- NLM76Grand Maître
Comme l'année dernière j'ai tâtonné en HLP, j'ai eu envie de rédiger un peu mon cours, peut-être afin d'avoir plus de temps pour faire rédiger à leur tour les élèves, peut-être aussi pour les aider davantage à avoir un contenu tangible à étudier, à apprendre.
En plus, cela me permet de vous — à vous, professeurs de lettres ou de philosophie — le soumettre, pour essuyer vos critiques, afin de le peaufiner un peu avant de me lancer. Et puis cela pourra être utile à d'autres :
En plus, cela me permet de vous — à vous, professeurs de lettres ou de philosophie — le soumettre, pour essuyer vos critiques, afin de le peaufiner un peu avant de me lancer. Et puis cela pourra être utile à d'autres :
- https://www.lettresclassiques.fr/2022/09/05/parole-et-parabole/
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Sites du grip :
- http://instruire.fr
- http://grip-editions.fr
Mon site : www.lettresclassiques.fr
«Boas ne renonça jamais à la question-clé : quelle est, du point de vue de l'information, la différence entre les procédés grammaticaux observés ? Il n'entendait pas accepter une théorie non sémantique de la structure grammaticale et toute allusion défaitiste à la prétendue obscurité de la notion de sens lui paraissait elle-même obscure et dépourvue de sens.» [Roman Jakobson, Essais de linguistique générale, "La notion de signification grammaticale selon Boas" (1959)]
- IphigénieProphète
C'est une parabole très macronnienne, non?
ce sera ma seule participation, n'ayant pas de compétences dans ce domaine.
mais c'est très intéressant!
ce sera ma seule participation, n'ayant pas de compétences dans ce domaine.
mais c'est très intéressant!
- MinerveNiveau 4
Belle parabole, qui, s'ils la comprennent, devrait leur faire redouter les ténèbres ... Espérons que cela crée des vocations et qu'ils "travaillent" les "talents" que nous leur confions en HLP (notamment ...)
Pour les introduire à ce thème, pour donner d'autres idées, je pars de l'étymologie d'enfant, et aborde la parole comme incursion dans le monde, via le culturel, et la responsabilité que cela induit ... Dans mon lycée, le choix qui est le tien serait sans doute perçu comme insuffisamment conforme à la charte de la laïcité, par les collègues en premier lieu ... J'en reste pour cela à l'ancien testament qui est plus "multi-culturel".
Pourrais-tu nous dire ce qu'il en est de la réception d'une telle introduction à la HLP lorsque le recul sera suffisant ?
Pour les introduire à ce thème, pour donner d'autres idées, je pars de l'étymologie d'enfant, et aborde la parole comme incursion dans le monde, via le culturel, et la responsabilité que cela induit ... Dans mon lycée, le choix qui est le tien serait sans doute perçu comme insuffisamment conforme à la charte de la laïcité, par les collègues en premier lieu ... J'en reste pour cela à l'ancien testament qui est plus "multi-culturel".
Pourrais-tu nous dire ce qu'il en est de la réception d'une telle introduction à la HLP lorsque le recul sera suffisant ?
- NLM76Grand Maître
Et que dis-tu de la question "philosophique" que j'ai posée ? L'est-elle selon toi, philosophique ?
Je ne vois pas bien le problème avec la laïcité. Quel pourrait-il être ? Faudrait-il mettre une note qui préciserait l'optique dans laquelle ce texte est étudié ?
Le fait de placer à sa suite un extrait d'Eschyle, où Atossa raconte son prémonitoire rêve permettrait peut-être de donner à voir que cette optique est littéraire et anthropologique, et non pas catéchétique ?
Je ne vois pas bien le problème avec la laïcité. Quel pourrait-il être ? Faudrait-il mettre une note qui préciserait l'optique dans laquelle ce texte est étudié ?
Le fait de placer à sa suite un extrait d'Eschyle, où Atossa raconte son prémonitoire rêve permettrait peut-être de donner à voir que cette optique est littéraire et anthropologique, et non pas catéchétique ?
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- MinerveNiveau 4
Pour le rapport à la laïcité, je suis toujours confronté à des personnes (élèves comme adultes) qui pensent que c'est soit l'occasion de valoriser une religion ou une autre (pour les anti ...), soit que l'aborder de manière culturelle est blasphématoire (pour les pro ...).
Ta seconde question me semble plus technique que philosophique, mais est-il pertinent de formuler des questions réellement philosophiques dès le début de la première ..?
