- zigmag17Guide spirituel
Pour parler de mon salaire je n'aurai que deux mots: PAS ASSEZ!
C'est tout!
De rien!
C'est tout!
De rien!
- Clecle78Bon génie
Deux mots aussi :
Encore plus !
Encore plus !
- InvitéInvité
Un seul mot : inflation.
- MathadorEmpereur
En une chanson:
_________________
"There are three kinds of lies: lies, damned lies, and statistics." (cité par Mark Twain)
« Vulnerasti cor meum, soror mea, sponsa; vulnerasti cor meum in uno oculorum tuorum, et in uno crine colli tui.
Quam pulchrae sunt mammae tuae, soror mea sponsa! pulchriora sunt ubera tua vino, et odor unguentorum tuorum super omnia aromata. » (Canticum Canticorum 4:9-10)
- tAoKHabitué du forum
https://www.education.gouv.fr/comprendre-les-nouvelles-carrieres-des-personnels-enseignants-d-education-et-psychologues-de-l-2885
Maintenant regardons un peu le SMIC :
- 2016 ---> 1 466,62 € par mois = 17 599,44 € annuels
- aujourd'hui ---> 1 589,47 € par mois = 19 073,64 € annuels
Une personne touchant le SMIC gagne 1 474,20 € de plus qu'en 2016, mais les stagiaires (bien choyés) gagnent 1 000 € de plus ....
(tous les montants sont en brut)
Merci l'Education nationale
Education nationale a écrit:Pour un stagiaire :
+ 900 € bruts annuels pour un stagiaire recruté en 2019 par rapport à un stagiaire recruté en 2016.
Auxquels se rajoutent 100 € bruts annuels pour un stagiaire recruté en 2020, soit + 1000 € bruts par rapport à un stagiaire recruté en 2016.
Maintenant regardons un peu le SMIC :
- 2016 ---> 1 466,62 € par mois = 17 599,44 € annuels
- aujourd'hui ---> 1 589,47 € par mois = 19 073,64 € annuels
Une personne touchant le SMIC gagne 1 474,20 € de plus qu'en 2016, mais les stagiaires (bien choyés) gagnent 1 000 € de plus ....
(tous les montants sont en brut)
Merci l'Education nationale
- InvitéInvité
C'est en comptant la prime que touchent les stagiaires pour compenser le fait qu'ils sont en dessous du SMIC ou pas ?tAoK a écrit:https://www.education.gouv.fr/comprendre-les-nouvelles-carrieres-des-personnels-enseignants-d-education-et-psychologues-de-l-2885Education nationale a écrit:Pour un stagiaire :
+ 900 € bruts annuels pour un stagiaire recruté en 2019 par rapport à un stagiaire recruté en 2016.
Auxquels se rajoutent 100 € bruts annuels pour un stagiaire recruté en 2020, soit + 1000 € bruts par rapport à un stagiaire recruté en 2016.
Maintenant regardons un peu le SMIC :
- 2016 ---> 1 466,62 € par mois = 17 599,44 € annuels
- aujourd'hui ---> 1 589,47 € par mois = 19 073,64 € annuels
Une personne touchant le SMIC gagne 1 474,20 € de plus qu'en 2016, mais les stagiaires (bien choyés) gagnent 1 000 € de plus ....
(tous les montants sont en brut)
Merci l'Education nationale
- MathadorEmpereur
Il n'y a de fait plus d'indemnité différentielle pour les fonctionnaires: en effet, le traitement minimum a été relevé à l'IM 340 qui est très légèrement au-dessus du SMIC. Pour comparaison, l'échelon 1 des certifiés est à l'IM 390 et celui des agrégés à l'IM 450.
Les A stagiaires avec un indice théorique au-dessous du SMIC, c'est à Bercy qu'on les trouve.
Les A stagiaires avec un indice théorique au-dessous du SMIC, c'est à Bercy qu'on les trouve.
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"There are three kinds of lies: lies, damned lies, and statistics." (cité par Mark Twain)
« Vulnerasti cor meum, soror mea, sponsa; vulnerasti cor meum in uno oculorum tuorum, et in uno crine colli tui.
Quam pulchrae sunt mammae tuae, soror mea sponsa! pulchriora sunt ubera tua vino, et odor unguentorum tuorum super omnia aromata. » (Canticum Canticorum 4:9-10)
- User16619Niveau 6
A votre avis, la reprise de l'inflation peut-elle favoriser un dégel du point d'indice des fonctionnaires ? En complément, soyons fous, je lis que plusieurs professions vont bénéficier d'augmentations substantielles en 2022. Faut-il attendre quelque chose, notamment au regard des élections à venir ?
- JennyMédiateur
Il ne faut pas rêver.
On a déjà eu « une revalorisation historique ».
On a déjà eu « une revalorisation historique ».
