Page 1 sur 3 • 1, 2, 3
- CleroliDoyen
Un extrait du BO qui vient de sortir :
La suite est iciBO a écrit: Article 3 - L'article D. 331-62 du même code est remplacé par les dispositions suivantes :
« Art. D. 331-62. - À tout moment de l'année scolaire, lorsque l'élève rencontre des difficultés importantes d'apprentissage, un dispositif d'accompagnement pédagogique est mis en place. À titre exceptionnel, lorsque le dispositif d'accompagnement pédagogique mis en place n'a pas permis de pallier les difficultés importantes d'apprentissage rencontrées par l'élève, un redoublement peut être décidé par le chef d'établissement en fin d'année scolaire. Cette décision intervient à la suite d'une phase de dialogue avec l'élève et ses représentants légaux ou l'élève lui-même lorsque ce dernier est majeur et après que le conseil de classe s'est prononcé, conformément à l'article L. 311-7.
(...)
« La mise en œuvre d'une décision de redoublement s'accompagne d'un dispositif d'accompagnement pédagogique spécifique de l'élève concerné, qui peut notamment prendre la forme d'un programme personnalisé de réussite éducative
- gnafron2004Grand sage
Si je comprends bien:
- sans dispositif d'accompagnement pédagogique préalable dans l'année, pas de redoublement possible.
- c'est le chef d'établissement qui décide, pas le conseil de classe qui ne fait qu'émettre un avis.
J'ai bon?
- sans dispositif d'accompagnement pédagogique préalable dans l'année, pas de redoublement possible.
- c'est le chef d'établissement qui décide, pas le conseil de classe qui ne fait qu'émettre un avis.
J'ai bon?
- floMédiateur
Je comprends comme toi.
- gnafron2004Grand sage
Je me demande vraiment pourquoi on se fait ch... à assister aux conseils de classe...
- Thalia de GMédiateur
Que le cde décide, rien de nouveau sous le soleil, il en a toujours été ainsi. J'ai souvenir de certain conseil de classe dans lequel l'équipe pédagogique s'était prononcée à l'unanimité pour le redoublement (en un temps que les moins de vingt ans...) et le cde a dit : "Puisque vous êtes d'accord, il passe en seconde." Magnifique cassage de gueule de l'élève.gnafron2004 a écrit:Si je comprends bien:
- sans dispositif d'accompagnement pédagogique préalable dans l'année, pas de redoublement possible.
- c'est le chef d'établissement qui décide, pas le conseil de classe qui ne fait qu'émettre un avis.
J'ai bon?
Le dispositif d'accompagnement pédagogique, c'est ce qu'on a appelé un temps le PPRE, destiné à des élèves qui redoublaient mais systématiquement voué à l'échec tant les lacunes étaient abyssales.
Je vais jouer ma vieille ronchon, mais à une certaine époque j'ai connu des redoublements positifs. L'EN peut être aussi aveugle que la justice et ce au détriment d'élèves fragiles qui pour certains peuvent être sauvés.
_________________
Le printemps a le parfum poignant de la nostalgie, et l'été un goût de cendres.
Soleil noir de mes mélancolies.
- floMédiateur
C'est de plus en plus clair.
Et cela sous-entend aussi qu'on est tellement nuls qu'on ne fait rien pour nos élèves en difficultés. Merci au décret qui nous impose un dispositif chronophage en réunionites. D'ailleurs, ce dispositif distinguera-t-il les difficultés réelles (auquel cas, les élèves ont déjà un PPRE) des difficultés à se mettre tout simplement au travail et à trouver la touche OFF de la console ?
Et cela sous-entend aussi qu'on est tellement nuls qu'on ne fait rien pour nos élèves en difficultés. Merci au décret qui nous impose un dispositif chronophage en réunionites. D'ailleurs, ce dispositif distinguera-t-il les difficultés réelles (auquel cas, les élèves ont déjà un PPRE) des difficultés à se mettre tout simplement au travail et à trouver la touche OFF de la console ?
- JPhMMDemi-dieu
Je ne trouve pas cela de plus en plus en clair, au contraire, le flou est savamment entretenu.
