sidérant de lire des choses pareilles qui ne reposent sur aucun argument sérieux. Sauriez vous définir précisément une abaya ? Je vous aide un peu : عبية en arabe veur dire robe.
La définir on peut discuter, mais la reconnaître cela pose rarement problème en pratique. Et je ne vois pas ce que Clecle dit d'outrancier : effectivement, la majorité des musulmanes ne portent pas l'abaya, y compris celles qui portent le voile et/ou des vêtements couvrants.
- MathadorEmpereur
Prezbo a écrit:Phocea a écrit:Clecle78 a écrit:
Non parce beaucoup de musulmanes ne portent pas ce vêtement même si elles se voilent ou mettent des manches longues.C'est le signe d'une forme d'intégrisme relié aux pays du Golfe et à l'influence actuelle de ces pays qui voudraient l'imposer aux filles, notamment en France.
Impression d'être sur Cnews. C'est sidérant de lire des choses pareilles qui ne reposent sur aucun argument sérieux. Sauriez vous définir précisément une abaya ? Je vous aide un peu : عبية en arabe veur dire robe.
La définir on peut discuter, mais la reconnaître cela pose rarement problème en pratique. Et je ne vois pas ce que Clecle dit d'outrancier : effectivement, la majorité des musulmanes ne portent pas l'abaya, y compris celles qui portent le voile et/ou des vêtements couvrants.
Et il ne faut pas oublier que l'emprunt lexical direct n'empêche pas le glissement de sens: les Arabes chrétiens prient ٱللَّٰه, et pourtant il est peu probable que ce soit ce à quoi on fait référence lorsqu'on parle d'Allah en français.
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"There are three kinds of lies: lies, damned lies, and statistics." (cité par Mark Twain)
« Vulnerasti cor meum, soror mea, sponsa; vulnerasti cor meum in uno oculorum tuorum, et in uno crine colli tui.
Quam pulchrae sunt mammae tuae, soror mea sponsa! pulchriora sunt ubera tua vino, et odor unguentorum tuorum super omnia aromata. » (Canticum Canticorum 4:9-10)
- PrezboGrand Maître
Mathador a écrit:Prezbo a écrit:Phocea a écrit:Clecle78 a écrit:
Non parce beaucoup de musulmanes ne portent pas ce vêtement même si elles se voilent ou mettent des manches longues.C'est le signe d'une forme d'intégrisme relié aux pays du Golfe et à l'influence actuelle de ces pays qui voudraient l'imposer aux filles, notamment en France.
Impression d'être sur Cnews. C'est sidérant de lire des choses pareilles qui ne reposent sur aucun argument sérieux. Sauriez vous définir précisément une abaya ? Je vous aide un peu : عبية en arabe veur dire robe.
La définir on peut discuter, mais la reconnaître cela pose rarement problème en pratique. Et je ne vois pas ce que Clecle dit d'outrancier : effectivement, la majorité des musulmanes ne portent pas l'abaya, y compris celles qui portent le voile et/ou des vêtements couvrants.
Et il ne faut pas oublier que l'emprunt lexical direct n'empêche pas le glissement de sens: les Arabes chrétiens prient ٱللَّٰه, et pourtant il est peu probable que ce soit ce à quoi on fait référence lorsqu'on parle d'Allah en français.
Oui : quel que soit le sens étymologique du terme en arabe, il y a finalement assez peu d’ambiguïté sur ce qu'on appelle une abaya en France en 2023. Comme l'a dit en réunion (un peu plus brutalement que je ne l'aurais fait) une collègue d'éco-gestion confrontée au problème dans ses classes : on sait très bien ce qu'est une abaya.
- Clecle78Bon génie
Prezbo a écrit:Mathador a écrit:Prezbo a écrit:Phocea a écrit:
Impression d'être sur Cnews. C'est sidérant de lire des choses pareilles qui ne reposent sur aucun argument sérieux. Sauriez vous définir précisément une abaya ? Je vous aide un peu : عبية en arabe veur dire robe.
La définir on peut discuter, mais la reconnaître cela pose rarement problème en pratique. Et je ne vois pas ce que Clecle dit d'outrancier : effectivement, la majorité des musulmanes ne portent pas l'abaya, y compris celles qui portent le voile et/ou des vêtements couvrants.
Et il ne faut pas oublier que l'emprunt lexical direct n'empêche pas le glissement de sens: les Arabes chrétiens prient ٱللَّٰه, et pourtant il est peu probable que ce soit ce à quoi on fait référence lorsqu'on parle d'Allah en français.
Oui : quel que soit le sens étymologique du terme en arabe, il y a finalement assez peu d’ambiguïté sur ce qu'on appelle une abaya en France en 2023. Comme l'a dit en réunion (un peu plus brutalement que je ne l'aurais fait) une collègue d'éco-gestion confrontée au problème dans ses classes : on sait très bien ce qu'est une abaya.
L'abaya,comme je l'ai dit déjà plus haut (pour ceux qui prennent la peine de lire et non de jeter des anathèmes ridicules) recouvre d'autres vêtements. Il y a un terme plus précis pour désigner la robe au sens que nous lui donnons (futsan ou tob pour la robe traditionnelle). Si je disais à mes belles sœurs qu'elles portent une abaya je me ferais bien recevoir ! Je ne suis pas sociologue mais je passe pas mal de mon temps au Moyen Orient depuis plus de 30 ans et je pense tout de même savoir un peu de quoi je parle à mon simple niveau. Bien sûr qu'autrefois cela désignait une tenue traditionnelle mais ça fait bien longtemps que cela a pris une toute autre dimension. C'est porté par une frange rigoriste des sociétés musulmanes et j'ai du mal à comprendre ce déni de réalité chez certains.
- JennyMédiateur
Clecle : Ce qui est une abaya au sens strict, ce n'est pas ce qui est le plus présent dans nos établissements où des vêtements plus classiques peuvent être utilisés dans le même objectif. Les jeunes filles rappelées à l'ordre ne portent pas forcément une abaya au sens où tu l'entends.
- henrietteMédiateur
Ce fil part dans tous les sens avec plusieurs discussions qui s'y entremêlent. Les esprits semblant de plus en passe de s'y échauffer, la modération le verrouille le temps de voir comment le débrouiller.
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"Il n'y a que ceux qui veulent tromper les peuples et gouverner à leur profit qui peuvent vouloir retenir les hommes dans l'ignorance."
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