- NLM76Grand Maître
Je l'ai déjà publiée, mais relue seulement d'un œil distrait et pressé. Des relecteurs ?
- http://www.lettresclassiques.fr/2022/05/23/une-fiche-sur-lanalyse-de-linterrogation/
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Sites du grip :
- http://instruire.fr
- http://grip-editions.fr
Mon site : www.lettresclassiques.fr
«Boas ne renonça jamais à la question-clé : quelle est, du point de vue de l'information, la différence entre les procédés grammaticaux observés ? Il n'entendait pas accepter une théorie non sémantique de la structure grammaticale et toute allusion défaitiste à la prétendue obscurité de la notion de sens lui paraissait elle-même obscure et dépourvue de sens.» [Roman Jakobson, Essais de linguistique générale, "La notion de signification grammaticale selon Boas" (1959)]
- User9525Niveau 8
Je l'ai lue (un peu vite peut-être) mais ça me semble très clair, pas d'ambiguïtés, pas d'à-peu-près !
Bravo, est-ce que je peux m'en servir en te citant ? Bon, anonymement c'est pas évident...
Tu exclus résolument la pragmatique de l'interrogation, je pense bien que c'est volontaire. Est-ce que tu t'en sers quand même pour l'explication de texte ?
Bravo, est-ce que je peux m'en servir en te citant ? Bon, anonymement c'est pas évident...
Tu exclus résolument la pragmatique de l'interrogation, je pense bien que c'est volontaire. Est-ce que tu t'en sers quand même pour l'explication de texte ?
- NLM76Grand Maître
Merci @Shakti, pour la relecture. Bien sûr que tu peux t'en servir, anonymement ou pas, tel quel ou en le modifiant à ton goût. C'est fait pour.
Qu'est-ce que c'est la pragmatique de l'interrogation ? A quoi ça sert dans l'explication ? A priori, de toutes façons, comme c'est une fiche pour la question de grammaire, c'est à exclure. Mais ma question est sincère.
Edit : je viens de regarder sur internet, un document de l'académie d'Aix-Marseille. Peut-être il faudrait ajouter quelque chose sur l'interro-négative. Sans doute aussi quelque chose sur le -t- euphonique.
Qu'est-ce que c'est la pragmatique de l'interrogation ? A quoi ça sert dans l'explication ? A priori, de toutes façons, comme c'est une fiche pour la question de grammaire, c'est à exclure. Mais ma question est sincère.
Edit : je viens de regarder sur internet, un document de l'académie d'Aix-Marseille. Peut-être il faudrait ajouter quelque chose sur l'interro-négative. Sans doute aussi quelque chose sur le -t- euphonique.
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«Boas ne renonça jamais à la question-clé : quelle est, du point de vue de l'information, la différence entre les procédés grammaticaux observés ? Il n'entendait pas accepter une théorie non sémantique de la structure grammaticale et toute allusion défaitiste à la prétendue obscurité de la notion de sens lui paraissait elle-même obscure et dépourvue de sens.» [Roman Jakobson, Essais de linguistique générale, "La notion de signification grammaticale selon Boas" (1959)]
- PointàlaligneExpert
Merci @NLM76 dont je suis toujours les posts avec grand intérêt.
Modestement, ta fiche va me donner un horizon pour mes 3e...
Modestement, ta fiche va me donner un horizon pour mes 3e...
- User9525Niveau 8
NLM76 a écrit:Merci @Shakti, pour la relecture. Bien sûr que tu peux t'en servir, anonymement ou pas, tel quel ou en le modifiant à ton goût. C'est fait pour.
Qu'est-ce que c'est la pragmatique de l'interrogation ? A quoi ça sert dans l'explication ? A priori, de toutes façons, comme c'est une fiche pour la question de grammaire, c'est à exclure. Mais ma question est sincère.
Edit : je viens de regarder sur internet, un document de l'académie d'Aix-Marseille. Peut-être il faudrait ajouter quelque chose sur l'interro-négative. Sans doute aussi quelque chose sur le -t- euphonique.
Merci!
La pragmatique, en gros, pour l'interrogation (parce qu'on peut l'exploiter pour d'autres aspects de la langue), c'est le fait de la considérer comme un acte de parole : disons que la phrase grammaticale de forme interrogative ne correspond pas forcément à l'acte de questionner. Un exemple est le "Comment allez-vous ?" qui peut juste être une prise de contact (phatique) quand deux personnes se saluent, alors que, si c'est un médecin qui pose la question à son patient, on imagine qu'il attend une réponse un peu précise. L'autre exemple le plus fameux, que les élèves adorent, est celui de la question oratoire qui n'est pas un questionnement mais une " assertion renforcée" (selon la Grammaire méthodique du français).
Je pense que tu as raison d'exclure cette dimension dans une leçon de syntaxe pour des premières.
D'un autre côté, je crois qu'on s'en sert assez naturellement dans l'explication sans avoir recours aux termes pédants qui l'accompagnent d'ailleurs. Ces notions me semblent assez utiles pour le texte de théâtre.
- User9525Niveau 8
D'ailleurs, dans le programme de langue, on peut lire ça:
- L’interrogation : syntaxe, sémantique et pragmatique
- L’expression de la négation ( pragmatique)
- L’interrogation : syntaxe, sémantique et pragmatique
- L’expression de la négation ( pragmatique)
- IphigénieProphète
ils ont dû prendre la table des matières de la Riegel...
- User9525Niveau 8
La RPR, une valeur sûre ?
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