- maduNiveau 8
Témoignage personnel de pression exercée sur les cas contacts : j’apprends que je suis cas contact il y a une dizaine de jours. Je m’isole, préviens le collège, vais me faire tester. Je reçois un message désagréable de mon cde qui me reproche un excès de prudence. Mon test étant positif, je signale mes cas contacts à l’ars, deux collègues sont contactés, isolés, et subissent des pressions parce que notre absence met en péril le bon fonctionnement de l’établissement...
Je précise que j’ai été contaminée au collège, par une collègue elle-même contaminée au contact des élèves (alors que, bien sûr, les mesures sont respectées - autant que possible).
Je précise que j’ai été contaminée au collège, par une collègue elle-même contaminée au contact des élèves (alors que, bien sûr, les mesures sont respectées - autant que possible).
- EnaecoVénérable
Normal que Blanquer freine des 4 fers pour que les écoles ne ferment pas.
Il doit bien savoir que depuis Septembre et ses protocoles devant servir de feuille de route à l'échelle locale, rien n'a été fait. En cas de fermeture, ça sera le retour en Mars.
A mes yeux, les CDE ont une part de responsabilité. Il me semble qu'ils ont tous les éléments en main pour travailler et envisager un mode de fonctionnement, avec les enseignants.
Il doit bien savoir que depuis Septembre et ses protocoles devant servir de feuille de route à l'échelle locale, rien n'a été fait. En cas de fermeture, ça sera le retour en Mars.
A mes yeux, les CDE ont une part de responsabilité. Il me semble qu'ils ont tous les éléments en main pour travailler et envisager un mode de fonctionnement, avec les enseignants.
- keroGrand sage
madu a écrit:Je précise que j’ai été contaminée au collège, par une collègue elle-même contaminée au contact des élèves (alors que, bien sûr, les mesures sont respectées - autant que possible).
Je pense que les hypothèses qu'on peut avoir sur la source de contamination des uns ou des autres devraient... Rester des hypothèses.
Quand on est contaminés, il est rigoureusement impossible d'en connaître la source de manière certaine.
- keroGrand sage
Enaeco a écrit:Normal que Blanquer freine des 4 fers pour que les écoles ne ferment pas.
Il doit bien savoir que depuis Septembre et ses protocoles devant servir de feuille de route à l'échelle locale, rien n'a été fait. En cas de fermeture, ça sera le retour en Mars.
A mes yeux, les CDE ont une part de responsabilité. Il me semble qu'ils ont tous les éléments en main pour travailler et envisager un mode de fonctionnement, avec les enseignants.
Chez nous, ça a été fait. Ça m'a coûté un après-midi (libre dans mon emploi du temps, mais banalisé pour cette raison).
- EnaecoVénérable
kero a écrit:Enaeco a écrit:Normal que Blanquer freine des 4 fers pour que les écoles ne ferment pas.
Il doit bien savoir que depuis Septembre et ses protocoles devant servir de feuille de route à l'échelle locale, rien n'a été fait. En cas de fermeture, ça sera le retour en Mars.
A mes yeux, les CDE ont une part de responsabilité. Il me semble qu'ils ont tous les éléments en main pour travailler et envisager un mode de fonctionnement, avec les enseignants.
Chez nous, ça a été fait. Ça m'a coûté un après-midi (libre dans mon emploi du temps, mais banalisé pour cette raison).
Pour le tout distanciel ?
Pour quel résultat ?
On arrive à faire ressortir un cadre clair pour les élèves et où les enseignants y trouvent leur compte ?
- keroGrand sage
Non. On s'est juste engueulés comme d'habitude puisqu'on n'est d'accord sur rien.Enaeco a écrit:Pour le tout distanciel ?kero a écrit:Chez nous, ça a été fait. Ça m'a coûté un après-midi (libre dans mon emploi du temps, mais banalisé pour cette raison).Enaeco a écrit:Normal que Blanquer freine des 4 fers pour que les écoles ne ferment pas.
