- NLM76Grand Maître
J'ai presque 14 de moyenne. Ces élèves parlaient assez bien le français, avaient assez sérieusement préparé leur oral, même si leurs analyses étaient souvent paraphrastiques, technicistes, avec un propos qui manquait de fermeté, même si ça m'a fait un peu mal de mettre des bonnes notes pour des exposés qui présentaient des oeuvres de niveau 4e (La tresse, Les impatientes ou pire, Zamore et Mirza, par exemple) alors que d'autres s'étaient donné la peine de lire Le maître et Marguerite ou Le comte de Monte Cristo, voire l'intégrale des Rougon-Macquart.
- Une passanteEsprit éclairé
NLM76 a écrit:J'ai presque 14 de moyenne. Ces élèves parlaient assez bien le français, avaient assez sérieusement préparé leur oral, même si leurs analyses étaient souvent paraphrastiques, technicistes, avec un propos qui manquait de fermeté, même si ça m'a fait un peu mal de mettre des bonnes notes pour des exposés qui présentaient des oeuvres de niveau 4e (La tresse, Les impatientes ou pire, Zamore et Mirza, par exemple) alors que d'autres s'étaient donné la peine de lire Le maître et Marguerite ou Le comte de Monte Cristo, voire l'intégrale des Rougon-Macquart.
Je trouve aussi qu'il y a une véritable inégalité entre les œuvres présentées, et pas seulement en terme de niveau / difficulté, mais aussi en terme de longueur. Certains élèves sont allés visiblement au plus court, alors que d'autres ont fait davantage d'efforts.
Mais en sont-ils responsables ?
- Thierry75Niveau 10
NLM76 a écrit:J'ai presque 14 de moyenne. Ces élèves parlaient assez bien le français, avaient assez sérieusement préparé leur oral, même si leurs analyses étaient souvent paraphrastiques, technicistes, avec un propos qui manquait de fermeté, même si ça m'a fait un peu mal de mettre des bonnes notes pour des exposés qui présentaient des oeuvres de niveau 4e (La tresse, Les impatientes ou pire, Zamore et Mirza, par exemple) alors que d'autres s'étaient donné la peine de lire Le maître et Marguerite ou Le comte de Monte Cristo, voire l'intégrale des Rougon-Macquart.
Tu as eu le plaisir, le bonheur d'interroger sur Le Maitre et Marguerite? Parfois, l'entretien sur oeuvre, c'est vraiment bien : le candidat était bon ?
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Le moi est haïssable.
- eliamEsprit éclairé
J'ai mis 1 cette année : un élève qui m'a dit à chaque partie de l'épreuve "je n'ai rien à vous dire. " Il a lu le texte, c'est pour ça que je n'ai pas mis zéro.Tivinou a écrit:Peut-être n'as-tu pas eu d'élève qui se pointe sans savoir qu'il faut faire une explication linéaire et qui te tape un scandale parce que tu lui en donnes une à faire et que lui veut seulement présenter Juste la fin du monde ! On peut descendre plus bas que 5 !PlumeManitoba a écrit:roxanne a écrit:Et ma moyenne chute, chute...
Tu en es à combien?
Je n’ai je pense jamais mis un 5. Avec le barème et la “bienveillance” (grrrr) recommandée ça m’a toujours paru impossible.
- AphrodissiaMonarque
Et il ne l'a même pas bien lu sinon tu lui aurais mis 2.eliam a écrit:J'ai mis 1 cette année : un élève qui m'a dit à chaque partie de l'épreuve "je n'ai rien à vous dire. " Il a lu le texte, c'est pour ça que je n'ai pas mis zéro.Tivinou a écrit:Peut-être n'as-tu pas eu d'élève qui se pointe sans savoir qu'il faut faire une explication linéaire et qui te tape un scandale parce que tu lui en donnes une à faire et que lui veut seulement présenter Juste la fin du monde ! On peut descendre plus bas que 5 !PlumeManitoba a écrit:roxanne a écrit:Et ma moyenne chute, chute...
Tu en es à combien?
Je n’ai je pense jamais mis un 5. Avec le barème et la “bienveillance” (grrrr) recommandée ça m’a toujours paru impossible.
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Hominis mens discendo alitur et cogitando. (Cicéron)
Et puis les steaks ? Ça se rate toujours comme la tragédie. Mais à des degrés différents. (M. Duras)
- NLM76Grand Maître
Oui !Thierry75 a écrit:Tu as eu le plaisir, le bonheur d'interroger sur Le Maitre et Marguerite? Parfois, l'entretien sur oeuvre, c'est vraiment bien : le candidat était bon ?
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Sites du grip :
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Mon site : www.lettresclassiques.fr
«Boas ne renonça jamais à la question-clé : quelle est, du point de vue de l'information, la différence entre les procédés grammaticaux observés ? Il n'entendait pas accepter une théorie non sémantique de la structure grammaticale et toute allusion défaitiste à la prétendue obscurité de la notion de sens lui paraissait elle-même obscure et dépourvue de sens.» [Roman Jakobson, Essais de linguistique générale, "La notion de signification grammaticale selon Boas" (1959)]
- roxanneOracle
Une collègue a interrogé dans le lycée privé côté de la Grande ville. Outre qu'elle y a été reçue avec plateau individuel de petit déjeuner, salade de fruits frais, jus de fruits à volonté toute la journée et repas offert (!!), tous les élèves étaient préparés au cordeau, impeccables dans les temps, entretien ultra formaté mais sans faiblesse. Les notes s'envolent forcément. Moi, c'était bien plus hasardeux, de la paraphrase psychologisante beaucoup, des entretiens où dès que je coupais l'interminable résumé il n'y avait plus grand chose. La moitié ont présenté L'île des Esclaves dans le cadre du parcours " Spectacle et comédie" sans avoir eu la curiosité de voir la pièce parce que "je n'ai pas eu le temps". Bref, que du moyen quoi. J'ai mis deux 20 quand même et ai eu un entretien très intéressant sur Feuillets d'usine que je vais peut-être proposer à mes élèves.
- Spoiler:
- Et en plus, sans rentrer dans les détails, je me suis trouvée mêlée à un mic-mac qui s'est fini par un rapport au rectorat du proviseur (contre l'élève) mais pour lequel j'ai dû témoigner et qui m'a bien occupée.
- OxfordNeoprof expérimenté
Blondie a écrit:Je suis épuisée et j’ai encore une quinzaine de copies à corriger pour demain….. ce n’est pas normal de nous imposer une telle charge de travail!
+ 1
5 jours à 14 candidats et 62 copies, je suis épuisée.
- eliamEsprit éclairé
Moi aussi, j'ai interrogé en lycée privé. La direction était pleine de bonne volonté mais nous n'avons pas eu tout ça. J'ai demandé une bouteille d'eau le premier jour, on m'a répondu qu'il n'y en avait pas. J'ai eu tout de même un pichet et un verre. Ta collègue a eu de la chance.roxanne a écrit:Une collègue a interrogé dans le lycée privé côté de la Grande ville. Outre qu'elle y a été reçue avec plateau individuel de petit déjeuner, salade de fruits frais, jus de fruits à volonté toute la journée et repas offert (!!), tous les élèves étaient préparés au cordeau, impeccables dans les temps, entretien ultra formaté mais sans faiblesse. Les notes s'envolent forcément. Moi, c'était bien plus hasardeux, de la paraphrase psychologisante beaucoup, des entretiens où dès que je coupais l'interminable résumé il n'y avait plus grand chose. La moitié ont présenté L'île des Esclaves dans le cadre du parcours " Spectacle et comédie" sans avoir eu la curiosité de voir la pièce parce que "je n'ai pas eu le temps". Bref, que du moyen quoi. J'ai mis deux 20 quand même et ai eu un entretien très intéressant sur Feuillets d'usine que je vais peut-être proposer à mes élèves.
