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- DeliaEsprit éclairé
Merci, Tivinou !
Ce ne sont pas des blasphèmes. Tout au plus, des sacrilèges.
Si tu veux des blasphèmes, demande à Baudelaire :
Ce ne sont pas des blasphèmes. Tout au plus, des sacrilèges.
Si tu veux des blasphèmes, demande à Baudelaire :
Saint Pierre a renié Jésus… il a bien fait !
- TivinouDoyen
Pas si sûr. Toute la fin du poème est une confession et une prière inversées. Je dirais blasphème de potache. Mais effectivement en classe j'ai plutôt employé le mot sacrilège.
- NLM76Grand Maître
@Delia : De mon côté, je n'ai pas utilisé le nom "blasphème", mais l'adjectif "blasphématoire", qui me paraît d'autant plus bienvenu que les tercets du "Mal" ne sont pas loin de relever vraiment du blasphème, et qu'il semble bien que Verlaine l'ait utilisé (l'adjectif) pour parler des "Effarés".Tivinou a écrit:Pas si sûr. Toute la fin du poème est une confession et une prière inversées. Je dirais blasphème de potache. Mais effectivement en classe j'ai plutôt employé le mot sacrilège.
Mais même le nom "blasphème" me paraît ici assez bienvenu. Il y a bien ici des paroles qui visent à outrager le Ciel, la divinité.
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«Boas ne renonça jamais à la question-clé : quelle est, du point de vue de l'information, la différence entre les procédés grammaticaux observés ? Il n'entendait pas accepter une théorie non sémantique de la structure grammaticale et toute allusion défaitiste à la prétendue obscurité de la notion de sens lui paraissait elle-même obscure et dépourvue de sens.» [Roman Jakobson, Essais de linguistique générale, "La notion de signification grammaticale selon Boas" (1959)]
- eliamEsprit éclairé
C'est l'esprit de cette partie de l'épreuve. Il est stipulé que nous devons nous appuyer sur ce que le candidat propose lors de la présentation pour poser nos questions. Ce n'est pas une règle académique mais nationale. Le seul problème, c'est lorsque le candidat ne propose pas grand chose voire rien dans la présentation sur lequel on peut rebondir pour amorcer une réflexion et lui permettre d'approfondir sa lecture de l'œuvre.Oxford a écrit:Dans mon académie, on nous a demandé de poser des questions en rapport avec ce qu'avait dit l'élève lors de la présentation de l'œuvre. C'est une façon de cadrer cet oral.
- roxanneOracle
Et surtout qu'il récite un vague truc qu'il est le dixième à réciter... [hide]J'avais déjà raconté mais la première année de la réforme, j'ai interrogé une classe techno qui avait cghoisi dans sa grande majorité..Le Petit chaperon rouge, cursive entière proposée avec les Fables. Ben, même topo "Cette œuvre qui a bercé mon enfance et qui a fait l'objet de tant d'adaptations" répété 14 fois dans la journée, sans que personne d'ailleurs n'ait la moindre idée de ses fameuses "adaptations" seule question un peu intéressante. Donc, il a bien fallu un peu digresser.[/spoiler]
Mais je dis à mes élèves de choisir un biais personnel, de tendre des perches pour l'entretien mais des perches qu'i ne les feront pas couler.
Mais je dis à mes élèves de choisir un biais personnel, de tendre des perches pour l'entretien mais des perches qu'i ne les feront pas couler.
- AlmanaeNiveau 2
Bonjour,
J'ai une petite question mais je ne sais pas si je la pose au bon endroit...
Plusieurs des candidats que j'ai interrogés aux EAF se sont présentés avec des œuvres intégrales ou cursives imprimées (les feuilles étaient sommairement reliées, parfois agrafées, souvent simplement placées dans une chemise en carton).
Ma question est la suivante : a-t-on le droit de faire cela ? Notamment pour des petits recueils comme Les Cahiers de Douai, peut-on se créer notre propre version en PDF et imprimer la vingtaine de textes à nos élèves ? (et ainsi économiser 4€).
Le programme et/ou les textes officiels imposent-ils que les candidats possèdent les huit œuvres obligatoires en format classique / édité ?
J'ai une petite question mais je ne sais pas si je la pose au bon endroit...
Plusieurs des candidats que j'ai interrogés aux EAF se sont présentés avec des œuvres intégrales ou cursives imprimées (les feuilles étaient sommairement reliées, parfois agrafées, souvent simplement placées dans une chemise en carton).
Ma question est la suivante : a-t-on le droit de faire cela ? Notamment pour des petits recueils comme Les Cahiers de Douai, peut-on se créer notre propre version en PDF et imprimer la vingtaine de textes à nos élèves ? (et ainsi économiser 4€).
Le programme et/ou les textes officiels imposent-ils que les candidats possèdent les huit œuvres obligatoires en format classique / édité ?
- AlaperneNiveau 5
Almanae a écrit:Bonjour,
J'ai une petite question mais je ne sais pas si je la pose au bon endroit...
Plusieurs des candidats que j'ai interrogés aux EAF se sont présentés avec des œuvres intégrales ou cursives imprimées (les feuilles étaient sommairement reliées, parfois agrafées, souvent simplement placées dans une chemise en carton).
Ma question est la suivante : a-t-on le droit de faire cela ? Notamment pour des petits recueils comme Les Cahiers de Douai, peut-on se créer notre propre version en PDF et imprimer la vingtaine de textes à nos élèves ? (et ainsi économiser 4€).
Le programme et/ou les textes officiels imposent-ils que les candidats possèdent les huit œuvres obligatoires en format classique / édité ?
J'ai eu la même chose pour la DDFC l'année dernière. Je n'ai jamais eu le temps de poser la question. Les candidats interrogés l'année dernière et cette année faisaient leur analyse sur des polycopiés (que je vérifiais pour éviter toute fraude).
- NoukaExpert
Alaperne a écrit:Almanae a écrit:Bonjour,
J'ai une petite question mais je ne sais pas si je la pose au bon endroit...
Plusieurs des candidats que j'ai interrogés aux EAF se sont présentés avec des œuvres intégrales ou cursives imprimées (les feuilles étaient sommairement reliées, parfois agrafées, souvent simplement placées dans une chemise en carton).
Ma question est la suivante : a-t-on le droit de faire cela ? Notamment pour des petits recueils comme Les Cahiers de Douai, peut-on se créer notre propre version en PDF et imprimer la vingtaine de textes à nos élèves ? (et ainsi économiser 4€).
Le programme et/ou les textes officiels imposent-ils que les candidats possèdent les huit œuvres obligatoires en format classique / édité ?
J'ai eu la même chose pour la DDFC l'année dernière. Je n'ai jamais eu le temps de poser la question. Les candidats interrogés l'année dernière et cette année faisaient leur analyse sur des polycopiés (que je vérifiais pour éviter toute fraude).
Je ne connais pas la règle mais la prof de français de mon fils n’a fait acheter AUCUN livre. Toutes les oeuvres étaient disponibles sur Moodle. Imaginez… certains eleves n’ont jamais travaillé sur les textes papier…
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En disponibilité
- AlmanaeNiveau 2
Blondie a écrit:Et pour l’entretien, ils n’amènent pas le livre?
Non justement, c'est bien au moment de la 2e partie de l'épreuve qu'ils ont sorti Les Cahiers en liasse agrafée, ou encore Gargantua (filière techno).
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" Si la route est facile, c'est sûrement parce que tu n'as pas emprunté la bonne " T. Gookind
- AlaperneNiveau 5
Nouka a écrit:Alaperne a écrit:Almanae a écrit:Bonjour,
J'ai une petite question mais je ne sais pas si je la pose au bon endroit...
Plusieurs des candidats que j'ai interrogés aux EAF se sont présentés avec des œuvres intégrales ou cursives imprimées (les feuilles étaient sommairement reliées, parfois agrafées, souvent simplement placées dans une chemise en carton).
Ma question est la suivante : a-t-on le droit de faire cela ? Notamment pour des petits recueils comme Les Cahiers de Douai, peut-on se créer notre propre version en PDF et imprimer la vingtaine de textes à nos élèves ? (et ainsi économiser 4€).
Le programme et/ou les textes officiels imposent-ils que les candidats possèdent les huit œuvres obligatoires en format classique / édité ?
J'ai eu la même chose pour la DDFC l'année dernière. Je n'ai jamais eu le temps de poser la question. Les candidats interrogés l'année dernière et cette année faisaient leur analyse sur des polycopiés (que je vérifiais pour éviter toute fraude).
Je ne connais pas la règle mais la prof de français de mon fils n’a fait acheter AUCUN livre. Toutes les oeuvres étaient disponibles sur Moodle. Imaginez… certains eleves n’ont jamais travaillé sur les textes papier…
Il n'y a pas les droits d'auteur ?
- AlaperneNiveau 5
Nouka a écrit:Alaperne a écrit:Almanae a écrit:Bonjour,
J'ai une petite question mais je ne sais pas si je la pose au bon endroit...
Plusieurs des candidats que j'ai interrogés aux EAF se sont présentés avec des œuvres intégrales ou cursives imprimées (les feuilles étaient sommairement reliées, parfois agrafées, souvent simplement placées dans une chemise en carton).
Ma question est la suivante : a-t-on le droit de faire cela ? Notamment pour des petits recueils comme Les Cahiers de Douai, peut-on se créer notre propre version en PDF et imprimer la vingtaine de textes à nos élèves ? (et ainsi économiser 4€).
Le programme et/ou les textes officiels imposent-ils que les candidats possèdent les huit œuvres obligatoires en format classique / édité ?
J'ai eu la même chose pour la DDFC l'année dernière. Je n'ai jamais eu le temps de poser la question. Les candidats interrogés l'année dernière et cette année faisaient leur analyse sur des polycopiés (que je vérifiais pour éviter toute fraude).
Je ne connais pas la règle mais la prof de français de mon fils n’a fait acheter AUCUN livre. Toutes les oeuvres étaient disponibles sur Moodle. Imaginez… certains eleves n’ont jamais travaillé sur les textes papier…
N'y a-t-il pas les droits d'auteur ?
- AlmanaeNiveau 2
Blondie a écrit:Ils impriment le livre en entier!!!!
Oui absolument, mais ce sont des oeuvres assez courtes (le petit recueil pour RIMBAUD et les chapitres au programme pour RABELAIS).
D'où ma question, est-il autorisé de le faire ?
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- NLM76Grand Maître
Pourquoi cela serait-il interdit ? Il n'y pas de droits d'auteur pour les auteurs tombés dans le domaine public (70 ans après leur mort, en principe).
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- AlaperneNiveau 5
NLM76 a écrit:Pourquoi cela serait-il interdit ? Il n'y pas de droits d'auteur pour les auteurs tombés dans le domaine public (70 ans après leur mort, en principe).
Je ne connais pas les œuvres choisies par notre collègue, mais je pensais particulièrement à celles de Lagarce.
EDIT : J'ai vu que les œuvres présentées étaient celles de Rimbaud et Rabelais.
- NoukaExpert
Blondie a écrit:Et pour l’entretien, ils n’amènent pas le livre?
Moi je lui ai acheté chaque livre mais personne ne l’avait non. La prof ne leur a pas dit qu’ils pouvaient l’avoir le jour de l’oral…
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- NoukaExpert
Alaperne a écrit:NLM76 a écrit:Pourquoi cela serait-il interdit ? Il n'y pas de droits d'auteur pour les auteurs tombés dans le domaine public (70 ans après leur mort, en principe).
Je ne connais pas les œuvres choisies par notre collègue, mais je pensais particulièrement à celles de Lagarce.
EDIT : J'ai vu que les œuvres présentées étaient celles de Rimbaud et Rabelais.
Pour mon fils c’était Rimbaud/Capitale de la douleur, Gouges/La ferme des animaux, Manon Lescaut/Le roman de renart et Moliere/La cantatrice chauve.
Le tout sur Moodle. Elle a proposé Rimbaud et Gouges en version papier pour ceux qui voulaient et c’est tout.
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- AlmanaeNiveau 2
NLM76 a écrit:Pourquoi cela serait-il interdit ? Il n'y pas de droits d'auteur pour les auteurs tombés dans le domaine public (70 ans après leur mort, en principe).
En réalité, je ne parlais pas du cadre légal et des droits. Je voulais plutôt savoir si cela était autorisé par les programmes, par les textes officiels qui régissent les épreuves. Les candidats ont-ils le droit de se présenter avec des impressions "maison" ?
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" Si la route est facile, c'est sûrement parce que tu n'as pas emprunté la bonne " T. Gookind
- NLM76Grand Maître
[quote=Almanae][quote=NLM76]Pourquoi cela serait-il interdit ? Il n'y pas de droits d'auteur pour les auteurs tombés dans le domaine public (70 ans après leur mort, en principe).[/quote]
En réalité, je ne parlais pas du cadre légal et des droits. Je voulais plutôt savoir si cela était autorisé par les programmes, par les textes officiels qui régissent les épreuves. Les candidats ont-ils le droit de se présenter avec des impressions "maison" ? [/quote]
C'est effectivement un problème. Rien ne l'interdit explicitement. Mais l'on pourrait craindre que ce soit une occasion de triche : difficile de contrôler qu'il s'agit bien de l'œuvre elle-même.
En réalité, je ne parlais pas du cadre légal et des droits. Je voulais plutôt savoir si cela était autorisé par les programmes, par les textes officiels qui régissent les épreuves. Les candidats ont-ils le droit de se présenter avec des impressions "maison" ? [/quote]
C'est effectivement un problème. Rien ne l'interdit explicitement. Mais l'on pourrait craindre que ce soit une occasion de triche : difficile de contrôler qu'il s'agit bien de l'œuvre elle-même.
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«Boas ne renonça jamais à la question-clé : quelle est, du point de vue de l'information, la différence entre les procédés grammaticaux observés ? Il n'entendait pas accepter une théorie non sémantique de la structure grammaticale et toute allusion défaitiste à la prétendue obscurité de la notion de sens lui paraissait elle-même obscure et dépourvue de sens.» [Roman Jakobson, Essais de linguistique générale, "La notion de signification grammaticale selon Boas" (1959)]
- AphrodissiaMonarque
A la rentrée, je fournirai la DDFC d'Olympe de Gouges en livret photocopié par le lycée. Mais tous les autres livres seront à acheter.
Dans mon "édition", il n'y a que le texte et un petit paragraphe de présentation.
J'ai voulu faire faire cette petite économie aux élèves d'une part parce que je demande 3 livres un peu plus chers pour la rentrée; d'autre part cela me permettra d'exiger d'eux qu'ils le possèdent et le lisent rapidement. Enfin, c'est un texte qui tient sur 8 pages, je n'ai pas non plus l'impression de ruiner le lycée.
Dans mon "édition", il n'y a que le texte et un petit paragraphe de présentation.
J'ai voulu faire faire cette petite économie aux élèves d'une part parce que je demande 3 livres un peu plus chers pour la rentrée; d'autre part cela me permettra d'exiger d'eux qu'ils le possèdent et le lisent rapidement. Enfin, c'est un texte qui tient sur 8 pages, je n'ai pas non plus l'impression de ruiner le lycée.
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Hominis mens discendo alitur et cogitando. (Cicéron)
Et puis les steaks ? Ça se rate toujours comme la tragédie. Mais à des degrés différents. (M. Duras)
- AlmanaeNiveau 2
Aphrodissia a écrit:A la rentrée, je fournirai la DDFC d'Olympe de Gouges en livret photocopié par le lycée. Mais tous les autres livres seront à acheter.
Dans mon "édition", il n'y a que le texte et un petit paragraphe de présentation.
J'ai voulu faire faire cette petite économie aux élèves d'une part parce que je demande 3 livres un peu plus chers pour la rentrée; d'autre part cela me permettra d'exiger d'eux qu'ils le possèdent et le lisent rapidement. Enfin, c'est un texte qui tient sur 8 pages, je n'ai pas non plus l'impression de ruiner le lycée.
C'est également ma réflexion... Bien que je n'apprécie pas vraiment l'idée (voir ces élèves avec leurs feuilles volantes m'a un peu perturbée ), exceptionnellement j'aurais voulu imprimer par moi-même le recueil Je voudrais pas crever de B. VIAN car la seule édition existante coûte trop cher... ma Direction me l'interdira. Et puis je me dis qu'il ne s'agit que d'une œuvre cursive, les élèves seront sûrement peu nombreux à la choisir.
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" Si la route est facile, c'est sûrement parce que tu n'as pas emprunté la bonne " T. Gookind
- AphrodissiaMonarque
Attention, il y a des règles pour la reproduction des œuvres. La DDFC est libre de droits : est-ce le cas de l'œuvre de Boris Vian? Ensuite, je ne photocopie pas un livre: j'ai préparé mon propre document que je vais faire imprimer en livret agrafé. On ne peut photocopier que 10% d'un livre.Almanae a écrit:Aphrodissia a écrit:A la rentrée, je fournirai la DDFC d'Olympe de Gouges en livret photocopié par le lycée. Mais tous les autres livres seront à acheter.
Dans mon "édition", il n'y a que le texte et un petit paragraphe de présentation.
J'ai voulu faire faire cette petite économie aux élèves d'une part parce que je demande 3 livres un peu plus chers pour la rentrée; d'autre part cela me permettra d'exiger d'eux qu'ils le possèdent et le lisent rapidement. Enfin, c'est un texte qui tient sur 8 pages, je n'ai pas non plus l'impression de ruiner le lycée.
C'est également ma réflexion... Bien que je n'apprécie pas vraiment l'idée (voir ces élèves avec leurs feuilles volantes m'a un peu perturbée ), exceptionnellement j'aurais voulu imprimer par moi-même le recueil Je voudrais pas crever de B. VIAN car la seule édition existante coûte trop cher... ma Direction me l'interdira. Et puis je me dis qu'il ne s'agit que d'une œuvre cursive, les élèves seront sûrement peu nombreux à la choisir.
Pour ce qui est de ta dernière phrase, je ne comprends pas : les lectures cursives sont obligatoires
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Hominis mens discendo alitur et cogitando. (Cicéron)
Et puis les steaks ? Ça se rate toujours comme la tragédie. Mais à des degrés différents. (M. Duras)
- AlmanaeNiveau 2
Aphrodissia a écrit:Attention, il y a des règles pour la reproduction des œuvres. La DDFC est libre de droits : est-ce le cas de l'œuvre de Boris Vian? Ensuite, je ne photocopie pas un livre: j'ai préparé mon propre document que je vais faire imprimer en livret agrafé. On ne peut photocopier que 10% d'un livre.Almanae a écrit:Aphrodissia a écrit:A la rentrée, je fournirai la DDFC d'Olympe de Gouges en livret photocopié par le lycée. Mais tous les autres livres seront à acheter.
Dans mon "édition", il n'y a que le texte et un petit paragraphe de présentation.
J'ai voulu faire faire cette petite économie aux élèves d'une part parce que je demande 3 livres un peu plus chers pour la rentrée; d'autre part cela me permettra d'exiger d'eux qu'ils le possèdent et le lisent rapidement. Enfin, c'est un texte qui tient sur 8 pages, je n'ai pas non plus l'impression de ruiner le lycée.
C'est également ma réflexion... Bien que je n'apprécie pas vraiment l'idée (voir ces élèves avec leurs feuilles volantes m'a un peu perturbée ), exceptionnellement j'aurais voulu imprimer par moi-même le recueil Je voudrais pas crever de B. VIAN car la seule édition existante coûte trop cher... ma Direction me l'interdira. Et puis je me dis qu'il ne s'agit que d'une œuvre cursive, les élèves seront sûrement peu nombreux à la choisir.
Pour ce qui est de ta dernière phrase, je ne comprends pas : les lectures cursives sont obligatoires
Évidemment ; mais ils n'en choisissent qu'une seule à présenter lors de la deuxième partie de l'oral (parmi les 8 oeuvres, 4 OI et 4 LC). Donc ça laisse à mon avis peu d'élèves pour VIAN, qui viendraient éventuellement avec le livret imprimé lors de cette épreuve. Peu importe le support sur lequel ils travaillent au fil de l'année, c'est le jour de l'oral qui me préoccupe là.
Ceci dit, j'ai vu très peu d'élèves se servir de l'oeuvre lors de l'entretien... Ils viennent généralement les mains dans les poches
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- roxanneOracle
Et quand ils l'ont, elle reste fermée. Je n'ai vu qu'une seule utilisation cette année.
- AphrodissiaMonarque
Ah oui, bien sûr !Almanae a écrit:Aphrodissia a écrit:Attention, il y a des règles pour la reproduction des œuvres. La DDFC est libre de droits : est-ce le cas de l'œuvre de Boris Vian? Ensuite, je ne photocopie pas un livre: j'ai préparé mon propre document que je vais faire imprimer en livret agrafé. On ne peut photocopier que 10% d'un livre.Almanae a écrit:Aphrodissia a écrit:A la rentrée, je fournirai la DDFC d'Olympe de Gouges en livret photocopié par le lycée. Mais tous les autres livres seront à acheter.
Dans mon "édition", il n'y a que le texte et un petit paragraphe de présentation.
J'ai voulu faire faire cette petite économie aux élèves d'une part parce que je demande 3 livres un peu plus chers pour la rentrée; d'autre part cela me permettra d'exiger d'eux qu'ils le possèdent et le lisent rapidement. Enfin, c'est un texte qui tient sur 8 pages, je n'ai pas non plus l'impression de ruiner le lycée.
C'est également ma réflexion... Bien que je n'apprécie pas vraiment l'idée (voir ces élèves avec leurs feuilles volantes m'a un peu perturbée ), exceptionnellement j'aurais voulu imprimer par moi-même le recueil Je voudrais pas crever de B. VIAN car la seule édition existante coûte trop cher... ma Direction me l'interdira. Et puis je me dis qu'il ne s'agit que d'une œuvre cursive, les élèves seront sûrement peu nombreux à la choisir.
Pour ce qui est de ta dernière phrase, je ne comprends pas : les lectures cursives sont obligatoires
Évidemment ; mais ils n'en choisissent qu'une seule à présenter lors de la deuxième partie de l'oral (parmi les 8 oeuvres, 4 OI et 4 LC). Donc ça laisse à mon avis peu d'élèves pour VIAN, qui viendraient éventuellement avec le livret imprimé lors de cette épreuve.Peu importe le support sur lequel ils travaillent au fil de l'année, c'est le jour de l'oral qui me préoccupe là.
Ceci dit, j'ai vu très peu d'élèves se servir de l'oeuvre lors de l'entretien... Ils viennent généralement les mains dans les poches
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Hominis mens discendo alitur et cogitando. (Cicéron)
Et puis les steaks ? Ça se rate toujours comme la tragédie. Mais à des degrés différents. (M. Duras)
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