Neo défi lecture 2021 - Ici, on papote !

Umberto Eco

Audur Ava Olafsdottir, publiée chez Zulma pour ceux qui voudraient faire d'une pierre deux coups

Ah oui, c’est très bien aussi Audur Ava Olafsdottir !

Jenny a écrit:Ah oui, c’est très bien aussi Audur Ava Olafsdottir !

Rosa candida

Oxford a écrit:

Jenny a écrit:Ah oui, c’est très bien aussi Audur Ava Olafsdottir !

Rosa candida

Sans doute mon préféré, mais c'était le premier* par contre je suis moins convaincue par Miss Islande même si on retrouve la "patte" de l'auteure, il manque, selon moi, de profondeur et de nuances.

* j'ai noté que le roman par lequel je découvre un auteur reste presque toujours celui que je préfère.

Aharon Appelfeld

miss sophie a écrit:Aharon Appelfeld

Le garçon qui voulait dormir

Oh oui, Aharon Appelfeld, je n'y ai pas pensé tout de suite, mais j'ai son dernier titre dans ma PAL! Ce sera l'occasion!

*Ombre* a écrit:Je dirais oui, Le Roy disant bien ce que ça veut dire (il y a juste un article devant le nom), et El(l)roy étant une variante anglophone de Leroy.

Merci
Pour le 41 il y a aussi Isaac Asimov, Inoue Yasushi, Erik Orsenna, Irvin Yalom, Isabel Allende, Isabelle Autissier (je conseille Soudain seuls), ...

Adam Adamov, Emile Ajar, Antonin Artaud

Merci pour toutes vos idées, je note, je n'ai pas encore fait mon choix !

miss sophie a écrit:Aharon Appelfeld

C'est vrai que pendant le défi 2020, vous êtes plusieurs à m'avoir donné envie de découvrir cet auteur !

Oxford a écrit:

Jenny a écrit:Ah oui, c’est très bien aussi Audur Ava Olafsdottir !

Rosa candida

L’embellie

clélia a écrit:Adam Adamov, Emile Ajar, Antonin Artaud

Isabel Allende

Astrid Eliard: Danser et La dernière fois que j'ai vu Adèle

Ake Edwardson; Alphonse Allais; Isaac Asimov

Je suis toujours perplexe quand je lis Aharon Appelfeld à vrai dire, ça me laisse un sentiment d'étrangeté absolue. En décembre, j'ai lu le petit livre de Valérie Zenatti, Dans le faisceau des vivants, essai qu'elle a écrit à la mort d'A. Appelfeld dont elle a été la traductrice et l'amie proche, ça m'a beaucoup intéressée.

Amaliah a écrit:Je suis toujours perplexe quand je lis Aharon Appelfeld à vrai dire, ça me laisse un sentiment d'étrangeté absolue. En décembre, j'ai lu le petit livre de Valérie Zenatti, Dans le faisceau des vivants, essai qu'elle a écrit à la mort d'A. Appelfeld dont elle a été la traductrice et l'amie proche, ça m'a beaucoup intéressée.

Je ne sais pas quel est le contraire de cette phrase mais j'aurais pu l'écrire ! J'ai l'impression que cet auteur me dit quelque chose de moi que je ne connais pas, comme s'il me donnait des clefs d'un moi enfoui, d'un moi d'avant. Je note l'essai de Valérie Zenatti.

41 : Amédée Achard, qui est aussi un auteur de second rayon ; je ne connais que Les coups d'épée de M. de La Guerche, honnête roman  de cape et d'épée, dans son oeuvre abondante et oubliée

41 : Eowyn Ivey, La Fille de l'hiver.

Eschyle, Euripide, Aristophane...





Ben quoi ? Ça marche !

Tout à fait ! Et Aristote, Epictète...

Je plussoie le "Soudain seuls" d'Isabelle Autissier qui convient aussi pour le défi 12 (le Grand Nord).

J'ajoute Edna O'Brien ("Girl"), Amos Oz, Eve Ensler ("Les monologues du vagin", qui entre aussi dans la catégorie 14 : théâtre écrit par une femme) et Yoko Ogawa (tout ce que j'ai lu d'elle m'a plu !).

Je viens de finir le petit roman autobiographique Les Rêveurs d'Isabelle Carré que d'autres Neos avaient recommandé sur le topic 2020 et j'ai moi aussi beaucoup aimé.

Voilà, c'est Noël, avec son bagage de livres.
Je commence donc Asta, de Stefansson, dont j'avais adoré Entre Ciel et Terre. Le livre retrace la vie de la femme éponyme, en mêlant plusieurs époques, et à travers le point de vue de plusieurs personnages, notamment Sigvaldi, le père qui, à la suite d'un accident, fait le point sur sa vie, ses espérances, ses déceptions, et des lettres d'Asta devenue âgée, qu'elle adresse à l'homme qu'elle a aimé et qui l'a quittée, on ne sait (pas encore ?) pourquoi. Je le placerai donc dans l'item personnage de plus de 60 ans. Mais il conviendrait aussi pour le défi Grand Nord, tant les descriptions du paysage âpre de l'Islande occupent une place importante.
Je donnerai mon point de vue quand j'aurai terminé.
Joyeux Noël à tous.

Joyeux Noël chère Ombre, et à tous les chers Néos du défi! Heureuse de refaire ce rituel avec vous ! :boule:
Bon ben ça commence mal ici : j'ai attaqué hier soir un Stephen King en pensant passer un bon moment. J'aimais bien le lire dans ma jeunesse. Eh bien elle doit être enfuie ma jeunesse, car je jette l'éponge après 150 pages de Sac d'os. Pas envie de m'ennuyer comme ça pendant 600 pages de plus...

J'ai commencé léger:
17- Black no more ne fait que 120 pages...Un médecin met au point un procédé pour rendre blanc les noirs, dans l'Amérique des années 30. C'est presque un conte philosophique, qui propose un portrait satirique de l’Amérique des années 30, renvoyant dos-à-dos blancs et noirs, soulignant l’hypocrisie d’une ségrégation avant tout sociale et économique, qui utilise la couleur de peau pour justifier la hiérarchisation sociale. Tous les personnages, blancs comme noirs, poursuivent ici leur intérêt personnel, changeant de convictions politiques au gré des avantages financiers dans une Amérique corrompue. Hommes comme femmes sont présentés comme remplis de préjugés, d’illusions, cherchant à tout prix une reconnaissance sociale. J'ai un peu tiré la langue dans le dernier quart, mais la fin est d'une rouerie et d'un cynisme réjouissant.
Un grand merci pour m'avoir fait découvrir le mouvement Harlem Renaissance: sans vous, je passais à côté de ce roman...
Juste pour la route, la fin du portrait du principal personnage féminin - que j'hésiterais à qualifier d'héroïne-

Now she was back home, thoroughly ashamed of her grotesque parents, and, like the other girls of her set, anxious to get a husband who at the same time was handsome, intelligent, educated, refined and rolling in wealth. As she was ignorant of the fact that no such man existed, she looked confidently forward into the future.

Ponocrates : de rien
Tu connais l’auteur ?