1. A tout moment de l'année scolaire.
2. un dispositif d'accompagnement pédagogique.
Deux détails qui permettent beaucoup de contournements savants.
1. A tout moment de l'année scolaire.
2. un dispositif d'accompagnement pédagogique.
Deux détails qui permettent beaucoup de contournements savants.
_________________
Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- KilmenyEmpereur
JPhMM a écrit:Je ne trouve pas cela de plus en plus en clair, au contraire, le flou est savamment entretenu.
1. A tout moment de l'année scolaire.
2. un dispositif d'accompagnement pédagogique.
Deux détails qui permettent beaucoup de contournements savants.
Ainsi on peut considérer que tout élève qui a suivi l'AP (donc tous les élèves) sont dans le contingent des redoublements possibles.
_________________
Un petit clic pour les animaux : http://www.clicanimaux.com/catalog/accueil.php?sites_id=1
- henrietteMédiateur
Et que se passe-t-il si les parents refusent le dispositif d'aide proposé ? J'ai vu plusieurs fois le cas.
_________________
"Il n'y a que ceux qui veulent tromper les peuples et gouverner à leur profit qui peuvent vouloir retenir les hommes dans l'ignorance."
- RabelaisVénérable
C'est le même système que pour les renouvellements des stagiaires à l' éspé, en fait.
C'est dommage, dans cette logique, il devrait exister le licenciement aussi.
Sinon, je trouve cela dommage, il y a, comme il a été souligné plus haut, des redoublements positifs.
C'est dommage, dans cette logique, il devrait exister le licenciement aussi.
Sinon, je trouve cela dommage, il y a, comme il a été souligné plus haut, des redoublements positifs.
_________________
Le temps ne fait rien à l'affaire, quand on est c., on est c.
- amalricuNeoprof expérimenté
Je suis preneur d'une analyse poussée des conséquences de ces modifications.
La famille a la main encore en 3ème et seconde ou tout repose sur l'avis du seul cde ?
La famille a la main encore en 3ème et seconde ou tout repose sur l'avis du seul cde ?
- egometDoyen
En soi, que le CDE prenne la décision n'est pas forcément catastrophique. J'imagine que le cas que tu décris était plutôt rare et que la plupart des chefs se rendent spontanément à l'avis du conseil.Thalia de G a écrit:Que le cde décide, rien de nouveau sous le soleil, il en a toujours été ainsi. J'ai souvenir de certain conseil de classe dans lequel l'équipe pédagogique s'était prononcée à l'unanimité pour le redoublement (en un temps que les moins de vingt ans...) et le cde a dit : "Puisque vous êtes d'accord, il passe en seconde." Magnifique cassage de gueule de l'élève.gnafron2004 a écrit:Si je comprends bien:
- sans dispositif d'accompagnement pédagogique préalable dans l'année, pas de redoublement possible.
- c'est le chef d'établissement qui décide, pas le conseil de classe qui ne fait qu'émettre un avis.
J'ai bon?
Le dispositif d'accompagnement pédagogique, c'est ce qu'on a appelé un temps le PPRE, destiné à des élèves qui redoublaient mais systématiquement voué à l'échec tant les lacunes étaient abyssales.
Je vais jouer ma vieille ronchon, mais à une certaine époque j'ai connu des redoublements positifs. L'EN peut être aussi aveugle que la justice et ce au détriment d'élèves fragiles qui pour certains peuvent être sauvés.
En revanche
ou encoreBO a écrit:À titre exceptionnel, dans le cas où le dispositif d'accompagnement pédagogique mentionné au premier alinéa n'a pas permis de pallier les difficultés importantes d'apprentissage rencontrées par l'élève, un redoublement peut être proposé par le conseil des maîtres. Cette proposition fait l'objet d'un dialogue préalable avec les représentants légaux de l'élève et d'un avis de l'inspecteur de l'éducation nationale chargé de la circonscription du premier degré.
etBO a écrit: À l'issue de ce délai, le conseil des maîtres arrête sa décision qui est notifiée aux représentants légaux. Ces derniers peuvent, dans un nouveau délai de quinze jours, former un recours auprès de la commission départementale d'appel prévue à l'article D. 321-8.
BO a écrit:Une seule décision de redoublement peut intervenir durant la scolarité d'un élève avant la fin du cycle 4 mentionné à l'article D. 311-10, sans préjudice des dispositions de l'article D. 351-7. Toutefois, une seconde décision de redoublement peut être prononcée, avant la fin du cycle 4, après l'accord préalable du directeur académique des services de l'éducation nationale
Si le CDE prenait sa décision en son âme et conscience, j'imagine que ça ne poserait pas de problèmes. Mais si les services académiques peuvent l'influencer, c'est une autre paire de manches. Autrement dit, ça reste très bien verrouillé. Au mieux le conseil des maîtres dispose d'une seule cartouche, qui peut faire long feu.
_________________
Primum non nocere.
Ubi bene, ibi patria.
Mes livres, mes poèmes, réflexions pédagogiques: http://egomet.sanqualis.com/
- egometDoyen
Vérification faite:
Vu la composition de la commission d'appel et vu l'exigence d'un avis préalable de l'inspection, les chances de faire accepter un redoublement paraissent très faibles. Si l'avis est défavorable, le conseil des maîtres pourra difficilement s'imposer. Or je ne crois pas me tromper en disant que la plupart des inspecteurs sont hostiles aux redoublements, soit pour des raisons idéologiques, soit pour des raisons administratives.
article D321-8 a écrit:Article D321-8
Les recours formés par les parents de l'élève, ou son représentant légal, contre les décisions prises par le conseil des maîtres sont examinés par une commission départementale d'appel présidée par l'inspecteur d'académie, directeur des services départementaux de l'éducation nationale.
La commission départementale d'appel comprend des inspecteurs responsables des circonscriptions du premier degré, des directeurs d'école, des enseignants du premier degré, des parents d'élèves et, au moins, un psychologue scolaire, un médecin de l'éducation nationale, un principal de collège et un professeur du second degré enseignant en collège. Sa composition et son fonctionnement sont précisés par arrêté du ministre chargé de l'éducation.
Le directeur d'école transmet à la commission les décisions motivées prises par le conseil des maîtres ainsi que les éléments susceptibles d'informer cette instance. Les parents de l'élève, ou son représentant légal, qui le demandent sont entendus par la commission.
La décision prise par la commission départementale d'appel vaut décision définitive de passage dans la classe supérieure, de redoublement ou de saut de classe.
Vu la composition de la commission d'appel et vu l'exigence d'un avis préalable de l'inspection, les chances de faire accepter un redoublement paraissent très faibles. Si l'avis est défavorable, le conseil des maîtres pourra difficilement s'imposer. Or je ne crois pas me tromper en disant que la plupart des inspecteurs sont hostiles aux redoublements, soit pour des raisons idéologiques, soit pour des raisons administratives.
_________________
Primum non nocere.
Ubi bene, ibi patria.
Mes livres, mes poèmes, réflexions pédagogiques: http://egomet.sanqualis.com/
- MathadorEmpereur
Dans ce contexte, l'IEN joue visiblement ici le rôle de chef d'établissement (que n'est pas le directeur d'école) plutôt que d'inspecteur pédagogique.
Concernant la commission d'appel, si on compare avec celles précédant la réforme du collège dans le secondaire il ne me semble pas y avoir de différence notable; et de toute façon une administration de zorchartes, même moins représentée, pourrait tout de même mettre des bâtons dans les roues de tels processus.
Concernant la commission d'appel, si on compare avec celles précédant la réforme du collège dans le secondaire il ne me semble pas y avoir de différence notable; et de toute façon une administration de zorchartes, même moins représentée, pourrait tout de même mettre des bâtons dans les roues de tels processus.
_________________
"There are three kinds of lies: lies, damned lies, and statistics." (cité par Mark Twain)
« Vulnerasti cor meum, soror mea, sponsa; vulnerasti cor meum in uno oculorum tuorum, et in uno crine colli tui.
