- TangledingGrand Maître
Les profs en question n'avaient pas la principale qu'ils méritaient par contre. Mais si sa responsabilité n'était pas engagée par la saisie du registre SST, entre autres, le rapport de force lui était probablement très favorable au point de ne pas se soucier de ne pas respecter le droit.
_________________
"Never complain, just fight."
- Plutôt que de se battre pour des miettes et des contraintes:
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- tAoKHabitué du forum
Tangleding a écrit:Pour la plupart des élèves c'est un prof qui sera absent demain. Surtout si ça les fait commencer à 10h, ou terminer à 14h.
La dernière fois que j'ai annoncé à mes élèves que j'allais être absent 2 jours, j'y ai mis les formes :
"J'ai une mauvaise nouvelle à vous annoncer : je serai absent lundi et mardi prochain"
En réponse, j'ai eu droit à une bonne couche d'hypocrisie non dissimulée : "Oh non, ça veut dire qu'on va pas avoir maths ces jours-là " ; "C'est trop dommage" ; "Alors vivement jeudi que vous reveniez".
Ils sont marrants.
- TangledingGrand Maître
@tAoK : je suppose que tu es en lycée ?
Les élèves auxquels j'annonce une absence prévisible n'ont aucun filtre. J'attends toujours la fin de l'heure pour le leur annoncer, de façon à ce que leur exultation ne dérange pas les collègues voisins.
En faisant du rangement je suis tombé sur les bilans du cours de français à distance durant le grand confinement avec deux classes de 5e.
Expérience troublante. Bilan très positif pour les plus faibles et plutôt négatif pour les plus forts. Beaucoup d'élèves faibles qui avaient découvert alors qu'il valait mieux lire le texte pour mieux répondre aux questions...
Quelques satisfactions et quelques regrets/incompréhensions.
Les élèves auxquels j'annonce une absence prévisible n'ont aucun filtre. J'attends toujours la fin de l'heure pour le leur annoncer, de façon à ce que leur exultation ne dérange pas les collègues voisins.
En faisant du rangement je suis tombé sur les bilans du cours de français à distance durant le grand confinement avec deux classes de 5e.
Expérience troublante. Bilan très positif pour les plus faibles et plutôt négatif pour les plus forts. Beaucoup d'élèves faibles qui avaient découvert alors qu'il valait mieux lire le texte pour mieux répondre aux questions...
Quelques satisfactions et quelques regrets/incompréhensions.
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"Never complain, just fight."
- Plutôt que de se battre pour des miettes et des contraintes:
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- Clecle78Bon génie
C'était ily a 30 ans ... Il n'y avait pas ce type de registre je pense. Cette principale avait dépassé l'âge de la retraite mais ne décrochait pas. se baladait en robe de chambre et chaussons dans la cour le matin et geignait en salle des profs qu'elle venait là pour se détendre et qu'on la déprimait avec nos problèmes. Je crois qu'on verrait ça dans un film on ne le croirait pas, et pourtant ... Je n'ai jamais eu de collègues aussi chouettes par contre ! Je les avais mérites, eux !Tangleding a écrit:Les profs en question n'avaient pas la principale qu'ils méritaient par contre. Mais si sa responsabilité n'était pas engagée par la saisie du registre SST, entre autres, le rapport de force lui était probablement très favorable au point de ne pas se soucier de ne pas respecter le droit.
- TailleventFidèle du forum
J'ai eu quelques fois l'occasion de discuter avec d'anciens élèves. C'est assez pertinent parce qu'à ce moment-là, ils sont nettement plus libres de parler.
J'ai plusieurs fois entendu une notion que je trouve intéressante : un bon prof, c'est quelqu'un qui s'implique dans ce qu'il fait. Dit autrement, ils semblent (certains d'entre-eux en tout cas) attendre de nous qu'on y mette les moyens, pas forcément qu'on réussisse (parce que ça, ils ont bien conscience que ça ne dépend pas que de nous).
C'est certes un point de vue d'élèves mais ça me va aussi assez bien en tant qu'enseignant.
J'ai plusieurs fois entendu une notion que je trouve intéressante : un bon prof, c'est quelqu'un qui s'implique dans ce qu'il fait. Dit autrement, ils semblent (certains d'entre-eux en tout cas) attendre de nous qu'on y mette les moyens, pas forcément qu'on réussisse (parce que ça, ils ont bien conscience que ça ne dépend pas que de nous).
C'est certes un point de vue d'élèves mais ça me va aussi assez bien en tant qu'enseignant.
- tAoKHabitué du forum
Non, je suis en collège.Tangleding a écrit:@tAoK : je suppose que tu es en lycée ?
