- roxanneOracle
J’ai l'impression que Nicolas Hulot y réfléchit...
Il faudrait une personnalité hors politique.
Il faudrait une personnalité hors politique.
- Thalia de GMédiateur
Source ?
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Le printemps a le parfum poignant de la nostalgie, et l'été un goût de cendres.
Soleil noir de mes mélancolies.
- roxanneOracle
Je l’ai entendu hier dans Quotidien, c’est une impression.
- Thalia de GMédiateur
Donc tu devrais pouvoir poster un lien vers Quotidien.
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Le printemps a le parfum poignant de la nostalgie, et l'été un goût de cendres.
Soleil noir de mes mélancolies.
- chmarmottineGuide spirituel
"L'idée était de regarder à quel état de l'épidémie on en était. On a vu une augmentation de traces en même temps que le nombre de cas augmentait. Ce qui nous a paru dès le début intéressant", explique Laurent Moulin, responsable Recherche & Développement à Eau de Paris et co-auteur de l'étude.
Les premiers prélèvements, effectués dès le 5 mars, montrent très rapidement l'apparition de l'épidémie. Alors qu'à cette date, encore très peu de patients ont été diagnostiqués malades du Covid-19, les résultats montrent une hausse significative de traces du SARS-CoV2.
"La méthode était donc sensible et il y avait probablement déjà beaucoup de gens asymptomatiques qui éliminaient du virus", détaille le chercheur.
https://france3-regions.francetvinfo.fr/paris-ile-de-france/paris/paris-chercheurs-traquent-coronavirus-eaux-usees-suivre-evolution-epidemie-1825110.html
- LaotziSage
roxanne a écrit:J’ai l'impression que Nicolas Hulot y réfléchit...
Il faudrait une personnalité hors politique.
Il a intérêt à bosser parce que ses "100 propositions" pour un nouveau monde après le Covid publiées dans le Monde, j'ai rarement lu autant de niaiseries et de platitudes : https://www.lemonde.fr/idees/article/2020/05/06/les-100-principes-de-nicolas-hulot-pour-un-nouveau-monde_6038802_3232.html
1. Le temps est venu, ensemble, de poser les premières pierres d’un nouveau monde.
2. Le temps est venu de transcender la peur en espoir.
3. Le temps est venu pour une nouvelle façon de penser.
4. Le temps est venu de la lucidité.
5. Le temps est venu de dresser un horizon commun.
6 . Le temps est venu de ne plus sacrifier le futur au présent.
7. Le temps est venu de résister à la fatalité.
8. Le temps est venu de ne plus laisser l’avenir décider à notre place.
9. Le temps est venu de ne plus se mentir.
10. Le temps est venu de réanimer notre humanité.
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"Trouvez donc bon qu'au lieu de vous dire aussi, adieu comme autrefois, je vous dise, adieu comme à présent."
- DanskaProphète
On arrête avec Nicolas Hulot et Cie et on revient au sujet, c'est-à-dire la gestion de la crise actuelle, si ça ne vous embête pas ?
- chmarmottineGuide spirituel
Laotzi a écrit:roxanne a écrit:J’ai l'impression que Nicolas Hulot y réfléchit...
Il faudrait une personnalité hors politique.
Il a intérêt à bosser parce que ses "100 propositions" pour un nouveau monde après le Covid publiées dans le Monde, j'ai rarement lu autant de niaiseries et de platitudes : https://www.lemonde.fr/idees/article/2020/05/06/les-100-principes-de-nicolas-hulot-pour-un-nouveau-monde_6038802_3232.html
1. Le temps est venu, ensemble, de poser les premières pierres d’un nouveau monde.
2. Le temps est venu de transcender la peur en espoir.
3. Le temps est venu pour une nouvelle façon de penser.
4. Le temps est venu de la lucidité.
5. Le temps est venu de dresser un horizon commun.
6 . Le temps est venu de ne plus sacrifier le futur au présent.
7. Le temps est venu de résister à la fatalité.
8. Le temps est venu de ne plus laisser l’avenir décider à notre place.
9. Le temps est venu de ne plus se mentir.
10. Le temps est venu de réanimer notre humanité.
On va aller loin avec ça !
- DanskaProphète
A-hem...