Quam pulchrae sunt mammae tuae, soror mea sponsa! pulchriora sunt ubera tua vino, et odor unguentorum tuorum super omnia aromata. » (Canticum Canticorum 4:9-10)
- VoltaireNiveau 10
Sur les 7 redoublements de tous "mes" niveaux, il n'y en a que deux de positifs (des Terminales, qui ont échoué au bac par faiblesse de niveau - et non de travail), qui ont poursuivi leurs efforts malgré tout, dont j'espère qu'ils pourront cette fois aller à l'oral de rattrapage, et seront repêchés sur leur dossier (sérieux, travail, toussa toussa). Et abandonneront ensuite toute activité à caractère scientifique . Les cinq autres jouent les plantes vertes (cas favorable) ou les agitateurs (avec une redoutable efficacité pour pourrir une classe qui n'en avait vraiment pas besoin). Ce n'est pas le redoublement la solution, c'est la réorientation.
Par ailleurs, l'an dernier, tous les dossiers sont passés en appel pour ... vice de forme (du genre virgule mal placée). Après que la commission ait entendu les différents intervenants, histoire de bien nous faire comprendre à quel point notre rôle (famille et EN) est inutile et notre temps valeur négligeable. Sans se préoccuper des conséquences (catastrophiques) pour les élèves.
Par ailleurs, l'an dernier, tous les dossiers sont passés en appel pour ... vice de forme (du genre virgule mal placée). Après que la commission ait entendu les différents intervenants, histoire de bien nous faire comprendre à quel point notre rôle (famille et EN) est inutile et notre temps valeur négligeable. Sans se préoccuper des conséquences (catastrophiques) pour les élèves.
- gnafron2004Grand sage
Autant je pense que le redoublement peut être totalement inutile si cela n'est pas volontaire en lycée (mais utile et efficace quand il est réellement volontaire), autant je pense que la situation est bien différente au primaire; si on veut que tout le monde acquiert les bases, et bien il faut plus de temps à certains...est-ce vraiment si honteux?
- VoltaireNiveau 10
Mais dans ce cas, ce n'est pas non plus un redoublement. C'est un aménagement qu'il faudrait : faire les mêmes choses, moins vite. De même que "sauter" une classe pour les élèves "rapides" n'est pas une bonne solution : le contenu de cette classe leur manque ensuite. Il faudrait là aussi aménager : faire les mêmes choses, plus vite.gnafron2004 a écrit:Autant je pense que le redoublement peut être totalement inutile si cela n'est pas volontaire en lycée (mais utile et efficace quand il est réellement volontaire), autant je pense que la situation est bien différente au primaire; si on veut que tout le monde acquiert les bases, et bien il faut plus de temps à certains...est-ce vraiment si honteux?
Et ensuite, quand ces élèves "lents" ou "rapides" sont en difficulté, la réponse institutionnelle est la même : le 1/3 temps. Ubu pas mort !
- gnafron2004Grand sage
J'ai été élève dans une classe de campagne à trois niveaux; du coup on ne s'ennuyait pas si on était rapide: on écoutait ce qui se passait à un autre niveau, voire on pouvait faire certaines activités du niveau "supérieur". Les élèves faibles n'étaient du coup pas étiquetés "lents" puisque chacun était occupé... C'était bien... et on faisait confiance à l'institutrice pour organiser tout ça. Maintenant les drôles de mon village passent une heure et demi dans le bus tous les jours parce qu'on est en regroupement pédagogique... je ne vois pas le progrès (ni les économies d'ailleurs!)
- mamieprofExpert spécialisé
flo a écrit:C'est de plus en plus clair.
Et cela sous-entend aussi qu'on est tellement nuls qu'on ne fait rien pour nos élèves en difficultés. Merci au décret qui nous impose un dispositif chronophage en réunionites. D'ailleurs, ce dispositif distinguera-t-il les difficultés réelles (auquel cas, les élèves ont déjà un PPRE) des difficultés à se mettre tout simplement au travail et à trouver la touche OFF de la console ?
C'est exactement ça !
