- JaneMonarque
J'ai passé pas mal de temps à corriger mes évaluations de grammaire.
1) conjugaison: morphologie du conditionnel, du plus que parfait et du passé antérieur => moyenne de classe à 5,7/20
2) discours direct et discours indirect => 6,2/20
3) les propositions subordonnées => 4,8/20
J'avais choisi du simple, du très simple. Je ne compte pas le nombre de 0, le pire c'est qu'ils ont essayé ! Mais bon sang, c'est quand qu'ils vont enfin se mettre à apprendre ?
La grammaire chez vous, ça donne quoi ?
1) conjugaison: morphologie du conditionnel, du plus que parfait et du passé antérieur => moyenne de classe à 5,7/20
2) discours direct et discours indirect => 6,2/20
3) les propositions subordonnées => 4,8/20
J'avais choisi du simple, du très simple. Je ne compte pas le nombre de 0, le pire c'est qu'ils ont essayé ! Mais bon sang, c'est quand qu'ils vont enfin se mettre à apprendre ?
La grammaire chez vous, ça donne quoi ?
- AnguaGrand sage
Sauf chez les bons élèves qui bossent, c'est une catastrophe aussi... pourtant je calibre mes évaluations pour que ceux qui se "contentent" d'apprendre aient la moyenne (avec des questions de cours, des exercices faits en classe ou exactement du même type)
Je ne sais plus quoi faire, en toute honnêteté, pour certains élèves. Même après avoir passé plusieurs heures sur les classes grammaticales et le complément du nom dernièrement (je me suis creusée à faire des activités "différenciées"), où j'avais la satisfaction de voir les choses rouler en classe, des élèves comprendre des choses et progresser, une semaine d'écart entre la fin de la leçon et l'évaluation a été fatale.
Je ne sais plus quoi faire, en toute honnêteté, pour certains élèves. Même après avoir passé plusieurs heures sur les classes grammaticales et le complément du nom dernièrement (je me suis creusée à faire des activités "différenciées"), où j'avais la satisfaction de voir les choses rouler en classe, des élèves comprendre des choses et progresser, une semaine d'écart entre la fin de la leçon et l'évaluation a été fatale.
- JohnMédiateur
Ca fait 20 ans que l'on nous serine "à quoi ça sert de reconnaître un complément du nom ?"
Ca n'a rien d'étonnant.
Ca n'a rien d'étonnant.
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"Qui a construit Thèbes aux sept portes ? Dans les livres, on donne les noms des Rois. Les Rois ont-ils traîné les blocs de pierre ? [...] Quand la Muraille de Chine fut terminée, Où allèrent ce soir-là les maçons ?" (Brecht)
"La nostalgie, c'est plus ce que c'était" (Simone Signoret)
- JaneMonarque
Quand je pense que tout ce petit monde a l'ambition d'aller au lycée... et qu'ils feront de la littérature !
- AnguaGrand sage
John a écrit:Ca fait 20 ans que l'on nous serine "à quoi ça sert de reconnaître un complément du nom ?"
Ca n'a rien d'étonnant.
Pourtant, je suis très claire avec eux quand l'un a le malheur de me demander à quoi ça sert: nous ne faisons QUE des choses inutiles, avoir de la culture et de la réflexion est inutile, avoir un boulot intéressant est inutile. (oui, je sais, il n'y a pas forcément de corrélation, mais en général, ils n'y reviennent pas deux fois!)
- EsméraldaGrand sage
A peu près le même constat. Au brevet blanc dans une des questions sur le type de phrase à un moment ( interrogative !) la moitié de savait pas répondre. Désolant ce désintérêt qui s'installe partout et gagne du terrain. Même constat aussi que souvent, ça marche à peu près en classe, et qu'après, le contrôle est mauvais car ils n'ont pas ouvert leur classeur, pas même relu la leçon, encore moins refaire les exercices. Et c'est pas faute de leur dire !!
- V.MarchaisEmpereur
Les élèves qui apprennent sont devenus minoritaires.
Parce que, à part les profs, quels parents ont encore envie de se faire chier à contraindre Minot à apprendre ses leçons ? (voir article de N. Polony sur le sujet)
Parce que, quand un élève ne fout rien, il se passe quoi ? RIEN. Ils passent dans la classe supérieure. Tout va bien, même papa-maman sont rassurés.
Nous avons mis en place un système qui encourage la paresse, pente naturelle de l'enfant. On le dénonce ou on continue comme ça, au choix.
Parce que, à part les profs, quels parents ont encore envie de se faire chier à contraindre Minot à apprendre ses leçons ? (voir article de N. Polony sur le sujet)
Parce que, quand un élève ne fout rien, il se passe quoi ? RIEN. Ils passent dans la classe supérieure. Tout va bien, même papa-maman sont rassurés.
Nous avons mis en place un système qui encourage la paresse, pente naturelle de l'enfant. On le dénonce ou on continue comme ça, au choix.
- bellaciaoFidèle du forum
Et puis, quand on fait apprendre ses leçons à un enfant, à partir de la primaire, il faut y passer du temps avec lui, prendre connaissance de la leçon, l'interroger. Les parents peuvent-ils s'investir (certains rentrent tard le soir, il faut dire ce qui est) ou ont-ils envie de le faire ? Je crois que cela part aussi de là.
Maintenant, en grammaire, la séquence a fait du mal. J'ai encore du mal à me détacher de ce modèle pour établir une progression à part entière et je me sens insatisfaite de la solution intermédiaire que j'ai trouvée.
Maintenant, en grammaire, la séquence a fait du mal. J'ai encore du mal à me détacher de ce modèle pour établir une progression à part entière et je me sens insatisfaite de la solution intermédiaire que j'ai trouvée.
- doctor whoDoyen
bellaciao a écrit:J'ai encore du mal à me détacher de ce modèle pour établir une progression à part entière et je me sens insatisfaite de la solution intermédiaire que j'ai trouvée.
Mais n'hésite pas ! Rejoins le côté obscur de la force !
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Mon blog sur Tintin (entre autres) : http://popanalyse.over-blog.com/
Blog pédagogique : http://pedagoj.eklablog.com
- JaneMonarque
Je suis d'accord à 100% avec ton message, mais Véronique, quel choix a-t-on ? on peut toujours demander à ce que Chérimoncoeur redouble, mais les parents diront non, on se fera chier à aller en commission d'appel et on nous dira oui, il/elle passe. Peut-on réellement s'opposer à un système qui est un déni de notre parole ou de notre travail ? Les instances qui ont instauré ce système et nous l'ont imposé sont bien sourdes à nos appels.
- JeanNiveau 8
Esméralda a écrit:A peu près le même constat. Au brevet blanc dans une des questions sur le type de phrase à un moment ( interrogative !) la moitié de savait pas répondre. Désolant ce désintérêt qui s'installe partout et gagne du terrain. Même constat aussi que souvent, ça marche à peu près en classe, et qu'après, le contrôle est mauvais car ils n'ont pas ouvert leur classeur, pas même relu la leçon, encore moins refaire les exercices. Et c'est pas faute de leur dire !!
Seul un vrai "cours de grammaire", qui se tienne, méthodique, progressif et directif, c'est-à-dire magistral, peut faire apprendre aux élèves ce qu'ils ne savent pas. Il est donc parfaitement vain de les interroger sur quelque chose qu'ils sont "censés savoir".
Quand ils vous arrivent, que ce soit en 6ème, en 5ème, en 4ème ou en 3ème, c'est simple : s'ils n'ont pas eu au moins une année un professeur de français à l'ancienne, ils ne savent rien. RIEN !!! C'est l'heureux bénéfice de la "séquence", dont on peut se demander avec quelque chance d'avoir raison si l'objectif de ses concepteurs n'était pas de démolir la transmission de toute connaissance précise, solide et utilisable et de brouiller les cervelles.
- V.MarchaisEmpereur
Ballaciao, je crois peu aux explications sociologiques à un tel effondrement de l'effort.
La dure vie des ouvriers, elle ne date pas d'hier, et longtemps, cela n'a pas empêché de valoriser l'école et d'imposer le travail aux mômes.
Dans ma ZEP, c'est triste à dire, mais 50% des parents sont au chômage et un la plupart des mamans, de culture musulmane, sont au foyer. Et ce sont ceux-là qui s'investissent le moins dans la scolarité de leur enfant.
Je pense que l'organisation de l'école primaire et le remplacement des notes par des livrets illisibles ne les a pas aidés à prendre conscience de ce qui n'allait. Mais je pense aussi qu'il est plus facile de ne pas élever ses gosses que de les élever. Je vais un peu vite mais il y a de ça. Eduquer ses enfants, c'est aussi suivre leur scolarité, ce à quoi bien des parents, sous des prétextes divers, ont renoncé, se déchargeant entièrement sur nous.
La dure vie des ouvriers, elle ne date pas d'hier, et longtemps, cela n'a pas empêché de valoriser l'école et d'imposer le travail aux mômes.
Dans ma ZEP, c'est triste à dire, mais 50% des parents sont au chômage et un la plupart des mamans, de culture musulmane, sont au foyer. Et ce sont ceux-là qui s'investissent le moins dans la scolarité de leur enfant.
Je pense que l'organisation de l'école primaire et le remplacement des notes par des livrets illisibles ne les a pas aidés à prendre conscience de ce qui n'allait. Mais je pense aussi qu'il est plus facile de ne pas élever ses gosses que de les élever. Je vais un peu vite mais il y a de ça. Eduquer ses enfants, c'est aussi suivre leur scolarité, ce à quoi bien des parents, sous des prétextes divers, ont renoncé, se déchargeant entièrement sur nous.
- InvitéInvité
J'ai une connaissance qui m'a dit que quand le collège l'appelait à propos du comportement de son fils, elle rétorquait que ce n'était pas à elle de s'occuper de ce genre de problèmes mais au collège; elle le confiait au collège et ne devait donc en rien intervenir, en gros elle n'était pas responsable de son comportement dans l'établissement.
J'ai cru que j'allais lui tourner une gifle...
J'ai cru que j'allais lui tourner une gifle...
- IphigénieProphète
"les parents se déchargent":
pire que ça:le savoir n'est plus un idéal à atteindre:pour les élèves,lcomme pour leur parent,'école ne sert pas à apprendre:je crois que c'est ça le gros problème.
Les parents ne veulent pas que leurs enfants sachent quelque chose,ils veulent qu'ils "se placent".
Même l es plus motivés des élèves n'ont plus l'ambition d'apprendre,de comprendre :ce qu'ils veulent, c'est très prosaiquement"avoir un bon métier":je leur ai demandé ce que ça voulait dire pour eux:aucun ne m'a dit faire quelque chose d'intéressant (ça les a même fait rigoler que je leur parle de se passionner),mais tous," des horaires pas trop chargés et du fric".
Tricher pour augmenter des notes, être absent pour ne pas faire baisser une moyenne deviennent des stratégies courantes.Travailler au minimum pour avoir une petite moyenne passe pour le comble de l'intelligence(et est une attitude encouragée par les observations du type:élève capable,qui pourrait bien faire s'il le voulait)J
'ai demandé à mes élèves de seconde quel serait pour eux le métier idéal:ils n'avaient aucune idée,ne comprenaient même pas la notion;ce qu'ils veulent c'est pas un métier c'est du fric.Le savoir ils s'en foutent .
Même en latin ,j'ai des gamins en seconde qui me disent(pour la première fois cette année) :si on fait du latin c'est pour que vous nous mettiez des bonnes notes pour augmenter nos moyennes.Quand je leur dis:vous aurez des bonnes notes si vous les méritez,ils ne comprennent pas:"mais on fait des heures,donc on a des bonnes notes sinon on abandonne".Ils n'apprennent pas,ils achètent une mention au bac (ou le croient)
A tous les niveaux,c'est effrayant de voir à quel point tout est perverti.
Bon je dois être un peu déprimée ce soir.....
pire que ça:le savoir n'est plus un idéal à atteindre:pour les élèves,lcomme pour leur parent,'école ne sert pas à apprendre:je crois que c'est ça le gros problème.
Les parents ne veulent pas que leurs enfants sachent quelque chose,ils veulent qu'ils "se placent".
Même l es plus motivés des élèves n'ont plus l'ambition d'apprendre,de comprendre :ce qu'ils veulent, c'est très prosaiquement"avoir un bon métier":je leur ai demandé ce que ça voulait dire pour eux:aucun ne m'a dit faire quelque chose d'intéressant (ça les a même fait rigoler que je leur parle de se passionner),mais tous," des horaires pas trop chargés et du fric".
Tricher pour augmenter des notes, être absent pour ne pas faire baisser une moyenne deviennent des stratégies courantes.Travailler au minimum pour avoir une petite moyenne passe pour le comble de l'intelligence(et est une attitude encouragée par les observations du type:élève capable,qui pourrait bien faire s'il le voulait)J
'ai demandé à mes élèves de seconde quel serait pour eux le métier idéal:ils n'avaient aucune idée,ne comprenaient même pas la notion;ce qu'ils veulent c'est pas un métier c'est du fric.Le savoir ils s'en foutent .
Même en latin ,j'ai des gamins en seconde qui me disent(pour la première fois cette année) :si on fait du latin c'est pour que vous nous mettiez des bonnes notes pour augmenter nos moyennes.Quand je leur dis:vous aurez des bonnes notes si vous les méritez,ils ne comprennent pas:"mais on fait des heures,donc on a des bonnes notes sinon on abandonne".Ils n'apprennent pas,ils achètent une mention au bac (ou le croient)
A tous les niveaux,c'est effrayant de voir à quel point tout est perverti.
Bon je dois être un peu déprimée ce soir.....
- IphigénieProphète
en grammaire (mais je ne veux pas vous déprimer aussi) j'ai découvert des élèves de seconde qui ignorent ce qu'est un article,et même qu'un accent peut être aigu ou grave:ça les a fait rigoler ces appellations,jamais entendu parler de ça.
- InvitéInvité
Les 3/4 de mes élèves ne mettent pas d'accent: c'est pratique, pas besoin de se demander si l'accent est aigu, grave ou circonflexe... Et puis savoir faire la différence entre un participe passé, un infinitif ou une deuxième personne du pluriel, mais à quoi ça sert dans la vie de tous les jours? La différence entre être et avoir? Même combat. De toutes façons, des fois, ça se prononce pareil hein! :colere:
Dernière perle trouvée dans une copie "ont peu realiser l'experiance suivante" pour "on peut réaliser l'expérience suivante".
Dernière perle trouvée dans une copie "ont peu realiser l'experiance suivante" pour "on peut réaliser l'expérience suivante".
- kensingtonEsprit éclairé
iphigénie a écrit:Bon je dois être un peu déprimée ce soir.....
Et déprimante! Mais involontairement, je sais bien!
Entièrement d'accord avec ce que tu dis en tout cas et avec Véronique.
- InvitéeHrÉrudit
Quand j'ai corrigé le BAC de français l'an dernier, je n'avais quasiment aucune copie accentuée ou alors ils balancent un accent au pif, ils n'en ont plus rien à f***.
- InvitéInvité
Et ce qui me tue, c'est que même avec un correcteur d'orthographe (sous word par exemple) ils arrivent à faire des fautes d'orthographe/grammaire... Et en grand nombre en plus! Tout est souligné en rouge, mais ils s'en fichent...
- HéliandreExpert
Al a écrit:Les 3/4 de mes élèves ne mettent pas d'accent: c'est pratique, pas besoin de se demander si l'accent est aigu, grave ou circonflexe... Et puis savoir faire la différence entre un participe passé, un infinitif ou une deuxième personne du pluriel, mais à quoi ça sert dans la vie de tous les jours?
Oui, c'est pire que ne pas savoir, ils ne voient pas l'intérêt. l'autre jour j'ai réussi à les faire rire en lisant leur texte sans accent, et en appelant un élève de son prénom déformé par lui-même (il ne note pas les accents), ça aura peut-être un tout petit peu plus d'efficacité que mes reproches et discours sur l'utilité de la chose... Moi aussi je suis un peu déprimée. faut vraiment un Master ?
- InvitéInvité
Moi aussi, ce soir, je me demande pourquoi j'ai bossé aussi dur pour décrocher ce concours, pourquoi j'ai fait de longues études... si c'est pour me retrouver devant des gamins qui n'ont pas le niveau et qui , comble de tout, se croient bons...
- harry jamesNeoprof expérimenté
+1 à tout ce que vous avez déjà dit les amis.
C'est bien simple, j'ai l'impression d'être le grand tortionnaire et le grand inquisiteur de la langue française : plus nous faisons de la grammaire, de la conjugaison etc...plus je découvre leurs gouffres...
j'ai dû refaire (faire? ) le présent de l'indicatif avec toutes mes classes (4èmes et 3èmes..)...En fait, je reprends tout depuis le début avec toutes mes classes...
mais comme aucun n'apprend les leçons ni ne fait les exercices...je pisse dans un violon.
C'est bien simple, j'ai l'impression d'être le grand tortionnaire et le grand inquisiteur de la langue française : plus nous faisons de la grammaire, de la conjugaison etc...plus je découvre leurs gouffres...
j'ai dû refaire (faire? ) le présent de l'indicatif avec toutes mes classes (4èmes et 3èmes..)...En fait, je reprends tout depuis le début avec toutes mes classes...
mais comme aucun n'apprend les leçons ni ne fait les exercices...je pisse dans un violon.
_________________
Merdre lachez tout! Partez sur les routes!
Out of sorrow entire worlds have been built
Out of longing great wonders have been willed
[...]
Outside my window, the world has gone to war
Are you the one that I've been waiting for?
- InvitéInvité
Je pleure devant la "nullité crasse" de mes élèves en français, mais je ne suis que professeur de physique-chimie. J'ose à peine imaginer votre désespoir professeurs de lettres...
- SteredDoyen
Ils ne bossent absolument pas à la maison... Même en latin où la légende veut que seuls les bons s'inscrivent (mouarf...), c'est la cata dès qu'on demande de conjuguer le présent ou de faire trois phrases de thème...
- AmaliahEmpereur
Moi, ce qui me laisse sans voix, c'est la nullité de certains, à savoir les 90% de ma classe de 4°! On passe 2h à revoir le futur et au bout de 2h ils écrivent "je tirerrai"... "Eh bien, oui, comme "verrai" Madame!" mais ces élèves sont très faibles (classe de niveau). Ils ont au moins une excuse.
Dans mes autres classes, d'assez bonnes classes mais avec des 3° qui n'étudient pas, se reposent sur leurs petits lauriers et donc sont nuls en grammaire, ça me rend folle de rage. Je suis intransigeante. Pour les accents, j'enlève autant de points qu'il manque d'accents sans me limiter et une fois que j'en ai assez, j'annonce la couleur: maintenant c'est -3 ou -4 par devoir non accentué! Le problème se résout généralement assez vite. Idem pour la ponctuation, les a/à et autres. Par contre pas de solution pour les leçons pas apprises... Malheureusement!
Dans mes autres classes, d'assez bonnes classes mais avec des 3° qui n'étudient pas, se reposent sur leurs petits lauriers et donc sont nuls en grammaire, ça me rend folle de rage. Je suis intransigeante. Pour les accents, j'enlève autant de points qu'il manque d'accents sans me limiter et une fois que j'en ai assez, j'annonce la couleur: maintenant c'est -3 ou -4 par devoir non accentué! Le problème se résout généralement assez vite. Idem pour la ponctuation, les a/à et autres. Par contre pas de solution pour les leçons pas apprises... Malheureusement!
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