J'ai bien sûr attendu la fin de l'heure, étant donné la manière dont je l'ai annoncé.Tangleding a écrit:Les élèves auxquels j'annonce une absence prévisible n'ont aucun filtre. J'attends toujours la fin de l'heure pour le leur annoncer, de façon à ce que leur exultation ne dérange pas les collègues voisins.
- BaldredSage
Taillevent a écrit:J'ai eu quelques fois l'occasion de discuter avec d'anciens élèves. C'est assez pertinent parce qu'à ce moment-là, ils sont nettement plus libres de parler.
J'ai plusieurs fois entendu une notion que je trouve intéressante : un bon prof, c'est quelqu'un qui s'implique dans ce qu'il fait. Dit autrement, ils semblent (certains d'entre-eux en tout cas) attendre de nous qu'on y mette les moyens, pas forcément qu'on réussisse (parce que ça, ils ont bien conscience que ça ne dépend pas que de nous).
C'est certes un point de vue d'élèves mais ça me va aussi assez bien en tant qu'enseignant.
Pour aller dans ton sens, ce sont souvent les élèves avec lesquels je me suis le plus
- Monsieur PinelNiveau 5
Baldred a écrit:Un bon prof c'est comme la mafia pour un sicilien, ça n'existe pas.
Un bon prof obtient le silence en levant un sourcil.
Un bon prof ( de français) fait rire sa classe pendant son cours sur les PSC circonstancielles de concession.
Un bon prof ( de français ) fait pleurer sa classe en lisant la mort de Gavroche.
Un bon prof a au moins un talent de société : siffler par l'oreille, réciter La chanson du mal aimé en verlan, jongler avec 3 compas, deviner ce que Jean-Guy a dans sa poche le dos tourné, etc...
Un bon prof sait raccourcir le temps.
Un bon prof s'adresse à tout le monde et parle à chacun.
Un bon prof a la politesse de faire grève, d'aller à la pêche, ou d'accompagner la visite de la maison d'arrêt avec les 5B de temps en temps pour libérer des élèves.
Mais surtout un bon prof n'a pas le temps de se demander s'il est bon tant il est taraudé par la crainte d'être un mauvais prof.
Être bon n'est pas un état stable, c'est un perpétuel déséquilibre.
Après avoir lu une telle réponse, je m'abstiens de donner mon avis.
- Catherine93Niveau 5
Bonjour
Parfois, certains retours d'apprentis piquent fortement. Je l'ai vécu il y a 15 jours avec un BTS qui préfère largement les cours d'une collègue en culture générale et expression aux miens. Il m'a reproché de ne faire que des exercices liés à l'écriture personnelle, de ne pas être assez généraliste. Je suis trop méthode, certainement. Ou peut-être pas assez. Je ne l'ai pas mal pris car je sens bien que je tourne en rond dans ma façon d'enseigner.
J'ai fait le choix d'entendre et de m'améliorer, de progresser. Mais enseigner en CFA est de plus en plus dur !
Parfois, certains retours d'apprentis piquent fortement. Je l'ai vécu il y a 15 jours avec un BTS qui préfère largement les cours d'une collègue en culture générale et expression aux miens. Il m'a reproché de ne faire que des exercices liés à l'écriture personnelle, de ne pas être assez généraliste. Je suis trop méthode, certainement. Ou peut-être pas assez. Je ne l'ai pas mal pris car je sens bien que je tourne en rond dans ma façon d'enseigner.
J'ai fait le choix d'entendre et de m'améliorer, de progresser. Mais enseigner en CFA est de plus en plus dur !
- zigmag17Guide spirituel
Catherine93 a écrit:Bonjour
Parfois, certains retours d'apprentis piquent fortement. Je l'ai vécu il y a 15 jours avec un BTS qui préfère largement les cours d'une collègue en culture générale et expression aux miens. Il m'a reproché de ne faire que des exercices liés à l'écriture personnelle, de ne pas être assez généraliste. Je suis trop méthode, certainement. Ou peut-être pas assez. Je ne l'ai pas mal pris car je sens bien que je tourne en rond dans ma façon d'enseigner.
J'ai fait le choix d'entendre et de m'améliorer, de progresser. Mais enseigner en CFA est de plus en plus dur !
Alors les retours d'apprentis, comme les retours d'élèves en formation initiale hein...
Nous sommes profs, pas eux. Nous sommes légitimes à enseigner, pas eux. Leurs avis peuvent éventuellement nous faire réfléchir sur nos méthodes mais au départ c'est à eux de s'y plier.
