Grand oral

Beaucoup de mes élèves ne sont pas fixés sur le choix de leur question, certains en ont encore changé hier pour quelque chose n'ayant rien à voir avec leur premier choix.

Si un élève ne parle pas dans la "langue cible", pour moi l'anglais, on ne l'interroge pas en anglais non plus pendant l'entretien. L'oral d'anglais sans parler anglais il fallait l'inventer (oui, je sais que ce n'est pas stricto sensu un oral d'anglais mais bon...).

henriette a écrit:Ouf ! Merci ! Donc un tableau d'avancement en chimie c'est possible aussi ! Cela va nous simplifier un peu les choses.

"Nous" ? Vous préparez le GO en famille ?

Mon cde attendant toujours les consignes officielles, rien n'est fait pour valider les sujets... Tout va bien.

Prezbo a écrit:

henriette a écrit:Ouf ! Merci ! Donc un tableau d'avancement en chimie c'est possible aussi ! Cela va nous simplifier un peu les choses.

"Nous" ? Vous préparez le GO en famille ?

Ben oui, comment veux-tu faire autrement ? Cela te semble si surréaliste que ça ? Je lui fais répéter sa présentation pour que ça tienne en 5 minutes. Elle n'a eu aucun entraînement en classe avant l'oral blanc qu'elle a la semaine prochaine (en ayant été avertie hier). L'objectif est qu'elle soit le plus dans les cordes possible, pour que les conseils qui lui seront donnés soient le plus utile possible. Si elle se pointe d'entrée avec un truc mal calibré qui dure 10 minutes, quel intérêt ?

sokate a écrit:Chez nous, 2 collègues organisent sur leur temps de cours des oraux blancs des oraux blancs. C'est quoi comme couleur?

Plus blanc que blanc c est Persil ! vert donc

mamieprof a écrit:

sokate a écrit:Chez nous, 2 collègues organisent sur leur temps de cours des oraux blancs des oraux blancs. C'est quoi comme couleur?

Plus blanc que blanc c est Persil ! vert donc

Ah ? Je croyais que c'était OMO…
Ceci dit, cela m'évoque plutôt une autre couleur qui traduit un besoin urgent d'azurants voire de Javel ou de percarbonate.

henriette a écrit:
Ben oui, comment veux-tu faire autrement ? Cela te semble si surréaliste que ça ? Je lui fais répéter sa présentation pour que ça tienne en 5 minutes. Elle n'a eu aucun entraînement en classe avant l'oral blanc qu'elle a la semaine prochaine (en ayant été avertie hier). L'objectif est qu'elle soit le plus dans les cordes possible, pour que les conseils qui lui seront donnés soient le plus utile possible. Si elle se pointe d'entrée avec un truc mal calibré qui dure 10 minutes, quel intérêt ?

La majorité des élèves feront autrement, seuls ou avec des copains, bon gré mal gré. Ce n'est pas que ça me semble surréaliste (même si personnellement je n'ai jamais eu d'aide des parents au niveau lycée, et que ma fille lycéenne refuse désormais la mienne), c'est simplement que cela redémontre à quel point ce genre d'épreuves portant largement sur des compétences extra-scolaires amplifie les inégalités familiales. Et le fait qu'il n'y ait pas d'entraînement en classe avant l'oral blanc ne me choque pas forcément, puisque l’entraînement est l'oral blanc : selon les spécialités et les effectifs, on peut avoir mieux à faire en classe.

chmarmottine a écrit:

Cléopatra2 a écrit:Les nôtres n'ont plus le droit de nous soumettre des questions, elles ont toutes été remontées la semaine dernière au chef.
On les envoie donc paître s'ils veulent en changer ou s'ils nous en présentent une maintenant.

Ici, personne ne demande aux profs de récolter les questions des élèves ...

Notre cde adjoint nous a transmis la fiche à compléter aujourd'hui, les élèves vont la découvrir au mieux demain. Cela risque de soulever un petit vent de panique.

Prezbo a écrit:

henriette a écrit:
Ben oui, comment veux-tu faire autrement ? Cela te semble si surréaliste que ça ? Je lui fais répéter sa présentation pour que ça tienne en 5 minutes. Elle n'a eu aucun entraînement en classe avant l'oral blanc qu'elle a la semaine prochaine (en ayant été avertie hier). L'objectif est qu'elle soit le plus dans les cordes possible, pour que les conseils qui lui seront donnés soient le plus utile possible. Si elle se pointe d'entrée avec un truc mal calibré qui dure 10 minutes, quel intérêt ?

La majorité des élèves feront autrement, seuls ou avec des copains, bon gré mal gré. Ce n'est pas que ça me semble surréaliste (même si personnellement je n'ai jamais eu d'aide des parents au niveau lycée, et que ma fille lycéenne refuse désormais la mienne), c'est simplement que cela redémontre à quel point ce genre d'épreuves portant largement sur des compétences extra-scolaires amplifie les inégalités familiales. Et le fait qu'il n'y ait pas d'entraînement en classe avant l'oral blanc ne me choque pas forcément, puisque l’entraînement est l'oral blanc : selon les spécialités et les effectifs, on peut avoir mieux à faire en classe.

Bien sûr que ça amplifie les inégalités familiales. Tout comme le fait que certains puissent payer de cours privés de maths et d'autres pas. Ce n'est pas neuf ni le propre de ce grand oral. Et si je peux éviter que ma gamine ne patauge, je ne vais pas ne pas le faire par solidarité avec ceux qui sont livrés à eux-mêmes, désolée.

Aucune séance pour l'instant n'a été dédiée à cette préparation contrairement à la com officielle, parce que, dans un lycée en demi-jauge depuis la Toussaint, tout le monde court après le temps, bien entendu.
Mais là où j'hallucine le plus, et suis furieuse, c'est sur l'absence d'informations données aux élèves eux-mêmes par l'établissement.

henriette a écrit:

Prezbo a écrit:

henriette a écrit:
Ben oui, comment veux-tu faire autrement ? Cela te semble si surréaliste que ça ? Je lui fais répéter sa présentation pour que ça tienne en 5 minutes. Elle n'a eu aucun entraînement en classe avant l'oral blanc qu'elle a la semaine prochaine (en ayant été avertie hier). L'objectif est qu'elle soit le plus dans les cordes possible, pour que les conseils qui lui seront donnés soient le plus utile possible. Si elle se pointe d'entrée avec un truc mal calibré qui dure 10 minutes, quel intérêt ?

La majorité des élèves feront autrement, seuls ou avec des copains, bon gré mal gré. Ce n'est pas que ça me semble surréaliste (même si personnellement je n'ai jamais eu d'aide des parents au niveau lycée, et que ma fille lycéenne refuse désormais la mienne), c'est simplement que cela redémontre à quel point ce genre d'épreuves portant largement sur des compétences extra-scolaires amplifie les inégalités familiales. Et le fait qu'il n'y ait pas d'entraînement en classe avant l'oral blanc ne me choque pas forcément, puisque l’entraînement est l'oral blanc : selon les spécialités et les effectifs, on peut avoir mieux à faire en classe.

Bien sûr que ça amplifie les inégalités familiales. Tout comme le fait que certains puissent payer de cours privés de maths et d'autres pas. Ce n'est pas neuf ni le propre de ce grand oral. Et si je peux éviter que ma gamine ne patauge, je ne vais pas ne pas le faire par solidarité avec ceux qui sont livrés à eux-mêmes, désolée.

Aucune séance pour l'instant n'a été dédiée à cette préparation contrairement à la com officielle,  parce que, dans un lycée en demi-jauge depuis la Toussaint, tout le monde court après le temps, bien entendu.
Mais là où j'hallucine le plus, et suis furieuse, c'est sur l'absence d'informations données aux élèves eux-mêmes par l'établissement.

Tout pareil.
On est en mode débrouille ...

"Mais là où j'hallucine le plus, et suis furieuse, c'est sur l'absence d'informations données aux élèves eux-mêmes par l'établissement."

Pour donner des infos officielles, il faut en avoir ce qui n'est pas le cas partout...

henriette a écrit:
Mais là où j'hallucine le plus, et suis furieuse, c'est sur l'absence d'informations données aux élèves eux-mêmes par l'établissement.

Je comprends bien que tu sois furieuse, mais relis ce fil : personne n'a compris la même chose, donc pour donner des infos aux élèves, c'est un chouilla compliqué.

Exemple concret : les IPR de mathématiques de Créteil disent "ah non non, une question de maths ne peut reposer exclusivement sur le programme de maths expertes" ; ceux de Versailles "ben si, le programme du cycle terminal doit s'entendre dans son ensemble, y compris donc l'option maths expertes".
On dit quoi aux élèves ? Personnellement, je croise les doigts pour que le SIEC ne brasse pas les profs de Paris-Créteil-Versailles comme ça arrive régulièrement, histoire que les profs de l'année et les profs du jury aient entendu le même discours.

Nous aussi la feuille officielle vient de nous parvenir. Les élèves vont la recevoir par mail, doivent renvoyer ou rendre le doc d'ici lundi (lolilol) et nous irons le signer chez le chef entre le 1er et le 3 juin.
On marche sur la tête.

Hélips a écrit:

henriette a écrit:
Mais là où j'hallucine le plus, et suis furieuse, c'est sur l'absence d'informations données aux élèves eux-mêmes par l'établissement.

Je comprends bien que tu sois furieuse, mais relis ce fil : personne n'a compris la même chose, donc pour donner des infos aux élèves, c'est un chouilla compliqué.

Exemple concret : les IPR de mathématiques de Créteil disent "ah non non, une question de maths ne peut reposer exclusivement sur le programme de maths expertes" ; ceux de Versailles "ben si, le programme du cycle terminal doit s'entendre dans son ensemble, y compris donc l'option maths expertes".
On dit quoi aux élèves ? Personnellement, je croise les doigts pour que le SIEC ne brasse pas les profs de Paris-Créteil-Versailles comme ça arrive régulièrement, histoire que les profs de l'année et les profs du jury aient entendu le même discours.

Si on est envoyés dans l'académie de Versailles, on va tous péter de gros boulons.

Prosper de Barante a écrit:"Mais là où j'hallucine le plus, et suis furieuse, c'est sur l'absence d'informations données aux élèves eux-mêmes par l'établissement."

Pour donner des infos officielles, il faut en avoir ce qui n'est pas le cas partout...

Eh oui... En fait ce topic peut se résumer en une ligne : on n'a pas d'infos et le peu qu'on a, on n'y comprend rien. Alors pour donner des indications aux élèves, ça va être difficile.

Cléopatra2 a écrit:

Hélips a écrit:

henriette a écrit:
Mais là où j'hallucine le plus, et suis furieuse, c'est sur l'absence d'informations données aux élèves eux-mêmes par l'établissement.

Je comprends bien que tu sois furieuse, mais relis ce fil : personne n'a compris la même chose, donc pour donner des infos aux élèves, c'est un chouilla compliqué.

Exemple concret : les IPR de mathématiques de Créteil disent "ah non non, une question de maths ne peut reposer exclusivement sur le programme de maths expertes" ; ceux de Versailles "ben si, le programme du cycle terminal doit s'entendre dans son ensemble, y compris donc l'option maths expertes".
On dit quoi aux élèves ? Personnellement, je croise les doigts pour que le SIEC ne brasse pas les profs de Paris-Créteil-Versailles comme ça arrive régulièrement, histoire que les profs de l'année et les profs du jury aient entendu le même discours.

Si on est envoyés dans l'académie de Versailles, on va tous péter de gros boulons.

Je suis dans l'académie de Versailles, j'ai déjà été envoyé à Paris, mais à chaque fois, pas trop loin (et je suis proche de Paris), donc j'espère que ce sera pareil là. Je n'ai rien contre Melun, mais ça fait un peu loin pour interroger étant donné le nombre de lycées sur la route entre chez moi et Melun.

Prosper de Barante a écrit:"Mais là où j'hallucine le plus, et suis furieuse, c'est sur l'absence d'informations données aux élèves eux-mêmes par l'établissement."

Pour donner des infos officielles, il faut en avoir ce qui n'est pas le cas partout...

Le droit aux notes, le tableau pour la 2e partie, c'est ici que je l'ai appris. Ce n'est pas normal.
C'est ma fille qui répercute les infos aux camarades, qui lui envoient des messages pour en savoir plus. Je trouve ça dingue.

Mouais alors le "droit au tableau" pour la deuxième partie, ce n'est pas ce que j'ai compris. Ce que j'ai compris c'est "présence d'un tableau, et c'est le jury qui décide si oui ou non le candidat écrit" puisqu'il faut empêcher que cela se transforme en un écrit-debout. Mais je ne suis pas certaine que tout le monde ait compris pareil.

henriette a écrit:

Prosper de Barante a écrit:"Mais là où j'hallucine le plus, et suis furieuse, c'est sur l'absence d'informations données aux élèves eux-mêmes par l'établissement."

Pour donner des infos officielles, il faut en avoir ce qui n'est pas le cas partout...

Le droit aux notes, le tableau pour la 2e partie, c'est ici que je l'ai appris. Ce n'est pas normal.
C'est ma fille qui répercute les infos aux camarades, qui lui envoient des messages pour en savoir plus. Je trouve ça dingue.

Mais les nouveautés que tu apprends ici, les collègues les ont su comment ?
La question sur le support que l'on remet au jury pour la première partie (pour un tableau d'avancement par exemple), c'est au BO de février 2020. Ca date de plus d'un an...

Qui devrait prévenir les camarades de classe de ta fille ?

Si on ne regarde pas BFMTV et que les chefs d'établissement ne transmettent pas les consignes (ou n'ont pas été les chercher à défaut de les avoir reçues) et que les profs de spé n'ont jamais reçu le moindre lien vers les textes officiels, on peut aussi aller à la source : il suffit de taper grand oral sur google (ou un autre moteur de recherche plus respectueux de notre vie privée) pour tomber sur le site du gouvernement :
https://www.education.gouv.fr/baccalaureat-comment-se-passe-le-grand-oral-100028

Sur fond jaune, au début :
   Lors de la première partie de l’épreuve, consistant en un exposé de 5 minutes, chaque candidat pourra disposer des notes qu’il aura saisies lors de sa préparation de 20 minutes ;
   Pendant la deuxième partie de l’épreuve, consistant en un entretien, le candidat pourra recourir à un support, comme un tableau, pour y illustrer ou expliciter ses propos (pour y poser une équation, y esquisser une carte, etc.)
   Enfin, chaque candidat présentera au jury un descriptif, visé par ses professeurs d’enseignements de spécialité et par la direction de son établissement, avec les points du programme qui n’auront éventuellement pas pu être étudiés.

J'ai signé aujourd'hui les feuilles, dont plusieurs avec des sujets vaseux, voire écrits au crayon, sans parler de ceux dont l'intitulé comporte moult fautes d'orthographe … Certains sujets relèvent du troisième cycle universitaire, d'autres sont d'une naïveté touchante, la plupart me sont totalement étrangers, je n'ai aucune compétence particulière en économie, en biologie, en architecture …
J'ai bouclé, dans la douleur, le programme mais il n'y a plus rien à tirer des élèves, ils sont cuits et ne veulent plus rien faire.
Faire des répétitions du GO ? Bah non, pas prêts …
Approfondir des points du programme traités rapidement ? Bah non, pas envie …
Profiter des quelques jours avant l'arrêt des notes pour rattraper des contrôles ratés ? Bah oui, mais en fait non, on a pas révisé …

Danska a écrit:

Prosper de Barante a écrit:"Mais là où j'hallucine le plus, et suis furieuse, c'est sur l'absence d'informations données aux élèves eux-mêmes par l'établissement."

Pour donner des infos officielles, il faut en avoir ce qui n'est pas le cas partout...

Eh oui... En fait ce topic peut se résumer en une ligne : on n'a pas d'infos et le peu qu'on a, on n'y comprend rien. Alors pour donner des indications aux élèves, ça va être difficile.

4 mots : "c'est le bordel"

Mrs Hobie a écrit:

Danska a écrit:

Prosper de Barante a écrit:"Mais là où j'hallucine le plus, et suis furieuse, c'est sur l'absence d'informations données aux élèves eux-mêmes par l'établissement."

Pour donner des infos officielles, il faut en avoir ce qui n'est pas le cas partout...

Eh oui... En fait ce topic peut se résumer en une ligne : on n'a pas d'infos et le peu qu'on a, on n'y comprend rien. Alors pour donner des indications aux élèves, ça va être difficile.

4 mots : "c'est le bordel"

Je sors de Conseil Pédagogique... on est prêt...

Petite question qui fait débat avec mes collègues... Si le candidat présente à son prof de spé une question qui, pour le prof de spé, n’est pas dans les clous, le prof de spé peut-il refuser de signer?

D’après mes collègues l’élève pourrait quand même présenter cette question à l’oral mais le prof de spé se serait ainsi déresponsabilisé de l’échec éventuel du candidat induit par le fait que la question n’est pas dans les clous. Pour moi, un sujet non signé ne peut être présenté et le candidat devrait en choisir un autre.
Pour ma part, je pensais alerter les élèves oralement des risques éventuels de la question mais signer tout de même pour ne pas le mettre en difficulté d’un point de vue administratif.

Bref, y a-t-il une position officielle à adopter sur le sujet et si oui laquelle?

Badiste75 a écrit:Petite question qui fait débat avec mes collègues... Si le candidat présente à son prof de spé une question qui, pour le prof de spé, n’est pas dans les clous, le prof de spé peut-il refuser de signer?

D’après mes collègues l’élève pourrait quand même présenter cette question à l’oral mais le prof de spé se serait ainsi déresponsabilisé de l’échec éventuel du candidat induit par le fait que la question n’est pas dans les clous. Pour moi, un sujet non signé ne peut être présenté et le candidat devrait en choisir un autre.
Pour ma part, je pensais alerter les élèves oralement des risques éventuels de la question mais signer tout de même pour ne pas le mettre en difficulté d’un point de vue administratif.

Bref, y a-t-il une position officielle à adopter sur le sujet et si oui laquelle?

Problème résolu dans notre académie : on n'a pas à signer sous les questions des élèves, on doit seulement signer le verso de leur fiche où on indique les parties non abordées du programme.

Badiste75 a écrit:Petite question qui fait débat avec mes collègues... Si le candidat présente à son prof de spé une question qui, pour le prof de spé, n’est pas dans les clous, le prof de spé peut-il refuser de signer?

D’après mes collègues l’élève pourrait quand même présenter cette question à l’oral mais le prof de spé se serait ainsi déresponsabilisé de l’échec éventuel du candidat induit par le fait que la question n’est pas dans les clous. Pour moi, un sujet non signé ne peut être présenté et le candidat devrait en choisir un autre.
Pour ma part, je pensais alerter les élèves oralement des risques éventuels de la question mais signer tout de même pour ne pas le mettre en difficulté d’un point de vue administratif.

Bref, y a-t-il une position officielle à adopter sur le sujet et si oui laquelle?

Quel est l'intérêt de signer si on est obligé de signer?

sisi59 a écrit:

Badiste75 a écrit:Petite question qui fait débat avec mes collègues... Si le candidat présente à son prof de spé une question qui, pour le prof de spé, n’est pas dans les clous, le prof de spé peut-il refuser de signer?

D’après mes collègues l’élève pourrait quand même présenter cette question à l’oral mais le prof de spé se serait ainsi déresponsabilisé de l’échec éventuel du candidat induit par le fait que la question n’est pas dans les clous. Pour moi, un sujet non signé ne peut être présenté et le candidat devrait en choisir un autre.
Pour ma part, je pensais alerter les élèves oralement des risques éventuels de la question mais signer tout de même pour ne pas le mettre en difficulté d’un point de vue administratif.

Bref, y a-t-il une position officielle à adopter sur le sujet et si oui laquelle?

Problème résolu dans notre académie : on n'a pas à signer sous les questions des élèves, on doit seulement signer le verso de leur fiche où on indique les parties non abordées du programme.

En ile de France c est la page 2 ça, sur la page 1 on signe bien sous les questions