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- Clecle78Bon génie
C'est la MAIF qui gère l'autonome maintenant (qui n'est plus autonome donc), c'est la même assurance.en fait.Iphigénie a écrit:L’autonome a dû être pas mal concurrencée depuis déjà longtemps aussi par la MAIF qui a fait un complément d’assurance professionnelle. Je ne sais pas qui y adhère encore.
La solidarité laïque ressemble de plus en plus par cette philosophie du métier enseignant à la version laïque mais non moins exaltée sinon exaltante des missions religieuses et de la beauté du martyre: tous ensemble, tous ensemble…
- IphigénieProphète
ah c'est la même? j'avais point compris (deconnected je suis ) C'était une vague réminiscence
- LagomorpheFidèle du forum
Du coup, la question qui me vient naturellement à l'esprit est la suivante : quand on est à la MAIF et qu'on a souscrit à l'offre "métiers de l'éducation" qui inclut l'adhésion à ASL, comment on fait pour résilier, tout en faisant connaître à la MAIF le motif de cette résiliation de manière à ce qu'elle remonte à la direction de l'ASL ?
Et accessoirement, par quoi remplacer l'ASL ?
Et accessoirement, par quoi remplacer l'ASL ?
- pseudo-intelloSage
FO et le SNALC offrent une protection juridique.
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- ZybulkaHabitué du forum
Par la protection fonctionnelle qui sert justement à protéger les fonctionnaires contre les abus en tout genres et qui est une obligation légale de l'institution !Lagomorphe a écrit:Et accessoirement, par quoi remplacer l'ASL ?
- AustrucheerranteHabitué du forum
Merci pour vos réponses. Je me rends compte que je ne sais pas du tout si j'ai quelque chose d'équivalent, je vais me pencher là-dessus.
(Pas fait mon stage dans le secondaire, donc pas passé par l'INSPE : ceci explique peut-être cela ?)
(Pas fait mon stage dans le secondaire, donc pas passé par l'INSPE : ceci explique peut-être cela ?)
- User3296Niveau 7
Lagomorphe a écrit:Du coup, la question qui me vient naturellement à l'esprit est la suivante : quand on est à la MAIF et qu'on a souscrit à l'offre "métiers de l'éducation" qui inclut l'adhésion à ASL, comment on fait pour résilier, tout en faisant connaître à la MAIF le motif de cette résiliation de manière à ce qu'elle remonte à la direction de l'ASL ?
Et accessoirement, par quoi remplacer l'ASL ?
+1
J'ai -une fois- eu besoin de contacter l'ASL pour m'accompagner dans la reconnaissance officielle d'un accident du travail (accident de voiture sur le trajet domicile > travail) et cela n'a pas abouti. C'est comme si nous avions pi*** dans un violon. On est souvent face à un mur dans ce boulot
- AsclépiosNiveau 7
Zybulka a écrit:Par la protection fonctionnelle qui sert justement à protéger les fonctionnaires contre les abus en tout genres et qui est une obligation légale de l'institution !Lagomorphe a écrit:Et accessoirement, par quoi remplacer l'ASL ?
Et j'ajouterais qu'il peut être plus simple d'obtenir la protection fonctionnelle qu'une aide réelle de l'ASL.
- ethelredNiveau 6
Il y a quinze ans, j'ai téléphoné à la représentante de l'ASL de mon département, en larmes, un collègue me hurlait dessus depuis des mois, m'insultait devant témoins (dont des élèves) et par mail, dégradait mon matériel, remettait en cause mon travail et mon niveau, il avait même changé les sujets du brevet blanc décidé en conseil d'enseignement, au dernier moment, pour le faire porter sur deux chapitres que je n'avais pas fait. A la fin, il était tellement hors de lui quand il me parlait que moi même ou certains collègues pensions qu'il allait me frapper ... Aucun soutien de ma hiérarchie (mon principal le couvrait même) ou des collègues, qui minimisaient. Suite à une énième engueulade mi juin, j'appelle l'ASL, la charmante représentante me raccroche au nez en me disant que c'est délicat, ils ont l'habitude de traiter des cas concernant des litiges entre professeurs et parents, pas entre professeurs. Quinze jours plus tard elle vient pour présenter l'Autonome au collège (réunion obligatoire de fin d'année, est ce normal ??), j'apprends qu'elle est très amie avec mon chef d'établissement. En fait l'Autonome ne s'est pas impliquée dans mon cas pour des raisons de copinage local. Je n'ai jamais plus adhéré, j'ai la protection GMF du snalc. Et mon problème a été résolu par un dépôt de plainte et la visite de l'inspecteur, remonté contre moi au début mais qui au vu des preuves que je lui ai fourni a demandé à mon collègue d'arrêter là. Je n'ai plus jamais eu de souci avec lui (mais je ne me suis jamais remise de ses agressions). Une petite intervention de mon chef d'établissement ou de l'ASL aurait suffit en fait, mon collègue était un pleutre, quel gâchis ...
- PointàlaligneExpert
Lagomorphe a écrit:Du coup, la question qui me vient naturellement à l'esprit est la suivante : quand on est à la MAIF et qu'on a souscrit à l'offre "métiers de l'éducation" qui inclut l'adhésion à ASL, comment on fait pour résilier, tout en faisant connaître à la MAIF le motif de cette résiliation de manière à ce qu'elle remonte à la direction de l'ASL ?
Et accessoirement, par quoi remplacer l'ASL ?
Tu as regardé sur l'espace personnel MAIF pour résilier ?
Pour leur expliquer pourquoi, un petit mail devrait suffire...
- albertine123Niveau 6
Ah mais moi aussi je souscris à cette protection machin métiers de l'éducation depuis mon année de stage, les collègues me l'avaient plus que conseillée dans le premier degré. C'est pas une reconduction automatique ce truc ? Si quelqu'un l'a résiliée ça m'intéresse.
- RandoschtroumfNiveau 10
C'est un contrat à reconduction tacite. J'ai adhéré au début de ma carrière. J'ai tout simplement résilié en envoyant un recommandé à la MAIF, comme pour n'importe quel contrat d'assurance.
- epekeina.tes.ousiasModérateur
Ne pas se méprendre sur ce que je vais dire, mais il y a un "fond de vérité" là dedans, dont il faudrait conclure l'inverse.
Il y a beaucoup d'enfants perturbateurs qui sont en réalité perturbés, surtout les plus jeunes (pour les ados, j'ai plus de doutes). Ils relèvent plus d'une aide et de soins que de sanctions.
Sauf que cette aide et ces soins incombent à l'institution, qui doit recruter les médecins, les psy et les infirmiers pour ce faire. Donc, la faille et la faute sont celles des responsables de cette institution. Et non d'une soi disant "équipe éducative" qui ne dispose pas de ces spécialités. Ça n'est pas parce qu'on serait plusieurs qu'on se mettrait à savoir quelque chose qu'on ne sait pas. Ceux qui dirigent cette institution jouent la carte d'un misérabilisme moralisateur et culpabilisant en estimant que quand on veut, on peut, en "oubliant" que la question est ailleurs: pourquoi se trouve-t-on contraint de "gérer" sinon parce que rien n'est prévu ? Pourquoi devrait-on "se former" et le faire en plus du reste, à salaire constant voire en baisse, et dans des conditions qui rendent la chose au mieux plus que scabreuse ?
Il y a beaucoup d'enfants perturbateurs qui sont en réalité perturbés, surtout les plus jeunes (pour les ados, j'ai plus de doutes). Ils relèvent plus d'une aide et de soins que de sanctions.
Sauf que cette aide et ces soins incombent à l'institution, qui doit recruter les médecins, les psy et les infirmiers pour ce faire. Donc, la faille et la faute sont celles des responsables de cette institution. Et non d'une soi disant "équipe éducative" qui ne dispose pas de ces spécialités. Ça n'est pas parce qu'on serait plusieurs qu'on se mettrait à savoir quelque chose qu'on ne sait pas. Ceux qui dirigent cette institution jouent la carte d'un misérabilisme moralisateur et culpabilisant en estimant que quand on veut, on peut, en "oubliant" que la question est ailleurs: pourquoi se trouve-t-on contraint de "gérer" sinon parce que rien n'est prévu ? Pourquoi devrait-on "se former" et le faire en plus du reste, à salaire constant voire en baisse, et dans des conditions qui rendent la chose au mieux plus que scabreuse ?
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- zigmag17Guide spirituel
Entièrement d'accord. L'institution est fautive celle le sait, et fait semblant de chercher des solutions qu'elle s'appliquera pas puisqu'elle a tout mis en place pour les rendre impraticables. Il est donc plus facile de culpabiliser les gens de terrain en leur faisant croire qu'ils se savent pas faire, et que d'un semblant de théorie sortira une pratique infaillible.