- epekeina.tes.ousiasModérateur
J'en serais fort surpris.
La crise de 2008 à fourni une occasion historique de geler le point d'indice en surfant sur l'opinion publique. Et de disposer d'un instrument de "maîtrise budgétaire". De plus, alors qu'on nous a annoncé que les dépenses publiques provoquées par cette crise, il n'a jamais été question de dégeler le point d'indice (à part brièvement à l'occasion d'une campagne présidentielle), et encore moins de rattraper la perte sèche que ça a provoqué et continue de sécréter.
Vu que je ne vois nulle part que ça soit même un sujet de débat politique, je serais fort étonné qu'il en soit question. À moins d'une grève dure et longue des enseignants, qui devrait de plus être soutenue par une bonne partie de l'opinion, ce qui semble très improbable, qui aurait pareille idée par temps de pénurie ? Et ce, sans compter les dépenses "quoi qu'il en coûte" de la présente crise...
Au mieux, peut-être un saupoudrage de quelques "primes", et un étrillage pas trop violent dans une réforme des retraites qui nous pend au nez...
La crise de 2008 à fourni une occasion historique de geler le point d'indice en surfant sur l'opinion publique. Et de disposer d'un instrument de "maîtrise budgétaire". De plus, alors qu'on nous a annoncé que les dépenses publiques provoquées par cette crise, il n'a jamais été question de dégeler le point d'indice (à part brièvement à l'occasion d'une campagne présidentielle), et encore moins de rattraper la perte sèche que ça a provoqué et continue de sécréter.
Vu que je ne vois nulle part que ça soit même un sujet de débat politique, je serais fort étonné qu'il en soit question. À moins d'une grève dure et longue des enseignants, qui devrait de plus être soutenue par une bonne partie de l'opinion, ce qui semble très improbable, qui aurait pareille idée par temps de pénurie ? Et ce, sans compter les dépenses "quoi qu'il en coûte" de la présente crise...
Au mieux, peut-être un saupoudrage de quelques "primes", et un étrillage pas trop violent dans une réforme des retraites qui nous pend au nez...
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Si tu vales valeo.
- InvitéInvité
C'est en partie le problème. Aucune action visant à revaloriser nos salaires ne sera soutenue par l'opinion publique.epekeina.tes.ousias a écrit:J'en serais fort surpris.
La crise de 2008 à fourni une occasion historique de geler le point d'indice en surfant sur l'opinion publique. Et de disposer d'un instrument de "maîtrise budgétaire". De plus, alors qu'on nous a annoncé que les dépenses publiques provoquées par cette crise, il n'a jamais été question de dégeler le point d'indice (à part brièvement à l'occasion d'une campagne présidentielle), et encore moins de rattraper la perte sèche que ça a provoqué et continue de sécréter.
Vu que je ne vois nulle part que ça soit même un sujet de débat politique, je serais fort étonné qu'il en soit question. À moins d'une grève dure et longue des enseignants, qui devrait de plus être soutenue par une bonne partie de l'opinion, ce qui semble très improbable, qui aurait pareille idée par temps de pénurie ? Et ce, sans compter les dépenses "quoi qu'il en coûte" de la présente crise...
Au mieux, peut-être un saupoudrage de quelques "primes", et un étrillage pas trop violent dans une réforme des retraites qui nous pend au nez...
- BaldredSage
AmyR a écrit:
C'est en partie le problème. Aucune action visant à revaloriser nos salaires ne sera soutenue par l'opinion publique.
Ce qui ne doit pas nous empêcher d'entrer dans l'action étant entendu que ce n'est jamais le bon moment.
Attendre quoi ? Que les élections soient terminées et que Blanquer ou un
Si les actions réussies et les actions ratées ont un point commun, c'est bien d'avoir été annoncées comme perdues d'avance.
- epekeina.tes.ousiasModérateur
Tout à fait d'accord. Je me contentais de noter que je ne vois aucun politique faire une pareille proposition et (chose liée à la précédente) que le rapport de force et l'opinion ne sont pas favorables à l'opinion (de sorte que les politiques, s'ils veulent être élus, auront tendance à aller dans le sens de l'opinion publique).
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Si tu vales valeo.
- BardamuNiveau 5
AmyR a écrit:C'est en partie le problème. Aucune action visant à revaloriser nos salaires ne sera soutenue par l'opinion publique.
Est-il indispensable d'être soutenu par l'opinion publique ?
Exemple : la ville où je séjournais il y a quelques mois.
Résultat :
Au cœur du bras de fer, le temps de travail des éboueurs, 1 460 heures par an, l'équivalent de 28 heures par semaine. La loi obligeait la métropole à le faire passer à 1607 heures par an soit 35 heures par semaine. Après huit jours de négociation et de grève, retour à la case départ. Le nombre d'heures reste le même et les agents obtiennent en prime une augmentation de 80 euros brut par mois.
https://www.lci.fr/societe/video-greve-des-poubelles-a-marseille-les-eboueurs-ont-gagne-la-bataille-2197898.html
- HORAHabitué du forum
D'accord avec @Bardamu.
Avant :
https://www.lepoint.fr/education/avec-les-enseignants-en-seconde-ligne-face-au-coronavirus-09-04-2020-2370719_3584.php
Confinés, les professeurs se démènent pour assurer la continuité pédagogique malgré leur impréparation.
Après :
https://www.lepoint.fr/societe/ces-milliers-de-profs-qui-ont-manque-a-l-appel-pendant-le-confinement-10-06-2020-2379232_23.php
Les témoignages sont nombreux d'élèves et de parents impuissants face à l'absence d'un ou plusieurs enseignants. « Il y en avait certains qui n'envoyaient pas de cours ou ne donnaient pas de nouvelles. Je l'ai très très mal vécu parce qu'il n'y avait personne pour m'aider », raconte une jeune fille scolarisée en région parisienne.
Qu'est-ce que ça serait si on n'avait pas le soutien de l'opinion, hein...
Avant :
https://www.lepoint.fr/education/avec-les-enseignants-en-seconde-ligne-face-au-coronavirus-09-04-2020-2370719_3584.php
Confinés, les professeurs se démènent pour assurer la continuité pédagogique malgré leur impréparation.
Après :
https://www.lepoint.fr/societe/ces-milliers-de-profs-qui-ont-manque-a-l-appel-pendant-le-confinement-10-06-2020-2379232_23.php
Les témoignages sont nombreux d'élèves et de parents impuissants face à l'absence d'un ou plusieurs enseignants. « Il y en avait certains qui n'envoyaient pas de cours ou ne donnaient pas de nouvelles. Je l'ai très très mal vécu parce qu'il n'y avait personne pour m'aider », raconte une jeune fille scolarisée en région parisienne.
Qu'est-ce que ça serait si on n'avait pas le soutien de l'opinion, hein...
- CrapaudNiveau 6
J'aime bien l'exemple des éboueurs marseillais qui ont réussi à retourner la situation en seulement 8 jours.
Malheureusement, quand un enseignant fait grève, c'est moins 'visible' que des poubelles qui s'accumulent dans la rue.
Malheureusement, quand un enseignant fait grève, c'est moins 'visible' que des poubelles qui s'accumulent dans la rue.
_________________
2012 - 2022 : Prof certifié de Physique-Chimie
2022 : reconversion via concours technicien supérieur principal de l'économie et de l'industrie
2024 : ingénieur de l'industrie et des mines
Poste actuel : inspecteur de l'environnement en DREAL (Ministère de la transition écologique)
- Choup90Niveau 10
Surtout avec le service minimum en primaire : la garderie est assurée.Crapaud a écrit:J'aime bien l'exemple des éboueurs marseillais qui ont réussi à retourner la situation en seulement 8 jours.
Malheureusement, quand un enseignant fait grève, c'est moins 'visible' que des poubelles qui s'accumulent dans la rue.
- HORAHabitué du forum
Crapaud a écrit:J'aime bien l'exemple des éboueurs marseillais qui ont réussi à retourner la situation en seulement 8 jours.
Malheureusement, quand un enseignant fait grève, c'est moins 'visible' que des poubelles qui s'accumulent dans la rue.
Bah, ça peut vite le devenir : t'enlèves la garderie nationale et les éboueurs doivent aussi trouver une solution de garde pour leurs enfants. La différence tient surtout au fait qu'ils sont prêts à défendre leurs conditions de travail et de vie, sans se laisser baratiner sur leur manque de dévouement et de "vocation" (cf l'autre fil).
- MathadorEmpereur
Sauf lorsqu'il n'y a plus personne pour le service minimum, comme cela a pu arriver en décembre 2019.Choup90 a écrit:Surtout avec le service minimum en primaire : la garderie est assurée.Crapaud a écrit:J'aime bien l'exemple des éboueurs marseillais qui ont réussi à retourner la situation en seulement 8 jours.
Malheureusement, quand un enseignant fait grève, c'est moins 'visible' que des poubelles qui s'accumulent dans la rue.
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"There are three kinds of lies: lies, damned lies, and statistics." (cité par Mark Twain)
« Vulnerasti cor meum, soror mea, sponsa; vulnerasti cor meum in uno oculorum tuorum, et in uno crine colli tui.
Quam pulchrae sunt mammae tuae, soror mea sponsa! pulchriora sunt ubera tua vino, et odor unguentorum tuorum super omnia aromata. » (Canticum Canticorum 4:9-10)
- MoyenCrocoNiveau 10
Si les professeurs font grève en bloc, c'est une grande partie de l'économie qui est bloquée. Ca n'est pas que quelques poubelles dans les rues (qui se déversent dans la mer lorsqu'il pleut 1 semaine après) qui vont gêner.
Et franchement, quand on vit à Marseille, les grèves des éboueurs c'est bien plus souvent que les grèves des professeurs. Et avec ou sans grève, dans certaines zones, on ne voit pas vraiment la différence ...
Et franchement, quand on vit à Marseille, les grèves des éboueurs c'est bien plus souvent que les grèves des professeurs. Et avec ou sans grève, dans certaines zones, on ne voit pas vraiment la différence ...
- Isis39Enchanteur
MoyenCroco a écrit:Si les professeurs font grève en bloc, c'est une grande partie de l'économie qui est bloquée. Ca n'est pas que quelques poubelles dans les rues (qui se déversent dans la mer lorsqu'il pleut 1 semaine après) qui vont gêner.
Et franchement, quand on vit à Marseille, les grèves des éboueurs c'est bien plus souvent que les grèves des professeurs. Et avec ou sans grève, dans certaines zones, on ne voit pas vraiment la différence ...
Cela fonctionne avec les professeurs des écoles. Les autres plus grands peuvent se garder tous seuls.
- CrapaudNiveau 6
Plutôt d'accord, mais les enseignants peuvent ils encore faire grève en bloc ?
La réforme successive du collège et du lycée aurait du mettre le feu aux poudres des protestations. Pourtant...
La réforme successive du collège et du lycée aurait du mettre le feu aux poudres des protestations. Pourtant...
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2012 - 2022 : Prof certifié de Physique-Chimie
2022 : reconversion via concours technicien supérieur principal de l'économie et de l'industrie
2024 : ingénieur de l'industrie et des mines
Poste actuel : inspecteur de l'environnement en DREAL (Ministère de la transition écologique)
- Fires of PompeiiGuide spirituel
Même dans le secondaire une grève massive et durable aurait un large effet. Les parents n’aiment pas que leurs enfants se gardent seuls avec console et compagnie. Accessoirement ils n’aiment pas qu’ils n’aient pas cours
Le problème c’est que les professeurs ne veulent pas faire grève (en majorité), c’est tout. Ils ont leurs raisons et on ne refera pas le débat ici, mais c’est un obstacle.
Le problème c’est que les professeurs ne veulent pas faire grève (en majorité), c’est tout. Ils ont leurs raisons et on ne refera pas le débat ici, mais c’est un obstacle.
- InvitéInvité
Tu crois ? Ils n'aiment pas avoir à le garder. Ils ont un travail eux.Fires of Pompeii a écrit:Même dans le secondaire une grève massive et durable aurait un large effet. Les parents n’aiment pas que leurs enfants se gardent seuls avec console et compagnie. Accessoirement ils n’aiment pas qu’ils n’aient pas cours
Le problème c’est que les professeurs ne veulent pas faire grève (en majorité), c’est tout. Ils ont leurs raisons et on ne refera pas le débat ici, mais c’est un obstacle.
On remplacerait les cours par de la garderie et les enseignants par des animateurs que ça ne gênerait personne, sauf nous.
- EnaecoVénérable
cliché du prof VS cliché du parent
- BaldredSage
Crapaud a écrit:Plutôt d'accord, mais les enseignants peuvent ils encore faire grève en bloc ?
La réforme successive du collège et du lycée aurait du mettre le feu aux poudres des protestations. Pourtant...
Pourtant...non.
Une des raisons est qu'en face nous n'avons pas affaire à des imbéciles. Un certain nombre de (grosses) ficelles sont utilisées :
— Découper la réforme en morceaux, nous faisons un métier très compartimenté primaire/collège/ Lycée GT/Lycée Pro/supérieur, et ces compartiments sont très étanches ;
— Jouer sur le temps : la réforme ne vous concerne pas, elle s'appliquera pour les nouveaux ;
— Jouer sur la compétition sociale : après tout que font-ils de si spécial pour avoir des régimes spéciaux ces vilains profiteurs ;
— jouer sur les mots : égalité vs équité : le public doit s'aligner sur le privé : après tout que font-il de mieux ces faignasses de fonctionnaires à vie pour avoir de tels avantages pour la retraite.
Nos syndicats, c'est à dire nous, fonctionnons sur des logiciels obsolètes (paf ! 2 mots compte triple). Comme on est malins on comprend tout, mais on ne trouve pas la parade.
Le seul truc qu'on devrait dire, c'est Non. du pur Bartelby : I would prefere not to. En dire plus, c'est en dire trop, on discute, on pinaille, on moi je..., et on ne bouge toujours pas.
- "Est-ce à votre cocher, monsieur, ou bien à votre cuisinier, que vous voulez parler? "- PARLEZ-NOUS DE VOS CASQUETTES!
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