Il doit bien savoir que depuis Septembre et ses protocoles devant servir de feuille de route à l'échelle locale, rien n'a été fait. En cas de fermeture, ça sera le retour en Mars.
A mes yeux, les CDE ont une part de responsabilité. Il me semble qu'ils ont tous les éléments en main pour travailler et envisager un mode de fonctionnement, avec les enseignants.
Pour quel résultat ?
On arrive à faire ressortir un cadre clair pour les élèves et où les enseignants y trouvent leur compte ?
- maduNiveau 8
kero a écrit:madu a écrit:Je précise que j’ai été contaminée au collège, par une collègue elle-même contaminée au contact des élèves (alors que, bien sûr, les mesures sont respectées - autant que possible).
Je pense que les hypothèses qu'on peut avoir sur la source de contamination des uns ou des autres devraient... Rester des hypothèses.
Quand on est contaminés, il est rigoureusement impossible d'en connaître la source de manière certaine.
Rigoureusement impossible, ça me semble exagéré. Quand trois enseignants d’une même classe sont malades en même temps qu’une partie des élèves de cette classe, qui finit par fermer, ça laisse peu de place au doute. Je t’accorde que dire précisément qui a contaminé qui n’est pas possible (et d’ailleurs inutile) mais on peut affirmer que ça a bien tourné dans la classe.
- BoubouleDoyen
J'aurais été tenté de soutenir cette solution pour les restaurants étoilés et de s'en servir pour élargir ou pas suivant ce qu'on observe (on est en général assez loin de la table voisine dans ces restaurants).Manu7 a écrit:Tout est question de point de vue, car oui les vacances sont un facteur de propagation des épidémies sur le plan géographique. Dans les régions épargnées ce sont les vacances qui ont apporté le virus. Pour les épidémies de grippe et de de gastro c'est la même chose, les vacances accélère la transmission vers les régions épargnées. Donc il ne faut pas confondre vacances avec confinement et vacances sans confinement. Il est clair que si tout le monde reste chez soi pendant les vacances d'hiver alors cela limitera les transmissions.VanGogh59 a écrit:J'adore cette cavalerie impromptue de pédopsychiatres qui viennent à la rescousse de Blanquer aujourd'hui pour affirmer les dangers psychologiques du confinement pour les élèves. Et cela permettra à notre charmant ministre, qui sait, plus tard, de venir défendre l'idée que les vacances sont néfastes psychologiquement et qu'il faut les réduire (d'ailleurs n'a-t-il pas affirmé avec aplomb que c'étaient les vacances qui amplifiaient les contaminations ? ). Que j'aimerai voir s'indigner les pédo-psychiatres du projet de changement de statut des infirmières scolaires qui seront bientôt éjectés des établissements scolaires. Que j'adorerai les voir défendre l'idée que des orthophonistes présents dans chaque établissement, même à temps partiel, serait une nécessité de le climat de déshérence langagière actuel. Que j'apprécierai qu'ils nous soutiennent dans les vrais cas de décrochage et d'absentéisme qui n'ont pas attendus le covid pour se manifester. Décidément, tous les alibis absurdes et démagogiques sont utilisés pour ne pas mettre au premier plan la véritable raison de l'obstination à l'ouverture des écoles : le besoin d'une garderie pour les parents en cas de télétravail...
Pour le décrochage, je trouve que c'est très exagéré de comparer la situation actuelle avec l'absentéisme habituel. La situation est très grave au niveau des étudiants, c'est une réalité et pas une vision démagogue et la différence entre les lycées à 100% et ceux à 50% est aussi très importante. Cela se répercute dans les consultations psychiatriques. Et ce n'est pas une nouveauté seulement les médias donnent plus d'audiance à ce phénomène et en effet beaucoup de "psy" à la mode qui ne sont pas tous des psychiatres pointent le bout de leur nez pour des raisons plus ou moins valables.
Cependant il est clair que les étudiants de base sont sacrifiés alors qu'on protège ceux des écoles prépa et des grandes écoles. C'est comme si on avait fermé tous les restaux sauf les restaux étoilés !!! Comme ces écoles recoivent bien plus que les universités par élève alors on peut y voir du cynisme capitaliste, car on protège l'investissement. Mais aussi au passage on constate, qu'il est possible de conserver un enseignement en présentiel à 100% dans certaines conditions.
Au passage, je conteste à nouveau cette vision de garderie, car c'est une vision difficile à défendre au niveau du lycée et même du collège. Et pourtant quand je vois l'effet du 50% dans les lycées, je pense que c'est vraiment catastrophique. Surtout dans un lycée qui était à 100% distanciel de mars à juin 2020.
Je corrige ce que tu écris, les grandes écoles sont au même régime que les universités, y compris Ulm qui pourtant accueille des fonctionnaires stagiaires. Par contre, le maintien des CPGE qui fonctionnent comme le lycée semble montrer qu'on peut bien enseigner à 100% en présentiel (il y a eu peu de cas de clusters). Peut-être que les CPGE sont situées très majoritairement dans des lycées aux normes (d'aération) et on peut peut-être aussi dire qu'en début d'année scolaire, les étudiants en CPGE ont beaucoup moins fait de "sociabilisation" que les étudiants de grandes écoles (cf presse) ou d'université, c'est inhérent à ce type d'études. Je n'aurais pas compris qu'on maintienne les lycéens et pas les CPGE qui fréquentent les mêmes locaux et je n'y vois pas un complot capitaliste ; par contre, comme pour les restaurants, il me semble qu'on pouvait depuis octobre tenter quelques expériences de réouverture progressive avec suivi en université (ce n'est pas un lieu où on fait de la recherche ?) et en tirer des conclusions.
- Manu7Expert spécialisé
Clecle78 a écrit:Non il n'y a pas de confusion. Donne toi la peine de relire les fils au lieu d'affirmer sans savoir.
Libération du 26 octobre:
"En début d’année scolaire, l’équipe enseignante a été mise en quarantaine suite à la présence d’un cas positif parmi les enseignants. Ils ont ensuite été rappelés au travail car il n’y avait plus assez de remplaçants, on leur a simplement demandé s’ils avaient des symptômes. Ils ont repris la classe sans avoir les résultats des prélèvements. Sur les quatorze enseignants, huit ont ensuite eu des résultats positifs et tous avaient repris la classe."
Article aujourd'hui toujours dans Libération cité plus haut:
"Je raconte aussi le cas de cette enseignante, qui reçoit un SMS de l’assurance maladie lui demandant de s’isoler, mais qui ne s’isole pas et assure la classe, parce que du point de vue du médecin de l’éducation nationale et de notre inspecteur, le risque de contamination, sur son lieu de travail, n’est pas avéré. Ce n’est pas, me confirme mon inspecteur en audience syndicale, à la caisse nationale d’assurance maladie de déterminer qui est cas contact dans les écoles: nous dépendons de la cellule dédiée à l’inspection académique. Dommage que le virus ne soit pas au courant."
Et pas mal dd temoignages de collègues pour peu que tu te donnes la peine de les lire. L'éducation nationale se fiche que ce soit interdit si ça l'arrange.
Tu dis qu'il n'y a pas de confusion entre cas contact et cas positif et tu donnes 2 exemples où tu confonds les deux, c'est quoi ton but ? Dans les deux articles on parle de cas contact et non de cas positifs. Quand tu dis que sur les 14 enseignants, 8 étaient positifs tu oublies de préciser qu'une fois testé positifs alors ils ne sont pas retourné au travail. Ok, je suis d'accord, ils n'auraient jamais du travailler puisqu'ils étaient cas contact.
