- PRCE anglaisJe viens de m'inscrire !
La doyenne de ma composante a chargé une collègue de proposer un contrôle de traduction aux L2 qui le voulaient, afin d'augmenter leurs moyennes (sur la base que ma notation était trop basse). La collègue l'a fait derrière mon dos, sans connaître mon programme ni enseigner cette matière. Une vingtaine d'étudiants ont accepté la proposition, les autres ont refusé et ont passé mon contrôle. Cet incident à déclenché une montagne de débats, discussions et disputes et divise profondément la composante et l'université. Cela aura de grosses répercussions sur la notation dans l'enseignement supérieur car il va créer un précédent qui permettra aux étudiants qui estiment qu'un enseignant note trop bas de demander un deuxième contrôle d'un enseignant connu pour sa notation plus "indulgente". Nous ne trouvons pas de jurisprudence sur la question qui permettrait de mettre fin à cette situation inédite. Si quelqu'un aurait un conseil, ce serait le bienvenu, car nous arrivons au point culminant du jury de fin d'année dans 10 jours et rien n'est résolu. Nous risquons l'explosion du département et l'annulation du jury à ce stade. Merci!
- ErgoDevin
J'hallucine un peu sur ce que tu décris. Je n'ai pas connaissance de situation purement identique mais il me semble que la question se pose du côté des MCC. C'est du contrôle continu, je suppose ?
Au cas où:
-- les MCC ont été adoptées au plus tard quatre semaines après la rentrée et ne doivent pas être changées en cours d'année (ahem, on en a changé plusieurs en CFVU mais c'est passé par conseil de composante --> CFVU); il y a évidemment plus de souplesse si c'est du CC ;
-- le principe d'égalité entre les étudiants doit être respecté, ce qui n'a pas l'air d'être le cas ici.
J'ai trouvé ça qui est peut-être pertinent :
En cherchant "égalité" sur ce site:
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Je contacterais le service juridique de l'université de mon côté, ou le VP formation: ce sont eux qui devront gérer un éventuel recours. Je continue de regarder ce que je trouve.
Au cas où:
-- les MCC ont été adoptées au plus tard quatre semaines après la rentrée et ne doivent pas être changées en cours d'année (ahem, on en a changé plusieurs en CFVU mais c'est passé par conseil de composante --> CFVU); il y a évidemment plus de souplesse si c'est du CC ;
-- le principe d'égalité entre les étudiants doit être respecté, ce qui n'a pas l'air d'être le cas ici.
J'ai trouvé ça qui est peut-être pertinent :
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]Considérant qu'il ressort des pièces du dossier, et qu'il n'est pas contesté, qu'à l'occasion des épreuves organisées pour la session d'octobre 1981 de l'examen de deuxième année du diplôme d'études universitaires générales mention "Droit" à l'université de Montpellier, les candidats ont été répartis en deux groupes dont les effectifs respectifs étaient de 177 candidats et 76 candidats ; que deux professeurs ont été désignés pour corriger les épreuves de finances publiques et de droit budgétaire, chacun de ces deux professeurs ayant en charge un des deux groupes susmentionnés, et notant les candidats de son groupe dans ces deux matières ; que des échelles de notation substantiellement différentes ont été appliquées par les deux professeurs ; qu'eu égard à l'ampleur de ces différences le principe d'égalité entre les étudiants a été méconnu ; que, par suite, les requérants sont fondés à soutenir que c'est à tort que, par le jugement attaqué, le tribunal administratif de Montpellier a rejeté leur demande, et à demander l'annulation des délibérations du jury ayant prononcé leur ajournement ;
En cherchant "égalité" sur ce site:
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Je contacterais le service juridique de l'université de mon côté, ou le VP formation: ce sont eux qui devront gérer un éventuel recours. Je continue de regarder ce que je trouve.
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"You went to a long-dead octopus for advice, and you're going to blame *me* for your problems?" -- Once Upon a Time
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- RogerMartinBon génie
Est-ce que la collègue a enseigné des séances, ou juste évalué ? Est-ce que les TD en question sont évalués en contrôle continu intégral, sans examen ? Dans ce dernier cas, attention à ne pas trop agiter la rupture d'égalité, car de fait il n'y a pas de mesures correctrices (examens avec sujets communs à tous les groupes, harmonisation des notes, etc.), et la collègue aura beau jeu d'affirmer qu'elle a appliqué les mêmes barèmes (seuls des génies seront allés la trouver), que les textes de trad niveau L2 elle connaît, etc.
J'ai constaté par le passé que les grands appels au principe d'égalité amenaient immanquablement à enquiquiner les enseignants dont les notes sont les plus basses. Le service juridique ne se mouillera pas facilement pour "défendre" une notation stricte, si j'en crois mon expérience dans diverses boîtes -- mais tu connais mieux que moi ce qu'il en est dans ta fac.
Plutôt qu'une démarche (qui serait très satisfaisante) pour faire annuler les notes de la collègue, etc., ce serait plus habile d'aller suggérer en haut lieu que tu crains des recours, etc., mais en laissant les collègues tirer les conséquences possibles de leurs patouillages : il ne vaut mieux pas qu'une demande explicite d'annuler un jury vienne de toi, il y aura mille et une façons on le sait bien de te casser les pieds par la suite.
Le "précédent de notation dans l'enseignement supérieur" dont tu parles n'existera que si tu n'arrives pas à faire évoluer les choses, en fait. Si ta matière peut effectivement être décrite comme une matière où l'évaluation est plus sévère que dans les autres du semestre/de l'année, il y a peut-être des leviers tolérables pour t'éviter les délires de ce genre l'an prochain. Dans ces cas-là il vaut mieux prévenir que guérir.
Tu peux d'un côté essayer de parler en amont, voire dès maintenant en t'appuyant sur ce qui s'est passé, avec des collègues pour expliquer qu'il y a des compétences dont les collègues qui enseignent en L3 se satisfont que les étudiants les aient acquises, et que ta notation permet de faire barrière aux quelques-uns qui ne sont pas solides ailleurs (est-ce le cas : est-ce qu'ils ratent l'année à cause de toi ?) ou proposer de réfléchir sur les taux de réussite dans les différentes matières, etc. Bref, dépersonnaliser un peu la chose si c'est possible et faire porter la responsabilité de la notation à la matière...
De l'autre, si tu as deux notes seulement dans le semestre, raccourcir les évals et dégager le temps pour mettre une note de plus, et supprimer la note la plus basse dans le calcul de la moyenne, cela démontre aux étudiants que tu ne cherches pas à les sous-noter -- même s'il y a des notions importantes à acquérir.
Si la situation est complètement bloquée, vois si tu peux prendre un autre enseignement que celui-ci : puisque ta collègue est si intéressée par ces étudiants, qu'elle fasse ces cours.
Désolée que mon message ne soit pas plus bille en tête, mais j'ai une longue expérience de ferraillage en terrain universitaire hostile (zeus merci mon ufr actuelle n'est pas du tout comme cela, l'ennemi est principalement au dehors ) et j'ai fini par me dire qu'il fallait choisir ses combats, et qu'il valait mieux parfois s'en remettre à des moyens détournés pour arriver à ses fins. Cela ne retire rien au fait que ta doyenne et ta collègue sont deux belles gougnafières.
J'ai constaté par le passé que les grands appels au principe d'égalité amenaient immanquablement à enquiquiner les enseignants dont les notes sont les plus basses. Le service juridique ne se mouillera pas facilement pour "défendre" une notation stricte, si j'en crois mon expérience dans diverses boîtes -- mais tu connais mieux que moi ce qu'il en est dans ta fac.
Plutôt qu'une démarche (qui serait très satisfaisante) pour faire annuler les notes de la collègue, etc., ce serait plus habile d'aller suggérer en haut lieu que tu crains des recours, etc., mais en laissant les collègues tirer les conséquences possibles de leurs patouillages : il ne vaut mieux pas qu'une demande explicite d'annuler un jury vienne de toi, il y aura mille et une façons on le sait bien de te casser les pieds par la suite.
Le "précédent de notation dans l'enseignement supérieur" dont tu parles n'existera que si tu n'arrives pas à faire évoluer les choses, en fait. Si ta matière peut effectivement être décrite comme une matière où l'évaluation est plus sévère que dans les autres du semestre/de l'année, il y a peut-être des leviers tolérables pour t'éviter les délires de ce genre l'an prochain. Dans ces cas-là il vaut mieux prévenir que guérir.
Tu peux d'un côté essayer de parler en amont, voire dès maintenant en t'appuyant sur ce qui s'est passé, avec des collègues pour expliquer qu'il y a des compétences dont les collègues qui enseignent en L3 se satisfont que les étudiants les aient acquises, et que ta notation permet de faire barrière aux quelques-uns qui ne sont pas solides ailleurs (est-ce le cas : est-ce qu'ils ratent l'année à cause de toi ?) ou proposer de réfléchir sur les taux de réussite dans les différentes matières, etc. Bref, dépersonnaliser un peu la chose si c'est possible et faire porter la responsabilité de la notation à la matière...
De l'autre, si tu as deux notes seulement dans le semestre, raccourcir les évals et dégager le temps pour mettre une note de plus, et supprimer la note la plus basse dans le calcul de la moyenne, cela démontre aux étudiants que tu ne cherches pas à les sous-noter -- même s'il y a des notions importantes à acquérir.
Si la situation est complètement bloquée, vois si tu peux prendre un autre enseignement que celui-ci : puisque ta collègue est si intéressée par ces étudiants, qu'elle fasse ces cours.
Désolée que mon message ne soit pas plus bille en tête, mais j'ai une longue expérience de ferraillage en terrain universitaire hostile (zeus merci mon ufr actuelle n'est pas du tout comme cela, l'ennemi est principalement au dehors ) et j'ai fini par me dire qu'il fallait choisir ses combats, et qu'il valait mieux parfois s'en remettre à des moyens détournés pour arriver à ses fins. Cela ne retire rien au fait que ta doyenne et ta collègue sont deux belles gougnafières.
- epekeina.tes.ousiasModérateur
RogerMartin a écrit:Désolée que mon message ne soit pas plus bille en tête, mais j'ai une longue expérience d'avoir ferraillé en terrain universitaire hostile (zeus merci mon ufr actuelle n'est pas du tout comme cela, l'ennemi est principalement au dehors ) et j'ai fini par me dire qu'il fallait choisir ses combats, et qu'il valait mieux parfois s'en remettre à des moyens détournés pour arriver à ses fins.
Je ne saurais dire mieux. Pour ma part, je résume ça en 1) ne jamais entrer en guerre s'il n'y pas un intérêt pressant à le faire ; 2) ne jamais entrer en guerre si l'on n'a pas des chances sérieuses de l'emporter ; 3) ne jamais entrer en guerre s'il y a trop de risques de perdre sur des points essentiels.
Ergo a écrit:Je contacterais le service juridique de l'université de mon côté, ou le VP formation: ce sont eux qui devront gérer un éventuel recours. Je continue de regarder ce que je trouve.
Sur le principe, Ergo, tu as mille fois raison. Dans la pratique, il faut voir…
D'abord parce que tout dépend du libellé exact des MCC — et que, s'agissant de contrôle continu, le plus souvent, ça laisse une vaste latitude, justement pour que “ça marche”. Quitte à geler des notes, etc. L'un de mes amis et collègues (depuis quelques dizaines d'années quand même), m'a expliqué que, cette année, il avait vu des étudiants avoir l'examen, puis le rattrapage (alors qu'ils avaient passé l'examen), puis une “seconde chance” (car enfin, ils étaient en grève) et le tout pleinement conforme lui a-t-on dit. OK, je ne suis pas réputé pour mon optimisme, mais tout de même…
Ensuite parce que contacter un VP — surtout formation ou vie étudiante — pour lui demander d'intervenir, pour ma part, j'hésiterais : à ton avis, sachant qu'il y a des VP étudiants, sachant qu'il verra très probablement le conflit comme une opposition de personnes, l'une qui note sévèrement l'autre pas, il fera quel choix, à supposer d'ailleurs qu'il se mouille au point d'en faire un ? La “rupture d'égalité de traitement”, je veux bien, mais c'est une notion à géométrie variable, surtout quand il s'agit de contrôle continu. Dans mon expérience, c'est surtout l'égalité du traitement le plus favorable qui est, le plus souvent, privilégié.
Je ne parierais mon dessert de ce soir sur une issue favorable — à moins peut-être que, dans ce département, tous les enseignants ou disons, 90% d'entre eux, soient d'accord et poussent dans le même sens.
- ErgoDevin
Je suis trop optimiste ou trop en contact avec le service juridique et le VP en commission/conseils donc comme on discute régulièrement, je ne vois plus l'aspect exceptionnel de leur demander des précisions sur la légalité de tel ou tel aspect (à la sco, à la direction des études, à l'assesseur formation aussi...je dois être reloue, en fait).
En CC, s'il y a plusieurs enseignants de TD, on donne toujours les mêmes sujets d'examens avec les mêmes barèmes dans nos groupes (en théorie) et on harmonise les notes, pas toujours à la moyenne la plus élevée donc j'oublie que tout le monde ne fonctionne pas comme ça.
Nos représentants étudiants sont aussi assez actifs.
(Et je trouve assez dingue l'idée que quelqu'un qui n'est a priori pas sur l'EC au départ puisse proposer une éval de l'EC, si j'ai bien compris la situation exposée...)
En CC, s'il y a plusieurs enseignants de TD, on donne toujours les mêmes sujets d'examens avec les mêmes barèmes dans nos groupes (en théorie) et on harmonise les notes, pas toujours à la moyenne la plus élevée donc j'oublie que tout le monde ne fonctionne pas comme ça.
Nos représentants étudiants sont aussi assez actifs.
(Et je trouve assez dingue l'idée que quelqu'un qui n'est a priori pas sur l'EC au départ puisse proposer une éval de l'EC, si j'ai bien compris la situation exposée...)
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"You went to a long-dead octopus for advice, and you're going to blame *me* for your problems?" -- Once Upon a Time
"The gull was your ordinary gull." -- Wittgenstein's Mistress
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- epekeina.tes.ousiasModérateur
- RogerMartinBon génie
Chez nous on ne pose pas les mêmes sujets en CCI, à cause du nombre de groupes étalés sur toute la semaine, mais de toute façon la situation qui est décrite là c'est n'importe quoi, et jamais même dans les facs les plus dysfonctionnelles où j'ai bossé je n'ai vu faire un truc pareil.
En revanche, raisonner longuement tel ou telle parce qu'on ne peut plus évaluer sur les sujets qu'il ou elle a eu en partiel dans la même fac il y a vingt ou trente ans : multi-check
Sur le fait d'aborder un VD formation ou de contacter le service juridique pour évoquer un problème ou demander une vérification, je le fais aujourd'hui sans hésiter, mais quand j'étais EC sans aucun rôle administratif je n'aurais pas fait la démarche de manière spontanée et informelle, et je ne suis pas certaine que les collègues auraient pris le temps de me répondre en détail, on est une grosse machine.
En revanche, raisonner longuement tel ou telle parce qu'on ne peut plus évaluer sur les sujets qu'il ou elle a eu en partiel dans la même fac il y a vingt ou trente ans : multi-check
Sur le fait d'aborder un VD formation ou de contacter le service juridique pour évoquer un problème ou demander une vérification, je le fais aujourd'hui sans hésiter, mais quand j'étais EC sans aucun rôle administratif je n'aurais pas fait la démarche de manière spontanée et informelle, et je ne suis pas certaine que les collègues auraient pris le temps de me répondre en détail, on est une grosse machine.
- PRCE anglaisJe viens de m'inscrire !
Bonjour, je reviens vers vous en cette fin d'année universitaire, d'abord pour vous remercier de vos réponses et observations intéressantes et pertinentes et qui corroborent avec ce que j'ai vécu sur site. Dans un premier temps, suite aux faits, ma réaction était d'alerter mon hiérarchie extra-composante (sachant que la doyenne de ma composante était celle qui avait décidé de cette "sanction"), à savoir le président et les VP RH, formation, égalité et diversité (ce dernier étant également chargé de la cellule du harcèlement, était le premier auquel j'avais pensé). Je me suis aussi entretenue avec le doyen de la deuxième composante dans laquelle je réalise la moitié de mon service annuel en plus des charges administratives lourdes. Sachant qu'une partie de ces derniers étaient en conflit avec la doyenne de la FLSH, j'avais confiance.
Que nenni! Mêmes ceux qui m'ont promis de l'aide ne se sont pas manifestés! Le VP formation était censé interdire la création de HTD supplémentaires pour le passage de ce CC car aucune composante n'est autorisée à le faire...mais rien, pas un mot. Personne n'a osé affronté cette doyenne (qui ne l'est plus depuis le mois de juin car elle a fait ses deux mandats, mais son successeur n'est autre que son ancien bourreau, donc rien à espérer de ce côté) qui, tout le monde le sait, est en campagne pour les prochaines élections présidentielles de l'université. Les VP et autres doyens ont choisi le silence, ne voulant pas de confrontation avec la prochaine présidente potentielle...
J'hésite même à contacter le MESR, qui était dans mes intentions, sachant que je n'aurais pas d'aide et redoutant la réplique de la doyenne...Un triste constat que de devoir être d'accord avec le collègue qui m'a conseillé de "choisir mes combats". Je n'ai visiblement pas le choix.
Bon repos estival à tout le monde et encore mille remerciement pour votre soutien!
Que nenni! Mêmes ceux qui m'ont promis de l'aide ne se sont pas manifestés! Le VP formation était censé interdire la création de HTD supplémentaires pour le passage de ce CC car aucune composante n'est autorisée à le faire...mais rien, pas un mot. Personne n'a osé affronté cette doyenne (qui ne l'est plus depuis le mois de juin car elle a fait ses deux mandats, mais son successeur n'est autre que son ancien bourreau, donc rien à espérer de ce côté) qui, tout le monde le sait, est en campagne pour les prochaines élections présidentielles de l'université. Les VP et autres doyens ont choisi le silence, ne voulant pas de confrontation avec la prochaine présidente potentielle...
J'hésite même à contacter le MESR, qui était dans mes intentions, sachant que je n'aurais pas d'aide et redoutant la réplique de la doyenne...Un triste constat que de devoir être d'accord avec le collègue qui m'a conseillé de "choisir mes combats". Je n'ai visiblement pas le choix.
Bon repos estival à tout le monde et encore mille remerciement pour votre soutien!
- epekeina.tes.ousiasModérateur
Ah, je vois… Ma foi, préserve-toi le plus qu'il est possible et profite de ce bel été pour te reposer. Toutes ces guéguerres universitaires, c'est fort désagréable, mais ce sont des agitations ineptes, des luttes d'intérêt et des démonstrations de petitesse qui ne valent pas que l'on se mette au rouet. C'est décevant parce que c'est minable, et réciproquement, certes…
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