Les élèves aimeraient du ludique partout, tout le temps. Si c'est un vecteur pour les accrocher, c'est bien. Mais cela ne les dispense pas de réfléchir, d'apprendre, de se creuser la cervelle, de bosser en autonomie, en un mot de travailler et de fournir des efforts, ce qu'ils refusent en général.
La méthodologie et le formalisme, ils en ont besoin. Comment mener un raisonnement si l'on ne sait pas organiser ses idées, ni les développer ?
Ils peuvent toujours se plaindre, l'essentiel est que tu sois sûre de ton enseignement, de ce que tu leur apportes, et s'ils comparent tant pis, c'est de bonne guerre mais à chacun sa pédagogie.
L'an dernier j'avais une classe de term bac pro dont je détestais le mauvais esprit. Je les ai menés à l'examen au forceps ( des cris des larmes du sang, beaucoup de rancœur de leur part mais je n'ai rien lâché).
Verdict: bon d'accord je relativise, les notations étant ce qu'elles sont, mais sur 25 élèves 2 n'ont pas eu la moyenne en français au bac, les autres notes s'échelonnant de 11 à 17 ( j'ai eu accès à leurs notes et j'avoue que j'étais contente)
En début d'année j'ai croisé l'une des élèves de cette classe, en BTS désormais. Elle m'a lâché au détour d'un couloir: "J'ai eu 15 en français à l'examen. On pourra quand même dire que vos cours ont servi à quelque chose ". Voilà le genre de réflexion qu'ils se permettent et ça m'a bien énervée ( je ne l'ai pas pris pour un compliment).
Mais ce qu'ils pensent au fond m'importe peu, ils sont là pour réussir, le reste...
Et en bac pro, pas d'impasse qui tienne, on n'a pas trop le temps pour les fantaisies je trouve.
Après évidemment si les cours se passent dans une atmosphère détendue, c'est bien mieux. Avec les CAP c'est la guéguerre pour les affaires et le comportement, mais les attendus n'étant pas les mêmes ( CCF), je suis beaucoup plus souple avec la manière de faire passer les contenus.
Bref: je crois que s'adapter à son public est nécessaire mais que c'est à nous de décider des ajustements, pas aux élèves.
- lene75Prophète
En effet, il faut se méfier des avis des élèves... qui en plus changent comme des girouettes. Pour mon dernier congé maternité, j'ai été remplacée par un prof absolument génial, que les élèves adoraient, que les collègues des autres disciplines, la PP de la classe, notamment, adoraient (ma collègue de notre discipline était en revanche assez suspicieuse), que les parents adoraient également... tout comme la direction qui trouvait qu'on devrait prendre modèle sur lui pour motiver les élèves. Il a été couvert de cadeaux à son départ. Les élèves étaient dégoûtés qu'il parte. Ils ont fait la misère à celle qui lui a succédé, très rigoureuse et consciencieuse. Quand je suis revenue ça a été un peu tendu quand ils ont découvert que je ressemblais plus à la 2e qu'au 1er, et puis, le bac approchant, ils se sont aperçus qu'ils s'étaient fait avoir et le prof adulé est devenu détesté parce qu'ils ont compris que les débats et le ludique ne leur avaient pas apporté grand chose. Ils ont fini par comprendre que celle qu'ils avaient pourrie était en fait meilleure prof que celui qu'ils avaient adulé. S'il n'y avait pas eu le bac, tout le monde serait resté sur l'idée que celui qui s'était fait aimer des élèves en les distrayant était le meilleur prof, et personne ne se serait aperçu qu'ils n'avaient pas appris grand chose.
- zigmag17Guide spirituel
lene75 a écrit:En effet, il faut se méfier des avis des élèves... qui en plus changent comme des girouettes. Pour mon dernier congé maternité, j'ai été remplacée par un prof absolument génial, que les élèves adoraient, que les collègues des autres disciplines, la PP de la classe, notamment, adoraient (ma collègue de notre discipline était en revanche assez suspicieuse), que les parents adoraient également... tout comme la direction qui trouvait qu'on devrait prendre modèle sur lui pour motiver les élèves. Il a été couvert de cadeaux à son départ. Les élèves étaient dégoûtés qu'il parte. Ils ont fait la misère à celle qui lui a succédé, très rigoureuse et consciencieuse. Quand je suis revenue ça a été un peu tendu quand ils ont découvert que je ressemblais plus à la 2e qu'au 1er, et puis, le bac approchant, ils se sont aperçus qu'ils s'étaient fait avoir et le prof adulé est devenu détesté parce qu'ils ont compris que les débats et le ludique ne leur avaient pas apporté grand chose. Ils ont fini par comprendre que celle qu'ils avaient pourrie était en fait meilleure prof que celui qu'ils avaient adulé. S'il n'y avait pas eu le bac, tout le monde serait resté sur l'idée que celui qui s'était fait aimer des élèves en les distrayant était le meilleur prof, et personne ne se serait aperçu qu'ils n'avaient pas appris grand chose.
Oui c'est ça. C'est pour cela aussi qu'être "installé " dans un établissement est confortable : on peut se référer aux résultats des examens même si les cours n'ont pas l'heur de plaire aux élèves, et ainsi affermir ( et affirmer) notre enseignement ( et notre posture professionnelle).
Dans mes cours, je négocie parfois, pour que les contenus ne deviennent pas un pensum, mais il y a des points dont on ne peut pas faire l'économie. Ce qui est perçu au départ comme une violence par les élèves devient une gratification quand il se rendent compte qu'ils peuvent réussir.
Cela dit c'est différent selon les sections. Avec des bac pro j'ai toujours en filigrane la perspective d'un BTS pour certains et ils peuvent toujours râler, quand il faut se coltiner des textes de haute volée, eh bien il le faut. Et notre rôle étant d'expliquer, en général quand ils quittent le cours, ils ont compris de quoi on parlait.
En CAP, c'est plus fun: le programme s'y prête, et l'approche pédagogique n'est pas la même.
De toute façon le ludique c'est comme tout: si c'est systématique, les élèves finissent par s'en lasser.
De plus ils aiment les défis, et quand c'est trop simple ils décrochent tout autant.
- BlinkarticaNiveau 4
Un bon prof, c'est un non-"mauvais prof". Et c'est plus simple de définir un mauvais prof :
> Selon l'administration, un mauvais prof, c'est un prof qui n'est pas devant ses élèves (en arrêt maladie, en grève, en formation, on s'en fout) et qui rechigne à venir en dehors de ses heures de cours. Un bon prof est donc celui qui assure toutes ses heures et qui se pointe à toutes les réunions.
> Selon les autres collègues, un mauvais prof, c'est un prof qui s'accapare certaines choses (des classes, des salles, des missions) et qui fomente de mauvais coups derrière le dos. Un bon prof est donc celui qui partage ou qui cherche des compromis et sait rester discret par rapport aux autres.
> Selon les parents, un mauvais prof, c'est un prof qui renvoie une image négative de leurs enfants ou qui ne les prépare pas bien aux échéances futures (possibles ou fantasmées). Un bon prof est donc bienveillant, un peu menteur parfois et assure bien le programme.
> Selon la plupart des élèves (expérience du lycée général), un mauvais prof, c'est un prof qui ne gère pas sa classe, qui est injuste, mal organisé, qui note de manière aléatoire, qui est lunatique, qui n'est pas clair dans ses explications et qui navigue à vue aux limites du programme. Un bon prof est donc un prof qui gère sa classe, qui est juste, organisé, qui a une notation avec des critères compréhensibles, qui est gentil (sans être un pote, juste souriant et prévenant), qui est clair dans ses explications et qui permet d'arriver sereinement aux examens finaux.
> Selon une poignée d'élèves qui crient plus forts que les autres, un mauvais prof, c'est un prof présent. Donc un bon prof est un prof absent.
> Selon l'inspecteur, ... je n'en sais rien, je n'en ai jamais vu d'inspecteur !
J'ai bon ?
> Selon l'administration, un mauvais prof, c'est un prof qui n'est pas devant ses élèves (en arrêt maladie, en grève, en formation, on s'en fout) et qui rechigne à venir en dehors de ses heures de cours. Un bon prof est donc celui qui assure toutes ses heures et qui se pointe à toutes les réunions.
> Selon les autres collègues, un mauvais prof, c'est un prof qui s'accapare certaines choses (des classes, des salles, des missions) et qui fomente de mauvais coups derrière le dos. Un bon prof est donc celui qui partage ou qui cherche des compromis et sait rester discret par rapport aux autres.
> Selon les parents, un mauvais prof, c'est un prof qui renvoie une image négative de leurs enfants ou qui ne les prépare pas bien aux échéances futures (possibles ou fantasmées). Un bon prof est donc bienveillant, un peu menteur parfois et assure bien le programme.
> Selon la plupart des élèves (expérience du lycée général), un mauvais prof, c'est un prof qui ne gère pas sa classe, qui est injuste, mal organisé, qui note de manière aléatoire, qui est lunatique, qui n'est pas clair dans ses explications et qui navigue à vue aux limites du programme. Un bon prof est donc un prof qui gère sa classe, qui est juste, organisé, qui a une notation avec des critères compréhensibles, qui est gentil (sans être un pote, juste souriant et prévenant), qui est clair dans ses explications et qui permet d'arriver sereinement aux examens finaux.
> Selon une poignée d'élèves qui crient plus forts que les autres, un mauvais prof, c'est un prof présent. Donc un bon prof est un prof absent.
> Selon l'inspecteur, ... je n'en sais rien, je n'en ai jamais vu d'inspecteur !
J'ai bon ?
- zigmag17Guide spirituel
Blinkartica a écrit:Un bon prof, c'est un non-"mauvais prof". Et c'est plus simple de définir un mauvais prof :
> Selon l'administration, un mauvais prof, c'est un prof qui n'est pas devant ses élèves (en arrêt maladie, en grève, en formation, on s'en fout) et qui rechigne à venir en dehors de ses heures de cours. Un bon prof est donc celui qui assure toutes ses heures et qui se pointe à toutes les réunions.
> Selon les autres collègues, un mauvais prof, c'est un prof qui s'accapare certaines choses (des classes, des salles, des missions) et qui fomente de mauvais coups derrière le dos. Un bon prof est donc celui qui partage ou qui cherche des compromis et sait rester discret par rapport aux autres.
> Selon les parents, un mauvais prof, c'est un prof qui renvoie une image négative de leurs enfants ou qui ne les prépare pas bien aux échéances futures (possibles ou fantasmées). Un bon prof est donc bienveillant, un peu menteur parfois et assure bien le programme.
> Selon la plupart des élèves (expérience du lycée général), un mauvais prof, c'est un prof qui ne gère pas sa classe, qui est injuste, mal organisé, qui note de manière aléatoire, qui est lunatique, qui n'est pas clair dans ses explications et qui navigue à vue aux limites du programme. Un bon prof est donc un prof qui gère sa classe, qui est juste, organisé, qui a une notation avec des critères compréhensibles, qui est gentil (sans être un pote, juste souriant et prévenant), qui est clair dans ses explications et qui permet d'arriver sereinement aux examens finaux.
> Selon une poignée d'élèves qui crient plus forts que les autres, un mauvais prof, c'est un prof présent. Donc un bon prof est un prof absent.
> Selon l'inspecteur, ... je n'en sais rien, je n'en ai jamais vu d'inspecteur !
J'ai bon ?
Ton point 1 est sujet à caution: je dirais au contraire que pour l'administration, le mauvais prof est celui qui ne s'investit pas dans les projets, et ne propose jamais à ses élèves d'activités extérieures à l'établissement.
A contrario, le bon prof est donc celui qui est souvent en sortie et pas dans sa classe.
Pour le reste je suis d'accord!
- CasparProphète
zigmag17 a écrit:Blinkartica a écrit:Un bon prof, c'est un non-"mauvais prof". Et c'est plus simple de définir un mauvais prof :
> Selon l'administration, un mauvais prof, c'est un prof qui n'est pas devant ses élèves (en arrêt maladie, en grève, en formation, on s'en fout) et qui rechigne à venir en dehors de ses heures de cours. Un bon prof est donc celui qui assure toutes ses heures et qui se pointe à toutes les réunions.
> Selon les autres collègues, un mauvais prof, c'est un prof qui s'accapare certaines choses (des classes, des salles, des missions) et qui fomente de mauvais coups derrière le dos. Un bon prof est donc celui qui partage ou qui cherche des compromis et sait rester discret par rapport aux autres.
> Selon les parents, un mauvais prof, c'est un prof qui renvoie une image négative de leurs enfants ou qui ne les prépare pas bien aux échéances futures (possibles ou fantasmées). Un bon prof est donc bienveillant, un peu menteur parfois et assure bien le programme.
> Selon la plupart des élèves (expérience du lycée général), un mauvais prof, c'est un prof qui ne gère pas sa classe, qui est injuste, mal organisé, qui note de manière aléatoire, qui est lunatique, qui n'est pas clair dans ses explications et qui navigue à vue aux limites du programme. Un bon prof est donc un prof qui gère sa classe, qui est juste, organisé, qui a une notation avec des critères compréhensibles, qui est gentil (sans être un pote, juste souriant et prévenant), qui est clair dans ses explications et qui permet d'arriver sereinement aux examens finaux.
> Selon une poignée d'élèves qui crient plus forts que les autres, un mauvais prof, c'est un prof présent. Donc un bon prof est un prof absent.
> Selon l'inspecteur, ... je n'en sais rien, je n'en ai jamais vu d'inspecteur !
J'ai bon ?
Ton point 1 est sujet à caution: je dirais au contraire que pour l'administration, le mauvais prof est celui qui ne s'investit pas dans les projets, et ne propose jamais à ses élèves d'activités extérieures à l'établissement.
A contrario, le bon prof est donc celui qui est souvent en sortie et pas dans sa classe.
Pour le reste je suis d'accord!
Oui, car "faire cours n'est plus notre cœur de métier" (dixit un cde).
Mes élèves ont plutôt le sourire quand ils arrivent dans mon cours, je me dis donc que ça va à peu près, c'est un critère comme un autre (et on se rassure comme on peut).
- LeclochardEmpereur
Tangleding a écrit:Les profils Hatier existent encore et les lycéens CSP+ les pratiquent assidûment, je voyais souvent des lycéens et lycéennes chercher leur bonheur à l'étage du Gibert de Versailles. A chaque fois j'ai envie de leur dire : "Ne prenez pas les profils, c'est très mauvais, prenez plutôt les balises Nathan !"... Mais je me retiens car je veille sur le stock de Balises d'occasion, non rééditées, pour mon propre usage de pédagogue... Ah ah...
Sur le fond... Je ne me focalise pas sur celles et ceux que tu nommes survivant•es et qui sont plutôt selon moi les gagnant•es ou du moins les bénéficiaires. La situation des autres me désespère, si cela peut te rassurer. Mais avoir le diagnostic juste est un premier pas pour essayer de trouver des solutions. Et casser ce qui fonctionne n'améliore pas ce qui ne fonctionne pas. A moins de suivre un plan établi pour que ce qui ne fonctionne pas fonctionne et que ce qui fonctionnait déjà fonctionne mieux.
Les autres en général sont bien cabossés, perclus de lacunes scolaires et notamment méthodologiques, mais en général tout ce qu'on fait et est censé faire en classe leur reste potentiellement accessible. Une très large part en tout cas, dans notre matière du moins.
La paresse, on est tous paresseux face à ce qui est insurmontable pour nous. Je ne pense pas que la paresse soit le cœur du sujet.
La question est plutôt de quoi avons nous besoin pour que les élèves en échec puissent surmonter avec notre aide les difficultés qui leur semblent insurmontables.
Le gros des difficultés a une source scolaire car cela concerne des méthodes scolaires que certains maîtrisent déjà parfaitement et d'autres absolument pas.
Je sais bien que je leur répète cent mille fois qu'il faut lire ce RTFM texte avant de répondre aux questions, mais peut-être que ce n'est pas la bonne façon de le leur faire comprendre...
La question c'est de nous donner les moyens et les temps de les faire acquérir à tous.
Penser que le problème vient des jeux vidéo ou d'internet n'a aucun intérêt, même si c'était vrai, car il n'est pas en notre pouvoir d'abolir les jeux vidéos ou Internet.
Si les élèves en échec avaient le sentiment de pouvoir réussir à l'école comme ils réussissent peut-être dans leurs jeux vidéo, ils s'arrangeraient pour réussir aussi à l'école, c'est plus valorisant que de collectionner les croix dans le carnet "à la base".
Par expérience, je sais que la plupart des élèves qui ne lisent pas ne le font pas parce qu'ils éprouvent cette activité comme "insurmontable" mais parce qu'ils pensent qu'ils n'en tireront pas a priori de plaisir, qu'elle leur demandera trop de temps ou d'efforts, tout simplement. Pour le dire autrement, ils ont mieux à faire. Lire, c'est une activité exigeante au moins en temps. Après il y a toujours des cas particuliers d'extrêmes mauvais lecteurs. Mais ce sont des cas marginaux. Attention à l'angélisme.
Si, si... savoir qu'une partie du problème vient des écrans est très intéressant. On propose tous les ans un débat avec les élèves de 6ème dans mon collège. C'est très instructif de voir les différentes pratiques familiales -cela de la quasi interdiction hors vacances au laisser-aller total. Je te laisse deviner dans quelle catégorie se trouvent les élèves qui ont les plus gros problèmes de comportements. Parfois on voit des situations ahurissantes qui confinent à la maltraitance. Il faut bien que la cpe, l'infirmière etc soient au courant. Je te concède que toi, tout seul, tu ne pourras pas faire grand'chose. On n'est pas dans L'Instit. Mais des associations existent pour les parents.
Sans aucun doute qu'il faudrait plus de moyens, ne serait-ce qu'un nombre supérieur d'heures en français. Sachant que cela ne suffira pas à sauver nos cas les plus lourds.
_________________
Quelqu'un s'assoit à l'ombre aujourd'hui parce que quelqu'un d'autre a planté un arbre il y a longtemps. (W.B)
- zigmag17Guide spirituel
Caspar a écrit:zigmag17 a écrit:Blinkartica a écrit:Un bon prof, c'est un non-"mauvais prof". Et c'est plus simple de définir un mauvais prof :
> Selon l'administration, un mauvais prof, c'est un prof qui n'est pas devant ses élèves (en arrêt maladie, en grève, en formation, on s'en fout) et qui rechigne à venir en dehors de ses heures de cours. Un bon prof est donc celui qui assure toutes ses heures et qui se pointe à toutes les réunions.
> Selon les autres collègues, un mauvais prof, c'est un prof qui s'accapare certaines choses (des classes, des salles, des missions) et qui fomente de mauvais coups derrière le dos. Un bon prof est donc celui qui partage ou qui cherche des compromis et sait rester discret par rapport aux autres.
> Selon les parents, un mauvais prof, c'est un prof qui renvoie une image négative de leurs enfants ou qui ne les prépare pas bien aux échéances futures (possibles ou fantasmées). Un bon prof est donc bienveillant, un peu menteur parfois et assure bien le programme.
> Selon la plupart des élèves (expérience du lycée général), un mauvais prof, c'est un prof qui ne gère pas sa classe, qui est injuste, mal organisé, qui note de manière aléatoire, qui est lunatique, qui n'est pas clair dans ses explications et qui navigue à vue aux limites du programme. Un bon prof est donc un prof qui gère sa classe, qui est juste, organisé, qui a une notation avec des critères compréhensibles, qui est gentil (sans être un pote, juste souriant et prévenant), qui est clair dans ses explications et qui permet d'arriver sereinement aux examens finaux.
> Selon une poignée d'élèves qui crient plus forts que les autres, un mauvais prof, c'est un prof présent. Donc un bon prof est un prof absent.
> Selon l'inspecteur, ... je n'en sais rien, je n'en ai jamais vu d'inspecteur !
J'ai bon ?
Ton point 1 est sujet à caution: je dirais au contraire que pour l'administration, le mauvais prof est celui qui ne s'investit pas dans les projets, et ne propose jamais à ses élèves d'activités extérieures à l'établissement.
A contrario, le bon prof est donc celui qui est souvent en sortie et pas dans sa classe.
Pour le reste je suis d'accord!
Oui, car "faire cours n'est plus notre cœur de métier" (dixit un cde).
Mes élèves ont plutôt le sourire quand ils arrivent dans mon cours, je me dis donc que ça va à peu près, c'est un critère comme un autre (et on se rassure comme on peut).
Les miens ont le sourire parfois parce qu'ils pensent déjà dans le couloir aux bêtises qu'ils vont pouvoir ( essayer de) faire en classe. Cf le concours : "Ne pas s'asseoir en cours". Ca ne m'a pas fait rire. Et je ne leur ai pas demandé ce qu'ils pensaient de mes cours, par ailleurs. Prudence est mère de ( relative) sûreté !
- tAoKHabitué du forum
zigmag17 a écrit:
Les miens ont le sourire parfois parce qu'ils pensent déjà dans le couloir aux bêtises qu'ils vont pouvoir ( essayer de) faire en classe. Cf le concours : "Ne pas s'asseoir en cours". Ca ne m'a pas fait rire. Et je ne leur ai pas demandé ce qu'ils pensaient de mes cours, par ailleurs. Prudence est mère de ( relative) sûreté !
Idem, s'ils ont le sourire, c'est signe qu'ils faut se méfier.
La probabilité qu'ils tentent une connerie est bien plus importante que la probabilité qu'ils se sentent épanouis en cours de maths.
- zigmag17Guide spirituel
tAoK a écrit:zigmag17 a écrit:
Les miens ont le sourire parfois parce qu'ils pensent déjà dans le couloir aux bêtises qu'ils vont pouvoir ( essayer de) faire en classe. Cf le concours : "Ne pas s'asseoir en cours". Ca ne m'a pas fait rire. Et je ne leur ai pas demandé ce qu'ils pensaient de mes cours, par ailleurs. Prudence est mère de ( relative) sûreté !
Idem, s'ils ont le sourire, c'est signe qu'ils faut se méfier.
La probabilité qu'ils tentent une connerie est bien plus importante que la probabilité qu'ils se sentent épanouis en cours de maths.
Yes!!! Fourbes et farceurs en même temps, un joyeux cocktail !!!
Ne soyons pas mesquins tout de même et reconnaissons à certains une certaine aménité et une réelle envie de venir en cours! J'ai un petit fan-club en CAP, c'est sympa! Et j'en profite car ça risque de ne pas durer!
Mais pour la plupart, le cours est à priori un terrain de jeux toujours renouvelé !
- CasparProphète
Les sourires dont je parle sont plutôt sympathiques. Mes élèves ne sont pas des anges mais globalement le lycée est calme.
- zigmag17Guide spirituel
Caspar a écrit:Les sourires dont je parle sont plutôt sympathiques. Mes élèves ne sont pas des anges mais globalement le lycée est calme.
J'en reçois aussi, heureusement ! C'est ce que je disais au-dessus. Mais je dois reconnaître que parfois c'est sportif et que cette sportivité se devine très vite dans les expressions qu'arborent certains élèves dans le couloir. Après, à nous de contrer l'offensive!(à malin, malin et demi!! ).
- ReyzundNiveau 6
Bonjour,
J'ouvre un sujet de discussion concernant les pratiques qui font de nous de " mauvais profs".
Je m'explique : y a quelques jours, une collègue (qui se faisait bordeliser en début de carrière) m'a dit " tu es mauvais prof si tu vires trop d'élèves" après que j'ai expliqué qu'on m'avait reproché d'avoir exclu une élève qui manquait de respect envers moi et la classe.
Cette même collègue a tenu le discours du " en général tu es mauvais prof si tu mets trop d'observations dans le carnet" l'an dernier.
Face à ce genre de constat, difficile de savoir quelles sont les bonnes pratiques et les mauvaises.
Quid de vos avis ?
Bonne journée à vous.
J'ouvre un sujet de discussion concernant les pratiques qui font de nous de " mauvais profs".
Je m'explique : y a quelques jours, une collègue (qui se faisait bordeliser en début de carrière) m'a dit " tu es mauvais prof si tu vires trop d'élèves" après que j'ai expliqué qu'on m'avait reproché d'avoir exclu une élève qui manquait de respect envers moi et la classe.
Cette même collègue a tenu le discours du " en général tu es mauvais prof si tu mets trop d'observations dans le carnet" l'an dernier.
Face à ce genre de constat, difficile de savoir quelles sont les bonnes pratiques et les mauvaises.
Quid de vos avis ?
Bonne journée à vous.
- EnilaNiveau 4
Je pense que virer un élève n'est pas synonyme de mauvais professeur. Bien sûr ce n'est pas une technique dont il faut abuser, elle doit être le dernier recours si rien d'autre ne marche ...
Pour les mots dans le carnet, je suppose qu'elle fait un lien entre la discipline et les mots - pas besoin de mettre de mots si tu sais "les tenir". Je vois la logique derrière, d'un autre coté il faut qu'il y ait une conséquence pour un mauvais comportement répété. Au bout de deux ou trois reprises, personnellement je prend le carnet et je met un mot. Si le comportement persiste et que les mots ne font rien, heure de colle. Le carnet de liaison est un outil, il faut s'en servir.
Pour les mots dans le carnet, je suppose qu'elle fait un lien entre la discipline et les mots - pas besoin de mettre de mots si tu sais "les tenir". Je vois la logique derrière, d'un autre coté il faut qu'il y ait une conséquence pour un mauvais comportement répété. Au bout de deux ou trois reprises, personnellement je prend le carnet et je met un mot. Si le comportement persiste et que les mots ne font rien, heure de colle. Le carnet de liaison est un outil, il faut s'en servir.
- ReyzundNiveau 6
Enila a écrit:
Pour les mots dans le carnet, je suppose qu'elle fait un lien entre la discipline et les mots - pas besoin de mettre de mots si tu sais "les tenir". Je vois la logique derrière, d'un autre coté il faut qu'il y ait une conséquence pour un mauvais comportement répété. Au bout de deux ou trois reprises, personnellement je prend le carnet et je met un mot. Si le comportement persiste et que les mots ne font rien, heure de colle. Le carnet de liaison est un outil, il faut s'en servir.
On est d'accord. Perso avant l'heure de colle (sauf si je sais que ça ne va aboutir à rien) j'appelle les parents.
Ceci dit je remarque que l'appel aux parents est de moins en moins efficace avec des parents qui ne cessent de remettre en question les décisions pédagogiques de l'enseignant.
- BaldredSage
Reyzund a écrit:Bonjour,
J'ouvre un sujet de discussion concernant les pratiques qui font de nous de " mauvais profs".
Je m'explique : y a quelques jours, une collègue (qui se faisait bordeliser en début de carrière) m'a dit " tu es mauvais prof si tu vires trop d'élèves" après que j'ai expliqué qu'on m'avait reproché d'avoir exclu une élève qui manquait de respect envers moi et la classe.
Cette même collègue a tenu le discours du " en général tu es mauvais prof si tu mets trop d'observations dans le carnet" l'an dernier.
Face à ce genre de constat, difficile de savoir quelles sont les bonnes pratiques et les mauvaises.
Quid de vos avis ?
Bonne journée à vous.
Ne parle plus à cette collègue.
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