- Manu7Expert spécialisé
@Bouboule : au sujet des grandes écoles qui restent ouvertes.
Oui, j'ai généralisé un peu trop rapidement en nommant les "grandes écoles" celles qui restent ouvertes, mais il n'y a pas que les CPGE qui sont restées ouvertes. Par exemple, il y a des écoles d'ingénieurs qui accueillent les élèves pour les TP, si bien que les élèves vont en cours toutes les semaines même si ce n'est pas à 100%.
Mais on voit bien que les cours à distance à 100% ont des limites même pour des étudiants. Parmi mes anciens élèves je constate un phénomène de plus en plus courant, ils arrêtent leurs études pour prendre un job dans une entreprise locale et ils comptent redoubler en septembre.
Oui, j'ai généralisé un peu trop rapidement en nommant les "grandes écoles" celles qui restent ouvertes, mais il n'y a pas que les CPGE qui sont restées ouvertes. Par exemple, il y a des écoles d'ingénieurs qui accueillent les élèves pour les TP, si bien que les élèves vont en cours toutes les semaines même si ce n'est pas à 100%.
Mais on voit bien que les cours à distance à 100% ont des limites même pour des étudiants. Parmi mes anciens élèves je constate un phénomène de plus en plus courant, ils arrêtent leurs études pour prendre un job dans une entreprise locale et ils comptent redoubler en septembre.
- ArverneGrand sage
Un article qui fait plaisir à lire :
https://www.liberation.fr/france/2021/01/31/mais-pourquoi-faut-il-sauver-le-soldat-blanquer_1818888
https://www.liberation.fr/france/2021/01/31/mais-pourquoi-faut-il-sauver-le-soldat-blanquer_1818888
Il a fallu ferrailler pendant des mois pour obtenir de masquer les élèves pour les protéger ainsi que les personnels, mais Jean-Michel Blanquer s’entête à inventer un monde merveilleux dans lequel son protocole sanitaire de Schrödinger, qui empile des mesures floues à mettre en place «dans la mesure du possible», règle le problème. Arc-bouté sur des sociétés savantes de pédiatrie incapables de se dédire, le ministre laisse flamber l’épidémie et feint de croire que ceux qui alertent sont des ayatollahs inhumains inconscients du risque éducatif pour les enfants.
J’en viens à me demander quelles vidéos compromettantes possède le ministre, et pourquoi il est si important de sauver le Soldat Blanquer et la réalité alternative dans laquelle il semble vivre.
- HalybelÉrudit
Enaeco a écrit:Quel délai vous semble raisonnable, à l'échelle de votre établissement, pour mettre un place un enseignement en distanciel optimal ?
On annoncera pas 1mois à l'avance que les écoles vont être fermées pour la simple et bonne raison que s'il y a nécessité, c'est qu'on ne peut pas attendre 1 mois supplémentaire.
Beaucoup de choix doivent être faits à l'échelle locale. Et il me semble que les établissements scolaires ont une part de préparation et de réunion à faire que le ministre ne peut pas faire pour eux (en tout cas il vaut mieux pas...).
Quelle organisation pour de l'hybride s'il est imposé ? Quelle organisation pour du tout-distanciel s'il est imposé ?
Chez nous, nous avons mis en place l'hybride car c'était une demande des collègues. Nous avons discuté du tout distanciel mais ça n'a pas été plus loin. Il me semble que c'est le moment de s'en préoccuper mais personne n'a l'air de bouger...
Une semaine semble bien. Si macron annonçait ce soir qu'on passera en distanciel pour les deux zones ça nous laisserait le temps de préparer nos élèves. Mais non si il le fait ça sera jeudi pour vendredi. Y a certes le distanciel mais y a aussi les projets. Une semaine permettrait d'annuler, réorganiser etc.
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Je soigne ma dyslexie pardon si elle ressort trop parfois.
Le téléphone ne m’aide pas.
- roxanneOracle
Je crois que c'st dans les crises qu'on voit qui sont vraiment les gens. Notre chef, qui a ses défauts par ailleurs, s'est montré impeccable depuis le début que ce soit lors du distanciel que lors du retour . Il a mis en place l'hybride avant tout le monde (et contre sa hiérarchie je crois).madu a écrit:Témoignage personnel de pression exercée sur les cas contacts : j’apprends que je suis cas contact il y a une dizaine de jours. Je m’isole, préviens le collège, vais me faire tester. Je reçois un message désagréable de mon cde qui me reproche un excès de prudence. Mon test étant positif, je signale mes cas contacts à l’ars, deux collègues sont contactés, isolés, et subissent des pressions parce que notre absence met en péril le bon fonctionnement de l’établissement...
Je précise que j’ai été contaminée au collège, par une collègue elle-même contaminée au contact des élèves (alors que, bien sûr, les mesures sont respectées - autant que possible).
- henrietteMédiateur
Arverne a écrit:Un article qui fait plaisir à lire :
https://www.liberation.fr/france/2021/01/31/mais-pourquoi-faut-il-sauver-le-soldat-blanquer_1818888
Il a fallu ferrailler pendant des mois pour obtenir de masquer les élèves pour les protéger ainsi que les personnels, mais Jean-Michel Blanquer s’entête à inventer un monde merveilleux dans lequel son protocole sanitaire de Schrödinger, qui empile des mesures floues à mettre en place «dans la mesure du possible», règle le problème. Arc-bouté sur des sociétés savantes de pédiatrie incapables de se dédire, le ministre laisse flamber l’épidémie et feint de croire que ceux qui alertent sont des ayatollahs inhumains inconscients du risque éducatif pour les enfants.J’en viens à me demander quelles vidéos compromettantes possède le ministre, et pourquoi il est si important de sauver le Soldat Blanquer et la réalité alternative dans laquelle il semble vivre.
Entendu à l'instant sur France Info : l'éditorialiste explique que le gouvernement qui souhaite éviter par tous les moyens un nouveau confinement a dit compter sur les vacances scolaires, qui freinent toujours l'épidémie. Il relève au passage que Blanquer affirmait exactement l'inverse encore la semaine dernière. Ça commence vraiment à se voir.
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"Il n'y a que ceux qui veulent tromper les peuples et gouverner à leur profit qui peuvent vouloir retenir les hommes dans l'ignorance."
- HalybelÉrudit
henriette a écrit:Arverne a écrit:Un article qui fait plaisir à lire :
https://www.liberation.fr/france/2021/01/31/mais-pourquoi-faut-il-sauver-le-soldat-blanquer_1818888
Il a fallu ferrailler pendant des mois pour obtenir de masquer les élèves pour les protéger ainsi que les personnels, mais Jean-Michel Blanquer s’entête à inventer un monde merveilleux dans lequel son protocole sanitaire de Schrödinger, qui empile des mesures floues à mettre en place «dans la mesure du possible», règle le problème. Arc-bouté sur des sociétés savantes de pédiatrie incapables de se dédire, le ministre laisse flamber l’épidémie et feint de croire que ceux qui alertent sont des ayatollahs inhumains inconscients du risque éducatif pour les enfants.J’en viens à me demander quelles vidéos compromettantes possède le ministre, et pourquoi il est si important de sauver le Soldat Blanquer et la réalité alternative dans laquelle il semble vivre.
Entendu à l'instant sur France Info : l'éditorialiste explique que le gouvernement qui souhaite éviter par tous les moyens un nouveau confinement a dit compter sur les vacances scolaires, qui freinent toujours l'épidémie. Il relève au passage que Blanquer affirmait exactement l'inverse encore la semaine dernière. Ça commence vraiment à se voir.
Sauf que là on est sur des vacances alternées. Le pari me semble mauvais.
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Le téléphone ne m’aide pas.
- HalybelÉrudit
Manu7 a écrit:Clecle78 a écrit:Non il n'y a pas de confusion. Donne toi la peine de relire les fils au lieu d'affirmer sans savoir.
Libération du 26 octobre:
"En début d’année scolaire, l’équipe enseignante a été mise en quarantaine suite à la présence d’un cas positif parmi les enseignants. Ils ont ensuite été rappelés au travail car il n’y avait plus assez de remplaçants, on leur a simplement demandé s’ils avaient des symptômes. Ils ont repris la classe sans avoir les résultats des prélèvements. Sur les quatorze enseignants, huit ont ensuite eu des résultats positifs et tous avaient repris la classe."
Article aujourd'hui toujours dans Libération cité plus haut:
"Je raconte aussi le cas de cette enseignante, qui reçoit un SMS de l’assurance maladie lui demandant de s’isoler, mais qui ne s’isole pas et assure la classe, parce que du point de vue du médecin de l’éducation nationale et de notre inspecteur, le risque de contamination, sur son lieu de travail, n’est pas avéré. Ce n’est pas, me confirme mon inspecteur en audience syndicale, à la caisse nationale d’assurance maladie de déterminer qui est cas contact dans les écoles: nous dépendons de la cellule dédiée à l’inspection académique. Dommage que le virus ne soit pas au courant."
Et pas mal dd temoignages de collègues pour peu que tu te donnes la peine de les lire. L'éducation nationale se fiche que ce soit interdit si ça l'arrange.
Tu dis qu'il n'y a pas de confusion entre cas contact et cas positif et tu donnes 2 exemples où tu confonds les deux, c'est quoi ton but ? Dans les deux articles on parle de cas contact et non de cas positifs. Quand tu dis que sur les 14 enseignants, 8 étaient positifs tu oublies de préciser qu'une fois testé positifs alors ils ne sont pas retourné au travail. Ok, je suis d'accord, ils n'auraient jamais du travailler puisqu'ils étaient cas contact.
Y a la logique et puis, y a la réalité...
Petit rappel de réalité : https://actu.fr/ile-de-france/roissy-en-brie_77390/seine-et-marne-une-serie-de-cas-de-covid-dans-une-ecole-primaire-de-roissy-en-brie_39113162.html
« De plus, le protocole de décision de fermeture d’un établissement ne tient pas compte des adultes. Notre position est assez simple : tant que l’on ne fera pas de tests systématiques, on ne saura pas qui est infecté. Et tant qu’on ne le saura pas, je ne vois pas bien comment on pourra arrêter la propagation du virus. Nous sommes en discussion régulière avec les deux directrices qui ne peuvent que suivre le protocole qui leur est demandé ».
Ou encore :
FLASH - « Le maire d’Ivry-sur-Seine souhaite fermer l’école (car cas de #COVID19), mais l’inspectrice, toujours pas. Le mot d’ordre c’est se taire, ne pas fermer pour ne pas faire exploser les chiffres. La santé, ils s’en foutent », assure une représentante syndicale. (Libé)
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Je soigne ma dyslexie pardon si elle ressort trop parfois.
Le téléphone ne m’aide pas.
- teresiaNiveau 3
Le protocole nouveau est arrivé: lien
- HalybelÉrudit
teresia a écrit:Le protocole nouveau est arrivé: lien
Je ne m'attendais à rien et je suis quand même déçu.
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Je soigne ma dyslexie pardon si elle ressort trop parfois.
Le téléphone ne m’aide pas.
- henrietteMédiateur
Les deux mètres (et non plus un mètre) requis (et non plus dans la mesure du possible) à la cantine, cela va poser de gros gros problèmes dans mon collège... Je viens de croiser le chef qui s'arrache le peu de cheveux qu'il lui reste.
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"Il n'y a que ceux qui veulent tromper les peuples et gouverner à leur profit qui peuvent vouloir retenir les hommes dans l'ignorance."
- InvitéInvité
On attend vite le "dans la mesure du possible" pour demain !
- MC311Niveau 10
Les agents de mon établissement viennent de recevoir 5 masques de marque DIM. Ils avaient pourtant été remplacés puisqu'ils posaient problème. DIM aurait produit de nouveaux masques ? Je n'y crois pas.
- DanskaProphète
henriette a écrit:Les deux mètres (et non plus un mètre) requis (et non plus dans la mesure du possible) à la cantine, cela va poser de gros gros problèmes dans mon collège... Je viens de croiser le chef qui s'arrache le peu de cheveux qu'il lui reste.
Ca risque d'être très, très compliqué dans mon établissement scolaire, même avec une partie des lycéens à 50 %.
Et j'aime toujours autant les photos qui illustrent ce genre de document : quelques élèves seulement, masque bien porté, donc aucun n'est en train de le tripoter, installés à des tables individuelles bien séparées les unes des autres... A quelques détails près, c'est exactement ce qu'on observe au quotidien en effet
- piescoModérateur
Danska a écrit:henriette a écrit:Les deux mètres (et non plus un mètre) requis (et non plus dans la mesure du possible) à la cantine, cela va poser de gros gros problèmes dans mon collège... Je viens de croiser le chef qui s'arrache le peu de cheveux qu'il lui reste.
Ca risque d'être très, très compliqué dans mon établissement scolaire, même avec une partie des lycéens à 50 %.
Et j'aime toujours autant les photos qui illustrent ce genre de document : quelques élèves seulement, masque bien porté, donc aucun n'est en train de le tripoter, installés à des tables individuelles bien séparées les unes des autres... A quelques détails près, c'est exactement ce qu'on observe au quotidien en effet
Tout pareil.
Il ne manque que le troupeau de licornes et on y est.
- User20401Vénérable
C'est deux mètres entre les groupes (d'ailleurs, il reste à définir ce qu'est un groupe).henriette a écrit:Les deux mètres (et non plus un mètre) requis (et non plus dans la mesure du possible) à la cantine, cela va poser de gros gros problèmes dans mon collège... Je viens de croiser le chef qui s'arrache le peu de cheveux qu'il lui reste.
- henrietteMédiateur
Mais même compris comme ça - c'est ainsi qu'on l'envisage en effet - cela va créer problème.Cicyle a écrit:C'est deux mètres entre les groupes (d'ailleurs, il reste à définir ce qu'est un groupe).henriette a écrit:Les deux mètres (et non plus un mètre) requis (et non plus dans la mesure du possible) à la cantine, cela va poser de gros gros problèmes dans mon collège... Je viens de croiser le chef qui s'arrache le peu de cheveux qu'il lui reste.
Les groupes chez nous ce sont les classes. Selon les EDT, il n'y a pas le même nombre de demi-pensionnaires de la même classe chaque jour, donc il faudra entre chaque passage regrouper les tables. Exemple : le lundi en semaine A seuls 12 élèves de 6eF mangent car ils n'ont pas cours l'après-midi : deux tables à isoler à 2 mètres de tous les côtés des prochains blocs de tables. Mais le même lundi en semaine B, 26 élèves de 6eF mangent à la cantine : 5 tables à isoler.
Avec des géométries variables donc entre chaque passage si on veut optimiser les choses et limiter la place perdue pour ne pas déborder sur les cours de l'après-midi.
Avec 850 demi-pensionnaires de 32 classes différentes.
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- User20401Vénérable
Puisque la taille des groupes n'est pas définie, on peut aussi partir du principe qu'un groupe, ce sont les 6èmes, par exemple. Totalement absurde mais bon, à un moment à c**, c** et demi… Les CDE qui perdent encore des jours (et des cheveux) sur ce n-ième changement de protocole devraient le prendre pour ce qu'il est : une mascarade.
- Gestion de la crise du Coronavirus dans l'Éducation Nationale
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