- User17095Érudit
L'idée semble être de privilégier la différenciation (ce qu'a connu Gnafron2004 en premier degré d'une certaine manière) et la remédiation, avant de recourir au redoublement dont l'efficacité est très relative ; c'est faire le constat que les dispositifs d'accompagnement ne sont pas des baguettes magiques, radicales dès le premier mois, mais que si elles ne peuvent pas tout, elles doivent être essayées. Cette approche me paraît très raisonnable : on tente l'un, et si ça ne marche pas, on recourt à l'autre.
- SallustiusNiveau 9
et le redoublement à la demande des parents ? Il est déjà difficile pour des parents qui le souhaitent (et les quelques cas que j'ai vus, fort rares mais ce sont les seuls redoublements ici sont des redoublements positifs) de l'obtenir, pourront-ils toujours avoir le moindre avis à donner ? certes ils peuvent tout refuser en bloc certes, mais demander et obtenir à l'inverse...
- Ramanujan974Érudit
Voltaire a écrit:De même que "sauter" une classe pour les élèves "rapides" n'est pas une bonne solution : le contenu de cette classe leur manque ensuite. Il faudrait là aussi aménager : faire les mêmes choses, plus vite.
Je suis passé de maternelle en CE2, je n'ai pas l'impression d'avoir raté quelque chose !
- User17095Érudit
Sallustius a écrit:et le redoublement à la demande des parents ? Il est déjà difficile pour des parents qui le souhaitent (et les quelques cas que j'ai vus, fort rares mais ce sont les seuls redoublements ici sont des redoublements positifs) de l'obtenir, pourront-ils toujours avoir le moindre avis à donner ? certes ils peuvent tout refuser en bloc certes, mais demander et obtenir à l'inverse...
Ils peuvent toujours le demander, c'est bien pour ça qu'on les informe de la situation scolaire. Mais leur avis est-il toujours bien éclairé, que ce soit pour demander ou refuser un redoublement ?
Ta question conduit d'ailleurs à souligner que, fait exceptionnel, on notifie la décision aux représentants légaux, plutôt que d'émettre une proposition. Ils peuvent bien sûr faire appel (et quand va siéger la commission ?), et ça ne conduirait pas bien loin de faire redoubler malgré eux et l'élève, mais c'est une approche assez étonnante.
- ArtysiaVénérable
flo a écrit:C'est de plus en plus clair.
Et cela sous-entend aussi qu'on est tellement nuls qu'on ne fait rien pour nos élèves en difficultés. Merci au décret qui nous impose un dispositif chronophage en réunionites. D'ailleurs, ce dispositif distinguera-t-il les difficultés réelles (auquel cas, les élèves ont déjà un PPRE) des difficultés à se mettre tout simplement au travail et à trouver la touche OFF de la console ?
- MalagaModérateur
Mais de quels dispositifs d'accompagnement pédagogique parle-t-on ? De différenciation dans des classes toujours plus nombreuses dans lesquels on accueille des élèves qui ont des besoins particuliers (élèves handicapés, élèves avec des difficultés cognitives importantes et qui seraient sans nul doute plus en réussite en EGPA, élèves avec des troubles du comportement important et qui relèveraient plutôt d'ITEP...) ? Des heures d'AP (chez nous, ces heures sont du soutien en de mi-groupe en maths et en français, elles ont bien entendu très utiles mais elles ne permettent pas de remettre à niveau certains élèves déjà très perdus en 6e) ?
_________________
J'utilise des satellites coûtant plusieurs millions de dollars pour chercher des boîtes Tupperware dans la forêt ; et toi, c'est quoi ton hobby ?
Page 1 sur 3 • 1, 2, 3
- Nouvelles dispositions statutaires pour les futurs lauréats aux concours ( CAPES, CPE, PLP, PE, EPS, Agrégation )
- [BO] Dispositions transitoires liées à la rénovation des séries L, ES et S (modalité de conservation des notes)
- Choix de nouvelles des XXe et XXIe siècles porteuses d'un regard sur le monde?
- Code de l'éducation : les dispositions propres aux enseignants modifiées le 8 juillet 2013
- Ouverture d'une classe de grec et moyen/dispositions?
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum