Page 1 sur 40 • 1, 2, 3 ... 20 ... 40
- ysabelDevin
dans mon lycée, on ne sait encore rien, hormis que les cours reprennent à 8h, comme d'habitude.
Depuis hier beaucoup d'échange de mails entre collègue avec écriture d'un mail pour réclamer des mesures de bon sens à cause du virus. On sait que dans certains lycées de la région, des 1/2 classes sont prévues par exemples et dans d'autres rien du tout.
On prévoit une AG lundi à 8h.
Depuis hier beaucoup d'échange de mails entre collègue avec écriture d'un mail pour réclamer des mesures de bon sens à cause du virus. On sait que dans certains lycées de la région, des 1/2 classes sont prévues par exemples et dans d'autres rien du tout.
On prévoit une AG lundi à 8h.
_________________
« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- leliseurNiveau 5
J'ai une question pour les spécialistes du droit.
Le protocole sanitaire, vous le savez, indique que "Dans les écoles élémentaires les collèges, et les lycées, le principe est la distanciation physique d’au moins un mètre lorsqu’elle est matériellement possible"
En face, le Décret n° 2020-1310 du 29 octobre 2020 prescrivant les mesures générales nécessaires pour faire face à l'épidémie de covid-19 dans le cadre de l'état d'urgence sanitaire stipule que " Afin de ralentir la propagation du virus, les mesures d'hygiène définies en annexe 1 au présent décret et de distanciation sociale, incluant la distanciation physique d'au moins un mètre entre deux personnes, dites barrières, définies au niveau national, doivent être observées en tout lieu et en toute circonstance."
Pas recherchées, observées, en tout lieu, toute circonstance.
Dans l'échelle des textes, que vaut un protocole par rapport à un décret ?
Si nous ne respectons pas le décret, ne sommes-nous pas en faute ?
Le protocole sanitaire, vous le savez, indique que "Dans les écoles élémentaires les collèges, et les lycées, le principe est la distanciation physique d’au moins un mètre lorsqu’elle est matériellement possible"
En face, le Décret n° 2020-1310 du 29 octobre 2020 prescrivant les mesures générales nécessaires pour faire face à l'épidémie de covid-19 dans le cadre de l'état d'urgence sanitaire stipule que " Afin de ralentir la propagation du virus, les mesures d'hygiène définies en annexe 1 au présent décret et de distanciation sociale, incluant la distanciation physique d'au moins un mètre entre deux personnes, dites barrières, définies au niveau national, doivent être observées en tout lieu et en toute circonstance."
Pas recherchées, observées, en tout lieu, toute circonstance.
Dans l'échelle des textes, que vaut un protocole par rapport à un décret ?
Si nous ne respectons pas le décret, ne sommes-nous pas en faute ?
https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000042475143#:~:text=Copier%20le%20texte-,D%C3%A9cret%20n%C2%B0%202020%2D1310%20du%2029%20octobre%202020%20prescrivant,l'%C3%A9tat%20d'urgence%20sanitaire
- Hermione0908Modérateur
Les mêmes qui en juin par 30 degrés viennent en jogging molletonné et hoody fermé jusqu'en haut en se plaignant de la chaleur.Caspar a écrit:Le pull n'est en effet pas très à la mode chez les ados et depuis quelques années on voit des garçons se promener en short ou bermuda même en plein hiver... Les mystères de la mode et de l'adolescence.
Le t-shirt sous l'énorme doudoune et le plaid de mamie en guise d'écharpe pour les filles est ici aussi un grand classique.
_________________
Certaines rubriques de Neoprofs.org sont en accès restreint.
Pour en savoir plus, c'est par ici : https://www.neoprofs.org/t48247-topics-en-acces-restreint-forum-accessible-uniquement-sur-demande-edition-2021
- Sylvain de Saint-SylvainGrand sage
Clecle78 a écrit:Une grève massive pas forcément longue ces jours ci aurait une visibilité importante justement. D'autres professions moins bien payées encore le font, pourquoi en serions nous incapables ?Pontorson50 a écrit:Lafourcade a écrit:Je trouve regrettable que les syndicats ne posent pas clairement un jour de grève par semaine. Première semaine, tel jour, deuxième semaine, autre jour et ainsi de suite. Suivi massivement, ce type d'action parviendrait peut-être à faire fléchir le ministère pour la mise en place de demi groupes!
