- MatteoNiveau 10
Tonton a écrit:
L'ordinateur ne date pas d'hier. C'est bien pour ce genre de choses également que la société a du mal avec les enseignants. Ces derniers se veulent ouverts et progressistes mais demeurent très conservateurs à bien des égards. Ne pas s'adapter à l'évolution de la société c'est s'enfermer et ne plus être en phase avec cette dernière et par conséquent les élèves. J'adore la littérature, je ne vois pas le rapport. Je ne suis pas un geek, je m'adapte, et je me forme. On demande l'autonomie aux élèves mais les enseignants sont souvent incapables d'autonomie eux-mêmes. S'auto-former n'est pas si compliqué. Mais juste par principe, beaucoup disent non, et c'est bien regrettable.Ceci n'est pas une attaque personnelle, je préfère le préciser.
Lire ça de la plume de quelqu'un qui a des pratiques de la signature en ligne digne des grandes heures du début des années 2000 et qui ne sait pas faire une citation, ça m'a fait beaucoup rire merci. C'est fou comment ceux qui se veulent modernes sont toujours en retard.
- LefterisEsprit sacré
Pitoyable mais prévisible. Ca y est, les coups de massue vont tomber, comme après chaque élection -déculottée (2014, 2018...)Hocam a écrit:Hourra. Pitoyable.
Ce qui n'est pas émoussé, c'est le désir de geindre en revanche. Il y a un immense renoncement. La situation peut se résumer ainsi : des jeunes qui évitent ces concours, et un recrutement en berne qualitativement comme quantitativement. Des gens en place qui subissent, avec diverses attitudes : les anciens qui comptent les jours, une partie des plus jeunes qui cherche à partir, les "piégés" qui essaient de passer à travers les gouttes et de sauver leur situation individuelle. Mais effectivement, la conscience syndicale , sociale, l'idée de lutte collective est en berne chez de plus en plus enseignants, partagés entre l'anti-syndicalisme épidermique, l'incuriosité, et un très grand individualisme.Enna a écrit:Je suis proche de la retraite donc loin d'être un 'digital native''mais depuis le temps qu'on est dans le bain,ça va .
Le vote électronique,ma foi,c'est avant tout un vote, et
qu'importe la forme. Je pense que c'est le désir de s'exprimer qui compte et hélas, il est émoussé chez bcp.
Je comprends bien sûr car la situation est morose mais cela m'inquiète pour l'avenir . C'est pour moi une forme de renoncement à ses droits et nous n'avons pas tant que cela.
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- LagomorpheFidèle du forum
Tonton a écrit:L'ordinateur ne date pas d'hier. C'est bien pour ce genre de choses également que la société a du mal avec les enseignants. Ces derniers se veulent ouverts et progressistes mais demeurent très conservateurs à bien des égards. Ne pas s'adapter à l'évolution de la société c'est s'enfermer et ne plus être en phase avec cette dernière et par conséquent les élèves.
Que signifie concrètement "s'enfermer" ? "Ne plus être en phase avec la société" ? "Ne plus être en phase avec les élèves" ? "la société a du mal avec les enseignants" ?
lilith888 a écrit:N'importe quoi...
J'arrive à la même conclusion. Le meirieutron aurait pu poster la même chose. Ou une autre combinaison d'éléments de langage.
lilith888 a écrit: La démagogie a encore de beaux jours devant elle. Je suppose que vous faites partie des "populaires" face aux vieux aigris
Ah mais on peut très bien être vieux, aigri ET populaire hein ce qui a d'ailleurs le chic d'agacer les jeunes-pas-aigris-pas-conservateurs qui se veulent populaires.
- DaphnéDemi-dieu
Mathador a écrit:Les CAP existent encore, même si elles sont moins nombreuses et ont été dessaisies de certaines de leurs attributions.Daphné a écrit:Je crois davantage à la question de l'intérêt de voter puisqu'il n'y a plus de CAP, à l'antisyndicalisme de plus en plus répandu et à la méconnaissance générale du syndicalisme.
Oui c'est ce que je voulais dire, pour le commun des mortels du métier elles n'existent plus vraiment, et comme le mouvement leur échappe, raison quasi unique pour laquelle ils se syndiquaient ben c'est cuit
- LagomorpheFidèle du forum
Daphné a écrit:Mathador a écrit:Les CAP existent encore, même si elles sont moins nombreuses et ont été dessaisies de certaines de leurs attributions.Daphné a écrit:Je crois davantage à la question de l'intérêt de voter puisqu'il n'y a plus de CAP, à l'antisyndicalisme de plus en plus répandu et à la méconnaissance générale du syndicalisme.
Oui c'est ce que je voulais dire, pour le commun des mortels du métier elles n'existent plus vraiment, et comme le mouvement leur échappe, raison quasi unique pour laquelle ils se syndiquaient ben c'est cuit
Je trouve aussi que le renvoi systématique de nombreuses décisions au local (alias "l'autonomie des établissements") a donné l'impression que les syndicats nationaux étaient plus lointains et moins utiles: sur de nombreuses questions, mon quotidien professionnel dépend beaucoup plus d'un rapport de force très local que d'une intervention d'un syndicat auprès du ministre. J'ai connu l'époque où, dans ma discipline, les horaires hebdos et les dédoublements étaient cadrés par décret. Aujourd'hui, tout dépend de l'utilisation très locale de la marge horaire: dans mon établissement, ma discipline fonctionne à peu près correctement - et ce grâce à des représentants au CA élus sur une liste sans étiquette, non que ça ait une importance, mais ça montre qu'il n'y a pas besoin à cette échelle d'une grosse infrastructure syndicale pour être un peu protégé des dégradations du métier. Dans l'établissement d'à côté, c'est un massacre: mes collègues enchaînent des classes qu'ils voient 40 minutes à 1h30 par semaine...on ne fait pour ainsi dire plus le même métier, même si l'on appartient tous au même corps.
Restent les grandes questions nationales, comme la retraite, mais là est-ce que ça ne dépend pas plus de l'assemblée nationale que des élections professionnelles ?
Je formule à une hypothèse d'explication hein, pas une critique des syndicats - et encore moins du mien pour lequel j'ai évidemment voté.
- EnnaNiveau 10
C'est effectivement problématique : je n'ai pas réussi convaincu d'autres collègues de voter, ils disent que cest désormais inutile.
- EnnaNiveau 10
pas réussi à convaincre,désolée.
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Enna
- CasparProphète
Enna a écrit:pas réussi à convaincre,désolée.
Tu peux éditer tes messages avec le petit crayon pour corriger les fautes de frappe.
- EnnaNiveau 10
Merci,Caspar !
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Enna
- EnaecoVénérable
Tonton a écrit:Le vote électronique n'est pas une excuse en fait. C'est tout aussi rapide, voire plus rapide qu'un vote en isoloir. Quand je lis que des collègues n'aiment pas l'informatique. C'est assez hallucinant, nous sommes en 2022.
Il y a bien d'autres explications:
- la période: en plein hiver, période de conseils de classe, réunions parents-profs, etc. Les enseignants sont débordés.
- la disparition de la représentation syndicale des CAPA / CAPN, ainsi plusieurs collègues se posent la question de l'intérêt de voter.
- Enfin, après 4 années de violence institutionnelle, les personnels sont fatigués et ne croient plus en grand chose, le dossier des revalorisations étant sans cesse reporté, etc, la méfiance est grande.
Ce n'est pas une excuse mais ça contribue à accentuer le phénomène par la perte de toutes les voix de ceux qui votaient un peu par hasard quand le vote papier offrait une plus grande visibilité à l'élection.
De manière un peu simplifiée, le vote papier était une action qui ne demandait qu'un petit détour, en suivant les autres collègues quand le vote électronique demande une démarche individuelle et chiante (même si ce n'est pas très compliqué et que j'adore l'informatique) qui suffit à décourager les peu concernés (pour les explications que tu proposes)
- LefterisEsprit sacré
Il y a là un ensemble très cohérent, visant à isoler les salariés, à en faire des employés locaux et soumis. Le PPCR, déjà supprimait les règles nationales, les barèmes, qui permettaient d'appuyer des argumentations sur de fautes au moins formelles (non harmonisation des notes, inégalité de traitement entre fonctionnaires, respect des barèmes etc.) . Les syndicats, qui siégeaient encore, perdaient déjà des armes. Désormais, ils sont carrément exclus sauf cas contestation, mais tout où presque demeurant secret, on en revient au point de départ, il est très difficile de trouver des points d'appui. Il y a aussi de plus en plus de postes à profil, qui échappent à tout. Maintenant, il y a les programmes locaux, avec le contrôle continu à tous les étages, et la notation locale. Tout est désormais mûr pour que les avancements, comme une bonne partie des recrutements soient dans les mains de "managers" locaux. J'ai d'ailleurs connu les prémices de cela dans une autre administration. Non proposé à l'avancement = non promu, pas d'avis favorable d'un chef de service = pas de mutation. Il ne reste plus qu'à rendre le travail précaire, et la toile sera complètement tissée.Lagomorphe a écrit:
Je trouve aussi que le renvoi systématique de nombreuses décisions au local (alias "l'autonomie des établissements") a donné l'impression que les syndicats nationaux étaient plus lointains et moins utiles: sur de nombreuses questions, mon quotidien professionnel dépend beaucoup plus d'un rapport de force très local que d'une intervention d'un syndicat auprès du ministre. J'ai connu l'époque où, dans ma discipline, les horaires hebdos et les dédoublements étaient cadrés par décret. Aujourd'hui, tout dépend de l'utilisation très locale de la marge horaire: dans mon établissement, ma discipline fonctionne à peu près correctement - et ce grâce à des représentants au CA élus sur une liste sans étiquette, non que ça ait une importance, mais ça montre qu'il n'y a pas besoin à cette échelle d'une grosse infrastructure syndicale pour être un peu protégé des dégradations du métier. Dans l'établissement d'à côté, c'est un massacre: mes collègues enchaînent des classes qu'ils voient 40 minutes à 1h30 par semaine...on ne fait pour ainsi dire plus le même métier, même si l'on appartient tous au même corps.
Restent les grandes questions nationales, comme la retraite, mais là est-ce que ça ne dépend pas plus de l'assemblée nationale que des élections professionnelles ?
Je formule à une hypothèse d'explication hein, pas une critique des syndicats - et encore moins du mien pour lequel j'ai évidemment voté.
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- EmeraldiaÉrudit
J’ai tenté, en vain, hier midi de me connecter à 5 reprises. A chaque fois, le code que l’on m’a donné était soit disant erroné. Je devais aller en cours ensuite, j’avais une réunion après mes cours, une visite d’élève en stage. J’ai laissé tomber. Ça n’est pas plus simple pour moi, désolée. A moins qu’il n’y ait eu des bugs.
Et je suis par ailleurs très à l’aise avec l’informatique. C’est une façon de décourager les gens.
Et je suis par ailleurs très à l’aise avec l’informatique. C’est une façon de décourager les gens.
- WeirdanNiveau 7
Le code présent dans la notice ne permettait pas de se connecter au portail électeur. Il était nécessaire de créer ce mot de passe avec son adresse académique. Le code vote était utile une fois connecté au portail électeur.
- EnaecoVénérable
Emeraldia a écrit:C’est une façon de décourager les gens.
C'est simplement une procédure sécurisée qu'on peut difficilement alléger.
Tu as visiblement confondu le code de vote avec le code du compte électeur.
On pouvait d'ailleurs tout faire sans enveloppe.
- TivinouDoyen
Certes, mais dans d'autres ministères la procédure était plus simple (voir le post de Clecle).Enaeco a écrit:Emeraldia a écrit:C’est une façon de décourager les gens.
C'est simplement une procédure sécurisée qu'on peut difficilement alléger.
Tu as visiblement confondu le code de vote avec le code du compte électeur.
On pouvait d'ailleurs tout faire sans enveloppe.
J'ai créé mon compte tôt, j'ai voté sans problème dès le premier jour, mais RIEN n'est fait pour faciliter le vote :
- le code était à coucher dehors pour qui n'utilise pas les raccourcis clavier ( dont je fais partie ),
- la procédure n'était pas intuitive : le bouton "je vote" placé après les listes n'était pas clair du tout.
Le fait est que le nombre de votants est bien moindre avec ces procédures. Alors la sécurité a bon dos.
- angelxxxÉrudit
Emeraldia a écrit:J’ai tenté, en vain, hier midi de me connecter à 5 reprises. A chaque fois, le code que l’on m’a donné était soit disant erroné. Je devais aller en cours ensuite, j’avais une réunion après mes cours, une visite d’élève en stage. J’ai laissé tomber. Ça n’est pas plus simple pour moi, désolée. A moins qu’il n’y ait eu des bugs.
Et je suis par ailleurs très à l’aise avec l’informatique. C’est une façon de décourager les gens.
Et le gros message en rouge fluo qui apparait juste en dessous de la case... ? Je l'ai vu parce qu'une collègue me disait que ça ne marchait pas. J'avoue, ce n'était pas clair, mais une fois l'erreur commise, le message en rouge l'était.
Pour le reste, je trouve ça incroyable qu'un professeur en 2022 ne sache pas utiliser les fonctionnalités de base d'un clavier. Je ne vois même pas ce que @Tivinou appelle un raccourci clavier.
Malgré tout, on aurait pu faire mille fois plus simple, rien qu'en mettant un QR code personnalisé qui amène directement sur la page de vote avec des icônes cliquables, en demandant une simple confirmation au cas où un mauvais clique est commis, et laisser la possibilité de se connecter autrement. Mais par chez moi, ça n'a découragé personne, et j'ai vu un nombre hallucinant de collègues jeter l'enveloppe directement en la receptionnant.
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"La lumière pense voyager plus vite que quoi que ce soit d'autre, mais c'est faux. Peu importe à quelle vitesse voyage la lumière, l'obscurité arrive toujours la première, et elle l'attend. Terry Pratchett."
- TivinouDoyen
Tout simplement des caractères qui ne sont pas directement accessibles sur le clavier. Il y en avait 2 dans mon code.
- NaooFidèle du forum
J'ai voté depuis mon téléphone, et c'était un peu usine à gaz (le clavier masquait le captcha...). Mais bon, c'était faisable, je pense.
- angelxxxÉrudit
Mes excuses alors, j'ai pourtant vu de très nombreux codes, aucun qu'on ne pouvait pas faire au clavier facilement.
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"La lumière pense voyager plus vite que quoi que ce soit d'autre, mais c'est faux. Peu importe à quelle vitesse voyage la lumière, l'obscurité arrive toujours la première, et elle l'attend. Terry Pratchett."
- HocamSage
Voilà. Dans quelques cas extrêmes, l'enveloppe jetée telle quelle dans une poubelle, sans même prendre la peine de trier, d'anonymer le courrier. En 2022, il faut le faire, quand même.angelxxx a écrit: j'ai vu un nombre hallucinant de collègues jeter l'enveloppe directement en la receptionnant.
- doubledeckerSage
Vous en voulez une bien bonne au sujet des élections ?
L’identifiant (vous savez, notre adresse e-mail académique) n’était pas reconnu : eh ouais avec la fusion de deux académies il ne fallait pas prendre le ac-nouvelleacademie dont on nous rebat les oreilles depuis des mois mais le ac-anciennomdelacademie que nous ne sommes plus censés utiliser…
Bref….
L’identifiant (vous savez, notre adresse e-mail académique) n’était pas reconnu : eh ouais avec la fusion de deux académies il ne fallait pas prendre le ac-nouvelleacademie dont on nous rebat les oreilles depuis des mois mais le ac-anciennomdelacademie que nous ne sommes plus censés utiliser…
Bref….
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If you're not failing every now and again it's a sign you're not doing anything very innovative (Woody Allen)
La boutique de LolaDragibus : des petites choses futiles et inutiles pour embellir la vie (p'tites bricoles en tissu, papier, crochet....) : venez y jeter un oeil 😊
- MadameNiveau 4
Très sincèrement, je n'aurais pas voté si on ne m'avait pas aidée. Et je suis syndiquée !
- MaroussiaHabitué du forum
Et oui pareil pour moi. Cela fait 2 ans qu'on nous dit de ne plus utiliser Que l'adresse académique unifiée normande et pas la " locale" ( ac.rouen ou ac.caen)doubledecker a écrit:Vous en voulez une bien bonne au sujet des élections ?
L’identifiant (vous savez, notre adresse e-mail académique) n’était pas reconnu : eh ouais avec la fusion de deux académies il ne fallait pas prendre le ac-nouvelleacademie dont on nous rebat les oreilles depuis des mois mais le ac-anciennomdelacademie que nous ne sommes plus censés utiliser…
Bref….
Nous ne recevons plus aucun courrier sur ces vieilles adresses.
Et bien c'est cette vieille adresse qui servait d identifiant aux élections pro !!!
J'ai mis 2 jours avant de le comprendre et après moult tâtonnements et essais j'ai découvert cela et réussi à voter.
- EmeraldiaÉrudit
J’ai créé mon compte électeur. Et ensuite le code de vote ne fonctionnait pas.Weirdan a écrit:Le code présent dans la notice ne permettait pas de se connecter au portail électeur. Il était nécessaire de créer ce mot de passe avec son adresse académique. Le code vote était utile une fois connecté au portail électeur.
- EmeraldiaÉrudit
J’ai déjà créé un site internet ou participé à une web radio. Je crée des cours avec Canva ou Genially et j’ai déjà fait du montage vidéo. Ça déconnait. Je sais utiliser un raccourci clavier.angelxxx a écrit:Emeraldia a écrit:J’ai tenté, en vain, hier midi de me connecter à 5 reprises. A chaque fois, le code que l’on m’a donné était soit disant erroné. Je devais aller en cours ensuite, j’avais une réunion après mes cours, une visite d’élève en stage. J’ai laissé tomber. Ça n’est pas plus simple pour moi, désolée. A moins qu’il n’y ait eu des bugs.
Et je suis par ailleurs très à l’aise avec l’informatique. C’est une façon de décourager les gens.
Et le gros message en rouge fluo qui apparait juste en dessous de la case... ? Je l'ai vu parce qu'une collègue me disait que ça ne marchait pas. J'avoue, ce n'était pas clair, mais une fois l'erreur commise, le message en rouge l'était.
Pour le reste, je trouve ça incroyable qu'un professeur en 2022 ne sache pas utiliser les fonctionnalités de base d'un clavier. Je ne vois même pas ce que @Tivinou appelle un raccourci clavier.
Malgré tout, on aurait pu faire mille fois plus simple, rien qu'en mettant un QR code personnalisé qui amène directement sur la page de vote avec des icônes cliquables, en demandant une simple confirmation au cas où un mauvais clique est commis, et laisser la possibilité de se connecter autrement. Mais par chez moi, ça n'a découragé personne, et j'ai vu un nombre hallucinant de collègues jeter l'enveloppe directement en la receptionnant.
- KeaFidèle du forum
Je viens de recevoir les résultats par mon syndicat.Czar a écrit:Avez-vous également les résultats pour l'enseignement privé sous contrat?
Au comité consultatif ministériel des maîtres de l'enseignement privé, le Snec-CFTC, la CFDT et le SPELC ont 3 sièges chacun, la CGT un siège.
La participation dans mon académie est de 30,02% (elle était de 21% jeudi soir).
J’ai trouvé la procédure alambiquée, peut-être parce que je n’avais pas créé mon compte avant, donc j’ai tout fait d’un coup. Pas compliquée, mais pénible. Mention spéciale au bouton "je veux voter" sur lequel il fallait cliquer en premier alors que la présentation de la page incitait à cliquer d’abord sur le logo du syndicat (je me suis fait avoir les deux fois).
Quelqu'un qui n’était pas motivé ou pas convaincu pouvait vite abandonner. D’ailleurs, le collègue qui était à côté de moi alors que je pestais devant mon écran m’a répondu "Mais pourquoi tu votes, aussi ?!"
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