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- ArverneGrand sage
Bonjour à tous,
Les sujets de l'interne ne me plaisant pas du tout, mais pas du tout, contrairement à ceux de l'externe, je me demandais si dans ce cas de figure, il ne serait pas préférable de passer plutôt l'externe. Je sais qu'il y a deux questions de plus à l'externe mais ne vaut-il pas mieux se faire plaisir à travailler 6 questions agréables que 4 questions qui vous sortent par les yeux ? De plus à l'externe, que ce soit à l'écrit ou à l'oral, il n'y a pas de transposition pédagogique si casse-gueule à faire ...
Y a-t-il une différence de niveau notable entre les 2 ? Connaissez-vous des collègues en poste qui ont réussi l'externe ? Pour ceux qui ont assisté aux oraux, avez-vous des "vieux" ?
Les sujets de l'interne ne me plaisant pas du tout, mais pas du tout, contrairement à ceux de l'externe, je me demandais si dans ce cas de figure, il ne serait pas préférable de passer plutôt l'externe. Je sais qu'il y a deux questions de plus à l'externe mais ne vaut-il pas mieux se faire plaisir à travailler 6 questions agréables que 4 questions qui vous sortent par les yeux ? De plus à l'externe, que ce soit à l'écrit ou à l'oral, il n'y a pas de transposition pédagogique si casse-gueule à faire ...
Y a-t-il une différence de niveau notable entre les 2 ? Connaissez-vous des collègues en poste qui ont réussi l'externe ? Pour ceux qui ont assisté aux oraux, avez-vous des "vieux" ?
- GewenNiveau 2
Bonjour,
Il doit exister des contre-exemples sans doute mais les personnes que je connais et qui ont eu l’externe n’ont fait que ça pendant l’année (étudiant à plein temps ou congé formation), en bossant énormément.
Il y a 2 questions en plus, ce qui n’est pas rien, et les questions sont plus difficiles car elles demandent de l’exhaustivité. Surtout, la concurrence n’est pas la même : le ratio poste / candidats (en histoire du moins) est plus bas en général, la moitié des postes sont pris en moyenne par des étudiants de l’ENS... Je ne pense pas qu’il suffise dans ces conditions de travailler 1 ou 2 manuels et quelques articles par question.
A l’inverse, je connais des profs qui ont eu l’interne en enseignant, en travaillant très bien mais sans pour autant avoir une maitrise extraordinaire des sujets.
Quant aux sujets de l’interne, je les trouvent au contraire très intéressants mais je ne pense pas que le problème soit d’aimer ou ne pas aimer les questions pour réussir ce type de concours (il faut réussir à être efficace, emmagasiner des connaissances mais ne pas trop s’éparpiller, identifier et répondre surtout aux attentes des correcteurs, bosser très régulièrement sans se poser trop de questions...). Par contre, je suis d’accord avec toi, la troisième épreuve est assez mystérieuse.
Il doit exister des contre-exemples sans doute mais les personnes que je connais et qui ont eu l’externe n’ont fait que ça pendant l’année (étudiant à plein temps ou congé formation), en bossant énormément.
Il y a 2 questions en plus, ce qui n’est pas rien, et les questions sont plus difficiles car elles demandent de l’exhaustivité. Surtout, la concurrence n’est pas la même : le ratio poste / candidats (en histoire du moins) est plus bas en général, la moitié des postes sont pris en moyenne par des étudiants de l’ENS... Je ne pense pas qu’il suffise dans ces conditions de travailler 1 ou 2 manuels et quelques articles par question.
A l’inverse, je connais des profs qui ont eu l’interne en enseignant, en travaillant très bien mais sans pour autant avoir une maitrise extraordinaire des sujets.
Quant aux sujets de l’interne, je les trouvent au contraire très intéressants mais je ne pense pas que le problème soit d’aimer ou ne pas aimer les questions pour réussir ce type de concours (il faut réussir à être efficace, emmagasiner des connaissances mais ne pas trop s’éparpiller, identifier et répondre surtout aux attentes des correcteurs, bosser très régulièrement sans se poser trop de questions...). Par contre, je suis d’accord avec toi, la troisième épreuve est assez mystérieuse.
- kiwiGuide spirituel
Je pense Arverne qu'il faut te concentrer sur l'interne. On aura beau dire, l'externe est vraiment plus difficile, et je peux comparer pour avoir tenté les deux et obtenu l'interne.
Il y a en effet deux questions de plus pour l'écrit, et les exigences en termes de connaissances et d'historiographie sont nettement plus élevées (en plus de la méthode). Il y a trois oraux, dont le hors-programme. Sans BU digne de ce nom, et la possibilité de passer des colles dans un centre de préparation, c'est foutu, car cet oral ne s'improvise vraiment pas. Il nécessite de travailler la biblio à fond.
En termes de ratio, il est vrai que l'externe devient de plus en plus accessible (5% à l'epoque où je la tentais, contre 12% voire plus en geo aujourdhui), quand l'interne tourne à 10-12%. Pour les normaliens qui trustent, c'était vrai à l'époque, moins maintenant. Toutefois, dans un contexte de baisse de postes, ils vont en prendre quand même une partie. Tu es face à des étudiants et a des atouts à faire valoir (aisance orale notamment), mais eux n'ont que ça à faire de leurs journées.
Enfin, la didactique à l'interne, j'ai pas tout pigé non plus. Mais selon mon expérience, ils s'en fichent.
Il y a deux ans, j'avais fait une transpo que je jugeais sérieuse, bien construite, j'y avais passé du temps en épreuve 3. Commentaire : transposition pas explicitée et définie, comprendre : c'est naze. J'ai eu entre les mains une copie d'une Neo. Même type de transpo que la mienne : programmation, progression, choix des documents, mise en activité selon ce que les IPR aiment voir en inspection, objectifs cognitifs et méthodologiques, évaluation... Commentaire : super. J'ai donc pas compris.
A l'oral : en histoire, le commentaire a été "transpo originale et réfléchie". Bilan : 11.
Cette année à l'oral : un oral où j'ai vraiment fait une bonne transpo, c'était précis, j'y ai accordé du temps, différenciation toussa toussa (et des questions sur la différenciation après). Je me prends 6.
Oral 2 : une transpo ratée, 6min en fin d'exposé, j'ai même pas pensé à exposer mes objectifs méthodologiques, l'IPR me fait bien comprendre à l'entretien que la transpo en Tle est mauvaise. J'ai 13,5.
J'en déduis donc qu'à l'écrit comme à l'oral, ce qui prime, c'est la partie scientifique. La transpo ne doit pas être bâclée, car c'est rédhibitoire. Mais même si ta transpo est bonne, si le scientifique ne suit pas, la note sera mauvaise. Par contre une partie scientifique satisfaisante et une transpo pas top ne te pénalise pas tant que ça. Il faut bien voir qu'à l'écrit surtout, tu es corrigée par des universitaires qui ne connaissent rien à la didactique du secondaire, surtout du collège, et que la majorité des membres du jury sont des profs agrégés qui doivent aussi enseigner au mieux en lycée ou en CPGE. D'où sans doute une considération moindre pour la partie didactique.
Maintenant, il s'agit là de mon expérience. D'autres pensent peut-être que la didactique est déterminante.
Donc Arverne, je m'accrocherais plutôt à l'interne qui est vraiment un concours accessible avec de la méthode et du travail. Obtenir l'externe dans ces conditions relève de l'utopie (surtout dans un contexte de baisse des postes).
Il y a en effet deux questions de plus pour l'écrit, et les exigences en termes de connaissances et d'historiographie sont nettement plus élevées (en plus de la méthode). Il y a trois oraux, dont le hors-programme. Sans BU digne de ce nom, et la possibilité de passer des colles dans un centre de préparation, c'est foutu, car cet oral ne s'improvise vraiment pas. Il nécessite de travailler la biblio à fond.
En termes de ratio, il est vrai que l'externe devient de plus en plus accessible (5% à l'epoque où je la tentais, contre 12% voire plus en geo aujourdhui), quand l'interne tourne à 10-12%. Pour les normaliens qui trustent, c'était vrai à l'époque, moins maintenant. Toutefois, dans un contexte de baisse de postes, ils vont en prendre quand même une partie. Tu es face à des étudiants et a des atouts à faire valoir (aisance orale notamment), mais eux n'ont que ça à faire de leurs journées.
Enfin, la didactique à l'interne, j'ai pas tout pigé non plus. Mais selon mon expérience, ils s'en fichent.
Il y a deux ans, j'avais fait une transpo que je jugeais sérieuse, bien construite, j'y avais passé du temps en épreuve 3. Commentaire : transposition pas explicitée et définie, comprendre : c'est naze. J'ai eu entre les mains une copie d'une Neo. Même type de transpo que la mienne : programmation, progression, choix des documents, mise en activité selon ce que les IPR aiment voir en inspection, objectifs cognitifs et méthodologiques, évaluation... Commentaire : super. J'ai donc pas compris.
A l'oral : en histoire, le commentaire a été "transpo originale et réfléchie". Bilan : 11.
Cette année à l'oral : un oral où j'ai vraiment fait une bonne transpo, c'était précis, j'y ai accordé du temps, différenciation toussa toussa (et des questions sur la différenciation après). Je me prends 6.
Oral 2 : une transpo ratée, 6min en fin d'exposé, j'ai même pas pensé à exposer mes objectifs méthodologiques, l'IPR me fait bien comprendre à l'entretien que la transpo en Tle est mauvaise. J'ai 13,5.