Une grève ponctuelle d'une journée par semaine n'a aucun impact sur le gouvernement, à part permettre une résorption du déficit budgétaire.
Une grève massive ne peut être suivie financièrement, sinon nos revendications de pouvoir d'achat ne seraient pas si urgentes, et nos syndicats le savent, ils n'en sont pas responsables.
D'abord parce que pour l'heure il n'y a pas d'appel fort à la grève, seulement des préavis. Mais surtout, je pense que la peur de l'opinion publique est particulièrement forte en ce moment.
- CasparProphète
Sylvain de Saint-Sylvain a écrit:Clecle78 a écrit:Une grève massive pas forcément longue ces jours ci aurait une visibilité importante justement. D'autres professions moins bien payées encore le font, pourquoi en serions nous incapables ?Pontorson50 a écrit:Lafourcade a écrit:Je trouve regrettable que les syndicats ne posent pas clairement un jour de grève par semaine. Première semaine, tel jour, deuxième semaine, autre jour et ainsi de suite. Suivi massivement, ce type d'action parviendrait peut-être à faire fléchir le ministère pour la mise en place de demi groupes!
Une grève ponctuelle d'une journée par semaine n'a aucun impact sur le gouvernement, à part permettre une résorption du déficit budgétaire.
Une grève massive ne peut être suivie financièrement, sinon nos revendications de pouvoir d'achat ne seraient pas si urgentes, et nos syndicats le savent, ils n'en sont pas responsables.
D'abord parce que pour l'heure il n'y a pas d'appel fort à la grève, seulement des préavis. Mais surtout, je pense que la peur de l'opinion publique est particulièrement forte en ce moment.
Ce n'est pas glorieux, et je vais peut-être me faire incendier mais j'avoue que c'est mon cas. Dans mon lycée nous recevrons les élèves par demi-classe une semaine sur deux: j'estime que c'est une solution acceptable donc je ne ferai pas grève (pour l'instant en tout cas).
- micaschisteMonarque
D'après le mail de mon cde que je viens de recevoir, il y a déjà des collègues malades dans mon établissement qui seront bien évidemment absents demain.floisa a écrit:Et donc que certains d'entre nous tombent sérieusement malades.berseria a écrit:Dans quinze jours, nous allons passer aux demi-groupes. Il faut attendre que la situation se dégrade un peu plus.
_________________
"Il ne sert à rien à l'homme de gagner la Lune s'il vient à perdre la Terre". François Mauriac
"Pick a star in the dark horizon and follow the light "
- Albert JarlHabitué du forum
Sylvain de Saint-Sylvain a écrit:Clecle78 a écrit:Une grève massive pas forcément longue ces jours ci aurait une visibilité importante justement. D'autres professions moins bien payées encore le font, pourquoi en serions nous incapables ?Pontorson50 a écrit:Lafourcade a écrit:Je trouve regrettable que les syndicats ne posent pas clairement un jour de grève par semaine. Première semaine, tel jour, deuxième semaine, autre jour et ainsi de suite. Suivi massivement, ce type d'action parviendrait peut-être à faire fléchir le ministère pour la mise en place de demi groupes!
Une grève ponctuelle d'une journée par semaine n'a aucun impact sur le gouvernement, à part permettre une résorption du déficit budgétaire.
Une grève massive ne peut être suivie financièrement, sinon nos revendications de pouvoir d'achat ne seraient pas si urgentes, et nos syndicats le savent, ils n'en sont pas responsables.
D'abord parce que pour l'heure il n'y a pas d'appel fort à la grève, seulement des préavis. Mais surtout, je pense que la peur de l'opinion publique est particulièrement forte en ce moment.
C'est pas faux mais il faut comprendre que l'opinion sera contre nous quoi qu'il arrive. L'épisode de la "continuité pédagogique" l'a montré de manière éclatante. Pour que les gens nous respecte il faut que l'on commence par nous respecter nous même.
_________________
Si vis pacem, para bellum
- micaschisteMonarque
Apparemment ton cde pourrait opter pour un fonctionnement alterné pour alléger les effectifs si vos locaux ne sont pas du tout adaptés. Il faut lui souffler l'idée.Cath a écrit:Dans mon établissement, il n'y a pas de préau, ni d'extérieur. Juste un hall, bien insuffisant pour tout le monde et, par définition, clos.
Du coup, la direction avait imaginé, en septembre, de laisser les élèves dehors pendant les récréations (les élèves se faisaient gentiment refouler dehors dès la sonnerie de récré) et le matin avant 8h (sympa pour ceux qui arrivent dès 7h15). De même grilles fermées entre les heures de cours, ouverture par un surveillant à chaque début d'heure. Ça commençait à râler : le matin, il fait frais, et souvent en journée, il pleut, on récupérait donc des élèves trempés.
Mais maintenant ? Gardez les élèves enfermés toute la journée mais pas d'entassement en lieu clos ?
_________________
"Il ne sert à rien à l'homme de gagner la Lune s'il vient à perdre la Terre". François Mauriac
"Pick a star in the dark horizon and follow the light "
- nc33Niveau 10
Un élève prévient qu'il a été contaminé pendant les vacances, j'imagine qu'il y en aura d'autres.
Il y a un point qui m'intrigue : Macron ou peut être Castex nous a encouragé à porter le masque à la maison, mais je n'ai pas entendu d'annonce pour rendre le port du masque obligatoire partout en ville sur tout le territoire.
Il y a un point qui m'intrigue : Macron ou peut être Castex nous a encouragé à porter le masque à la maison, mais je n'ai pas entendu d'annonce pour rendre le port du masque obligatoire partout en ville sur tout le territoire.
- VanGogh59Expert spécialisé
leliseur a écrit:J'ai une question pour les spécialistes du droit.
Le protocole sanitaire, vous le savez, indique que "Dans les écoles élémentaires les collèges, et les lycées, le principe est la distanciation physique d’au moins un mètre lorsqu’elle est matériellement possible"
En face, le Décret n° 2020-1310 du 29 octobre 2020 prescrivant les mesures générales nécessaires pour faire face à l'épidémie de covid-19 dans le cadre de l'état d'urgence sanitaire stipule que " Afin de ralentir la propagation du virus, les mesures d'hygiène définies en annexe 1 au présent décret et de distanciation sociale, incluant la distanciation physique d'au moins un mètre entre deux personnes, dites barrières, définies au niveau national, doivent être observées en tout lieu et en toute circonstance."
Pas recherchées, observées, en tout lieu, toute circonstance.
Dans l'échelle des textes, que vaut un protocole par rapport à un décret ?
Si nous ne respectons pas le décret, ne sommes-nous pas en faute ?
https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000042475143#:~:text=Copier%20le%20texte-,D%C3%A9cret%20n%C2%B0%202020%2D1310%20du%2029%20octobre%202020%20prescrivant,l'%C3%A9tat%20d'urgence%20sanitaire
Bonne question. Il me semble que le décret est le texte supérieur à tous les autres car délibéré en conseil des ministres et signé par le président de la République. Il y aurait donc possibilité de nous porter partie civile en justice pour attaquer l'Education Nationale. Maintenant, en ces temps d'urgence sanitaire, ne serait-il pas facile au gouvernement d'intégrer une exclusion des établissements scolaires dans le décret (ce qui serait bien évidemment un scandale mais tout l'est dans la gestion de ce confinement)
_________________
"Nous sommes tous dans le caniveau, mais certains d'entre nous regardent les étoiles" Oscar Wilde
- nounoussNiveau 5
Quid des personnels vulnérables ou vivant avec des personnes vulnérables????
- ChutneyNiveau 6
VanGogh59 a écrit:leliseur a écrit:J'ai une question pour les spécialistes du droit.
Le protocole sanitaire, vous le savez, indique que "Dans les écoles élémentaires les collèges, et les lycées, le principe est la distanciation physique d’au moins un mètre lorsqu’elle est matériellement possible"
En face, le Décret n° 2020-1310 du 29 octobre 2020 prescrivant les mesures générales nécessaires pour faire face à l'épidémie de covid-19 dans le cadre de l'état d'urgence sanitaire stipule que " Afin de ralentir la propagation du virus, les mesures d'hygiène définies en annexe 1 au présent décret et de distanciation sociale, incluant la distanciation physique d'au moins un mètre entre deux personnes, dites barrières, définies au niveau national, doivent être observées en tout lieu et en toute circonstance."
Pas recherchées, observées, en tout lieu, toute circonstance.
Dans l'échelle des textes, que vaut un protocole par rapport à un décret ?
Si nous ne respectons pas le décret, ne sommes-nous pas en faute ?
https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000042475143#:~:text=Copier%20le%20texte-,D%C3%A9cret%20n%C2%B0%202020%2D1310%20du%2029%20octobre%202020%20prescrivant,l'%C3%A9tat%20d'urgence%20sanitaire
Bonne question. Il me semble que le décret est le texte supérieur à tous les autres car délibéré en conseil des ministres et signé par le président de la République. Il y aurait donc possibilité de nous porter partie civile en justice pour attaquer l'Education Nationale. Maintenant, en ces temps d'urgence sanitaire, ne serait-il pas facile au gouvernement d'intégrer une exclusion des établissements scolaires dans le décret (ce qui serait bien évidemment un scandale mais tout l'est dans la gestion de ce confinement)
à demander aux syndicats et à leurs avocats, mais il est vrai que c'est troublant
- ShajarVénérable
D'après notre CDE, et le recteur par sa voix, les personnels vulnérables sont ceux "qui se sentent vulnérables". Il y aura une souplesse a ce sujet, car la liste originellement prévue aurait été retoquée par le conseil d'Etat. Ils sont libres de ne pas venir à condition de faire cours en distanciel - évidemment, les modalités pratiques sont impossibles à mettre en œuvre...
Par contre, rien n'est prévu pour les personnels ayant des proches vulnérables.
Par contre, rien n'est prévu pour les personnels ayant des proches vulnérables.
- AstuceNiveau 7
Shajar a écrit:D'après notre CDE, et le recteur par sa voix, les personnels vulnérables sont ceux "qui se sentent vulnérables".
C'est-à-dire ?
- valleExpert spécialisé
Chutney a écrit:VanGogh59 a écrit:leliseur a écrit:J'ai une question pour les spécialistes du droit.
Le protocole sanitaire, vous le savez, indique que "Dans les écoles élémentaires les collèges, et les lycées, le principe est la distanciation physique d’au moins un mètre lorsqu’elle est matériellement possible"
En face, le Décret n° 2020-1310 du 29 octobre 2020 prescrivant les mesures générales nécessaires pour faire face à l'épidémie de covid-19 dans le cadre de l'état d'urgence sanitaire stipule que " Afin de ralentir la propagation du virus, les mesures d'hygiène définies en annexe 1 au présent décret et de distanciation sociale, incluant la distanciation physique d'au moins un mètre entre deux personnes, dites barrières, définies au niveau national, doivent être observées en tout lieu et en toute circonstance."
Pas recherchées, observées, en tout lieu, toute circonstance.
Dans l'échelle des textes, que vaut un protocole par rapport à un décret ?
Si nous ne respectons pas le décret, ne sommes-nous pas en faute ?
https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000042475143#:~:text=Copier%20le%20texte-,D%C3%A9cret%20n%C2%B0%202020%2D1310%20du%2029%20octobre%202020%20prescrivant,l'%C3%A9tat%20d'urgence%20sanitaire
Bonne question. Il me semble que le décret est le texte supérieur à tous les autres car délibéré en conseil des ministres et signé par le président de la République. Il y aurait donc possibilité de nous porter partie civile en justice pour attaquer l'Education Nationale. Maintenant, en ces temps d'urgence sanitaire, ne serait-il pas facile au gouvernement d'intégrer une exclusion des établissements scolaires dans le décret (ce qui serait bien évidemment un scandale mais tout l'est dans la gestion de ce confinement)
à demander aux syndicats et à leurs avocats, mais il est vrai que c'est troublant
Je pense que l'art. 36 du même décret déroge à la règle générale .
- ChutneyNiveau 6
valle : en effet, voici ce qui s'y trouve : Dans les établissements d'enseignement relevant des livres IV et VII du code de l'éducation, à l'exception de ceux mentionnés au deuxième alinéa, l'observation d'une distanciation physique d'au moins un mètre ou d'un siège s'applique, entre deux personnes lorsqu'elles sont côte à côte ou qu'elles se font face, uniquement dans les salles de cours et les espaces clos et dans la mesure où elle n'affecte pas la capacité d'accueil de l'établissement. L'accueil est organisé dans des conditions permettant de limiter au maximum le brassage des élèves appartenant à des groupes différents.
- Pontorson50Fidèle du forum
leliseur a écrit:J'ai une question pour les spécialistes du droit.
Le protocole sanitaire, vous le savez, indique que "Dans les écoles élémentaires les collèges, et les lycées, le principe est la distanciation physique d’au moins un mètre lorsqu’elle est matériellement possible"
En face, le Décret n° 2020-1310 du 29 octobre 2020 prescrivant les mesures générales nécessaires pour faire face à l'épidémie de covid-19 dans le cadre de l'état d'urgence sanitaire stipule que " Afin de ralentir la propagation du virus, les mesures d'hygiène définies en annexe 1 au présent décret et de distanciation sociale, incluant la distanciation physique d'au moins un mètre entre deux personnes, dites barrières, définies au niveau national, doivent être observées en tout lieu et en toute circonstance."
Pas recherchées, observées, en tout lieu, toute circonstance.
Dans l'échelle des textes, que vaut un protocole par rapport à un décret ?
Si nous ne respectons pas le décret, ne sommes-nous pas en faute ?
https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000042475143#:~:text=Copier%20le%20texte-,D%C3%A9cret%20n%C2%B0%202020%2D1310%20du%2029%20octobre%202020%20prescrivant,l'%C3%A9tat%20d'urgence%20sanitaire
Je n'ai pas lu, pour l'instant, de réponse à cette question que peut-être des syndicats ont posé - je l'espère car c'est une excellente question. C'est probablement le seul angle technique de contestation du protocole dont le "dans la mesure du possible" est vraiment la marque de fabrique.
Pas lu non plus de remarques dans la presse de journalistes sur ce point.
- JennyMédiateur
Mail reçu ce matin : Aucune mesure supplémentaire prévue. Il faut se laver plus fréquemment les mains, aérer, limiter le brassage (mais sans préciser de quelle manière et en lycée, c'est compliqué).
- InvitéInvité
Mail de ma cde hier soir : rien ne change, aucune mesure n'est applicable, elle n'est pas pour les demi-groupes.
Je vais bientôt devenir zinzin.
Je vais bientôt devenir zinzin.
- AsclépiosNiveau 7
Il suffit de regarder l'article 36 du décret.
- Pontorson50Fidèle du forum
[quote="valle"Je pense que l'art. 36 du même décret déroge à la règle générale .[/quote]
Hélas c'est exact, mais alors cela mériterait peut-être d'aller demander au juge ceci : si "par nature" il est impossible d'assurer ces distances dans l'enseignement, pourquoi continuer à faire cours? Alors on aura seulement les réponses des pédiatres qui nous assurent que l'absence d'instruction de l'enfant est plus dangereuse que le risque moral qu'il a de ramener le virus à sa famille. Ce que j'ai vraiment du mal à accepter personnellement.
Je pense qu'une part non négligeable de mes collègues met l'urgence scolaire au même niveau que l'urgence sanitaire. Sinon il serait possible de payer un parent au moins pour reprendre son enfant à la maison, au stade où nous en sommes dans les pelletées d'argent public destinées à éteindre l'incendie. C'est un vrai débat, et cela explique là encore les désaccords internes sur les façons de réagir aux incohérences patentes du protocole.
(Edit : erreur édition, je rends à asclépios ce qui lui est dû.)
Hélas c'est exact, mais alors cela mériterait peut-être d'aller demander au juge ceci : si "par nature" il est impossible d'assurer ces distances dans l'enseignement, pourquoi continuer à faire cours? Alors on aura seulement les réponses des pédiatres qui nous assurent que l'absence d'instruction de l'enfant est plus dangereuse que le risque moral qu'il a de ramener le virus à sa famille. Ce que j'ai vraiment du mal à accepter personnellement.
Je pense qu'une part non négligeable de mes collègues met l'urgence scolaire au même niveau que l'urgence sanitaire. Sinon il serait possible de payer un parent au moins pour reprendre son enfant à la maison, au stade où nous en sommes dans les pelletées d'argent public destinées à éteindre l'incendie. C'est un vrai débat, et cela explique là encore les désaccords internes sur les façons de réagir aux incohérences patentes du protocole.
(Edit : erreur édition, je rends à asclépios ce qui lui est dû.)
- leliseurNiveau 5
Asclépios a écrit:Il suffit de regarder l'article 36 du décret.
Merci.
C'est hallucinant...
"Tous les animaux sont égaux mais certains sont plus égaux que d'autres". (Orwell)
- Monsieur SilenceNiveau 9
Infos reçus ici : rien ne change... (à part faire attention à l'aération et faire un rappel des gestes "barrière").
Et nous aurons 2 lots de 6 masques lavables pour remplacer les DIM.
Sinon, pour les élèves, le carnet de liaison fait office d'attestation.
Et nous aurons 2 lots de 6 masques lavables pour remplacer les DIM.
Sinon, pour les élèves, le carnet de liaison fait office d'attestation.
- leliseurNiveau 5
Pontorson50 a écrit:[quote="valle"Je pense que l'art. 36 du même décret déroge à la règle générale .
Hélas c'est exact, mais alors cela mériterait peut-être d'aller demander au juge ceci : si "par nature" il est impossible d'assurer ces distances dans l'enseignement, pourquoi continuer à faire cours? Alors on aura seulement les réponses des pédiatres qui nous assurent que l'absence d'instruction de l'enfant est plus dangereuse que le risque moral qu'il a de ramener le virus à sa famille. Ce que j'ai vraiment du mal à accepter personnellement.
Je pense qu'une part non négligeable de mes collègues met l'urgence scolaire au même niveau que l'urgence sanitaire. Sinon il serait possible de payer un parent au moins pour reprendre son enfant à la maison, au stade où nous en sommes dans les pelletées d'argent public destinées à éteindre l'incendie. C'est un vrai débat, et cela explique là encore les désaccords internes sur les façons de réagir aux incohérences patentes du protocole.[/quote]
Le problème est qu'en mettant l'urgence scolaire en avant, on va provoquer, soit des milliers de morts de plus, soit une fermeture totale des établissements scolaires d'ici la fin novembre...
Alors que si on avait, dès septembre, pu faire cours en demi-groupe, on n'en serait pas là !
- VanGogh59Expert spécialisé
leliseur a écrit:Asclépios a écrit:Il suffit de regarder l'article 36 du décret.
Merci.
C'est hallucinant...
"Tous les animaux sont égaux mais certains sont plus égaux que d'autres". (Orwell)
Même réaction ! Je pensais que la caricature était un procédé utilisé pour déformer la réalité mais celle-ci n'a jamais été aussi vrai que cette incohérence de l'article 36 par rapport à l'article 1
_________________
"Nous sommes tous dans le caniveau, mais certains d'entre nous regardent les étoiles" Oscar Wilde
Page 1 sur 40 • 1, 2, 3 ... 20 ... 40
- Gestion de la crise du Coronavirus dans l'Éducation Nationale
- Gestion de la crise du Coronavirus dans l'Education Nationale
- Gestion de la crise du Coronavirus dans l'Éducation Nationale
- Gestion de la crise du Coronavirus dans l'Éducation Nationale
- Gestion de la crise du Coronavirus dans l'Education Nationale
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum