TZR 2022-2023

@Tulipia : Je pensais davantage à un remplacement définitif d'un AFA, donc sans renouvellement d'arrêtés. Là je suis pas sûre.

Tulipia a écrit:

Zagiram a écrit:@Lucia21 : Plus on avance dans l'année, plus il y a des chances que tu soit affectée en suppléance. Mais quid du remplacement d'un collègue affecté en AFA... pas sûre que le terme suppléance soit retenu ? Dès que l'on a "affectation en suppléance" sur iprof c'est ok pour les ISSR (excepté pour le RAD)... Mais certains ont aussi noté que toutes les rectorats ne rentraient pas les mêmes infos sur Iprof ...Ce serait trop facile sinon  

J'ai remplacé un collègue qui était affecté en AFA. Puisque je l'ai remplacé en cours d'année jusqu'aux congés d'été avec des arrêtés successifs, il s'agissait d'une "suppléance" et j'ai perçu des ISSR.

Il y a deux ans et l'année dernière également, j'ai remplacé une collègue sur l'année.

J'avais commencé octobre 2021 et comme il s'agissait d'arrêtés successifs durant toute l'année, j'ai perçu les ISSR. L'important c'est que l'arrêté ne couvre pas toute l'année scolaire.

Sinon, petite question par curiosité : y a-t-il ici des TZR lettres de l'académie de Rennes n'ayant pas reçu leur affectation?

Merci à tous pour vos réponses !

C'est d'un compliqué, tout de même...

Himpy a écrit:A partir du moment où ton service ne couvre pas l'année, quelques soient les dates, tu as droit aux issr.
Sauf pour la dernière période de remplacement si ton remplacement va jusqu'au dernier jour de l'année.

Je lis beaucoup cette info ici mais je n'ai jamais vu ni vécu cette situation. Pour moi à partir du moment où l'affectation démarre après la rentrée, il y a issr.
Quelqu'un aurait-il un texte officiel à apporter pour justifier le fait de ne pas rembourser issr si un remplacement débuté après la rentrée se termine le 31.08?
Merci!

@Dhattura : Voir le texte et en particulier l'article 2 ici : https://www.legifrance.gouv.fr/loda/id/LEGITEXT000006067369/
D'où la vigilance des syndicats, vu le terme de "toute l'année scolaire", sur un éventuel arrêté antidaté. Mais ce n'est pas clair si la date est postérieure à la rentrée...
Et je rappelle que l'affectation peut être avant la rentrée pour une suppléance.

Dhattura a écrit:

Himpy a écrit:A partir du moment où ton service ne couvre pas l'année, quelques soient les dates, tu as droit aux issr.
Sauf pour la dernière période de remplacement si ton remplacement va jusqu'au dernier jour de l'année.

Je lis beaucoup cette info ici mais je n'ai jamais vu ni vécu cette situation. Pour moi à partir du moment où l'affectation démarre après la rentrée,  il y a issr.
Quelqu'un aurait-il un texte officiel à apporter pour justifier le fait de ne pas rembourser issr si un remplacement débuté après la rentrée se termine le 31.08?
Merci!

Actuellement, le rectorat a tendance à considérer qu'une affectation donnée durant la première semaine de la rentrée vaut affectation à l'année. Un collègue a été affecté à l'année quelques jours après la rentrée et a pu percevoir les ISSR, mais ce n'est pas le cas de tout le monde. Le rectorat cherche à faire des économies.

Décret n°89-825 du 9 novembre 1989 a écrit:Article 2

L'indemnité prévue à l'article 1er ci-dessus est due aux intéressés à partir de toute nouvelle affectation en remplacement, à un poste situé en dehors de leur école ou de leur établissement de rattachement.

Toutefois, l'affectation des intéressés au remplacement continu d'un même fonctionnaire pour toute la durée d'une année scolaire n'ouvre pas droit au versement de l'indemnité.

L'indemnité est attribuée jusqu'au terme de chaque remplacement assuré.

L'année scolaire commence au 1er septembre. Normalement, toute affectation après le 1er septembre ouvre le droit aux ISSR. Comme je l'ai indiqué, le rectorat joue souvent avec le concept d'année scolaire : "Oh, vous êtes affecté au 3 septembre, cela compte pour l'année scolaire."

Dhattura a écrit:

Himpy a écrit:A partir du moment où ton service ne couvre pas l'année, quelques soient les dates, tu as droit aux issr.
Sauf pour la dernière période de remplacement si ton remplacement va jusqu'au dernier jour de l'année.

Je lis beaucoup cette info ici mais je n'ai jamais vu ni vécu cette situation. Pour moi à partir du moment où l'affectation démarre après la rentrée,  il y a issr.
Quelqu'un aurait-il un texte officiel à apporter pour justifier le fait de ne pas rembourser issr si un remplacement débuté après la rentrée se termine le 31.08?
Merci!

Ce sujet a déjà été évoqué largement (dans le précédent topic sûrement) pour conclure que les rectorats interprètent différemment le texte qui reste flou. En tout cas dans mon acdemie c'est comme cela.

Disons qu'en étant affecté avant mi-septembre, c'est quand même globalement difficile de les obtenir, et qu'aller au tribunal administratif pour ça, c'est certainement risquer de plus en plus de jurisprudences restreignant le versement des ISSR.

@Himpy, @Zagiram, attention, les termes utilisés par l'administration n'ont pas toujours le sens qu'on leur donne dans la langue courante.
Les ISSR sont dues dès qu'une affectation court, pour un même établissement, sur toute l'année scolaire. Ce n'est pas le terme retenu sur i-Prof qui fait foi, ni la "nature" de l'affectation (si c'est pour occuper un BMP ou pour remplacer le service de quelqu'un qui serait en arrêt).
Comme le signale @Dhattura, les ISSR sont payées (évidemment) pour la dernière période de l'année, sauf si le remplacement a commencé le jour de la rentrée. @Himpy, es-tu sûre que, dans ton académie, quelqu'un d'affecté du 1er janvier au 29 avril, puis du 30 avril à la fin de l'année scolaire, n'a pas droit aux ISSR pendant cette dernière période ? Ça me paraît impossible.

Je répète : il y a des ISSR sauf si affectation pendant toute l'année. Le seul "détail" est que les rectorats considèrent que si une affectation a commencé le jour de la rentrée et a été étendue petit à petit jusqu'à la fin de l'année scolaire, le dernier arrêté (qui va jusqu'à la fin de l'année scolaire) valide la case "affectation pendant toute l'année". Dans le cas de @Zagiram, les rectorats n'ont pas appliqué cette règle (hors-zone ? ils l'ont oublié ? c'est une académique qui n'a pas l'habitude d'appliquer cette "exception"), c'est tout, c'est lié au fait que chacun des arrêtés était pour une période inférieure à l'année scolaire, et non au fait qu'il s'agissait de remplacer un congé.
Il n'y a que ce petit "détail" qui soit interprétable par les rectorats, sinon il n'y a pas 36 cas de figure possibles. L'autre point qui peut différer d'une académie à l'autre c'est l'habitude de notifier les arrêtés après la rentrée quand ils sont datés du 1er septembre.

@Dodeline, quant à la question que tu me posais hier : je disais juste que si ton établissement a besoin de 14h et que tu as 14h disponibles, le rectorat éditera un arrêté pour ce total. Mais vérifie ta VS, si tu es en lycée il est fort probable que tu fasses plus de 14h (avec pondération).

Bonjour à tous,

TZR en maths. Toujours aucune affectation.
Je viens de recevoir un mail de mon RAD qui me dit de venir demain afin d'établir un EDT au sein de l'établissement. Je sens déjà que le chef va me faire le même coup que l'année dernière, c-à-d me lister toutes les heures DF du bahut, que je fasse mon choix parmi ces dernières et de compléter le reste d'heure en piochant des élèves en perm pour faire du soutien de maths. Le hic, c'est que les 3/4 du temps aucun élève ne veut, donc je me retrouve en salle des profs à attendre toute la journée...
Et pour finir, je n'ai même pas le droit d'avoir les clés de l'établissement car je cite : "Vous allez être bientôt affecté donc vous n'en aurez plus besoin". Du coup, obligé d'attendre devant la grille avec les élèves pour qu'on m'ouvre et de demander aux collègues ou AED de m'ouvrir une salle pour faire du soutien.
Ras-le-bol de ce manque de considération.

Nouveau record battu aujourd'hui.
Devant la menace de ne pas prendre les élèves : arrêté pondu en 25 minutes.

Devant la menace de ne pas prendre les élèves : arrêté pondu en 25 minutes.
Je vais faire passer le message à ma collègue. Elle a pris ses classes ce matin sans arrêté...

Gotepack a écrit:Bonjour à tous,

TZR en maths. Toujours aucune affectation.
Je viens de recevoir un mail de mon RAD qui me dit de venir demain afin d'établir un EDT au sein de l'établissement. Je sens déjà que le chef va me faire le même coup que l'année dernière, c-à-d me lister toutes les heures DF du bahut, que je fasse mon choix parmi ces dernières et de compléter le reste d'heure en piochant des élèves en perm pour faire du soutien de maths. Le hic, c'est que les 3/4 du temps aucun élève ne veut, donc je me retrouve en salle des profs à attendre toute la journée...
Et pour finir, je n'ai même pas le droit d'avoir les clés de l'établissement car je cite : "Vous allez être bientôt affecté donc vous n'en aurez plus besoin". Du coup, obligé d'attendre devant la grille avec les élèves pour qu'on m'ouvre et de demander aux collègues ou AED de m'ouvrir une salle pour faire du soutien.
Ras-le-bol de ce manque de considération.

Oh, mince... je me suis signalée à mon RAD comme étant disponible mais ils ne m'ont pas recontactée depuis (en-dehors de papiers administratifs à envoyer). J'attends sagement que l'on m'appelle (ou pas ^^) et je commence à me plonger dans la prépa des cours de lycée en attendant (sait-on jamais, même si je préférerais mille fois retourner au collège !).

@Valle : j'en suis sûr, j'en ai fait les frais deux ans de suite. Il faut alors monter un dossier pour déclarer ses déplacement sur Chorus DT.
Et donc j'attends encore 1000 euros pour juin et juillet...

Himpy a écrit:@Valle : j'en suis sûr, j'en ai fait les frais deux ans de suite. Il faut alors monter un dossier pour déclarer ses déplacement sur Chorus DT.
Et donc j'attends encore 1000 euros pour juin et juillet...

Mais c'est un cas de figure très différent de celui qu'on avait évoque ici (le cas d'un remplacement qui a débuté le 1er septembre et qui, en vertu de rallongements consécutifs, devient à l'année). Si le remplacement n'a pas commencé avec l'année scolaire, la marge d'interprétation du rectorat est nulle, tu as droit aux ISSR. En as-tu parlé à ton syndicat ? As-tu fait un courrier avec la demande de tes ISSR adressé au rectorat par la voie hiérarchique ?

Pardon j'ai lu un peu vite, il faut en effet avoir commencé le premier septembre et que les remplacements successifs couvrent l'année scolaire. Mea culpa.

Question con mais...

A celleux qui n'ont pas d'affectation : que faites-vous pour "occuper" votre "temps libre" ?

J'ai tellement l'angoisse que l'affectation tombe d'une minute à l'autre, ou que mon RAD m'envoie un EdT meh, que je n'ose limite pas sortir de chez moi. Car je sais que le moment venu, chaque minute sera précieuse pour la préparation des cours... Du coup je tourne en rond. Et je culpabilise de ne "rien faire". Je me sens un peu merdique aussi, en mode "je ne vaux rien puisque je n'ai pas de poste".

D'autres ressentent-ils ça aussi ?

Profite sans culpabiliser !

BlondeNijinski a écrit:Question con mais...

A celleux qui n'ont pas d'affectation : que faites-vous pour "occuper" votre "temps libre" ?

J'ai tellement l'angoisse que l'affectation tombe d'une minute à l'autre, ou que mon RAD m'envoie un EdT meh, que je n'ose limite pas sortir de chez moi. Car je sais que le moment venu, chaque minute sera précieuse pour la préparation des cours... Du coup je tourne en rond. Et je culpabilise de ne "rien faire". Je me sens un peu merdique aussi, en mode "je ne vaux rien puisque je n'ai pas de poste".

D'autres ressentent-ils ça aussi ?

+1 avec @Jenny.

Sinon, pour ma part je continue à bosser (pas à me crever à la tâche non plus, hein ^^) mes futures séquences de 1re, je lis, et je m'occupe un peu plus de la maison. J'ai également l'intention (mais faut que j'aille faire des courses pour ça) de préparer de grandes quantités de plats en avance à mettre au congélateur, comme ça quand je serai à la bourre niveau boulot j'aurai ça de moins à anticiper.
Après, j'ai déjà des choses prévues dans mon RAD, donc ça va aussi m'occuper un peu.

Edit : tu n'as aucune raison de culpabiliser : j'estime normal d'être payée car 1) je vais quand même bosser dans mon RAD ; 2) au vu de l'inconfort que c'est d'être TZR et de subir des changements de dernière minute, on mérite bien ça : être prêt sous 48h à prendre des classes/niveaux qu'on ne maîtrise pas forcément dans des établissements parfois loin de chez nous, c'est tout sauf simple, donc ça mérite compensation.

Je crois que je peux pas m'empêcher de me dire que les "autres" (quand je vois les témoignages ici : nos collègues finalement !) pensent qu'on profite du système et qu'on est payé.es à rien faire...

Et à la fois je n'arrive pas à me "motiver" à préparer des séquences pour des niveaux random, dans le vent. J'ai préparé une "summer review" qui, plus les jours passent, sera complètement obsolète.

Pour une première année dans le métier, c'est pas exactement ce que j'avais imaginé...

Ne culpabilise pas : je ne crois pas que les collègues qui nous voient comme des profiteurs (et j'espère qu'ils sont rares !) apprécieraient de vivre ce que nous vivons tous les ans : aucune stabilité, fantômes de l'établissement, à gérer l'ingérable/les classes, les niveaux qu'eux ne veulent pas (j'ai déjà raconté ici mes mésaventures qui m'ont menée quasiment au burn out) - heureusement d'autres collègues sont très bien avec les TZR.
Si tu ne prépares pas de séquences (pour moi c'est facile, les oeuvres restent au programme quatre ans en première, donc je me dis que si ce n'est pas pour cette année ce sera pour la prochaine), lis tout simplement - pour le plaisir, pour ta culture perso ; peut-être que là-dedans tu trouveras quand même des pistes qui nourriront de futures séquences une fois que tu seras en poste.

BlondeNijinski a écrit:Question con mais...

A celleux qui n'ont pas d'affectation : que faites-vous pour "occuper" votre "temps libre" ?

J'ai tellement l'angoisse que l'affectation tombe d'une minute à l'autre, ou que mon RAD m'envoie un EdT meh, que je n'ose limite pas sortir de chez moi. Car je sais que le moment venu, chaque minute sera précieuse pour la préparation des cours... Du coup je tourne en rond. Et je culpabilise de ne "rien faire". Je me sens un peu merdique aussi, en mode "je ne vaux rien puisque je n'ai pas de poste".

D'autres ressentent-ils ça aussi ?

Je suis un peu dans le même état car première fois que je me retrouve dans cette situation.
Personnellement, je me suis signalée à mon RAD comme étant disponible, à eux de venir me chercher s'ils ont besoin de mes compétences. Le rectorat sait également que j'existe (lol), je ne vais pas les appeler pour savoir s'ils ont une affectation, ils sauront bien me trouver le moment venu.

Comme tu le dis, chaque minute sera précieuse quand le remplacement tombera. Par conséquent, j'emploie ce temps libre pour travailler : n'ayant fait que du collège jusqu'à présent, je commence à préparer des cours de lycée (je suis en Lettres) et c'est bien long, donc toute nouvelle séance créée sera déjà ça de pris. Je sais que beaucoup disent que cela ne sert à rien de préparer des niveaux sans savoir ce que l'on aura, quand on est TZR, mais honnêtement, je n'ai jamais su travailler dans l'urgence. Difficile de préparer au jour le jour quand on a la garde d'un enfant en bas-âge, pas de famille ni proches dispos vers chez soi et un conjoint souvent en déplacement professionnel... par ailleurs, cela me rassure de voir que, même si je n'ai pas pratiqué le commentaire littéraire depuis bientôt 10 ans, mes réflexes reviennent vite ^^.

Enfin, cette préparation de cours (pour des niveaux que j'espère cependant ne pas avoir ) m'évite de trop stresser : mon esprit est occupé, je pense moins au futur remplacement qui me tombera dessus, avec toutes les angoisses qui vont avec (sera-t-il loin de chez moi ? est-ce que ce sera du collège ? etc.).

Illiane a écrit:Ne culpabilise pas : je ne crois pas que les collègues qui nous voient comme des profiteurs (et j'espère qu'ils sont rares !) apprécieraient de vivre ce que nous vivons tous les ans : aucune stabilité, fantômes de l'établissement, à gérer l'ingérable/les classes, les niveaux qu'eux ne veulent pas (j'ai déjà raconté ici mes mésaventures qui m'ont menée quasiment au burn out) - heureusement d'autres collègues sont très bien avec les TZR.
Si tu ne prépares pas de séquences (pour moi c'est facile, les oeuvres restent au programme quatre ans en première, donc je me dis que si ce n'est pas pour cette année ce sera pour la prochaine), lis tout simplement - pour le plaisir, pour ta culture perso ; peut-être que là-dedans tu trouveras quand même des pistes qui nourriront de futures séquences une fois que tu seras en poste.

+1 !

Si nous étions vraiment considérés comme des "fainéants" qui "profitent du système", tous les collègues voudraient ce type de poste ! Or, ce sont surtout les jeunes profs (ou ceux qui, comme moi, ont épousé un conjoint obligé de muter - par l'Etat, en plus ! - régulièrement, ce qui nous fait perdre systématiquement tous nos points...) qui le récoltent lors des mouvements. Donc bon... ça en dit long sur l'attractivité de la fonction du TZariat.

@BlondeNijinski C'est vrai que ce n'est pas une situation confortable d'être dans l'incertitude et d'attendre qu'une affectation tombe ou que le rad nous appelle.

De mon côté, je m'occupe l'esprit en travaillant l'agreg (je verrai pour la suite avec le rythme des lectures et des entraînements quand une affectation tombera, j'avais dû mal à bosser régulièrement pour le concours quand j'étais en poste fixe et je laissais tomber la préparation). Lire et revoir l'histoire littéraire, les méthodes, ça fait aussi du bien, surtout si une affection en lycée tombe. Profite donc de ce temps libre pour faire ce que tu n'as pas le temps de faire en temps ordinaire et ne culpabilise pas !! On sera bien débordés dans une affectation tombera.

C'est une bonne idée de préparer des plats en avance. Je vais sans doute m'y atteler aussi

Comme Lucia, je pense que si on enviait notre statut et nos conditions de travail, ça se saurait et ça se verrait^^

Bon courage pour l'attente

BlondeNijinski a écrit:Je crois que je peux pas m'empêcher de me dire que les "autres" (quand je vois les témoignages ici : nos collègues finalement !) pensent qu'on profite du système et qu'on est payé.es à rien faire...

Et à la fois je n'arrive pas à me "motiver" à préparer des séquences pour des niveaux random, dans le vent. J'ai préparé une "summer review" qui, plus les jours passent, sera complètement obsolète.

Pour une première année dans le métier, c'est pas exactement ce que j'avais imaginé...

Il ne faut surtout pas culpabiliser : ce n'est pas de ta faute si l'institution a été incapable de te trouver une affectation à l'année. Toi, tu n'as rien demandé. C'est normal d'être payée, je trouve. Surtout quand on sait le stress qu'engendre l'attente puis l'affectation de dernière minute possiblement éloignée du domicile.