- marininhaHabitué du forum
Je viens de terminer Les Neiges bleues de Piotr Bednarski, et je vous le recommande vivement. C'est un texte autobiographique dans lequel l'auteur raconte son enfance en Sibérie pendant la seconde guerre mondiale. C'est très bien écrit, poignant et pas "lourd" pour un thème comme celui-là (les goulags, la mort omniprésente), à lire!
- RuthvenGuide spirituel
Je profite de la présence de spécialistes de Gaiman pour demander ce qu'il faut lire de lui...
J'ai lu, il y a quelques mois, American Gods, et je me suis assez ennuyé ; mais l'auteur jouit d'un tel prestige que je me dis que je n'ai pas dû commencer par le bon livre.
J'ai lu, il y a quelques mois, American Gods, et je me suis assez ennuyé ; mais l'auteur jouit d'un tel prestige que je me dis que je n'ai pas dû commencer par le bon livre.
- LeilEsprit éclairé
Neverwhere !
_________________
http://www.bricabook.fr/
- CarabasVénérable
Le film d'animation est très bien, peut-être même mieux que le livre (que j'avais lu avant.)sérafina a écrit:Frisouille a écrit:Fini Coraline, de Neil Gaiman, qui sort bientôt au ciné sous forme de film d'animation.
Cette petite fille explore la maison dans laquelle elle et ses parents ainsi que trois personnages loufoques vivent. Un jour, elle tombe sur une porte qui l'intrigue. Bientôt, elle passe de l'autre côté, découvrant une maison presque identique à la sienne. Une autre maman tente de l'accaparer...
Voilà un conte qui m'aurait peut-être plu si je l'avais lu en anglais. Je ne sais pas si c'est à cause de la traduction ou si c'est tout simplement l'univers, mais tout me laisse indifférente.
Je ne sais même pas si je parviendrai à le recommander à mes élèves.
C'est marrant, j'ai eu du mal à rentrer dedans aussi, même sentiment de gentille indifférence. Par contre, les élèves adorent : c'est court, c'est leur univers, ils connaissent le film (déjà sorti depuis qqs mois, ici ), bref, ça marche.
Comme lecture cursive à Alice, ce ne serait peut-être pas mal? Mais il n'existe pas en poche, je crois...
Mais j'ai beaucoup aimé Stardust. Un très bel univers de conte. Pas vu le film en revanche...
- PasseroseNeoprof expérimenté
C'est bizarre, l'an dernier les élèves n'aimaient pas Coraline... Il n'y avait pas encore le film. Si ça "prend" maintenant, c'est vraiment un effet de mode !
- FrisouilleEnchanteur
Ça va on ne se moque pas !! Les films mettent du temps à arriver ici, et puis aller jusqu'à Fort-de-France pour voir un film grand public même pas en VO, non, merci, je préfère télécharger :censure:(oups!)sérafina a écrit:Frisouille a écrit:Fini Coraline, de Neil Gaiman, qui sort bientôt au ciné sous forme de film d'animation.
C'est marrant, j'ai eu du mal à rentrer dedans aussi, même sentiment de gentille indifférence. Par contre, les élèves adorent : c'est court, c'est leur univers, ils connaissent le film (déjà sorti depuis qqs mois, ici ), bref, ça marche
- LeilEsprit éclairé
L'homme de cinq heures de Gilles Heuré, lu dans le cadre du prix des chroniques de la rentrée littéraire, catégorie Premier roman.
Le fleuve tirait languissamment les dernières lueurs de cette fin d'après-midi d'automne et, là-haut, les nuages se livraient à d'étranges joutes avec le vent capricieux. Paul Béhaine songea à des tableaux impressionnistes, saluant mentalement l'Apollinaire, jadis flâneur des deux rives. L'esprit libre, il ne prêta attention au personnage qui s'approcha de lui que quand il entendit ces mots, plus chuchotés sur le mode de la confidence que proclamés : . Ne les écoutez pas ceux qui le disent et le répètent ! [...] On m'a fait dire qu'on ne pourrait plus commencer un roman par "la marquise sortit à cinq heures". [...] j'avoue que j'ai été agacé de lire dans le Premier Manifeste du surréalisme que Breton m'avait attribué cette affirmation dont personne, au demeurant, n'a jamais pu vérifier la véracité. J'ai beau être le fantôme de moi-même, je sais encore ce que je dis et me souviens parfaitement de ce que je n'ai pas écrit. Malgré mon grand âge, le mécanisme de mon cerveau n'est pas grippé au point de ne plus pouvoir fonctionner. . Puis-je savoir qui vous êtes monsieur ? demanda Paul. . Je m'appelle Paul Valéry. Mettons.» Pourquoi notre narrateur décide-t-il de partager le destin de cet homme rencontré une fin d'après-midi ? C'est en dénouant le mystère des Cinq heures du soir qu'il résoudra celui de l'étrange Monsieur V, l'inconnu de la Bibliothèque nationale qui disait se nommer Paul Valéry, poète et académicien mort en 1945, «donc physiologiquement inapte à discuter sur un pont enjambant la Seine dans ces années du XXe siècle finissant
Un premier roman étonnant et exigeant, que les littéraires aimeront pour les différentes allusions au monde des Arts. En somme, un roman très fourni qui n'a pas été écrit sur le coin d'une table d'un bistrot. C'est un roman bien pensé et très bien écrit.
_________________
http://www.bricabook.fr/
- partenopeNiveau 5
J'ai commencé à lire "Chagrin d'école", de Daniel Pennac. Trouvarai-je la solution pour mes élèves difficiles et démotivés?
- InvitéePhMonarque
Je lis Le fantôme de Baker street: c'est vraiment très agréable! A la demande de la veuve de Conan Doyle, 2 jeunes détectives enquêtent sur des meurtres et des apparitions surnaturelles à Londres : c'est entre le policier et le fantastique, il y a plein de références littéraires. Ca se dévore!
- doctor whoDoyen
Jamais compris ce qu'on trouve de si bien à Gaiman. Neverwhere, c'est pas mal, mais ça ne vaut pas Tim Powers et les Voies d'Anubis, dans un genre proche.
J'ai fini le troisième tome de la l'intégrale de la BD américaine Terry and the Pirates. A se damner (mais c'est en anglais). Des méchants très pittoresques, des vamps avec beaucoup de caractère, l'éducation sentimentale du jeune Terry et le destin amoureux compliqué et assez dark de son mentor Pat Ryan. Et le dessin !!! et la narration !!!)
J'ai fini le troisième tome de la l'intégrale de la BD américaine Terry and the Pirates. A se damner (mais c'est en anglais). Des méchants très pittoresques, des vamps avec beaucoup de caractère, l'éducation sentimentale du jeune Terry et le destin amoureux compliqué et assez dark de son mentor Pat Ryan. Et le dessin !!! et la narration !!!)
- Reine MargotDemi-dieu
je suis en ce moment dans les "mémoires d'une Geisha" de Yuki Inoue, pas le truc hollywoodien à la noix, l'oeuvre originale, la vraie biographie d'une geisha au début du 20e siècle. Et c'est vraiment pas glamour contrairement à ce< qu'on imagine...
_________________
Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- CarabasVénérable
Attention, il y a 3 Mémoires d'une geisha.marquisedemerteuil a écrit:je suis en ce moment dans les "mémoires d'une Geisha" de Yuki Inoue, pas le truc hollywoodien à la noix, l'oeuvre originale, la vraie biographie d'une geisha au début du 20e siècle. Et c'est vraiment pas glamour contrairement à ce< qu'on imagine...
Le tien, publié chez Piquier, qui n'a rien à voir avec le film.
Celui d'Arthur Golden, inspiré de la vie d'une vraie geisha, ce qui a donné le film.
Mais la geisha en question n' a pas aimé le livre d'A. Golden et a publié ses Mémoires sous le titre de Ma Vie de geisha. Elle s'appelle Mineko Iwasaki.
http://www.coindeslecteurs.com/viewtopic.php?t=4094&highlight=m%E9moires+geisha
Ah, les Voies d'Anubis!Doctor Who a écrit: Jamais compris ce qu'on trouve de si bien à Gaiman. Neverwhere, c'est pas mal, mais ça ne vaut pas Tim Powers et les Voies d'Anubis, dans un genre proche.
Ce roman est génial. J'ai eu du mal au démarrage, mais ensuite, quel bonheur!
Ca a l'air super!phedre034 a écrit:Je lis Le fantôme de Baker street: c'est vraiment très agréable! A la demande de la veuve de Conan Doyle, 2 jeunes détectives enquêtent sur des meurtres et des apparitions surnaturelles à Londres : c'est entre le policier et le fantastique, il y a plein de références littéraires. Ca se dévore!
- InvitéePhMonarque
C'est de Fabrice Bourland, Carabas, et collection 10/18!
- doctor whoDoyen
Les Voies d'Anubis :
Le moment où après s'être métamorphosé en être velu et blond, le héros médiocre et vieillissant se rend compte en se rasant qu'il est devenu le poète anglais (Keats?) qu'il devait rechercher dans le Londres du passé.... Mortel. Ce que la SF peut apporter au motif éculé de la reconnaissance!!!
Le moment où après s'être métamorphosé en être velu et blond, le héros médiocre et vieillissant se rend compte en se rasant qu'il est devenu le poète anglais (Keats?) qu'il devait rechercher dans le Londres du passé.... Mortel. Ce que la SF peut apporter au motif éculé de la reconnaissance!!!
- CarabasVénérable
Ouiii!doctor who a écrit:Les Voies d'Anubis :
Le moment où après s'être métamorphosé en être velu et blond, le héros médiocre et vieillissant se rend compte en se rasant qu'il est devenu le poète anglais (Keats?) qu'il devait rechercher dans le Londres du passé.... Mortel. Ce que la SF peut apporter au motif éculé de la reconnaissance!!!
Mais ce n'est pas Keats, mais William Ashbless!
Si tu regardes ce lien, tu en apprendras de bonnes, sur ce poète : http://fr.wikipedia.org/wiki/William_Ashbless
Sérieusement, ce roman ne peut que plaire à des littéraires!
Merci, Phèdre!
- LeilEsprit éclairé
Ce que je sais de Véra Candida de Véronique Ovaldé.
Quelque part dans une Amérique du Sud imaginaire, trois femmes d'une même lignée semblent promises au même destin : enfanter une fille et ne pouvoir jamais révéler le nom du père. Elles se nomment Rose, Violette et Vera Candida. Elles sont toutes éprises de liberté mais enclines à la mélancolie, téméraires mais sujettes aux fatalités propres à leur sexe. Parmi elles, seule Vera Candida ose penser qu'un destin, cela se brise. Elle fuit l'île de Vatapuna dès sa quinzième année et part pour Lahomeria, où elle rêve d'une vie sans passé. Un certain Itxaga, journaliste à L'Indépendant, va grandement bouleverser cet espoir. Un ton d'une vitalité inouïe, un rythme proprement effréné et une écriture enchantée. C'est ce qu'il fallait pour donner à cette fable la portée d'une histoire universelle : l'histoire des femmes avec leurs hommes, des femmes avec leurs enfants. L'histoire de l'amour en somme, déplacée dans l'univers d'un conte tropical, où Véronique Ovaldé a rassemblé tous les thèmes - et les êtres - qui lui sont chers.
Histoires de trois destins de femmes, sur trois générations. Je suis encore sous le charme de l'écriture d'Ovaldé. Un bien joli roman qui mérite l'accueil qu'il reçoit.
Quelque part dans une Amérique du Sud imaginaire, trois femmes d'une même lignée semblent promises au même destin : enfanter une fille et ne pouvoir jamais révéler le nom du père. Elles se nomment Rose, Violette et Vera Candida. Elles sont toutes éprises de liberté mais enclines à la mélancolie, téméraires mais sujettes aux fatalités propres à leur sexe. Parmi elles, seule Vera Candida ose penser qu'un destin, cela se brise. Elle fuit l'île de Vatapuna dès sa quinzième année et part pour Lahomeria, où elle rêve d'une vie sans passé. Un certain Itxaga, journaliste à L'Indépendant, va grandement bouleverser cet espoir. Un ton d'une vitalité inouïe, un rythme proprement effréné et une écriture enchantée. C'est ce qu'il fallait pour donner à cette fable la portée d'une histoire universelle : l'histoire des femmes avec leurs hommes, des femmes avec leurs enfants. L'histoire de l'amour en somme, déplacée dans l'univers d'un conte tropical, où Véronique Ovaldé a rassemblé tous les thèmes - et les êtres - qui lui sont chers.
Histoires de trois destins de femmes, sur trois générations. Je suis encore sous le charme de l'écriture d'Ovaldé. Un bien joli roman qui mérite l'accueil qu'il reçoit.
_________________
http://www.bricabook.fr/
- LeilEsprit éclairé
Le Livre des choses perdues de John Connolly :
Inconsolable depuis la mort de sa mère, David, 12 ans, se réfugie dans les livres pour fuir le remariage de son père et se consoler de la naissance de Georgie, son demi-frère. Un jour, il découvre un trou caché derrière des buissons, au fond du jardin, et se retrouve propulsé dans un univers parallèle, un monde étrange et hostile peuplé de trolls, de sires loups, de créatures hybrides, mi-hommes mi-animaux, et d'autres personnages issus de ses lectures et de son imaginaire... Grâce à l'aide du Garde-Forestier et de Roland, un preux chevalier, il va devoir se confronter à bien des épreuves (combats, énigmes à résoudre).
Première fois que je lis du Connolly. Relecture des contes de notre enfance, ce récit n'est pas aussi sombre que ses autres romans, mais on sent bien la petite pointe acide et bien cruelle tout de même.
Original et intéressant, même si parfois j'étais plus dans l'analyse intertextuelle que dans le texte ...
_________________
http://www.bricabook.fr/
- InvitéePhMonarque
J'ai lu Trois mètres au dessus du ciel, repéré chez les bloggeuses, de Moccia. Au début, j'étais irritée par les personnages (deux post ados: le mec rebelle horripilant, la petite bourge coincée: what a cliché) et puis finalement, je l'ai lu très très vite. C'est pas mal écrit, je trouve... C'est frais, distrayant.
Bref, un sympathique petit roman d'amour . Par contre, je ne sais pas si je vais lire la suite... ( J'ai envie de toi)
Bref, un sympathique petit roman d'amour . Par contre, je ne sais pas si je vais lire la suite... ( J'ai envie de toi)
- RuthvenGuide spirituel
Je suis dans l'Histoire politique du barbelé d'O. Razac. Il essaie de penser le barbelé comme un "mur virtualisé" essentiel dans la gestion moderne de l'espace (à partir de trois cas exemplaires la clôture de la prairie dans l'Ouest américain, les tranchées et les camps). Très bien vu dans l'ensemble.
Et je vais commencer Neverwhere (merci Leil!).
Et je vais commencer Neverwhere (merci Leil!).
- LeilEsprit éclairé
J'espère que tu aimeras, Ruthven.
Aujourd'hui, un roman d'une prof de lettres. C'est son premier.
La Peine du menuisier de Marie Le Gall
Le résumé :
Ce résumé donne le La ! Inutile d'attendre une éclaircie dans ce livre car tout est sombre et pesant. Mais c'est aussi un premier roman qui dévoile une plume bien maîtrisée.
