Conseils utiles pour préparer les cours d'espagnol au lycée

dandelion a écrit:Il y a une différence entre une attestation et un diplôme également. L’attestation se veut indicative, la certification a une valeur plus ‘légale’.

La notion de "diplôme" est clairement définie par la tradition, par la législation, etc. Or d'où vient cette distinction entre "attestation" et "certification" ? Je pourrais dire juste le contraire et ce ne serait pas moins vrai : la certification se veut indicative, l'attestation (signée par le Recteur, estampillée EN et qui découle d'un cadre d'évaluation légal) se veut plus "légale".
Je ne vois toujours pas ce qui doit indiquer au bénéficiaire du papier ou aux récepteurs externes (État, universités, institutions étrangères, entreprises privées) que l'attestation de langues n'atteste pas, ou ne certifie pas, d'un niveau de langue reconnu par l'ÉN.
Une attestation de réussite ou de présence ne certifient-elles pas ce qu'elles attestent ?

(Je suis désolé: croyez-vous qu'il faudrait détacher le sujet sur un fil dédié "L'attestation de langues au lycée" et laisser celui-ci pour la préparation des cours ?)

Oui, on dévie par rapport au titre du fil. En plus j'avoue que je me soucie très peu de cette attestation. Encore un truc bancal lancé avec la réforme du lycée pour faire style "il y a quand même des épreuves en fin d'année qui ressemblent à un examen mais qui ne coûtent pas un rond". Ensuite il y a eu des protestations: comment évaluer l'expression orale ? Comment trouver le temps au troisième trimestre ? Comment motiver les élèves pour suivre les cours alors que les évaluations étaient censées ne rien avoir avec les séquences étudiées en classe ? Quand faire rattraper les élèves absents ? Ça devait aussi poser des problèmes administratifs. 

Bref, l'attestation à disparu sans disparaître comme ça le ministère et les IPR ont sauvé la face. Je ne sais pas si les élèves doivent fournir cette attestation à qui que ce soit, il faudra que je pose la question à la rentrée.