Je pense que j'aurai spontanément (mais tout dépend de la trajectoire qui sera la tienne par la suite) posé une question qui les guide un peu plus vers une approche (qu'ils confirment ou non par leur réflexion). Par exemple (et à chaud !) : Dans la mesure où la parabole nécessite un effort de compréhension, et appelle ainsi une implication et une interprétation (jugement) de la part de l'auditeur, est-ce que la parabole donne plus d'autorité à la parole ? (Rq1 : Le concept d'autorité n'est ni trivial ni univoque ... ; Rq2: La question que tu poses est redoutable car elle est difficile en elle-même mais également parce qu'elle est "parole d'évangile" ... sauf à faire du nouveau testament un travail de propagande ou de communication pour convaincre ...)
Ces remarques étant faites, je trouve ton approche très intéressante et porteuse à la fois pour le thème mais également de manière plus générale pour les introduire à ce que l'on attend d'eux en HLP.
Ta seconde question me semble plus technique que philosophique, mais est-il pertinent de formuler des questions réellement philosophiques dès le début de la première ..?
Je pense que j'aurai spontanément (mais tout dépend de la trajectoire qui sera la tienne par la suite) posé une question qui les guide un peu plus vers une approche (qu'ils confirment ou non par leur réflexion). Par exemple (et à chaud !) : Dans la mesure où la parabole nécessite un effort de compréhension, et appelle ainsi une implication et une interprétation (jugement) de la part de l'auditeur, est-ce que la parabole donne plus d'autorité à la parole ? (Rq1 : Le concept d'autorité n'est ni trivial ni univoque ... ; Rq2: La question que tu poses est redoutable car elle est difficile en elle-même mais également parce qu'elle est "parole d'évangile" ... sauf à faire du nouveau testament un travail de propagande ou de communication pour convaincre ...)
Ces remarques étant faites, je trouve ton approche très intéressante et porteuse à la fois pour le thème mais également de manière plus générale pour les introduire à ce que l'on attend d'eux en HLP.
- NLM76Grand Maître
Merci beaucoup pour tes remarques !
En fait, je me disais que je ne ferais pas travailler les questions philosophiques, et que de toutes les façons, je laisserais ça au collègue de philosophie. Mais je me suis amusé à présenter l'affaire comme dans les défuntes "épreuves communes" et comme au bac. Alors je me suis lancé en candide dans la rédaction d'une question qui me paraissait intéressante en soi — mais effectivement terriblement complexe.
L'autre idée, ce serait (en particulier pour mon domaine, littéraire), ce serait de les inviter à commencer à s'exprimer sur le sujet, d'une façon très libre et très brève, à ébaucher des réflexions, des questions, en quelques phrases.
Quoi qu'il en soit, effectivement, cette question-là ne saurait être traitée sans qu'on ait au préalable travaillé ensemble la question de l'autorité. En fait, je pourrais éventuellement l'utiliser pour y répondre moi-même, en commençant par étudier la notion d'autorité.
Voyez-vous d'autres précautions à prendre du côté quant à la nécessaire laïcité de l'enseignement ? Ecarter d'emblée l'étude d'un tel texte me paraît vraiment difficile, en tant que professeur de français, et donc de vocabulaire : c'est LE texte qui explique l'origine du sens du mot "talent" dans notre langue.
D'autre part, même si je dois reconnaître que l'an dernier, je n'en ai pas parlé, il me paraît difficile, en Humanités, de parler de "la parole" sans parler de la place du λόγος, du verbum, et donc aussi avec une majuscule, dans le christianisme.
En fait, je me disais que je ne ferais pas travailler les questions philosophiques, et que de toutes les façons, je laisserais ça au collègue de philosophie. Mais je me suis amusé à présenter l'affaire comme dans les défuntes "épreuves communes" et comme au bac. Alors je me suis lancé en candide dans la rédaction d'une question qui me paraissait intéressante en soi — mais effectivement terriblement complexe.
L'autre idée, ce serait (en particulier pour mon domaine, littéraire), ce serait de les inviter à commencer à s'exprimer sur le sujet, d'une façon très libre et très brève, à ébaucher des réflexions, des questions, en quelques phrases.
Quoi qu'il en soit, effectivement, cette question-là ne saurait être traitée sans qu'on ait au préalable travaillé ensemble la question de l'autorité. En fait, je pourrais éventuellement l'utiliser pour y répondre moi-même, en commençant par étudier la notion d'autorité.
Voyez-vous d'autres précautions à prendre du côté quant à la nécessaire laïcité de l'enseignement ? Ecarter d'emblée l'étude d'un tel texte me paraît vraiment difficile, en tant que professeur de français, et donc de vocabulaire : c'est LE texte qui explique l'origine du sens du mot "talent" dans notre langue.
D'autre part, même si je dois reconnaître que l'an dernier, je n'en ai pas parlé, il me paraît difficile, en Humanités, de parler de "la parole" sans parler de la place du λόγος, du verbum, et donc aussi avec une majuscule, dans le christianisme.
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«Boas ne renonça jamais à la question-clé : quelle est, du point de vue de l'information, la différence entre les procédés grammaticaux observés ? Il n'entendait pas accepter une théorie non sémantique de la structure grammaticale et toute allusion défaitiste à la prétendue obscurité de la notion de sens lui paraissait elle-même obscure et dépourvue de sens.» [Roman Jakobson, Essais de linguistique générale, "La notion de signification grammaticale selon Boas" (1959)]
- MinerveNiveau 4
Si tu as la chance d'avoir un binôme sur lequel tu peux te reposer pour sa partie, c'est une chance et il faut en profiter pour se faire plaisir avec des incursions dans son domaine. J'ai eu la chance de toujours tomber sur des collègues avec qui l'on s'est merveilleusement entendus, et complétés, et c'est toujours un plaisir d'empiéter en candide sur leurs plates-bandes (ils en font autant avec beaucoup de satisfaction et c'est très bien pour tout le monde, élèves en premier).
Pour ce qui est de l'épineux problème de la laïcité et du choix des textes, je te signale simplement des risques possibles (puisque je les ai vécus !) ; néanmoins je ne m'attache pas à ces remarques et fait ce qui me semble pertinent pour le cours et les élèves. Si l'on ajoute à la laïcité le problème des auteurs misogynes, esclavagistes, racistes, ou tout ce qui dans leurs textes ou biographies peut faire bondir certains contemporains, il ne reste plus que le bulletin officiel et le règlement intérieur (si l'on n'est pas trop à cheval sur la rigueur grammaticale et le style ...) !
Je te rejoins sur la nécessité d'intégrer à nos cours des aspects qui, par ailleurs, peuvent relever de domaines qui ne sont pas les nôtres ; je leur précise que je ne fais ni théologie, ni catéchisme, ni militantisme d'aucune sorte, et que nous prenons les textes comme des unités culturelles qui ont un sens. C'est à ce titre que nous les abordons, et je laisse à leur conscience le soin de se positionner pour eux-mêmes, in petto.
J'ai pu constater, il y a deux ans, que le fait que l'un des élèves l'ai noté, m'a évité bien des problèmes face à des parents un peu tatillons quand à ces questions ; c'est comme pour le reste, quand on prend les précautions d'usage (celles qui évitent toute polémique), l'administration est très solidaire. J'ai aussi la chance d'avoir un référent laïcité à qui j'ai fait une passe à l'aile et qui s'en est débrouillé ...
Mais peut-être es-tu dans un lycée qui est plus paisible sur ces questions là ...
Pour ce qui est de l'épineux problème de la laïcité et du choix des textes, je te signale simplement des risques possibles (puisque je les ai vécus !) ; néanmoins je ne m'attache pas à ces remarques et fait ce qui me semble pertinent pour le cours et les élèves. Si l'on ajoute à la laïcité le problème des auteurs misogynes, esclavagistes, racistes, ou tout ce qui dans leurs textes ou biographies peut faire bondir certains contemporains, il ne reste plus que le bulletin officiel et le règlement intérieur (si l'on n'est pas trop à cheval sur la rigueur grammaticale et le style ...) !
Je te rejoins sur la nécessité d'intégrer à nos cours des aspects qui, par ailleurs, peuvent relever de domaines qui ne sont pas les nôtres ; je leur précise que je ne fais ni théologie, ni catéchisme, ni militantisme d'aucune sorte, et que nous prenons les textes comme des unités culturelles qui ont un sens. C'est à ce titre que nous les abordons, et je laisse à leur conscience le soin de se positionner pour eux-mêmes, in petto.
J'ai pu constater, il y a deux ans, que le fait que l'un des élèves l'ai noté, m'a évité bien des problèmes face à des parents un peu tatillons quand à ces questions ; c'est comme pour le reste, quand on prend les précautions d'usage (celles qui évitent toute polémique), l'administration est très solidaire. J'ai aussi la chance d'avoir un référent laïcité à qui j'ai fait une passe à l'aile et qui s'en est débrouillé ...
Mais peut-être es-tu dans un lycée qui est plus paisible sur ces questions là ...
- NLM76Grand Maître
03.09.2022
Je pense que je vais ajouter une note dans ce sens. Je vais d'ailleurs regarder ce que dit la documentation ministérielle sur ce genre de trucs. Mais il est vrai que je n'ai eu aucun problème à étudier "Zone" d'Apollinaire, par exemple, ou, ne serait-ce que Rabelais, pour lesquels il a fallu absolument que je parle de théologie, parce qu'ils ne cessent d'en parler, et d'un point de vue de chrétiens, et en plus assez hétérodoxes...
Cela dit, je me souviens d'une élève très sérieuse qui a pu adopter une posture un peu inadéquate dans une dissertation sur Rabelais : elle affichait sa foi chrétienne dans sa réflexion. Je me demande si je ne devrais pas dire explicitement que nous devons essayer d'adopter un point de vue neutre, de faire comme si nous n'étions ni croyants, ni incroyants, dans la réflexion que nous produisons dans le cadre de l'école.
Il faut expliquer ce décentrement. C'est déjà ce que j'essaie de faire quand je leur demande de ne pas dire "cette scène me/nous fait rire", mais "cette scène fait rire le spectateur parce que". Toute la difficulté est de saisir qu'il ne s'agit pas non plus de renoncer à soi-même, ni de refuser d'engager sa pensée.
Je pense que je vais ajouter une note dans ce sens. Je vais d'ailleurs regarder ce que dit la documentation ministérielle sur ce genre de trucs. Mais il est vrai que je n'ai eu aucun problème à étudier "Zone" d'Apollinaire, par exemple, ou, ne serait-ce que Rabelais, pour lesquels il a fallu absolument que je parle de théologie, parce qu'ils ne cessent d'en parler, et d'un point de vue de chrétiens, et en plus assez hétérodoxes...
Cela dit, je me souviens d'une élève très sérieuse qui a pu adopter une posture un peu inadéquate dans une dissertation sur Rabelais : elle affichait sa foi chrétienne dans sa réflexion. Je me demande si je ne devrais pas dire explicitement que nous devons essayer d'adopter un point de vue neutre, de faire comme si nous n'étions ni croyants, ni incroyants, dans la réflexion que nous produisons dans le cadre de l'école.
Il faut expliquer ce décentrement. C'est déjà ce que j'essaie de faire quand je leur demande de ne pas dire "cette scène me/nous fait rire", mais "cette scène fait rire le spectateur parce que". Toute la difficulté est de saisir qu'il ne s'agit pas non plus de renoncer à soi-même, ni de refuser d'engager sa pensée.
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- MinerveNiveau 4
Oui, c'est à mon sens des précautions à formuler explicitement, surtout si tu leur lis le programme officiel, qui est assez souple quant à la forme et au positionnement du candidat dans sa copie. L'écriture à la première personne du singulier peut assez vite induire des propos très personnels et difficiles à corriger pour nous, tant l'enjeu identitaire est fort pour l'élève. Je leur rappelle que leur copie a vocation a être évaluée, et que par conséquent elle doit malgré la grande latitude qui leur est laissée offrir une prise à l'évaluation objective (et non ad personam, réellement ou dans l'esprit de l'élève).
Toute la difficulté réside dans la prise de position personnelle d'une point de vue universel ...
Toute la difficulté réside dans la prise de position personnelle d'une point de vue universel ...
- NLM76Grand Maître
J'ai largement complété, en répondant moi-même, préalablement, à la question "littéraire" que j'avais indiquée, et ai ajouté une note explicative sous les questions. Dis-moi ce que tu en penses, @Minerve.
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- MinerveNiveau 4
Je pense que les choses sont sans ambiguïté, entre le corps du texte et la quatrième note ; il me semble qu'il ne fait aucun doute que l'approche est conforme à ce que la charte de laïcité stipule.
Bon courage pour un début de cours qui s'annonce particulièrement riche et ambitieux ! Mais peut-être tes élèves ont-ils le répondant suffisant. Si c'est le cas tu vas avoir une année des plus agréables en HLP !
Rq : ton nom apparait sur le document dont tu donnes le lien, c'est peut-être assumé mais comme l'usage est plutôt anonyme ici, parce que le forum est public, cela pourrait t'attirer des ennuis.
J'espère que nous aurons un retour pour te piquer des éléments si cela fonctionne !
Bon courage pour un début de cours qui s'annonce particulièrement riche et ambitieux ! Mais peut-être tes élèves ont-ils le répondant suffisant. Si c'est le cas tu vas avoir une année des plus agréables en HLP !
Rq : ton nom apparait sur le document dont tu donnes le lien, c'est peut-être assumé mais comme l'usage est plutôt anonyme ici, parce que le forum est public, cela pourrait t'attirer des ennuis.
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- NLM76Grand Maître
Merci @Minerve. J'ai placé maintenant le fichier entier sur mon blog.
- https://www.lettresclassiques.fr/2022/09/05/parole-et-parabole/
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- NLM76Grand Maître
Suite ici. N'hésitez pas à critiquer, surtout si vous voyez des approximations ou des inexactitudes !
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