Auteur à suivre.
Aujourd'hui, un roman d'une prof de lettres. C'est son premier.
La Peine du menuisier de Marie Le Gall
Le résumé :
« Il y a toujours quelque chose d’absent qui me tourmente. » Placés en exergue, ces mots de Camille Claudel donnent à la fois le thème et le ton de ce roman d’une immense sensibilité, servi par une plume originale, vibrante et pudique.
L’extrême pointe de la Bretagne, le Finistère, lui sert d’écrin. Là, les vents balayent la lande et la mer se déchaîne, mais au cœur des froides maisons de pierre, c’est la retenue qui domine. Le père de Marie, ouvrier à l’arsenal de Brest et menuisier à ses heures perdues, est muré dans un silence insondable. Sa mère, Louise, et sa grand-mère, la douce Mélie, semblent éternellement en deuil. Sa sœur aînée, Jeanne, est une « innocente » sujette à des accès de rage. Marie, née au milieu des années cinquante, grandit dans cette atmosphère étrange, et tente de se construire au milieu des non-dits et des portraits des absents. Privée d’explication, elle écoute les murmures, rassemble les bribes, subodore, imagine. Des années d’enquête patiente lui seront nécessaires pour percer le secret de son ascendance, mesurer l’invisible fardeau dont elle a hérité..
Ce résumé donne le La ! Inutile d'attendre une éclaircie dans ce livre car tout est sombre et pesant. Mais c'est aussi un premier roman qui dévoile une plume bien maîtrisée.
Auteur à suivre.
_________________
http://www.bricabook.fr/
- IsiaSage
En littérature jeunesse : Simple de Marie-Aude Murail....
Un vrai bonheur ! Je l'imaginais bien en adaptation ciné, moi...
Un vrai bonheur ! Je l'imaginais bien en adaptation ciné, moi...
- InvitéeHrÉrudit
Les Elixirs du Diable de Hoffman, cela ne doit pas être le gothique le plus palpitant, c'est juste plaisant et je m'ennuie un peu. Si vous voulez l'acheter, ne prenez pas l'édition Stock, la traduction est vraiment moyenne.
- Reine MargotDemi-dieu
Carabas a écrit:Attention, il y a 3 Mémoires d'une geisha.marquisedemerteuil a écrit:je suis en ce moment dans les "mémoires d'une Geisha" de Yuki Inoue, pas le truc hollywoodien à la noix, l'oeuvre originale, la vraie biographie d'une geisha au début du 20e siècle. Et c'est vraiment pas glamour contrairement à ce< qu'on imagine...
Le tien, publié chez Piquier, qui n'a rien à voir avec le film.
Celui d'Arthur Golden, inspiré de la vie d'une vraie geisha, ce qui a donné le film.
Mais la geisha en question n' a pas aimé le livre d'A. Golden et a publié ses Mémoires sous le titre de Ma Vie de geisha. Elle s'appelle Mineko Iwasaki.
Le mien chez Piquier, a une geisha nommée Kinu yamaguchi, de son nom d'artiste Suzumi.
_________________
Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- papillonbleuEsprit éclairé
Un amour classique de Yu Hua.
http://www.amazon.fr/Un-amour-classique-Hua-Yu/dp/2742726101
(NB : il faut avoir le coeur bien accroché)
http://www.amazon.fr/Un-amour-classique-Hua-Yu/dp/2742726101
(NB : il faut avoir le coeur bien accroché)
- Barnafée la PatouilleNeoprof expérimenté
Dans les griffes du klan, de Stéphane Tamaillon (prof d'histoire-géo)
Je vais de ce pas commencer son autre roman, L'ogre de la couronne
Je vais de ce pas commencer son autre roman, L'ogre de la couronne
- zabouFidèle du forum
En littérature jeunesse je viens de finir Noces de larmes de Gilles Fontaine. Très beau livre qui porte sur la guerre civile espagnole...
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum