Envie de changement pour intégrer un ministère lié à l'économie ou à la finance

Salut à  toutes et à tous !

Pour ma part j'ai été énormément surpris par le niveau général des questions  

ex "en combien de temps la terre fait le tour du soleil"

Bref je me suis fait couillonner sur 6 questions donc je devrais m'en tirer avec 31/54 pas mal d'omissions , remords, regrets ....

Quelle différence me direz vous ?  
Regret : c'est fait mais vous n'auriez pas du
Remords : vous auriez peut-être du mais c'est trop tard...

Le stress,  la fatigue .... (l'âge ? ??) Font que....
Ça devrait passer mais pour la suite je suis beaucoup moins optimiste. Il va falloir que je charbonne dur.

Bonne chance à toutes et à tous.

Merci beaucoup pour ces précisions. Il faudra que je me renseigne sur les postes disponibles un an ou deux avant la reconversion souhaitée pour être sure de ne pas avoir de déconvenue.
Mais il est fortement probable que d'ici là, je serai plus usée par le métier et accepterai de m'éloigner un peu plus pour changer de vie...

Origame-i a écrit:Merci beaucoup pour ces précisions. Il faudra que je me renseigne sur les postes disponibles un an ou deux avant la reconversion souhaitée pour être sure de ne pas avoir de déconvenue.
Mais il est fortement probable que d'ici là, je serai plus usée par le métier et accepterai de m'éloigner un peu plus pour changer de vie...

Si je peux te donner un conseil : inscris-toi aux concours lors de la prochaine session, même si tu ne veux pas aller jusqu'au bout à ce moment-là.

S'entraîner à un concours ou le vivre en condition réelle, ce n'est pas la même chose (mais bon, tu as déjà passé au moins un concours dans ta vie ).


Je me suis inscrit au concours interne de contrôleur "juste pour voir", et je ne regrette pas. Je sais que je n'ai probablement pas été à la hauteur (l'une des 2 épreuves écrites est très technique, axée sur l'environnement DGFIP), mais cela m'a permis de voir à quoi m'attendre sur l'épreuve de synthèse, qui est très similaire au concours externe. Je me sens donc renforcé par cette expérience pour l'épreuve qui m'attend en janvier.

De plus, si d'aventure je venais à être admissible à l'interne, l'épreuve d'admission étant la même pour les 2 concours, je profiterai pleinement à nouveau de l'expérience procurée par le passage à l'oral (lors de l'interne).

S'inscrire, cela n'engage à rien. Et comme l'affectation se fait au rang obtenu à la DGFIP, il ne faut pas se priver de cette possibilité de maximiser ses chances.

Merci oui, il faudrait que je le fasse. J'avais passé le CAPES de maths en troisième concours sans grands efforts de préparation(quelques révisions seule sans s'acharner de maths postbac) en me disant que c'était pour voir, prête à investir dans une formation CNED l'année suivante si échec. Finalement, j'ai eu d'excellentes notes, sans doute lié au fait que le niveau global a baissé. Donc oui, je me prépare à passer ce concours en deux ans, la première année sans trop de pression pour voir comment c'est et la deuxième pour vraiment réussir. A ce propos, le passage du concours nécessite beaucoup de journées d'absence ? J'ai vu que tu t'es inscrit en interne et en externe, cela fait combien de jours d'absence dans l'établissement ?

2 jours consécutifs pour les épreuves écrites, + 1 jour pour le QCM de préadmissibilité pour l'externe, et 1 jour pour l'oral.
Tu as le calendrier de cette année ici :
https://www.economie.gouv.fr/recrutement/calendriers-des-concours

Si tu passes l'intégralité des 2 concours, cela fait donc 7 jours en tout, étalés d'octobre à mars (les dates peuvent changer un peu selon les années).

Tu as aussi le choix de passer le concours d'inspecteur (en interne et en externe). Ca commence à faire beaucoup

Mais si tu es à l'aise en maths, le concours d'inspecteur (cat. A) est accessible.

tAoK a écrit:Tu as aussi le choix de passer le concours d'inspecteur (en interne et en externe). Ca commence à faire beaucoup

Mais si tu es à l'aise en maths, le concours d'inspecteur (cat. A) est accessible.

L'ancienneté requise pour le concours inspecteur interne doit-elle obligatoirement être effectuée en tant que contrôleur ? Ou est-ce que l'ancienneté en tant qu'enseignant compte ?

Not a Panda a écrit:

tAoK a écrit:Tu as aussi le choix de passer le concours d'inspecteur (en interne et en externe). Ca commence à faire beaucoup

Mais si tu es à l'aise en maths, le concours d'inspecteur (cat. A) est accessible.

L'ancienneté requise pour le concours inspecteur interne doit-elle obligatoirement être effectuée en tant que contrôleur ? Ou est-ce que l'ancienneté en tant qu'enseignant compte ?

L'ancienneté en tant que contrôleur est de 4 ans dans la fonction publique, donc pas forcément à la DGFIP, c'est d'ailleurs la raison pour laquelle je me suis inscrit.
Il ne faut pas spécifiquement une ancienneté en tant qu'agent pour passer le concours contrôleur, donc a priori cela s'applique aussi pour passer inspecteur en interne.

edit (après vérification) :

www.economie.gouv.fr/recrutement a écrit:Le concours interne est ouvert aux fonctionnaires et agents de l’Etat, des collectivités territoriales et des établissements publics qui en dépendent, aux militaires et aux agents en fonction dans une organisation internationale intergouvernementale à la date de clôture des inscriptions, appartenant à la catégorie B ou à un niveau équivalent, et qui comptent au moins 4 ans de services publics au 1er janvier de l’année au titre de laquelle est organisé le concours.

tAoK a écrit:

Not a Panda a écrit:

tAoK a écrit:Tu as aussi le choix de passer le concours d'inspecteur (en interne et en externe). Ca commence à faire beaucoup

Mais si tu es à l'aise en maths, le concours d'inspecteur (cat. A) est accessible.

L'ancienneté requise pour le concours inspecteur interne doit-elle obligatoirement être effectuée en tant que contrôleur ? Ou est-ce que l'ancienneté en tant qu'enseignant compte ?

L'ancienneté en tant que contrôleur est de 4 ans dans la fonction publique, donc pas forcément à la DGFIP, c'est d'ailleurs la raison pour laquelle je me suis inscrit.
Il ne faut pas spécifiquement une ancienneté en tant qu'agent pour passer le concours contrôleur, donc a priori cela s'applique aussi pour passer inspecteur en interne.

Le concours d'inspecteur en interne est réservé aux catégories B. Les enseignants ne peuvent donc pas le passer.
Il faut passer l'externe.

Un prof d'Histoire a écrit:[
Le concours d'inspecteur en interne est réservé aux catégories B. Les enseignants ne peuvent donc pas le passer.
Il faut passer l'externe.

C'est curieux comme principe, mais il semble que tu aies raison.

Je passe inspecteur externe demain, bonne chance à tous ! Je déteste le format des épreuves, où on a un exercice classique NDS ou dissert puis un à côté chronophage...

C'est une bizarrerie du concours DGFIP, ce n'est pas le cas pour d'autres administrations : il faut être titulaire catégorie B pour passer le A interne.

Edit : bon courage Matteo !

Bon courage Matteo, et bon courage à tous ceux qui le passent.

Matteo a écrit:Je passe inspecteur externe demain, bonne chance à tous ! Je déteste le format des épreuves, où on a un exercice classique NDS ou dissert puis un à côté chronophage...

N'ayant jamais fait de NDS, j'appréhende ... Je me suis juste entraîné à faire deux plans en environ 1h.
Je pense que niveau méthodo je suis au point, mais la gestion du temps m'inquiète.
Enfin bon, croisons les doigts pour que nous ayons ce concours.

Sibylline a écrit:C'est une bizarrerie du concours DGFIP, ce n'est pas le cas pour d'autres administrations : il faut être titulaire catégorie B pour passer le A interne.

Edit : bon courage Matteo !

Il y a aussi une restriction de ce type pour la DGCCRF: il faut avoir fait 4 ans en catégorie B pour passer le A interne.

Bon courage aux candidats !

Qu'ont pensé ceux qui passent le concours d'inspecteur des écrits ?
Je suis satisfait pour toutes les épreuves, mais je préfère ne pas crier victoire trop tôt, n'ayant pas de formation initiale en économie (mon option) et n'ayant jamais fait de note de synthèse. Compliqué de s'auto-évaluer dans ces conditions, par manque de points de repère.
J'ai trouvé le sujet d'anglais très facile par rapport à ceux des années précédentes.
Je croise les doigts !

J'en sors assez dégoûté, j'ai rendu des copies très sales et j'ai trouvé les sujets assez impraticables.  J'ai très mal géré le plan imposé dans la NDS et en économie j'ai toujours vu les matrices avec A à gauche et non en haut donc je ne sais même pas comment il faut lire la chose... En plus d'une grosse erreur sur le deuxième exercice.... La dissertation me semble plutôt bonne.

Matteo a écrit:J'en sors assez dégoûté, j'ai rendu des copies très sales et j'ai trouvé les sujets assez impraticables.  J'ai très mal géré le plan imposé dans la NDS et en économie j'ai toujours vu les matrices avec A à gauche et non en haut donc je ne sais même pas comment il faut lire la chose... En plus d'une grosse erreur sur le deuxième exercice.... La dissertation me semble plutôt bonne.

Pour la note de synthèse, le plan imposé comportait un certain flou ... "Les raisons du succès" et "Les moyens qui contribuent à le renforcer", c'est assez proche et on pouvait hésiter à caser certaines choses dans le I ou le II (comme la formation). Dans ma partie II, j'ai mis en A les financements publics et en B les synergies avec le milieu du sport, mais avec du recul je ne pense pas que consacrer une sous-partie entière aux synergies était très pertinent (j'aurais dû plutôt parler de la volonté du gouvernement de valoriser socialement le secteur).

En économie, c'était un dilemme du prisonnier qui nous a été proposé, il me semble (pour l'espèce de matrice). En ce qui concerne le dernier petit exercice, pour moi c'était plus un exercice de maths qu'autre chose.
Je suis assez satisfait de la dissert', même si j'ai des regrets (le titre de ma partie I n'est pas très adapté, erreur sur le prénom de l'économiste Harold Hotelling, ...). Mais pour quelqu'un qui n'a pas de formation initiale en économie, je pense que c'est honorable.
Je vise 14 pour la NdS et 12 pour l'économie.

Puis surtout, je ne pense pas que les documents montrent que la filière française du JV soit un succès... La France est globalement bonne en software mais le hardware est entièrement étranger.
Moi j'ai fait
IA. Un poids incontournable dans l'économie lié au poids dans la société
IB. rendu possible par l'innovation constante
II.A Une filière reconnue mais ayant besoin de se développer
II.B Portée par l'effort de l'Etat

On verra bien, mais je pars peu optimiste. Assez dégoûté surtout par la matrice avec A en haut. La partie comptabilité nationale c'est ma faute, je cherche trop compliqué et au fond j'ai quand même 2/3.

Avoir parlé de la rente d'Hotelling je pense que c'est absolument génial, moi je ne la connaissais pas. J'ai fait court terme/moyen terme comme plan.

Matteo a écrit:Puis surtout, je ne pense pas que les documents montrent que la filiale française du JV soit un succès... La France est globalement bonne en software mais le hardware est entièrement étranger.
Moi j'ai fait
IA. Une présence devenu incontournable
IB. rendue possible par l'innovation constante
II.A Une filière reconnue mais ayant besoin de se développer
II.B Portée par l'effort de l'Etat

On verra bien, mais je pars peu optimiste. Assez dégoûté surtout par la matrice avec A en haut.

Ca me semble pas mal.
Pour moi :
I. Les raisons du succès
a) Une demande croissante qui se diversifie
- Démocratisation du jeu vidéo dans la population.
- Diversification des supports et des formes de jeu (gratuit/payant, ...).
b) Une offre compétitive et innovante
- Les entreprises françaises du secteur
- L'excellence de la formation à l'origine de cette compétitivité
II. Les moyens qui contribuent à le renforcer
a) Les financements publics
- Financements dédiés au secteur, et financements plus généraux.
- Les résultats.
b) Les synergies entre le monde du jeu vidéo, de la culture et du sport
- Développement de l'e-sport, soutien du gouvernement, volonté de mettre en commun des infrastructures, création du CDD de joueur pro.
(sous-partie dont je suis le moins satisfait à la fois sur le fond - pertinence de la sous-partie -, et la forme : les idées étaient mal organisées)

Pour la note de proposition, mes idées étaient assez banales je pense (I. Leviers budgétaires II. Leviers non budgétaires avec la formation, le fait de rendre les aides plus lisibles et plus simples, et je ne sais plus quoi).

Pour la NDP ce qui m'a fait tiquer c'est le côté "en fait profiter tout le territoire français" alors j'ai fait un I. Clarifier et amplifier l'aide de l'Etat(détachement du CNC pour former un institut spécialisé qui fera guichet unique pour les aides d'Etat et politique industrielle plus ambitieuse pour porter la filière hors aspects culturels) II. Ancrer le JV dans les territoires(valoriser la présence des cultures régionales en concentrant les aides régionales dessus et aider la filière à déconcentrer en aidant le télétravail et les implantations hors métropoles).

Ma NDP c'est probablement la meilleure partie des deux épreuves... j'espère que ça pèse.

Pour l'économie :

I. L'inflation par les coûts (j'ai écrit "par les coûts" sur la copie, erreur, ça ne concernait que mon A) peut, par certains aspects, constituer un atout
a) L'inflation peut réduire la consommation réelle
- Réduction de la consommation réelle des ménages => réduction des nuisances environnementales si l'on part du principe que la production génère des externalités négatives sur le plan environnemental (pollution, déchets).
- Même chose pour les entreprises (dépenses pour les consommations intermédiaires et investissements). Effet de cliquet lorsque la phase de désinflation survient (les mesures d'économies seront conservées car générant plus de profits).
- Une politique monétaire restrictive liée à l'inflation peut réduire aussi la consommation.
b) Un atout pour les pouvoirs publics
- Inflation sur les matières premières renouvelables peut aider à ne pas heurter la limite physique liée à leur caractère limité (référence à Hotelling).
- Une hausse du prix des matières premières est mieux acceptée par les populations si elle provient de l'inflation que si elle provient de taxes.
- L'inflation réduit le poids de la dette et accroît les recettes fiscales => moyens budgétaires pour lutter contre la crise environnementale.

II. L'inflation n'est toutefois pas une solution dans la lutte contre la crise environnementale
a) Toute inflation ne réduit pas la consommation
- Inflation par excès de demande. Exemple des Etats-Unis actuellement, pas du tout dans le même cas de figure que l'Europe.
- Inflation par création monétaire qui vise à soutenir la demande par la faciliation du crédit.
b) L'inflation peut entraver l'action des pouvoirs publics dans le domaine environnemental.
- Les recettes s'accroissent, mais les dépenses aussi (investissements pour la transition écologique : rénovation thermique des bâtiments, etc.).
- Tentation de la facilité pour relancer l'activité en période de crise économique, en adoptant des mesures bénéfiques pour la croissance mais nuisibles à l'environnement : exemple de l'exploitation du gaz de schiste relancé aux EU en 2016).

J'ai fait tout autre chose :

I. Gérer la crise de l'inflation à court terme sans aggraver la crise écologique
A. Politique budgétaire ne doit pas aggraver la crise
Crise contradictoire liée à la demande et à la crise énergétique : ne pas soutenir la consommation en cachant trop le prix de l'énergie
Les filières permettant la relocalisation risquent de mourir si on soutient trop les importations de substitution(cas du bio)

B. Politique monétaire déflationniste ne permettrait pas de résoudre la crise écologique
Effets de la politique monétaire et des crises sur la demande et sur l'écologie
Pourtant besoin d’éviter la récession pour maintenir le financement de la transition écologique.

II. A moyen terme l'inflation offre des opportunités pour agir en faveur de l'écologie.
A. Restauration de la marge de manœuvre de l'Etat
Baisse du poids réel de la dette
Double dividende par la fiscalité verte notamment sur les énergéticiens

B. Dépenses vertes permettent de lutter contre la crise et l'inflation en même temps
Réindustrialisation dans les domaines écologiques et filière nucléaire permettent d'annuler l'inflation importée et diminuer les émissions.
Accélérer la transition verte notamment dans le transport.

Tes plans paraissent bien plus clairs que les miens surtout en NDS, bravo.

Matteo a écrit:J'ai fait tout autre chose :

I. Gérer la crise de l'inflation à court terme sans aggraver la crise écologique
A. Politique budgétaire ne doit pas aggraver la crise
Crise contradictoire liée à la demande et à la crise énergétique : ne pas soutenir la consommation en cachant trop le prix de l'énergie
Les filières permettant la relocalisation risquent de mourir si on soutient trop les importations de substitution(cas du bio)

B. Politique monétaire déflationniste ne permettrait pas de résoudre la crise écologique
Effets de la politique monétaire et des crises sur la demande et sur l'écologie
Pourtant besoin d’éviter la récession pour maintenir le financement de la transition écologique.

II. A moyen terme l'inflation offre des opportunités pour agir en faveur de l'écologie.
A. Restauration de la marge de manœuvre de l'Etat
Baisse du poids réel de la dette
Double dividende par la fiscalité verte notamment sur les énergéticiens

B. Dépenses vertes permettent de lutter contre la crise et l'inflation en même temps
Réindustrialisation dans les domaines écologiques et filière nucléaire permettent d'annuler l'inflation importée et diminuer les émissions.
Accélérer la transition verte notamment dans le transport.

Tes plans paraissent bien plus clairs que les miens surtout en NDS, bravo.

Ca me semble très bien également.

J'ai passé le concours d'inspecteur externe des Finances Publiques cette semaine, un peu sur un coup de tête. Je m'y étais inscrite in extremis , je n'avais donc pas préparé les épreuves. J'y suis allée pour tester ma capacité à raisonner et rédiger dans un temps imparti.
Je compte bien sûr le repasser l'année prochaine,ainsi que d'autres concours administratifs. Mais je suis dans un état psy très confus, incertain. J'aime toujours enseigner l'Histoire et la Géographie, moins la Spé...J'ai 52 ans. En fait je n'ai aucune raison de vouloir changer si ce n'est la crainte des bouleversements à venir dans l'EN (le"pacte" etc. Je lis régulièrement les messages de Lefteris à ce propos, je pense que ses propos alarmistes ne sont pas exagérés). Mes collègues se persuadent que les "vieux profs" ne seront pas concernés. Donc soit je ne bouge pas et dans 5 ou 10 ans et je risque de le regretter, soit je réussi un concours administratif (incertain forcément) pour occuper un poste moins passionnant.

J'ai fait mes recherches, l'année dernière la barre d'admissibilité était à 8 et quelques, c'est très bas. Si tu as rendu des copies qui ressemblent à des copies tu as largement tes chances d'être admissible.