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blackjjNiveau 2
Bonjour,
je suis enseignant de maths en lycée, et je voulais interroger l’inspection sur une réflexion concernant les programmes pour l’année 2021-2022.
Cela fait deux ans que les années scolaires sont perturbées par le covid.
Cette année, j’avais des Terminales, et l’été dernier j’avais imaginé qu’on aurait des allègements du programme dès la rentrée de septembre 2020.
En maths, je trouve déjà (au lycée, car c’est ce que je connais) que la plupart des programmes sont trop chargés donc un aménagement anticipé me paraît raisonnable pour commencer l’année.
L’année dernière j’avais interrogé les inspecteurs de maths de l’académie de Bordeaux (où j’enseigne) par email sans réponse, et en visio avec deux réponses : à ma première demande avant la rentrée, on m’avait répondu qu’il ne faut pas se précipiter, on verra bien comment évolue l’épidémie, on a envisagé plusieurs scénarios, donc on ne change rien (sauf un doc de rentrée qui ne servait pas à grand-chose), et à ma deuxième demande en visio durant le premier trimestre, maintenant c’est trop tard, les profs n’ont pas commencé par le même chapitre, donc on ne fait rien.
J’ai donc décidé de réitérer mes questions cette année pour la rentrée de septembre 2021 concernant un aménagement des programmes. On ne peut pas dire que depuis deux ans, on enseigne tous dans des conditions normales, sans parler du niveau des élèves que je n’estime pas s’améliorant même en condition normale, j’imagine que les inspecteurs pourraient avoir entamé une réflexion à ce sujet. Je ne parle pas forcément seulement pour la spé maths en Terminale Générale, j’avais mis l’accent dessus l’an dernier car j’avais ce niveau et le bac avec des épreuves nationales complique un peu les choses.
Ma question réside surtout à qui adresser ces questions ? J’avais interrogé mes inspecteurs académiques l’an dernier, et je me demande s’il n’est pas plus pertinent d’interroger l’inspection générale, voir les deux corps d’inspection.
Je ne me fais pas vraiment d’illusion sur la portée de mes questions et leur impact, mais j’en ressens la nécessité personnelle.
je suis enseignant de maths en lycée, et je voulais interroger l’inspection sur une réflexion concernant les programmes pour l’année 2021-2022.
Cela fait deux ans que les années scolaires sont perturbées par le covid.
Cette année, j’avais des Terminales, et l’été dernier j’avais imaginé qu’on aurait des allègements du programme dès la rentrée de septembre 2020.
En maths, je trouve déjà (au lycée, car c’est ce que je connais) que la plupart des programmes sont trop chargés donc un aménagement anticipé me paraît raisonnable pour commencer l’année.
L’année dernière j’avais interrogé les inspecteurs de maths de l’académie de Bordeaux (où j’enseigne) par email sans réponse, et en visio avec deux réponses : à ma première demande avant la rentrée, on m’avait répondu qu’il ne faut pas se précipiter, on verra bien comment évolue l’épidémie, on a envisagé plusieurs scénarios, donc on ne change rien (sauf un doc de rentrée qui ne servait pas à grand-chose), et à ma deuxième demande en visio durant le premier trimestre, maintenant c’est trop tard, les profs n’ont pas commencé par le même chapitre, donc on ne fait rien.
J’ai donc décidé de réitérer mes questions cette année pour la rentrée de septembre 2021 concernant un aménagement des programmes. On ne peut pas dire que depuis deux ans, on enseigne tous dans des conditions normales, sans parler du niveau des élèves que je n’estime pas s’améliorant même en condition normale, j’imagine que les inspecteurs pourraient avoir entamé une réflexion à ce sujet. Je ne parle pas forcément seulement pour la spé maths en Terminale Générale, j’avais mis l’accent dessus l’an dernier car j’avais ce niveau et le bac avec des épreuves nationales complique un peu les choses.
Ma question réside surtout à qui adresser ces questions ? J’avais interrogé mes inspecteurs académiques l’an dernier, et je me demande s’il n’est pas plus pertinent d’interroger l’inspection générale, voir les deux corps d’inspection.
Je ne me fais pas vraiment d’illusion sur la portée de mes questions et leur impact, mais j’en ressens la nécessité personnelle.
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