- val09Neoprof expérimenté
sérafina a écrit:Pierre_au_carré a écrit:sérafina a écrit:comment oser écrire, face au poids des "classiques" ?
Attention, si tu commences à dire des choses comme ça, tu vas finir torturée là !!
Ben non, c'est vrai ! Je t'avais déjà raconté, je crois, ce que je me prends dans la tête de la part des profs (de français avant tout, justement), parce que la litt jeunesse n'est en rien de la littérature, et que c'est limite une honte de s'y adonner...
Ils st jaloux, c'est tout !
- EoleNiveau 9
Il y a longtemps, j'avais pondu un roman d'heroic fantasy sans intérêt, aujourd'hui quelque part dans un recoin de mon disque dur. Sinon, pareil que beaucoup, des histoires plein la tête que j'aimerais avoir le courage et le temps de jeter sur du papier (ou un écran d'ordi).
Mais sur le conseil de Sérafina, je m'y suis remis dernièrement. C'est stimulant et exaltant de s'y remettre, mais c'est vrai que j'avance à pas de tortue pour finir un roman, et je commence à voir, là-bas tout au fond, très loin, la lumière qui m'indique le bout du tunnel.
Mais sur le conseil de Sérafina, je m'y suis remis dernièrement. C'est stimulant et exaltant de s'y remettre, mais c'est vrai que j'avance à pas de tortue pour finir un roman, et je commence à voir, là-bas tout au fond, très loin, la lumière qui m'indique le bout du tunnel.
- LeilEsprit éclairé
Abraxas a écrit:Nulla dies sine linea.
Émile est parmi nous !
Blague à part, te fixes-tu des contraintes pour l'écriture ? Un moment dans la journée ? Une durée bien précise ? Ou bien est-ce plutôt une furieuse envie d'écrire qui te pousse à prendre le stylo / le clavier ?
_________________
http://www.bricabook.fr/
- moonGrand sage
J'écris aussi. Pas tous les jours, en pointillés...Je m'y suis remise il y a quelques années, en même temps que la lecture, parce que j'étouffais...Pour le coup j'ai envoyé valdinguer ma culpabilité face aux grands auteurs! Je griffonne des carnets, et quand je manque d'inspiration, je colorie, je découpe, je colle....Ca, ça a été la première étape. La deuxième a été celle des textes...C'est plus difficile, parce que comme Ornella j'ai des mots plein la tête mais rarement l'énergie de m'arrêter pour écrire...Moi, mon fantasme ce serait une machine à imprimer les idées qu'on a dans la tête, là maintenant, tout de suite!!! J'ai écrit quelques nouvelles, sous l'impulsion d'amis qui écrivent aussi, et pour me motiver j'en ai envoyées à des concours...j'ai même gagné un petit prix...j'étais drôlement fière ce jour là! Mais depuis quelques mois, rien...pourtant c'est toujours dans un coin de ma tête, et de mon ordi, mais cela prend du temps...et en ce moment, ce temps là j'en ai besoin pour d'autres choses...je me dis que ça reviendra. C'est comme pour tout, pour me faire plaisir il faut que je sois à fond dedans, et cet espace je ne peux le prendre que quand je suis seule et que j'ai évacué tous les "il faut que..." du quotidien! Ce qui est sûr, en tout cas, c'est que j'ai besoin de mots dans ma vie!
- PasseroseNeoprof expérimenté
Leil a écrit:Abraxas a écrit:Nulla dies sine linea.
Émile est parmi nous !
Blague à part, te fixes-tu des contraintes pour l'écriture ? Un moment dans la journée ? Une durée bien précise ? Ou bien est-ce plutôt une furieuse envie d'écrire qui te pousse à prendre le stylo / le clavier ?
La question idiote que je me pose aussi, c'est : avec stylo ou sur clavier ?
Vu ce que je tape au kilomètre pour Néoprofs, je ferais peut-être bien d'essayer l'ordi.
- AbraxasDoyen
Leil a écrit:Abraxas a écrit:Nulla dies sine linea.
Émile est parmi nous !
Blague à part, te fixes-tu des contraintes pour l'écriture ? Un moment dans la journée ? Une durée bien précise ? Ou bien est-ce plutôt une furieuse envie d'écrire qui te pousse à prendre le stylo / le clavier ?
J'ai constamment quelque chose à écrire — par obligation. Je suis un professionnel.
Et je me débrouille toujours pour faire d'une obligation un goût.
Donc, je rédige constamment — dans ma tête, souvent, de façon à n'avoir qu'à recopier, si je puis dire, au moment où je m'y mets vraiment.
- AndmaExpert spécialisé
tiens," pierre au carré " ( j'adore ton pseudo.. . ) tu écris quel genre de maths? cela m'intéresse...
j'écris moi aussi, mais pas des maths, bien que cela me trotte un peu...
j'écris des récits, autobiographiques, pour réparer des blessures profondes.
et je vous avoue que ça marche mieux ( chez moi je précise ) que le psy...
une fois que j'ai écrit ce que j'avais sur le coeur, je le relis, je le fais lire à des amies via le net, et ça va mieux, je me sens libérée ensuite.
Moon, je comprends tout à fait ce que tu veux dire.
j'écris moi aussi, mais pas des maths, bien que cela me trotte un peu...
j'écris des récits, autobiographiques, pour réparer des blessures profondes.
et je vous avoue que ça marche mieux ( chez moi je précise ) que le psy...
une fois que j'ai écrit ce que j'avais sur le coeur, je le relis, je le fais lire à des amies via le net, et ça va mieux, je me sens libérée ensuite.
Moon, je comprends tout à fait ce que tu veux dire.
- moonGrand sage
Passerose a écrit:Leil a écrit:Abraxas a écrit:Nulla dies sine linea.
Émile est parmi nous !
Blague à part, te fixes-tu des contraintes pour l'écriture ? Un moment dans la journée ? Une durée bien précise ? Ou bien est-ce plutôt une furieuse envie d'écrire qui te pousse à prendre le stylo / le clavier ?
La question idiote que je me pose aussi, c'est : avec stylo ou sur clavier ?
Vu ce que je tape au kilomètre pour Néoprofs, je ferais peut-être bien d'essayer l'ordi.
Clavier, définitivement! Même si je trouve ça beaucoup plus beau le "je me pose devant un joli cahier, j'écris, je rature...", ça ne marche pas...parce que devant un écran, on écrit, c'est mauvais, on efface, hop, ce n'est plus là. C'est très rassurant pour la plumitive en herbe que je suis!
- Invité31Sage
Pour ma part je suis fétichiste, j'écris avec un beau Pilot sur un Moleskine qui finit par ne plus ressembler à rien tellement je rature.
Ensuite je tape à l'ordinateur en corrigeant en même temps.
Ensuite je tape à l'ordinateur en corrigeant en même temps.
- LeilEsprit éclairé
Abraxas a écrit:J'ai constamment quelque chose à écrire — par obligation. Je suis un professionnel.
Et je me débrouille toujours pour faire d'une obligation un goût.
Donc, je rédige constamment — dans ma tête, souvent, de façon à n'avoir qu'à recopier, si je puis dire, au moment où je m'y mets vraiment.
Du coup, l'écriture n'est jamais fictive, mais elle est toujours une commande d'un tiers ?
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http://www.bricabook.fr/
- PasseroseNeoprof expérimenté
Et là, par exemple, qu'est-ce que je fais ici ?
- AëmielExpert
Pas le temps d'écrire sur papier, d'autant que je tape bp plus vite que je n'écris...
Par contre, je bâtis tout sur des cahiers, post it, morceaux de feuilles, ... Je ne passe à l'ordi qu'une fois le texte préparé et déblayé.
Vous êtes nombreux à être frustrés de ne pas avoir le temps de passer à l'acte d'écrire. Je ne sais pas si ça peut vous aider à vous lancer, mais comme vous tous, je n'ai pas le temps : j'ai deux enfants de 4 et 7 ans, un mari, une grosse maison, mon boulot (il est vrai que j'ai un 15/18è, mais depuis l'année dernière seulement). J'ai juste décidé que je prendrais le temps.
Si vous avez vraiment envie, ne vous laissez pas écraser par le quotidien : on trouve toujours du temps, si on le souhaite. Et ça vaut le coup.
Par contre, je bâtis tout sur des cahiers, post it, morceaux de feuilles, ... Je ne passe à l'ordi qu'une fois le texte préparé et déblayé.
Vous êtes nombreux à être frustrés de ne pas avoir le temps de passer à l'acte d'écrire. Je ne sais pas si ça peut vous aider à vous lancer, mais comme vous tous, je n'ai pas le temps : j'ai deux enfants de 4 et 7 ans, un mari, une grosse maison, mon boulot (il est vrai que j'ai un 15/18è, mais depuis l'année dernière seulement). J'ai juste décidé que je prendrais le temps.
Si vous avez vraiment envie, ne vous laissez pas écraser par le quotidien : on trouve toujours du temps, si on le souhaite. Et ça vaut le coup.
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Auteur
- DwarfVénérable
Certes, mais il y a aussi beaucoup à faire en terme d'à côtés quand on n'a déjà guère de temps à la base! Moi, ce sont les vacances qui me voient généralement reprendre du poil de la bête, comme par hasard.
Quant à l'écrire (au sens sérieux, plein et noble de la chose), il ne se fait chez moi spontanément - et efficacement - que sur le papier : c'est un acte très physique en définitive, à la hauteur de l'enjeu qu'il représente à mes yeux ; je dois retrouver dans mon écriture la force des mots que j'emploie. En revanche, tous mes textes mercenaires (articles, études historiques, cours, pastiches légers en forme d'amusement) trouvent naturellement le chemin du clavier. D'ailleurs, mon Agamemnon fut d'emblée écrit sur feuilles : aveu de ce que j'y mettrais en définitive...
Quant à l'écrire (au sens sérieux, plein et noble de la chose), il ne se fait chez moi spontanément - et efficacement - que sur le papier : c'est un acte très physique en définitive, à la hauteur de l'enjeu qu'il représente à mes yeux ; je dois retrouver dans mon écriture la force des mots que j'emploie. En revanche, tous mes textes mercenaires (articles, études historiques, cours, pastiches légers en forme d'amusement) trouvent naturellement le chemin du clavier. D'ailleurs, mon Agamemnon fut d'emblée écrit sur feuilles : aveu de ce que j'y mettrais en définitive...
- Pierre_au_carréGuide spirituel
marlène.N a écrit:tiens," pierre au carré " ( j'adore ton pseudo.. . ) tu écris quel genre de maths? cela m'intéresse...
Je ne sais pas moi-même définir ce que je fais.
Je rédige du "contenu mathématique" pour l'édition sur papier, sur internet et multimédia.
J'ai travaillé sur un (petit) manuel scolaire qui a arrêté, pour une entreprise qui fait des formations de e-learning (je faisais les textes "bruts" avant qu'ils les scénarisent), Paraschool, des aides pour résoudre les 800 exs chacun de 3 manuels scolaires (pas à la suite !!) pour un éditeur.
J'ai des contacts qui sont en attente et là je suis en train de voir (envoi de CV) pour rédiger dans le domaine des concours de la fonction publique : rédaction de guides/fascicules de préparation ou tout simplement correction de sujets tombés (annales).
Le tout est que les choses s'enchaînent bien et depuis 1 an et demi, c'est le cas. (alors que je ne pensais pas que ça le serait et donc ne pensais pas être auteur la très grande majorité du temps)
Quand tu as des contrats qui "t'occupent" presque 2 mois, il en faut finalement peu pour remplir l'agenda.
- Pierre_au_carréGuide spirituel
Leil a écrit:Abraxas a écrit:J'ai constamment quelque chose à écrire — par obligation. Je suis un professionnel.
Et je me débrouille toujours pour faire d'une obligation un goût.
Donc, je rédige constamment — dans ma tête, souvent, de façon à n'avoir qu'à recopier, si je puis dire, au moment où je m'y mets vraiment.
Du coup, l'écriture n'est jamais fictive, mais elle est toujours une commande d'un tiers ?
Effectivement quand tu as une commande d'un éditeur, en général, pas le temps de flâner...
Dans le cas d'Abraxas, peut-être que la commande le stimule car sinon on n'a pas le même rythme, de soi-même.
J'imagine par contre que le guide sur le Mont Saint Michel qu'il a écrit ne lui a pas été commandé, mais que c'est lui qui l'a présenté ou a présenté l'idée.
- AëmielExpert
Dwarf a écrit:Certes, mais il y a aussi beaucoup à faire en terme d'à côtés quand on n'a déjà guère de temps à la base! Moi, ce sont les vacances qui me voient généralement reprendre du poil de la bête, comme par hasard.
Tu sais Dwarf, je suis vraiment convaincue que le temps, c'est une question de choix. Et curieusement, à l'inverse de toi, c'est pendant les vacances que je suis le moins efficace, parce que je me paie le luxe de traîner (et accessoirement, parce qu'organiser des ateliers pâte à sel/coloriage/vélo/visite du musée d'hist naturelle, ça prend un temps et une énergie considérable ! ).
Nous avons tous une façon différente de fonctionner, sans doute.
_________________
Auteur
- DwarfVénérable
Je ne me trouverai aucune excuse, Séraphina, si j'ai mis la citation de Claudel en signature, ce n'est pas un hasard... Je sais juste une chose : mes écrits les plus nombreux correspondent à mon célibat ou même jusqu'à avant l'arrivée du gnominus maximus. Et professionnellement, je suis à fond (corrections et cie) sans pour autant sacrifier mon rôle de père (et j'ai beaucoup à assumer les jours où je pourrais être libre pour moi-même)... Mais sur le fond, je suis d'accord avec toi!sérafina a écrit:
Tu sais Dwarf, je suis vraiment convaincue que le temps, c'est une question de choix. Et curieusement, à l'inverse de toi, c'est pendant les vacances que je suis le moins efficace, parce que je me paie le luxe de traîner (et accessoirement, parce qu'organiser des ateliers pâte à sel/coloriage/vélo/visite du musée d'hist naturelle, ça prend un temps et une énergie considérable ! ).
Nous avons tous une façon différente de fonctionner, sans doute.
- AbraxasDoyen
Pierre_au_carré a écrit:Leil a écrit:Abraxas a écrit:J'ai constamment quelque chose à écrire — par obligation. Je suis un professionnel.
Et je me débrouille toujours pour faire d'une obligation un goût.
Donc, je rédige constamment — dans ma tête, souvent, de façon à n'avoir qu'à recopier, si je puis dire, au moment où je m'y mets vraiment.
Du coup, l'écriture n'est jamais fictive, mais elle est toujours une commande d'un tiers ?
Effectivement quand tu as une commande d'un éditeur, en général, pas le temps de flâner...
Dans le cas d'Abraxas, peut-être que la commande le stimule car sinon on n'a pas le même rythme, de soi-même.
J'imagine par contre que le guide sur le Mont Saint Michel qu'il a écrit ne lui a pas été commandé, mais que c'est lui qui l'a présenté ou a présenté l'idée.
Pas même.
J'ai eu un coup de fil début juillet. Le patron de Gallimard jeunesse avait rêvé, pendant la nuit, des images "chocolat Poulain" qui dans son enfance (et la mienne) servaient de bons points à l'école. Sur l'une de ces images, il y avait le Mont Saint-Michel. Il est arrivé au bureau à 8 heures en hurlant qu'il voulait, dans un mois, un livre sur le Mont. Le vrai spécialiste du sujet (conservateur du Mont) demandait un an pour le faire. En un mois, il n'y avait que moi. Trois jours au Mont (où je n'étais jamais allé), trois jours de lectures, trois jours d'écriture. Début août, le livre était fini, sorti de presses.
Vendu aujourd'hui à plus de 150 000 exemplaires (sur 17 ou 18 ans, je ne me souviens plus…).
- Pierre_au_carréGuide spirituel
Abraxas a écrit:
Pas même.
J'ai eu un coup de fil début juillet. Le patron de Gallimard jeunesse avait rêvé, pendant la nuit, des images "chocolat Poulain" qui dans son enfance (et la mienne) servaient de bons points à l'école. Sur l'une de ces images, il y avait le Mont Saint-Michel. Il est arrivé au bureau à 8 heures en hurlant qu'il voulait, dans un mois, un livre sur le Mont. Le vrai spécialiste du sujet (conservateur du Mont) demandait un an pour le faire. En un mois, il n'y avait que moi. Trois jours au Mont (où je n'étais jamais allé), trois jours de lectures, trois jours d'écriture. Début août, le livre était fini, sorti de presses.
Vendu aujourd'hui à plus de 150 000 exemplaires (sur 17 ou 18 ans, je ne me souviens plus…).
Vous confirmez donc pour les délais.
Dans mon cas, c'est finalement bien car ça m'impose un rythme (que je serai obligé de tenir de toutes façons).
Ils en deviennent dingues quand ils recherchent un auteur et quand il faut fixer le délai de remise.
Vous appréciiez de le faire, quand même, j'imagine ?
- PasseroseNeoprof expérimenté
J'ai discuté une fois avec un copain cinéaste. Il avait un ami qui avait écrit un petit roman, dans l'air du temps, tombé au bon moment et qui avait bien marché. Quand les éditeurs lui ont demandé le suivant, il a été tétanisé et n'a jamais pu assurer la suite.
Ce copain m'a conseillé de ne jamais éditer un premier roman direct, mais d'attendre d'en avoir plusieurs dans les tiroirs avant de se lancer, pour tenir sur la durée. Ca me paraît crédible.
Ce copain m'a conseillé de ne jamais éditer un premier roman direct, mais d'attendre d'en avoir plusieurs dans les tiroirs avant de se lancer, pour tenir sur la durée. Ca me paraît crédible.
- ysabelDevin
J'écris un peu...
Durant les campagnes électorales auxquelles je participe (municipale, cantonale, legislative) pour un ami. Je suis dans "à la manière de" La Fontaine, Voltaire... pour envoyer des pamphlets et des piques. Mon premier écrit avait d'ailleurs permis de commencer à déstabiliser l'ancien maire. Je dois avouer que ça m'amuse beaucoup.
Je me suis rendue compte que je pouvais écrire sur n'importe quel canevas qu'on me donnait et en me mettant dans la peau de n'importe qui.
quant à l'écriture personnelle, très peu... parfois qq textes poétiques, qq canevas de nouvelles/romans. Sans doute qu'un jour l'envie sera assez importante pour que je me lance vraiment.
Durant les campagnes électorales auxquelles je participe (municipale, cantonale, legislative) pour un ami. Je suis dans "à la manière de" La Fontaine, Voltaire... pour envoyer des pamphlets et des piques. Mon premier écrit avait d'ailleurs permis de commencer à déstabiliser l'ancien maire. Je dois avouer que ça m'amuse beaucoup.
Je me suis rendue compte que je pouvais écrire sur n'importe quel canevas qu'on me donnait et en me mettant dans la peau de n'importe qui.
quant à l'écriture personnelle, très peu... parfois qq textes poétiques, qq canevas de nouvelles/romans. Sans doute qu'un jour l'envie sera assez importante pour que je me lance vraiment.
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« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- AnguaGrand sage
Passerose a écrit:J'ai discuté une fois avec un copain cinéaste. Il avait un ami qui avait écrit un petit roman, dans l'air du temps, tombé au bon moment et qui avait bien marché. Quand les éditeurs lui ont demandé le suivant, il a été tétanisé et n'a jamais pu assurer la suite.
Ce copain m'a conseillé de ne jamais éditer un premier roman direct, mais d'attendre d'en avoir plusieurs dans les tiroirs avant de se lancer, pour tenir sur la durée. Ca me paraît crédible.
Je pense que là... c'est vraiment comme chacun le sent!
- PasseroseNeoprof expérimenté
En fait, je ne veux décourager personne, mais je me demandais si cet avis pouvait être fondé. A moi ça me paraît crédible, mais je ne sais pas si cela correspond à la réalité du monde de l'édition.
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