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- CléopâtreNiveau 4
@olive27400 : mais laisse, ne réponds pas.
En fait je comprends qu'on me reprochera d'avoir osé avouer un sentiment qui n'est pas très beau (et dont je suis peu fière). Parce que bien sûr, ici, il faut feindre d'être parfait.
J'ai peut être osé montrer cette part de moi qui n'est pas la plus jolie, mais je suis d'une solidarité sans faille avec mes collègues dans la vie (ce qui n'est pas le cas de tous, loin de là, même si sur internet, tout le monde fait semblant d'être beau et gentil) alors bon.
Salut donc, je vous laisse entre "beaux et gentils".
En fait je comprends qu'on me reprochera d'avoir osé avouer un sentiment qui n'est pas très beau (et dont je suis peu fière). Parce que bien sûr, ici, il faut feindre d'être parfait.
J'ai peut être osé montrer cette part de moi qui n'est pas la plus jolie, mais je suis d'une solidarité sans faille avec mes collègues dans la vie (ce qui n'est pas le cas de tous, loin de là, même si sur internet, tout le monde fait semblant d'être beau et gentil) alors bon.
Salut donc, je vous laisse entre "beaux et gentils".
- CléopâtreNiveau 4
@titeprof Merci d'avoir compris ce que je voulais dire. Et oui, il vaut mieux fuir, ce n'est pas très agréable...
Bah, heureusement, ils sont rarement là!
Bah, heureusement, ils sont rarement là!
- CleroliDoyen
Je ne comprends pas trop : quels profs t'exaspèrent ? Ceux qui sont inspectés ou les autres ? Les collègues (de la personne inspectée) sont peureux ? Pour quelle raison ? Ils ne sont pas inspectés, ils ne vont peut-être même pas entrapercevoir l'IPR ou le chargé de missionCléopâtre a écrit:
Je m'en veux de ressentir ce sentiment de mépris passager, mais c'est comme ça. Les profs tout peureux et tout fébriles en salle des profs en train de flipper pour un inspecteur et qui ne peuvent pas se contrôler pour rester un peu dignes, ça m'exaspère à un point... Alors bon, je prends mon mal en patience.
Je n'ai jamais vu de collègue mort de trouille parce que l'IPR allait inspecter quelqu'un d'autre (ou alors il s'agit de qqn qui va l'être à son tour très vite mais depuis le PPCR, il y a moins d'inspections).
- BaldredSage
La question est moins d'être "beaux" "gentils" "moches" ou "méchants" ou de détailler avec délectation la paille dans l'oeil des voisins inspectés. Peut-être plus intéressant de se demander pourquoi de telles réactions pour un soi-disant si petit enjeu. Chacun joue à sa façon le refrain du "même pas mal", mais on ne dit pas grand chose du pourquoi ça fait si mal à tout le monde ? Alors on sait ce qu'on dit tous pour désacraliser/désamorcer cette fameuse visite. Il y a sûrement une part de rite, mais en réalité pourquoi est-ce un supplice d'être inspecté (est-ce moins pire d'être visité ?)? Les fidèles des fils sur le départ dans le privé vivront-ils mieux les "entretiens d'évaluation" annuels ? Quelques classiques :
1. Ca va finir pas se voir que je suis un imposteur ?
2. Elle remonte à quand sa dernière inspection Blanquer ?
3. Et je lui dirai droit dans les yeux ce que j'en pense de toutes leurs c*******
4. De toutes façons avec les changements de programme j'ai tort tous les dix ans et raison tous les cinq.
5. J'ai tout foiré, je m'en bats les *******, je pars monter une école privée en Floride.
6. Ca a été gé-ni-al, en fait elle/il est super sympa Cruella/ Sévérus, elle/il m'a dit que j'étais le meilleur prof de l'univers.
7. Ca a été génial, et je permets de signaler à certains salisseurs de mémoire qu'ils feraient mieux de fermer leur claque-m****
8. Ca va vraiment finir par finalement se voir que je suis un imposteur.
9. L'inspecteur Sadicus ? il m'a remercié d'avoir enfin pu assister un vrai cours !
10 M'en fous, j'ai rien préparé, mon cours prévu, pas une virgule changée. Les cernes ? c'est l'alcool...
Tenez bon la rampe...
1. Ca va finir pas se voir que je suis un imposteur ?
2. Elle remonte à quand sa dernière inspection Blanquer ?
3. Et je lui dirai droit dans les yeux ce que j'en pense de toutes leurs c*******
4. De toutes façons avec les changements de programme j'ai tort tous les dix ans et raison tous les cinq.
5. J'ai tout foiré, je m'en bats les *******, je pars monter une école privée en Floride.
6. Ca a été gé-ni-al, en fait elle/il est super sympa Cruella/ Sévérus, elle/il m'a dit que j'étais le meilleur prof de l'univers.
7. Ca a été génial, et je permets de signaler à certains salisseurs de mémoire qu'ils feraient mieux de fermer leur claque-m****
8. Ca va vraiment finir par finalement se voir que je suis un imposteur.
9. L'inspecteur Sadicus ? il m'a remercié d'avoir enfin pu assister un vrai cours !
10 M'en fous, j'ai rien préparé, mon cours prévu, pas une virgule changée. Les cernes ? c'est l'alcool...
Tenez bon la rampe...
- CléopâtreNiveau 4
@Cleroli : les deux! D'abord, ceux de la matière (quand j'ai commencé, l'ipr se déplaçait pour deux profs en général), et les autres parce que toute la sdp devient fébrile, comme par contamination...:|
Je reprécise qu''ils ne m'agacent que quand un ipr vient, en temps normal, pas du tout, au contraire (au cas où on me lirait mal).
J'ai vraiment été mal comprise parce que dans ma tête, c'est plutôt que ce sont des professeurs qui travaillent dans des conditions pas folles (gros, gros euphémisme), qui sont très investis dans leur travail (certains... Je ne sais pas où ils trouvent encore l'énergie, je suis bluffée) et qui quotidiennement "supportent" bien de choses (parfois à la limite de l'acceptable vu les endroits où je suis passée). Alors non seulement ils n'ont rien à se reprocher, mais encore, ils n'ont sans doute pas la reconnaissance méritée (mais bon, ça...) alors si, en plus, ils ont à ce point peur de se faire taper sur les doigts par une personne qui a à peine la légitimité de le faire... Comme s'ils n'en faisaient pas encore assez, comme s'ils faisaient mal, comme si...
Comme je vois les choses ainsi, je suis agacée. C'est physique: ça me hérisse le poil.
@Baldred Eh oui, c'est la question. Et tu as tout très bien résumé, je n'ai rien à ajouter. En prime, j'ai bien ri parce que c'est plus vrai que nature.
Mais petite question: pourquoi un "soi-disant si petit enjeu"? Parce qu'au bout du compte, niveau salaire, la différence se fait sentir? Ou niveau progression? C'est encore pire de courir après ça.
Le classique numéro 1 me tue.
Le classique numéro 10 me ressemble assez.
Non mais, je m'énerve moi-même! Mais je cache et me tais parce que je veux à tout prix garder ma dignité et que ça m'énerve qu'on soit comme ça. Pfff, je ne change rien, mais je suis stressée malgré moi parce que la principale, l'adjoint, les collègues, tout le monde y va de sa remarque à deux balles et de son regard compatissant (mais sérieux les gars?, ce regard... Non. )
Bref, on en sortira jamais, et je trouverai toujours ça d'un ridicule sans nom.
Bon, c'était juste un post "émotion vraie". PS: non, non, pas de délectation, mais un agacement profond, et que je décris pour rendre la vérité de l'émotion qui est la mienne et que je réprime (parce que "moche" somme toute, et dicible seulement sur un post anonyme).
Je reprécise qu''ils ne m'agacent que quand un ipr vient, en temps normal, pas du tout, au contraire (au cas où on me lirait mal).
J'ai vraiment été mal comprise parce que dans ma tête, c'est plutôt que ce sont des professeurs qui travaillent dans des conditions pas folles (gros, gros euphémisme), qui sont très investis dans leur travail (certains... Je ne sais pas où ils trouvent encore l'énergie, je suis bluffée) et qui quotidiennement "supportent" bien de choses (parfois à la limite de l'acceptable vu les endroits où je suis passée). Alors non seulement ils n'ont rien à se reprocher, mais encore, ils n'ont sans doute pas la reconnaissance méritée (mais bon, ça...) alors si, en plus, ils ont à ce point peur de se faire taper sur les doigts par une personne qui a à peine la légitimité de le faire... Comme s'ils n'en faisaient pas encore assez, comme s'ils faisaient mal, comme si...
Comme je vois les choses ainsi, je suis agacée. C'est physique: ça me hérisse le poil.
@Baldred Eh oui, c'est la question. Et tu as tout très bien résumé, je n'ai rien à ajouter. En prime, j'ai bien ri parce que c'est plus vrai que nature.
Mais petite question: pourquoi un "soi-disant si petit enjeu"? Parce qu'au bout du compte, niveau salaire, la différence se fait sentir? Ou niveau progression? C'est encore pire de courir après ça.
Le classique numéro 1 me tue.
Le classique numéro 10 me ressemble assez.
Non mais, je m'énerve moi-même! Mais je cache et me tais parce que je veux à tout prix garder ma dignité et que ça m'énerve qu'on soit comme ça. Pfff, je ne change rien, mais je suis stressée malgré moi parce que la principale, l'adjoint, les collègues, tout le monde y va de sa remarque à deux balles et de son regard compatissant (mais sérieux les gars?, ce regard... Non. )
Bref, on en sortira jamais, et je trouverai toujours ça d'un ridicule sans nom.
Bon, c'était juste un post "émotion vraie". PS: non, non, pas de délectation, mais un agacement profond, et que je décris pour rendre la vérité de l'émotion qui est la mienne et que je réprime (parce que "moche" somme toute, et dicible seulement sur un post anonyme).
- BaldredSage
Cléopâtre a écrit:
Mais petite question: pourquoi un "soi-disant si petit enjeu"? Parce qu'au bout du compte, niveau salaire, la différence se fait sentir? Ou niveau progression? C'est encore pire de courir après ça.
Deux petites réponses à ta petite question.
Au bout du compte, oui, la différence peut se faire sentir. Le bénéfice de mes inspections me permettra de toucher (peu de temps mais j'encadrerai le bulletin de paie dans mes toilettes ) 4999 par mois et d'augmenter ma retraite de plus de 800€. J'aime mon métier que je n'ai pas choisi pour m'enrichir, mais n'étant pas un prof " de vocation", j'ai toujours été très vénal, au sens qu'il m'a toujours paru normal d'être payé à mesure de mon engagement. Comme je l'aurais fais sans complexe dans le privé.
Mais le vrai enjeu n'est pas là, la reconnaissance professionnelle, sociale, humaine est un moteur psychologique puissant, et sans doute indispensable. Il suffit de voir les réactions qu'on éprouve lorsqu'elle vient à manquer : un sentiment de pure trahison, de vide, d'abandon. Notre système de reconnaissance professionnelle est particulièrement infantilisant et absurde ( combien de TS pour un avis excellent, si je m'oppose, changera-t-on un à consolider pour un TS ?). Alors oui, on peut le minimiser mais être reconnu ou pas est un enjeu majeur.
Tu dis que c'est pire de courir après ça. Qui parle de courir ? Pourquoi ce vocabulaire si souvent dépréciatif quand nous parlons de nous ? Pourquoi porter un jugement moral quand il s'agit de salaire (financier ou symbolique)? Pourquoi toute demande de conseil sur la carrière commence toujours par " je ne suis pas carriériste mais..." Les profs sont souvent leurs premiers ennemis, au sens où ils se traitent mal. Comprendre pourquoi est une autre histoire...
- CléopâtreNiveau 4
D'accord.
Je pense que nous n'avons pas le même point de vue sur les choses, mais moi, ça ne me dérange pas!
En lisant ma réponse à ta question, il faut garder en tête que j'ai un côté "Non, merci" à la Cyrano de Bergerac.
Vouloir être payé à la mesure de son engagement est, pour moi aussi, "normal"/légitime.
Devoir jouer un petit jeu/parader à outrance/lécher des bottes (et j'en passe, bref, on a tous des yeux et des oreilles) pour être payé à la mesure de son engagement n'est pas, pour moi, "normal"/souhaitable.
Dans la pyramide de Maslow -que je trouve intéressante, le besoin de reconnaissance/d'estime arrive en 4ème. Il est considéré comme un élément fondamental du bien-être. Ce besoin n'est pas remis en cause (pas par moi en tout cas), mais la forme qu'il prend, et la façon de l'obtenir sont à questionner.
Tu m'as ôté les mots de la bouche: notre système de reconnaissance professionnelle est en effet infantilisant et absurde. Le petit jeu que j'ai observé à mes débuts (à mon grand étonnement, j'étais naïve alors), je ne l'ai pas apprécié, alors j'ai décidé de ne pas en tenir compte. Depuis, je n'y fais même plus attention (on a encore cette chance dans ce métier, de pouvoir faire cela).
Chez nous, comme ailleurs, je regrette qu'il en soit ainsi.
Voilà le pourquoi de mon vocabulaire dépréciatif (utilisé consciemment), qui n'engage que moi. Je n'aime pas ce côté-là du monde du travail.
Quant à celui qui est "carriériste", qu'il l'assume, voilà tout! Ou pas d'ailleurs.
Personnellement, c'est vrai que les gens "carriéristes" me font doucement rire... Je ne les comprends même pas en fait, je crois. Je précise que je n'ai rien contre les gens qui ont de l'"ambition". Je mets entre guillemets parce que j'ai une ambition immense en ce qui concerne mes cours, j'y passe des heures, et je ne vois pas pourquoi ça ne compterait pas, mais de l'ambition pour "ma carrière", c'est vrai que je n'en ai aucune -hélas ou pas grave. Et je mets encore "ma carrière" entre guillemets parce que le mot "carrière" n'entre pas dans ma vision propre des choses de la vie non plus. Mais si d'autres veulent en parler ou en construire une, ou considèrent que c'est important, etc., je comprends aussi.
Ce mot fait partie des concepts que j'ai rejetés pour ma part, comme d'autres concepts du monde du travail (monde que j'ai largement déconstruit).
Je ne doute pas que nos points de vue sur ce sujet précis entrent dans des visions globales (du monde du travail, du monde, des rapports humains, etc.), qui ne peuvent être partagées ici.
Je pense que nous n'avons pas le même point de vue sur les choses, mais moi, ça ne me dérange pas!
En lisant ma réponse à ta question, il faut garder en tête que j'ai un côté "Non, merci" à la Cyrano de Bergerac.
Vouloir être payé à la mesure de son engagement est, pour moi aussi, "normal"/légitime.
Devoir jouer un petit jeu/parader à outrance/lécher des bottes (et j'en passe, bref, on a tous des yeux et des oreilles) pour être payé à la mesure de son engagement n'est pas, pour moi, "normal"/souhaitable.
Dans la pyramide de Maslow -que je trouve intéressante, le besoin de reconnaissance/d'estime arrive en 4ème. Il est considéré comme un élément fondamental du bien-être. Ce besoin n'est pas remis en cause (pas par moi en tout cas), mais la forme qu'il prend, et la façon de l'obtenir sont à questionner.
Tu m'as ôté les mots de la bouche: notre système de reconnaissance professionnelle est en effet infantilisant et absurde. Le petit jeu que j'ai observé à mes débuts (à mon grand étonnement, j'étais naïve alors), je ne l'ai pas apprécié, alors j'ai décidé de ne pas en tenir compte. Depuis, je n'y fais même plus attention (on a encore cette chance dans ce métier, de pouvoir faire cela).
Chez nous, comme ailleurs, je regrette qu'il en soit ainsi.
Voilà le pourquoi de mon vocabulaire dépréciatif (utilisé consciemment), qui n'engage que moi. Je n'aime pas ce côté-là du monde du travail.
Quant à celui qui est "carriériste", qu'il l'assume, voilà tout! Ou pas d'ailleurs.
Personnellement, c'est vrai que les gens "carriéristes" me font doucement rire... Je ne les comprends même pas en fait, je crois. Je précise que je n'ai rien contre les gens qui ont de l'"ambition". Je mets entre guillemets parce que j'ai une ambition immense en ce qui concerne mes cours, j'y passe des heures, et je ne vois pas pourquoi ça ne compterait pas, mais de l'ambition pour "ma carrière", c'est vrai que je n'en ai aucune -hélas ou pas grave. Et je mets encore "ma carrière" entre guillemets parce que le mot "carrière" n'entre pas dans ma vision propre des choses de la vie non plus. Mais si d'autres veulent en parler ou en construire une, ou considèrent que c'est important, etc., je comprends aussi.
Ce mot fait partie des concepts que j'ai rejetés pour ma part, comme d'autres concepts du monde du travail (monde que j'ai largement déconstruit).
Je ne doute pas que nos points de vue sur ce sujet précis entrent dans des visions globales (du monde du travail, du monde, des rapports humains, etc.), qui ne peuvent être partagées ici.
- BaldredSage
Cléopâtre a écrit:D'accord.
Je pense que nous n'avons pas le même point de vue sur les choses, mais moi, ça ne me dérange pas!
En lisant ma réponse à ta question, il faut garder en tête que j'ai un côté "Non, merci" à la Cyrano de Bergerac
Cléopâtre et Cyrano ? je vois bien un point commun...
Il est absolument normal qu'être carriériste ne t'intéresse pas puisque, sauf si tu vises le supérieur, le concours de Perdir ou d'inspecteur, il n'y a pas vraiment de carrière à mener quand on est devant les élèves. La question ne se pose que vers 45 ans, et encore sans qu'il ait non plus de véritable plan de carrière à suivre : ce que tu fais plaira, ou pas, et bien malin qui peut prévoir. Jeune prof tu as absolument raison de ne pas y penser.
C'est pourquoi je pense que ce qui t'énerve chez tes collègues relève plus d'un manque de reconnaissance/confiance assez compréhensible dans un ministère humainement si bien géré. Tu n'as pas de chance, j'ai croisé peu d'arrivistes, et la plupart sont arrivés... nulle part.
Bonne continuation.
- CléopâtreNiveau 4
[/quote] Cléopâtre et Cyrano ? je vois bien un point commun... .[/quote]
:sourit: Hahaha, on a le nez, et le nez creux.
Oui, bien sûr, mon agacement a un sens et n'est pas vraiment contre mes collègues: je trouve que cela nous maintient dans une attitude d'enfants/élèves ayant toujours peur de mal faire (attitude que nous détestons tous, je l'ai lu plein de fois ici), et entretient encore et toujours un gros doute (non pas un doute sain, mais un énorme doute, toujours là, nuisible plus que bénéfique, fatiguant, pénible, inutile) sur nos compétences alors même qu'elles sont bien là/ un éternel syndrome d'imposteur qui n'a pas lieu d'être.
A toi aussi, bonne continuation, au plaisir
:sourit: Hahaha, on a le nez, et le nez creux.
Oui, bien sûr, mon agacement a un sens et n'est pas vraiment contre mes collègues: je trouve que cela nous maintient dans une attitude d'enfants/élèves ayant toujours peur de mal faire (attitude que nous détestons tous, je l'ai lu plein de fois ici), et entretient encore et toujours un gros doute (non pas un doute sain, mais un énorme doute, toujours là, nuisible plus que bénéfique, fatiguant, pénible, inutile) sur nos compétences alors même qu'elles sont bien là/ un éternel syndrome d'imposteur qui n'a pas lieu d'être.
A toi aussi, bonne continuation, au plaisir
- CléopâtreNiveau 4
ps: bon, ok, je sais pas quoter, je suis pas assez souvent connectée.
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