J'en déduis donc qu'à l'écrit comme à l'oral, ce qui prime, c'est la partie scientifique. La transpo ne doit pas être bâclée, car c'est rédhibitoire. Mais même si ta transpo est bonne, si le scientifique ne suit pas, la note sera mauvaise. Par contre une partie scientifique satisfaisante et une transpo pas top ne te pénalise pas tant que ça. Il faut bien voir qu'à l'écrit surtout, tu es corrigée par des universitaires qui ne connaissent rien à la didactique du secondaire, surtout du collège, et que la majorité des membres du jury sont des profs agrégés qui doivent aussi enseigner au mieux en lycée ou en CPGE. D'où sans doute une considération moindre pour la partie didactique.
Maintenant, il s'agit là de mon expérience. D'autres pensent peut-être que la didactique est déterminante.
Donc Arverne, je m'accrocherais plutôt à l'interne qui est vraiment un concours accessible avec de la méthode et du travail. Obtenir l'externe dans ces conditions relève de l'utopie (surtout dans un contexte de baisse des postes).
- viking23Niveau 2
Le concours externe est vraiment fait pour des érudits... du style normalien de Lyon qui se battent pour avoir un bon classement pour négocier une thèse l'année d'après. Et avec les baisses de postes pour l'externe, plus de la moitié sont réservés pour ces normaliens qui bossent toute l'année l'agrégation, avec des profs membres du jury, souvent à l'origine des 6 questions au programme, qui savent donc ce qui attend leurs ouailles.
L'interne est "plus accessible" une fois en poste car les 4 questions ne nécessitent pas de l'érudition au niveau de l'externe pour les écrits. Et les oraux, ils cherchent à recruter/promouvoir des collègues. Donc l'aspect péda/didactique est primordial. Même si parfois on ne comprend pas la notation ! :choc:
L'interne est "plus accessible" une fois en poste car les 4 questions ne nécessitent pas de l'érudition au niveau de l'externe pour les écrits. Et les oraux, ils cherchent à recruter/promouvoir des collègues. Donc l'aspect péda/didactique est primordial. Même si parfois on ne comprend pas la notation ! :choc:
- kiwiGuide spirituel
Primordial sur le principe. Mais dans la réalité des notes?
- Dav691Niveau 1
Bonsoir à tous.
Oui le scientifique prime nettement sur le pédagogique même à l'interne. Je l'ai eue en 2008 et pour les oraux deux analyses scientifiques (épistémologie, historiographie...) M'ont donné 15 et 10.5. 10.5 en géo avec moqueries gentillette sur la transposition.
Envoyé depuis l'appli Topic'it
Oui le scientifique prime nettement sur le pédagogique même à l'interne. Je l'ai eue en 2008 et pour les oraux deux analyses scientifiques (épistémologie, historiographie...) M'ont donné 15 et 10.5. 10.5 en géo avec moqueries gentillette sur la transposition.
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- Le sultanNiveau 2
Merci pour vos retours précieux et révélateurs. N'hésitez pas à vous "souvenir" de la sorte : je bois ces textes.
- jeromebrNiveau 6
kiwi a écrit:Je pense Arverne qu'il faut te concentrer sur l'interne. On aura beau dire, l'externe est vraiment plus difficile, et je peux comparer pour avoir tenté les deux et obtenu l'interne.
Il y a en effet deux questions de plus pour l'écrit, et les exigences en termes de connaissances et d'historiographie sont nettement plus élevées (en plus de la méthode). Il y a trois oraux, dont le hors-programme. Sans BU digne de ce nom, et la possibilité de passer des colles dans un centre de préparation, c'est foutu, car cet oral ne s'improvise vraiment pas. Il nécessite de travailler la biblio à fond.
En termes de ratio, il est vrai que l'externe devient de plus en plus accessible (5% à l'epoque où je la tentais, contre 12% voire plus en geo aujourdhui), quand l'interne tourne à 10-12%. Pour les normaliens qui trustent, c'était vrai à l'époque, moins maintenant. Toutefois, dans un contexte de baisse de postes, ils vont en prendre quand même une partie. Tu es face à des étudiants et a des atouts à faire valoir (aisance orale notamment), mais eux n'ont que ça à faire de leurs journées.
Enfin, la didactique à l'interne, j'ai pas tout pigé non plus. Mais selon mon expérience, ils s'en fichent.
Il y a deux ans, j'avais fait une transpo que je jugeais sérieuse, bien construite, j'y avais passé du temps en épreuve 3. Commentaire : transposition pas explicitée et définie, comprendre : c'est naze. J'ai eu entre les mains une copie d'une Neo. Même type de transpo que la mienne : programmation, progression, choix des documents, mise en activité selon ce que les IPR aiment voir en inspection, objectifs cognitifs et méthodologiques, évaluation... Commentaire : super. J'ai donc pas compris.
A l'oral : en histoire, le commentaire a été "transpo originale et réfléchie". Bilan : 11.
Cette année à l'oral : un oral où j'ai vraiment fait une bonne transpo, c'était précis, j'y ai accordé du temps, différenciation toussa toussa (et des questions sur la différenciation après). Je me prends 6.
Oral 2 : une transpo ratée, 6min en fin d'exposé, j'ai même pas pensé à exposer mes objectifs méthodologiques, l'IPR me fait bien comprendre à l'entretien que la transpo en Tle est mauvaise. J'ai 13,5.
J'en déduis donc qu'à l'écrit comme à l'oral, ce qui prime, c'est la partie scientifique. La transpo ne doit pas être bâclée, car c'est rédhibitoire. Mais même si ta transpo est bonne, si le scientifique ne suit pas, la note sera mauvaise. Par contre une partie scientifique satisfaisante et une transpo pas top ne te pénalise pas tant que ça. Il faut bien voir qu'à l'écrit surtout, tu es corrigée par des universitaires qui ne connaissent rien à la didactique du secondaire, surtout du collège, et que la majorité des membres du jury sont des profs agrégés qui doivent aussi enseigner au mieux en lycée ou en CPGE. D'où sans doute une considération moindre pour la partie didactique.
Maintenant, il s'agit là de mon expérience. D'autres pensent peut-être que la didactique est déterminante.
Donc Arverne, je m'accrocherais plutôt à l'interne qui est vraiment un concours accessible avec de la méthode et du travail. Obtenir l'externe dans ces conditions relève de l'utopie (surtout dans un contexte de baisse des postes).
Je me permets de te quote, car je suis en total désaccord avec ton impression.
Je la comprends car c'est ton vécu comprends le bien d'autant que tu as des preuves à avancer.
Cependant, j'ai eu l'exacte impression inverse. J'ai eu 12 et 13 à l'oral avec à chaque fois 15 minutes de partie pédagogique.
Je m'appuie aussi sur les rapports du jury depuis 2014 ainsi qu'une intervention du vice-président Jérôme Buridant lors d'une formation. Par ailleurs tu dis que la majorité des membres du jury sont déconnectés du second degré, sans doute, mais les présidents de jury sont souvent IPR.
Voilà je n'affirme rien, je dis juste que j'ai le sentiment opposé au tien.
- ZagaraGuide spirituel
Arverne a écrit:Bonjour à tous,
Les sujets de l'interne ne me plaisant pas du tout, mais pas du tout, contrairement à ceux de l'externe, je me demandais si dans ce cas de figure, il ne serait pas préférable de passer plutôt l'externe. Je sais qu'il y a deux questions de plus à l'externe mais ne vaut-il pas mieux se faire plaisir à travailler 6 questions agréables que 4 questions qui vous sortent par les yeux ? De plus à l'externe, que ce soit à l'écrit ou à l'oral, il n'y a pas de transposition pédagogique si casse-gueule à faire ...
Y a-t-il une différence de niveau notable entre les 2 ? Connaissez-vous des collègues en poste qui ont réussi l'externe ? Pour ceux qui ont assisté aux oraux, avez-vous des "vieux" ?
Oui il y a une différence de niveau (en faveur de l'externe).
Il est peu envisageable de réussir l'externe sans s'y dédier à plein temps. J'ai une amie, que j'ai rencontrée en stage ESPE alors qu'elle était certifiée, qui a fini par avoir l'agreg externe. Sauf qu'elle a d'abord fait 1 an en dispo pour la préparer (et l'a ratée), puis l'année d'après, s'est mise en service minimum dans son collège (elle ne donnait quasiment plus que des fiches-activités aux élèves), pour trouver le temps de préparer l'agrégation. Elle a été reçue, mais parmi les 3 derniers. Je ne crois pas que son exemple invalide l'idée qu'il faille s'y consacrer totalement.
Pendant mon année de préparation, je suivais 30h de cours/semaine, avais à peu près autant en bibliothèque et puis passais le reste de mon temps à apprendre par cœur des exemples ou à faire des plans. Côté l'oral, j'ai réussi à dépasser les 10 colles (je passais ma vie à chercher et récupérer les créneaux de gens qui abandonnaient en cours de route), mais pour un résultat très moyen. Je ne vois pas comment j'aurais pu réussir le concours (et encore moins être correctement classée) avec un boulot à côté. L'agrégation est conçue pour nécessiter une préparation solide.
Je n'ai vu que des jeunes de mon âge pendant la préparation et les journées d'épreuves écrites ou orales.
- ElaïnaDevin
Je serais plus nuancée.
J'ai préparé l'externe deux fois.
La première fois, j'y passais 100 % de mon temps, préparation à l'ENS comme auditrice libre (avec deux concours blancs et un paquet de colles), ben je me suis lamentablement foirée à l'écrit.
La seconde fois à Paris I en commençant ma thèse, en enseignant comme monitrice (avec tous mes cours à préparer) + correction de copies de CNED histoire de me faire un peu de thunes. Je l'ai eue sans problème (bon, mon classement n'était pas à se rouler par terre non plus, mais pas déshonorant) d'autant que j'adorais le programme de moderne et de médiévale.
J'ai préparé l'externe deux fois.
La première fois, j'y passais 100 % de mon temps, préparation à l'ENS comme auditrice libre (avec deux concours blancs et un paquet de colles), ben je me suis lamentablement foirée à l'écrit.
La seconde fois à Paris I en commençant ma thèse, en enseignant comme monitrice (avec tous mes cours à préparer) + correction de copies de CNED histoire de me faire un peu de thunes. Je l'ai eue sans problème (bon, mon classement n'était pas à se rouler par terre non plus, mais pas déshonorant) d'autant que j'adorais le programme de moderne et de médiévale.
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It took me forty years to realize this. But for guys like us... our lives aren't really our own. There's always someone new to help. Someone we need to protect. These past few years, I fought that fate with all I had. But I'm done fighting. It's time I accept the hand I was dealt. Too many people depend on us. Their dreams depend on us.
Kiryu Kazuma inYakuza 4 Remastered
Ma page Facebook https://www.facebook.com/Lire-le-Japon-106902051582639
- HérodouteGrand sage
Une IPR m'a bien précisé qu'à l'externe on attendait bcp mais vraiment bcp + dans le domaine scientifique par rapport à l'interne.
L'épreuve 3 de l'interne se prépare bien en amont.
L'épreuve 3 de l'interne se prépare bien en amont.
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"Le réchauffement climatique ? Deux degrés de plus, c'est que dalle, non ?", philosophe anonyme de la télé-réalité.
- AponieNiveau 6
Recommanderiez-vous de passer les deux la même année ?
- HérodouteGrand sage
Je te déconseille les deux : c'est le meilleur moyen de t'épuiser tout en t'éparpillant....
_________________
"Le réchauffement climatique ? Deux degrés de plus, c'est que dalle, non ?", philosophe anonyme de la télé-réalité.
- AponieNiveau 6
Je ne suis pas certain d'avoir compris ton message : tu déconseilles le passage des deux simultanément ?
- JennyMédiateur
Ça fait beaucoup.
Attentes et programmes ne sont pas tout à fait les mêmes.
Attentes et programmes ne sont pas tout à fait les mêmes.
- HérodouteGrand sage
Lol viiii... effectivement ce n'était pas très clair.
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"Le réchauffement climatique ? Deux degrés de plus, c'est que dalle, non ?", philosophe anonyme de la télé-réalité.
- AponieNiveau 6
Merci à tous les deux. S'agissant des écrits, l'approche érudite, typique de l'externe (bien qu'il y ait des exceptions), est-elle également valorisée à l'interne ?
- JennyMédiateur
Je le pense pour les deux premiers écrits.
La 3e épreuve est différente, n’hésite pas à regarder un rapport de jury.
La 3e épreuve est différente, n’hésite pas à regarder un rapport de jury.
- kiwiGuide spirituel
jeromebr a écrit:kiwi a écrit:Je pense Arverne qu'il faut te concentrer sur l'interne. On aura beau dire, l'externe est vraiment plus difficile, et je peux comparer pour avoir tenté les deux et obtenu l'interne.
Il y a en effet deux questions de plus pour l'écrit, et les exigences en termes de connaissances et d'historiographie sont nettement plus élevées (en plus de la méthode). Il y a trois oraux, dont le hors-programme. Sans BU digne de ce nom, et la possibilité de passer des colles dans un centre de préparation, c'est foutu, car cet oral ne s'improvise vraiment pas. Il nécessite de travailler la biblio à fond.
En termes de ratio, il est vrai que l'externe devient de plus en plus accessible (5% à l'epoque où je la tentais, contre 12% voire plus en geo aujourdhui), quand l'interne tourne à 10-12%. Pour les normaliens qui trustent, c'était vrai à l'époque, moins maintenant. Toutefois, dans un contexte de baisse de postes, ils vont en prendre quand même une partie. Tu es face à des étudiants et a des atouts à faire valoir (aisance orale notamment), mais eux n'ont que ça à faire de leurs journées.
Enfin, la didactique à l'interne, j'ai pas tout pigé non plus. Mais selon mon expérience, ils s'en fichent.
Il y a deux ans, j'avais fait une transpo que je jugeais sérieuse, bien construite, j'y avais passé du temps en épreuve 3. Commentaire : transposition pas explicitée et définie, comprendre : c'est naze. J'ai eu entre les mains une copie d'une Neo. Même type de transpo que la mienne : programmation, progression, choix des documents, mise en activité selon ce que les IPR aiment voir en inspection, objectifs cognitifs et méthodologiques, évaluation... Commentaire : super. J'ai donc pas compris.
A l'oral : en histoire, le commentaire a été "transpo originale et réfléchie". Bilan : 11.
Cette année à l'oral : un oral où j'ai vraiment fait une bonne transpo, c'était précis, j'y ai accordé du temps, différenciation toussa toussa (et des questions sur la différenciation après). Je me prends 6.
Oral 2 : une transpo ratée, 6min en fin d'exposé, j'ai même pas pensé à exposer mes objectifs méthodologiques, l'IPR me fait bien comprendre à l'entretien que la transpo en Tle est mauvaise. J'ai 13,5.
J'en déduis donc qu'à l'écrit comme à l'oral, ce qui prime, c'est la partie scientifique. La transpo ne doit pas être bâclée, car c'est rédhibitoire. Mais même si ta transpo est bonne, si le scientifique ne suit pas, la note sera mauvaise. Par contre une partie scientifique satisfaisante et une transpo pas top ne te pénalise pas tant que ça. Il faut bien voir qu'à l'écrit surtout, tu es corrigée par des universitaires qui ne connaissent rien à la didactique du secondaire, surtout du collège, et que la majorité des membres du jury sont des profs agrégés qui doivent aussi enseigner au mieux en lycée ou en CPGE. D'où sans doute une considération moindre pour la partie didactique.
Maintenant, il s'agit là de mon expérience. D'autres pensent peut-être que la didactique est déterminante.
Donc Arverne, je m'accrocherais plutôt à l'interne qui est vraiment un concours accessible avec de la méthode et du travail. Obtenir l'externe dans ces conditions relève de l'utopie (surtout dans un contexte de baisse des postes).
Je me permets de te quote, car je suis en total désaccord avec ton impression.
Je la comprends car c'est ton vécu comprends le bien d'autant que tu as des preuves à avancer.
Cependant, j'ai eu l'exacte impression inverse. J'ai eu 12 et 13 à l'oral avec à chaque fois 15 minutes de partie pédagogique.
Je m'appuie aussi sur les rapports du jury depuis 2014 ainsi qu'une intervention du vice-président Jérôme Buridant lors d'une formation. Par ailleurs tu dis que la majorité des membres du jury sont déconnectés du second degré, sans doute, mais les présidents de jury sont souvent IPR.
Voilà je n'affirme rien, je dis juste que j'ai le sentiment opposé au tien.
Je n'avais pas vu ton message. J'y réponds donc que maintenant!
J'ai bien précisé à plusieurs reprises qu'il s'agit de mes expériences du concours, et de mes impressions. Pas plus, pas moins.
Quant aux IPR, l'année dernière, j'ai eu et j'ai pu assister à des questions en entretien sur la partie didactique, ce qui montre l'intérêt porté à cette partie d'épreuve. À la session 2016, rien du tout. En tout cas, j'en ai pas eues, et aux oraux auxquels j'étais auditrice non plus. Mais intérêt ne veut pas dire que c'est déterminant dans la notation. Je crois que, aux écrits comme un oraux, la partie didactique mériterait d'avoir un barème propre. Les choses au moins seraient claires.
- kiwiGuide spirituel
Aponie a écrit:Merci à tous les deux. S'agissant des écrits, l'approche érudite, typique de l'externe (bien qu'il y ait des exceptions), est-elle également valorisée à l'interne ?
Valorisée, peut-être, mais en aucun cas indispensable. Aux écrits, on attend des candidats une bonne maîtrise des notions et concepts afin de bien analyser le sujet, permettant d'aboutir à une problématique pertinente,un plan cohérent, des connaissances de base solides et quelques exemples bien maîtrisés et exploités dans le corps de la copie. Mais point d'érudition, de copie de 20 pages (on entend souvent le mythe du "hors du 20 pages, point de salut"). La maîtrise des débats historiographiques est valorisée, mais ce n'est pas necessaire d'être au taquet dessus.
- DédéJe viens de m'inscrire !
Bonjour à toutes et tous,
Admissible quatre fois sans être admis à l'agreg interne et par ailleurs systématiquement descendu par les inspecteurs, j'en viens à me dire que l'agreg interne n'est pas faite pour moi. La troisième épreuve ainsi que les transpos didactiques en fin de leçon me paraissent toujours très artificielles et le travail de préparation qu'elles exigent indigeste et ingrat.
Existe-t-il quelque part des énergumènes qui éprouvent les mêmes difficultés à l'interne et qui ont fini par réussir l'externe ? Leur témoignage m'intéresserait vivement
Admissible quatre fois sans être admis à l'agreg interne et par ailleurs systématiquement descendu par les inspecteurs, j'en viens à me dire que l'agreg interne n'est pas faite pour moi. La troisième épreuve ainsi que les transpos didactiques en fin de leçon me paraissent toujours très artificielles et le travail de préparation qu'elles exigent indigeste et ingrat.
Existe-t-il quelque part des énergumènes qui éprouvent les mêmes difficultés à l'interne et qui ont fini par réussir l'externe ? Leur témoignage m'intéresserait vivement
- ElaïnaDevin
Pour être honnête, je persiste à penser que l'externe est plus atteignable pour certaines personnes (dans lesquelles je m'inclus). Tu bosses ton programme et en avant marche.
Rien que l'épreuve sur dossier du CAPES me filait des sueurs froides, alors la transposition...
Rien que l'épreuve sur dossier du CAPES me filait des sueurs froides, alors la transposition...
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Kiryu Kazuma inYakuza 4 Remastered
Ma page Facebook https://www.facebook.com/Lire-le-Japon-106902051582639
- Cléopatra2Guide spirituel
Je ne pense pas que l'agreg externe soit réservée aux érudits, je connais plusieurs personnes qui l'ont eue en venant de fac, en ayant un bon niveau, mais pas non plus des normaliens, quoi. En revanche, cela nécessite une préparation sérieuse et rigoureuse de plusieurs heures par jour et une vie à côté. Donc impossible pour moi de la préparer quand on est en poste. Si on a un congé de formation, pourquoi pas, en ayant commencé à bosser l'année d'avant pour les questions qui restent au programme.
Le souci, c'est la méthode, pas tellement le contenu en fait. C'est ça qui m'a coulée quand je l'ai passée en externe (je ne pigeais pas les problématiques porteuses donc ne trouvais pas de plan), alors qu'au niveau connaissances, j'étais plutôt pas mal.
L'exemple d'Elaïna est intéressant pour un certain type de profil : prépa, grande école (donc maîtrise des méthodes, efficacité), programme qui "recoupe" des intérêts personnels, analyse de l'échec antérieur (même inconscient).
Le seul truc qui soit en faveur d'un passage de l'externe en tant que prof, c'est l'expérience et une plus grande efficacité (on enseigne la méthode après tout). Je sais que j'ai énormément progressé en géographie en tant que prof.
Je pense donc qu'il ne faut pas recommander à des collègues en poste de passer l'externe plutôt que l'interne. L'interne est beaucoup plus accessible, j'ai eu de très bonnes notes à l'écrit (excepté à la 3e épreuve où j'ai eu 10 sans savoir de quoi il retournait) qui m'ont permis de l'avoir. Je n'aurais jamais eu ces notes dans une copie d'externe avec comme concurrents des normaliens et des étudiants entraînés.
L'agreg externe de géographie est plus accessible, enfin elle l'était. Une de mes camarades de fac l'a passée quand elle était stagiaire ou T1 à la place de celle d'histoire et l'a réussie cette année-là (il y a 15 ans). Mais ça a peut-être changé. Si le but est d'avoir une agreg à tout prix, plutôt que de tenter celle d'histoire en externe, je tenterais celle de géo. En plus, je pense que les préparations peuvent être réinvesties en classe (je viens de regarder les programmes, effectivement, toute la partie géo est déjà "pensée" lorsqu'on fait les cours, donc je pense que c'est tout bénef).
Le seul regret pour l'interne : le fait que ce soit, en HG, une "sous-agreg" qui n'ouvre pas les mêmes portes qu'une externe.
Le souci, c'est la méthode, pas tellement le contenu en fait. C'est ça qui m'a coulée quand je l'ai passée en externe (je ne pigeais pas les problématiques porteuses donc ne trouvais pas de plan), alors qu'au niveau connaissances, j'étais plutôt pas mal.
L'exemple d'Elaïna est intéressant pour un certain type de profil : prépa, grande école (donc maîtrise des méthodes, efficacité), programme qui "recoupe" des intérêts personnels, analyse de l'échec antérieur (même inconscient).
Le seul truc qui soit en faveur d'un passage de l'externe en tant que prof, c'est l'expérience et une plus grande efficacité (on enseigne la méthode après tout). Je sais que j'ai énormément progressé en géographie en tant que prof.
Je pense donc qu'il ne faut pas recommander à des collègues en poste de passer l'externe plutôt que l'interne. L'interne est beaucoup plus accessible, j'ai eu de très bonnes notes à l'écrit (excepté à la 3e épreuve où j'ai eu 10 sans savoir de quoi il retournait) qui m'ont permis de l'avoir. Je n'aurais jamais eu ces notes dans une copie d'externe avec comme concurrents des normaliens et des étudiants entraînés.
L'agreg externe de géographie est plus accessible, enfin elle l'était. Une de mes camarades de fac l'a passée quand elle était stagiaire ou T1 à la place de celle d'histoire et l'a réussie cette année-là (il y a 15 ans). Mais ça a peut-être changé. Si le but est d'avoir une agreg à tout prix, plutôt que de tenter celle d'histoire en externe, je tenterais celle de géo. En plus, je pense que les préparations peuvent être réinvesties en classe (je viens de regarder les programmes, effectivement, toute la partie géo est déjà "pensée" lorsqu'on fait les cours, donc je pense que c'est tout bénef).
Le seul regret pour l'interne : le fait que ce soit, en HG, une "sous-agreg" qui n'ouvre pas les mêmes portes qu'une externe.
- ElaïnaDevin
Je suis tout à fait d'accord avec toi Cléopatra pour la géo. Personnellement, je n'ai pas fait de géo avant de préparer l'agreg et ça s'est vu : 5 à l'écrit la première fois, 9 la 2e à l'écrit comme à l'oral et on va dire que c'est plutôt les Jésuites du hors programme qui me l'ont fait avoir ). Aujourd'hui, je m'en sortirais mieux, à force de pratiquer le vocabulaire et la méthode.
Après la méthode pour l'externe ça se travaille. De fait, comme les autres, je ne conseillerais pas de s'embêter avec l'externe pour la plupart des collègues en poste, mais pour certains, qui seraient bien infoutus de passer les épreuves type transpo, ça peut le faire.
Après la méthode pour l'externe ça se travaille. De fait, comme les autres, je ne conseillerais pas de s'embêter avec l'externe pour la plupart des collègues en poste, mais pour certains, qui seraient bien infoutus de passer les épreuves type transpo, ça peut le faire.
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It took me forty years to realize this. But for guys like us... our lives aren't really our own. There's always someone new to help. Someone we need to protect. These past few years, I fought that fate with all I had. But I'm done fighting. It's time I accept the hand I was dealt. Too many people depend on us. Their dreams depend on us.
Kiryu Kazuma inYakuza 4 Remastered
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- JmarcelNiveau 5
Cléopatra2 a écrit:Je ne pense pas que l'agreg externe soit réservée aux érudits, je connais plusieurs personnes qui l'ont eue en venant de fac, en ayant un bon niveau, mais pas non plus des normaliens, quoi. En revanche, cela nécessite une préparation sérieuse et rigoureuse de plusieurs heures par jour et une vie à côté. Donc impossible pour moi de la préparer quand on est en poste. Si on a un congé de formation, pourquoi pas, en ayant commencé à bosser l'année d'avant pour les questions qui restent au programme.
Le souci, c'est la méthode, pas tellement le contenu en fait. C'est ça qui m'a coulée quand je l'ai passée en externe (je ne pigeais pas les problématiques porteuses donc ne trouvais pas de plan), alors qu'au niveau connaissances, j'étais plutôt pas mal.
L'exemple d'Elaïna est intéressant pour un certain type de profil : prépa, grande école (donc maîtrise des méthodes, efficacité), programme qui "recoupe" des intérêts personnels, analyse de l'échec antérieur (même inconscient).
Le seul truc qui soit en faveur d'un passage de l'externe en tant que prof, c'est l'expérience et une plus grande efficacité (on enseigne la méthode après tout). Je sais que j'ai énormément progressé en géographie en tant que prof.
Je pense donc qu'il ne faut pas recommander à des collègues en poste de passer l'externe plutôt que l'interne. L'interne est beaucoup plus accessible, j'ai eu de très bonnes notes à l'écrit (excepté à la 3e épreuve où j'ai eu 10 sans savoir de quoi il retournait) qui m'ont permis de l'avoir. Je n'aurais jamais eu ces notes dans une copie d'externe avec comme concurrents des normaliens et des étudiants entraînés.
L'agreg externe de géographie est plus accessible, enfin elle l'était. Une de mes camarades de fac l'a passée quand elle était stagiaire ou T1 à la place de celle d'histoire et l'a réussie cette année-là (il y a 15 ans). Mais ça a peut-être changé. Si le but est d'avoir une agreg à tout prix, plutôt que de tenter celle d'histoire en externe, je tenterais celle de géo. En plus, je pense que les préparations peuvent être réinvesties en classe (je viens de regarder les programmes, effectivement, toute la partie géo est déjà "pensée" lorsqu'on fait les cours, donc je pense que c'est tout bénef).
Le seul regret pour l'interne : le fait que ce soit, en HG, une "sous-agreg" qui n'ouvre pas les mêmes portes qu'une externe.
Je souscris totalement à ces propos.
L'agrégation externe n'est pas un concours d'érudition. On peut être honnêtement admis, et ne pas posséder une culture abyssale (et en être conscient).L'agrégation c'est une méthode.
J'ai une autre question : je lis que les connaissances primeraient encore un peu à l'interne sur la pédagogie. Les remarques datent d'admis en 2008. Pensez-vous que la part pédagogique a gagné en importance à l'agrégation interne, étant elle même le reflet de l'importance donnée dans l'EN en général (il suffit de voir l'évolution du CAPES) ?
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