C'est incomparablement volontairement inadapté et stupide.
C'est incomparablement volontairement inadapté et stupide.
- epekeina.tes.ousiasModérateur
Volontairement, je n'en suis pas sûr, car je suis plus pessimiste. À un certain niveau, oui, et c'est même du cynisme: une prise en charge coûterait fort cher, donc... Que les plus riches s'occupent de leurs enfants et que les autres assument une pénurie entretenue.
Mais ceux qui viennent prêcher ça, dans les écoles et les établissements où parmi mes collègues, y croient, et dur comme fer! Ils ne voient en général aucun problème: puisqu'une prise en charge est possible, "les profs n'ont qu'à se former" (avec eux!). C'est un "on peut donc on le doit". Et le passage de la "science" à l'"injonction", en général, repose sur leur sentimentalité: "pensez aux pauvres enfants, vous le leur devez" (ils ne le disent pas comme ça, mais il est facile de le leur faire dire).
Le pur et simple aveuglement et leur incapacité à voir plus loin suffit, et il n'est pas besoin d'y ajouter une volonté de nuire. Et le sentimentalisme suffit amplement à expliquer l'agressivité: un prof qui "refuse" de s'en occuper est forcément "méchant" et contre les enfants. C'est plus lamentable que malintentionné...
Mais ceux qui viennent prêcher ça, dans les écoles et les établissements où parmi mes collègues, y croient, et dur comme fer! Ils ne voient en général aucun problème: puisqu'une prise en charge est possible, "les profs n'ont qu'à se former" (avec eux!). C'est un "on peut donc on le doit". Et le passage de la "science" à l'"injonction", en général, repose sur leur sentimentalité: "pensez aux pauvres enfants, vous le leur devez" (ils ne le disent pas comme ça, mais il est facile de le leur faire dire).
Le pur et simple aveuglement et leur incapacité à voir plus loin suffit, et il n'est pas besoin d'y ajouter une volonté de nuire. Et le sentimentalisme suffit amplement à expliquer l'agressivité: un prof qui "refuse" de s'en occuper est forcément "méchant" et contre les enfants. C'est plus lamentable que malintentionné...
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- zigmag17Guide spirituel
Je pense que le système est perverti, donc que ses mauvaises intentions en font partie, et que ses agents prescripteurs prescrivent en toute conscience.
Honnêtement , qui parmi les IPR rencontrés depuis le début de l'année pourrait dire en toute tranquillité à son entourage hors EN: "Dans une même classe cette année, il y a un élève qui parle à son bras, un autre qui est schizophrène, un autre qui est trisomique, un autre qui a des tendances suicidaires, avec d'autres élèves de CAP, les profs se plaignent, on va leur coller une formation, ils ne pourront plus dire qu'on n'a rien fait, ça ira mieux"... sans qu'on leur rie au nez ni qu'eux-mêmes aient conscience de l'énormité des faits et de leurs paroles??
Non, ils savent très bien ce qu'ils font.
( j'ai cette classe)
Mais ça commence à être HS ici je pense.
Honnêtement , qui parmi les IPR rencontrés depuis le début de l'année pourrait dire en toute tranquillité à son entourage hors EN: "Dans une même classe cette année, il y a un élève qui parle à son bras, un autre qui est schizophrène, un autre qui est trisomique, un autre qui a des tendances suicidaires, avec d'autres élèves de CAP, les profs se plaignent, on va leur coller une formation, ils ne pourront plus dire qu'on n'a rien fait, ça ira mieux"... sans qu'on leur rie au nez ni qu'eux-mêmes aient conscience de l'énormité des faits et de leurs paroles??
Non, ils savent très bien ce qu'ils font.
( j'ai cette classe)
Mais ça commence à être HS ici je pense.
- epekeina.tes.ousiasModérateur
Je ne sais pas.
Le point de vue du spécialiste auquel l'Autonome croit bon de donner la parole est intéressant en ceci qu'il est auticontradictoire et confus:
- d'une part, il signale que l'élève "perturbateur" ne l'est pas nécessairement de son propre fait, qu'il est perçu comme tel et relativement à une institution
- ensuite, il en fait une règle absolue: c'est toujours du "construit" (donc il n'existe jamais aucun trouble réel, seulement du "construit": opérateur classique et fort utile de dénégation du réel); or c'est faux car qu'il le soit toujours aussi ne veut dire qu'il ne soit tel qu'en vertu de cette perception
- d'autre part, il estime que cela devrait relever d'une prise en charge par "l'institution", ce qui n'est pas faux, mis à part que, tout à coup, il "naturalise" cette institution en lui attribuant le pouvoir magique de pouvoir remédier à tout:
- en effet, il refuse de se demander par qui cela doit être fait dans l'institution: ceux qui sont là semblent faire l'affaire; en réalité, il est probable qu'il n'aperçoit même pas que la question politique de l'ordre institutionnel, de savoir où sont ceux qui pourraient faire cette prise en charge, et celle de savoir pourquoi il y en a si peu se posent.
En d'autres termes, ça ressemble à cette situation: constatant que le plâtre du plafond de la salle de classe est écaillé alors que ses recherches lui ont prouvé qu'on peut facilement refaire le plafond avec un peu de "formation", un escabeau, du plâtre, etc., il "monte un module de formation". Ce serait risible si ce n'était pas pitoyable.
- mai c'est que, puisque le problème n'est pas réel, mais "construit", il n'y a pas besoin de moyens réels, un simple discours idéologique devrait procurer la compréhension, donc la solution. Par conséquent: "y a qu'à et faut qu'on". CQFD.
On le sent imbu de ses propres idées, certes. Mais surtout incapable de voir plus loin que le bout de son nez. Et l'un des pivots de son erreur (qu'il transforme en faute), c'est de refuser de s'intéresser à la réalité, en particulier à la réalité institutionnelle du manque de moyens et de personnels qualifiés pour traiter ces problèmes. Pareil "spécialiste" est fort utile pour défendre des vérités gouvernementales, mais non parce qu'il le ferait volontairement et avec hypocrisie (en général, il pose même au révolutionnaire intraitable): c'est seulement parce qu'il est dans un aveuglement systématique et auto-entretenu.
Quant à l'ASL, elle lui donne la parole, parce qu'elle donne dans le "journalisme" à deux sous, qui ressasse des lieux communs en exprimant de bons sentiments (lesquels, étant bons, dénoncent par avance les méchantes objections). Je serais fort étonné, par ex., que l'idée même de donner la parole à un contradicteur puisse surgir. Les personnes qui s'occupent de cette "communication" ne comprendraient probablement pas un traître mot de la critique qu'on pourrait leur adresser. L'empilement des aveuglements qui se répondent et se confortent mutuellement suffit amplement à expliquer le phénomène, sans qu'il soit besoin d'y ajouter une volonté délibérée. Ça ne demande que de mettre en doute l'idée toute faite suivant laquelle notre époque ne serait pas une époque d'obscurantisme (et c'est là, bien sûr, le plus difficile).
Le point de vue du spécialiste auquel l'Autonome croit bon de donner la parole est intéressant en ceci qu'il est auticontradictoire et confus:
- d'une part, il signale que l'élève "perturbateur" ne l'est pas nécessairement de son propre fait, qu'il est perçu comme tel et relativement à une institution
- ensuite, il en fait une règle absolue: c'est toujours du "construit" (donc il n'existe jamais aucun trouble réel, seulement du "construit": opérateur classique et fort utile de dénégation du réel); or c'est faux car qu'il le soit toujours aussi ne veut dire qu'il ne soit tel qu'en vertu de cette perception
- d'autre part, il estime que cela devrait relever d'une prise en charge par "l'institution", ce qui n'est pas faux, mis à part que, tout à coup, il "naturalise" cette institution en lui attribuant le pouvoir magique de pouvoir remédier à tout:
- en effet, il refuse de se demander par qui cela doit être fait dans l'institution: ceux qui sont là semblent faire l'affaire; en réalité, il est probable qu'il n'aperçoit même pas que la question politique de l'ordre institutionnel, de savoir où sont ceux qui pourraient faire cette prise en charge, et celle de savoir pourquoi il y en a si peu se posent.
En d'autres termes, ça ressemble à cette situation: constatant que le plâtre du plafond de la salle de classe est écaillé alors que ses recherches lui ont prouvé qu'on peut facilement refaire le plafond avec un peu de "formation", un escabeau, du plâtre, etc., il "monte un module de formation". Ce serait risible si ce n'était pas pitoyable.
- mai c'est que, puisque le problème n'est pas réel, mais "construit", il n'y a pas besoin de moyens réels, un simple discours idéologique devrait procurer la compréhension, donc la solution. Par conséquent: "y a qu'à et faut qu'on". CQFD.
On le sent imbu de ses propres idées, certes. Mais surtout incapable de voir plus loin que le bout de son nez. Et l'un des pivots de son erreur (qu'il transforme en faute), c'est de refuser de s'intéresser à la réalité, en particulier à la réalité institutionnelle du manque de moyens et de personnels qualifiés pour traiter ces problèmes. Pareil "spécialiste" est fort utile pour défendre des vérités gouvernementales, mais non parce qu'il le ferait volontairement et avec hypocrisie (en général, il pose même au révolutionnaire intraitable): c'est seulement parce qu'il est dans un aveuglement systématique et auto-entretenu.
Quant à l'ASL, elle lui donne la parole, parce qu'elle donne dans le "journalisme" à deux sous, qui ressasse des lieux communs en exprimant de bons sentiments (lesquels, étant bons, dénoncent par avance les méchantes objections). Je serais fort étonné, par ex., que l'idée même de donner la parole à un contradicteur puisse surgir. Les personnes qui s'occupent de cette "communication" ne comprendraient probablement pas un traître mot de la critique qu'on pourrait leur adresser. L'empilement des aveuglements qui se répondent et se confortent mutuellement suffit amplement à expliquer le phénomène, sans qu'il soit besoin d'y ajouter une volonté délibérée. Ça ne demande que de mettre en doute l'idée toute faite suivant laquelle notre époque ne serait pas une époque d'obscurantisme (et c'est là, bien sûr, le plus difficile).
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- ShajarVénérable
Il existe aussi des autonomes indépendantes, qui ne sont pas gérées par la MAIF, mais par des collègues, et qui ne sont donc pas détachées du terrain, comme Capautonome : https://www.capautonome.fr/
- CathEnchanteur
"des assignations sociales, sexuées et racialisées."
Mais qui sont ces clowns ?
L'ASL, c'est la fameuse Autonome de Solidarité ? Bien contente de ne jamais leur avoir jamais versé un centime en 30 ans.
Mais qui sont ces clowns ?
L'ASL, c'est la fameuse Autonome de Solidarité ? Bien contente de ne jamais leur avoir jamais versé un centime en 30 ans.
- NanouVNiveau 6
Est-ce normal, alors que je ne suis que dans ma cinquième année d'enseignement, que ce type de propos ne me surprenne plus ?
- zigmag17Guide spirituel
NanouV a écrit:Est-ce normal, alors que je ne suis que dans ma cinquième année d'enseignement, que ce type de propos ne me surprenne plus ?
Si tôt dans la carrière, je dirais plutôt que c'est un signe d'intelligence. Sois fière !!!
- LagomorpheFidèle du forum
Merci à ceux qui ont répondu à ma question. Résiliation motivée envoyée.
- pseudo-intelloSage
ASL résiliée (on l'avait par la MAIF).
La MAIF vient de nous rappeler pour connaître la raison e notre désabonnement, mon mari les a renvoyés vers l'article. Ils ont insisté pour qu'on accepte que quelqu'un de l'ASL nous rappelle, mon mari leur a clairement dit que c 'était pas la peine.
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- CeladonDemi-dieu
Wouah ! On ne s'amuse pas chez les Lagomorphe et les Pseudo-intello ! S'ils font face à une vague de résiliations, ils vont peut-être enfin se poser des questions sur la pertinence de leurs positions !
- VerduretteModérateur
Je viens de résilier aussi et j'ai écrit pour expliquer ma décision. En juin dernier, j'avais reçu des mails d'insulte de la part de parents d'élèves qui contestaient la fermeture de notre école (comme si les enseignants en étaient responsables !!) et ils m'avaient dit que bon, c'était pas bien grave, c'était bientôt les vacances et il fallait penser à autre chose. Bref, la même chose que le DASEN...
- ThalieGrand sage
Je suis allée voir mon compte MAIF en étant quasi certaine de ne pas avoir cette assurance...Mais si, je l'ai !!! Je ne l'ai jamais demandée. Croyez-vous qu'elle était automatiquement présente dans un contrat voiture ?
Je m'en vais résilier de ce pas mais il faut que ce soit 20 j avant le 31 décembre il me semble, non ?
Vous partageriez vos modèles de lettres ?
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