- Spoiler:
Et en plus, sans rentrer dans les détails, je me suis trouvée mêlée à un mic-mac qui s'est fini par un rapport au rectorat du proviseur (contre l'élève) mais pour lequel j'ai dû témoigner et qui m'a bien occupée.
- roxanneOracle
C'est un lycée très ancien, avec terrain de sport, une institution (dans tous les sens du terme) dans la ville.
- HéloïseNiveau 2
Ma moyenne est d'environ 14 pour l'instant. Elèves très sérieux, qui tiennent tous les durées imparties, entretiens intéressants sur "La Peau de chagrin", "Le Portrait de Dorian Gray", Calvino... Semaine épuisante mais pas désagréable donc !
- eliamEsprit éclairé
Quelle chance ! Moi, j'ai eu quelques candidats intéressants mais la plupart récitent leur EL sans lui donner du sens d'où une pluie de remarques décousues introduites par "on observe" etc. sans que cela serve un quelconque propos sur le texte. En deuxième partie, récitation d'une fiche sans doute piochée sur internet (plusieurs lycée situés dans des villes différentes) les mêmes mots employés qu'on ne sait ni définir ni lier à l'œuvre, ou bien un choix expliqué par une situation personnelle mais en contre-sens avec l'œuvre ou bien encore des candidats qui ont choisi l'OI mais qui ne peuvent rien en dire en dehors de leur cours. Bref, non seulement, j'ai ressenti un profond ennui mais la sensation que ce que nous enseignons et évaluons est dépourvu de sens.
- AscagneGrand sage
J'ai fait passer les oraux en série technologique.
J'ai eu quelques assez bonnes présentations, un peu personnalisées, mais sur 57 candidats, zéro présentation vraiment originale, avec accroche. L'évolution de l'épreuve minorise d'ailleurs cette présentation.
C'est très frustrant de ne pas pouvoir revenir sur l'explication linéaire. L'entretien concernant la cursive/OI est assez rapide mais les instructions données limitent son intérêt.
Je suis pour qu'on revoie le format d'épreuve, notamment en technologique, pour retrouver du sens.
J'ai eu quelques assez bonnes présentations, un peu personnalisées, mais sur 57 candidats, zéro présentation vraiment originale, avec accroche. L'évolution de l'épreuve minorise d'ailleurs cette présentation.
C'est très frustrant de ne pas pouvoir revenir sur l'explication linéaire. L'entretien concernant la cursive/OI est assez rapide mais les instructions données limitent son intérêt.
Je suis pour qu'on revoie le format d'épreuve, notamment en technologique, pour retrouver du sens.
- IllianeExpert
En train d'harmoniser pour l'oral, et je tombe des nues : dans notre académie, les examinateurs doivent "se conformer" à la moyenne académique. Exit donc la règle du "on peut être jusqu'à un point en-dessous de la moyenne académique" (sauf exception - élèves qui n'ont pas composé, copies de moins d'une page), nous devons être PILE à la moyenne académique. Sommes-nous la seule académie avec une règle aussi aberrante ?
- ysabelDevin
NLM76 a écrit:J'ai presque 14 de moyenne. Ces élèves parlaient assez bien le français, avaient assez sérieusement préparé leur oral, même si leurs analyses étaient souvent paraphrastiques, technicistes, avec un propos qui manquait de fermeté, même si ça m'a fait un peu mal de mettre des bonnes notes pour des exposés qui présentaient des oeuvres de niveau 4e (La tresse, Les impatientes ou pire, Zamore et Mirza, par exemple) alors que d'autres s'étaient donné la peine de lire Le maître et Marguerite ou Le comte de Monte Cristo, voire l'intégrale des Rougon-Macquart.
Je n'ai pas fait la moyenne mais comme la note la plus basse que j'ai mise est 9... Ce format d'épreuve fait qu'un élève moyen qui a bossé un peu a au moins 13...
quant aux oeuvres, j suis d'accord ! J'ai honte pour les collègues qui proposent Pourquoi j'ai mangé mon père, Boule de suif et autres à des 1e générales...
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« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- IllianeExpert
De notre, côté, pas de souci pour ceux qui sont largement voire très largement au-dessus de la moyenne académique, on ne change rien ; en revanche tous ceux en-dessous doivent remonter leurs notes de manière à parvenir à la moyenne académique ...
- roxanneOracle
Super. J'ai proposé Boule de Suif ( ou l'Ecume des Jours) en G. Et je me passe de ta honte.
- glucheNiveau 10
Laquelle remonte donc mécaniquement. Quelqu'un pour calculer au bout de combien de temps on attendra 20 à pour tout le monde? Je serais outrée et refuserais catégoriquement de le faire.Illiane a écrit:De notre, côté, pas de souci pour ceux qui sont largement voire très largement au-dessus de la moyenne académique, on ne change rien ; en revanche tous ceux en-dessous doivent remonter leurs notes de manière à parvenir à la moyenne académique ...
J'aime bien proposer aussi une œuvre courte aux élèves (au milieu d'autres choses), ce qui leur permet de faire pour le bac blanc (en avril) le choix de l'oeuvre qu'ils gardent en général pour l'épreuve de fin d'année.roxanne a écrit:Super. J'ai proposé Boule de Suif ( ou l'Ecume des Jours) en G. Et je me passe de ta honte.
- roxanneOracle
Et puis, je ne vois pas bien en quoi faire lire Maupassant devrait être honteux. Bref.
- La BécasseNiveau 3
Bah, c'est très bien Maupassant et je doute qu'il ait écrit pour des quatrièmes ou des troisièmes de toute façon. Oraux finis également en série technologique. J'ai mis rarement en dessous de la moyenne. Quelques très mauvaises notes cependant évidemment. Beaucoup de très bonnes pour des exposés très moyens. Il est assez facile, me semble-t-il d'avoir 8/8 sur la deuxième partie de l'épreuve. Etonnamment, les meilleures présentations que j'ai entendues concernaient Manon Lescault, les moins bonnes sur la Déclaration choisie par des élèves qui ont choisi la brièveté avant toute chose. Beaucoup de Cendrillon tresse et impatientes également.
Comme beaucoup d'entre nous, je pense que ce nouvel oral n'est pas satisfaisant pour un certain nombre de raisons. Mais rien de nouveau sous le soleil...
Comme beaucoup d'entre nous, je pense que ce nouvel oral n'est pas satisfaisant pour un certain nombre de raisons. Mais rien de nouveau sous le soleil...
- OxfordNeoprof expérimenté
roxanne a écrit:Une collègue a interrogé dans le lycée privé côté de la Grande ville. Outre qu'elle y a été reçue avec plateau individuel de petit déjeuner, salade de fruits frais, jus de fruits à volonté toute la journée et repas offert (!!), tous les élèves étaient préparés au cordeau, impeccables dans les temps, entretien ultra formaté mais sans faiblesse. Les notes s'envolent forcément.
Une année j'ai interrogé dans les mêmes conditions, également dans un lycée privé. Les meilleurs oraux de ma carrière !
eliam a écrit:Quelle chance ! Moi, j'ai eu quelques candidats intéressants mais la plupart récitent leur EL sans lui donner du sens d'où une pluie de remarques décousues introduites par "on observe" etc. sans que cela serve un quelconque propos sur le texte. En deuxième partie, récitation d'une fiche sans doute piochée sur internet (plusieurs lycée situés dans des villes différentes) les mêmes mots employés qu'on ne sait ni définir ni lier à l'œuvre, ou bien un choix expliqué par une situation personnelle mais en contre-sens avec l'œuvre ou bien encore des candidats qui ont choisi l'OI mais qui ne peuvent rien en dire en dehors de leur cours. Bref, non seulement, j'ai ressenti un profond ennui mais la sensation que ce que nous enseignons et évaluons est dépourvu de sens.
C'est exactement ce que j'ai connu. D'un ennui abyssal.
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Tutti i ghjorna si n'impara.
- EloahExpert spécialisé
NLM76 a écrit:J'ai presque 14 de moyenne. Ces élèves parlaient assez bien le français, avaient assez sérieusement préparé leur oral, même si leurs analyses étaient souvent paraphrastiques, technicistes, avec un propos qui manquait de fermeté, même si ça m'a fait un peu mal de mettre des bonnes notes pour des exposés qui présentaient des oeuvres de niveau 4e (La tresse, Les impatientes ou pire, Zamore et Mirza, par exemple) alors que d'autres s'étaient donné la peine de lire Le maître et Marguerite ou Le comte de Monte Cristo, voire l'intégrale des Rougon-Macquart.
Je trouve cela profondément injuste car les élèves lisent les œuvres choisies par leur professeur.
- NLM76Grand Maître
Qu'est-ce qui est injuste ? Je crains que tu n'aies mal lu. Les bonnes notes pour des exposés concernant des œuvres de niveau 4e, je les ai mises. Et ça m'a fait mal de les mettre. Tu penses que c'est injuste que ça m'ait fait mal ?Eloah a écrit:NLM76 a écrit:J'ai presque 14 de moyenne. Ces élèves parlaient assez bien le français, avaient assez sérieusement préparé leur oral, même si leurs analyses étaient souvent paraphrastiques, technicistes, avec un propos qui manquait de fermeté, même si ça m'a fait un peu mal de mettre des bonnes notes pour des exposés qui présentaient des oeuvres de niveau 4e (La tresse, Les impatientes ou pire, Zamore et Mirza, par exemple) alors que d'autres s'étaient donné la peine de lire Le maître et Marguerite ou Le comte de Monte Cristo, voire l'intégrale des Rougon-Macquart.
Je trouve cela profondément injuste car les élèves lisent les œuvres choisies par leur professeur.
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Mon site : www.lettresclassiques.fr
«Boas ne renonça jamais à la question-clé : quelle est, du point de vue de l'information, la différence entre les procédés grammaticaux observés ? Il n'entendait pas accepter une théorie non sémantique de la structure grammaticale et toute allusion défaitiste à la prétendue obscurité de la notion de sens lui paraissait elle-même obscure et dépourvue de sens.» [Roman Jakobson, Essais de linguistique générale, "La notion de signification grammaticale selon Boas" (1959)]
- EloahExpert spécialisé
NLM76 a écrit:Qu'est-ce qui est injuste ?Eloah a écrit:NLM76 a écrit:J'ai presque 14 de moyenne. Ces élèves parlaient assez bien le français, avaient assez sérieusement préparé leur oral, même si leurs analyses étaient souvent paraphrastiques, technicistes, avec un propos qui manquait de fermeté, même si ça m'a fait un peu mal de mettre des bonnes notes pour des exposés qui présentaient des oeuvres de niveau 4e (La tresse, Les impatientes ou pire, Zamore et Mirza, par exemple) alors que d'autres s'étaient donné la peine de lire Le maître et Marguerite ou Le comte de Monte Cristo, voire l'intégrale des Rougon-Macquart.
Je trouve cela profondément injuste car les élèves lisent les œuvres choisies par leur professeur.
De juger les élèves en fonction de la difficulté des œuvres qu'ils ont présentées.
- NLM76Grand Maître
J'ai édité ci-dessus.
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Mon site : www.lettresclassiques.fr
«Boas ne renonça jamais à la question-clé : quelle est, du point de vue de l'information, la différence entre les procédés grammaticaux observés ? Il n'entendait pas accepter une théorie non sémantique de la structure grammaticale et toute allusion défaitiste à la prétendue obscurité de la notion de sens lui paraissait elle-même obscure et dépourvue de sens.» [Roman Jakobson, Essais de linguistique générale, "La notion de signification grammaticale selon Boas" (1959)]
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