Danska a écrit:On arrête avec Nicolas Hulot et Cie et on revient au sujet, c'est-à-dire la gestion de la crise actuelle, si ça ne vous embête pas ?
- chmarmottineGuide spirituel
Danska a écrit:A-hem...Danska a écrit:On arrête avec Nicolas Hulot et Cie et on revient au sujet, c'est-à-dire la gestion de la crise actuelle, si ça ne vous embête pas ?
Nos messages se sont "croisés", désolée, je n'avais pas vu.
- DanskaProphète
Pas grave, mais on revient au sujet maintenant - pour parler politique pure, il y a d'autres topics qui y sont consacrés en dehors de celui-ci.
- HonchampDoyen
Intéressant. Visiblement, le choix du vert comme une des 2 couleurs de déconfinement envoie un mauvais signal...
"Il y a un dissonance entre ce que signifie la couleur et le langage. En sémiologie pour les Français le vert cela veut dire tout va bien. Et les pouvoirs publics soulignent que non, y compris dans les départements verts, il faut rester extrêmement prudents". @nbouzou #COVID19 pic.twitter.com/oOqDuCyRYP
— C dans l'air (@Cdanslair) May 7, 2020
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"Tu verras bien qu'il n'y aura pas que moi, assise par terre comme ça.."
- DanskaProphète
C'était couru d'avance : le vert est la couleur classique pour dire que c'est bon, tout va bien, on peut avancer. Forcément, les gens qui se retrouvent dans un département vert ne peuvent que relâcher leur vigilance, consciemment ou pas. Il aurait fallu garder au moins trois couleurs, avec des départements en orange pour "situation non critique, mais il faut rester prudents".
- géohistoireNiveau 10
Je trouve totalement absurde que ces masques aient été conservés ailleurs que dans les hôpitaux. Ils auraient dû être donnés dès le départ aux établissements qui les utilisent au quotidien avec comme consigne de les utiliser tout en conservant un stock équivalent à plusieurs mois de consommation. Au lieu de ça les irresponsables du ministère ont voulu garder la haute main sur l'ensemble et on arrive à ce gaspillage tout à fait prévisible.Condorcet a écrit:Le discours du Premier ministre a montré qu''une fois la crise finie, le but est de revenir à l'ancienne et insuffisante capacité d'accueil hospitalière en réanimation (soit un peu plus de 5 000 lits), que des masques avaient bien été détruits en avril comme l'affirme Le Monde* et que les suggestions de l'institut Montaigne** n'étaient pas rejetées.
* https://www.lemonde.fr/sante/article/2020/05/07/la-france-et-les-epidemies-2017-2020-l-heure-des-comptes_6038973_1651302.html
En pleine crise du Covid-19, alors que la France est confinée, les conseillers du premier ministre, Edouard Philippe, découvrent, consternés, que depuis plusieurs semaines, des millions de masques issus des réserves étatiques, dont une part non négligeable était sans doute utilisable, sont consciencieusement brûlés…
- MalagaModérateur
Topic ouvert : les mêmes règles que d'habitude s'appliquent, merci d'y faire attention.
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J'utilise des satellites coûtant plusieurs millions de dollars pour chercher des boîtes Tupperware dans la forêt ; et toi, c'est quoi ton hobby ?
- JennyMédiateur
Un bilan très sous-évalué...
https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/coronavirus-une-mortalite-sous-evaluee-en-france-faute-davoir-tire-les-enseignements-des-crises-precedentes_3953549.html
France Info a écrit:Le système est opérationnel depuis 2007. Il permet de faire remonter immédiatement les certificats de décès. Problème : aujourd’hui, malgré cette possibilité, la procédure se fait encore majoritairement "à l'ancienne". "8 décès sur 10 font l'objet de certificats rédigés sur du papier, explique Grégoire Rey, directeur du Centre d'épidémiologie sur les causes médicales de décès de l'Inserm. Ces certificats transitent par la commune de décès, puis par l'Agence régionale de santé, puis doivent être saisis, numérisés pour qu'ensuite, on puisse produire des statistiques."
En temps normal, il faut "au minimum deux mois, voire deux mois et demi" afin que l'Inserm puisse établir une statistique précise des décès. En période de crise, ces délais sont rallongés. Les envois postaux sont plus longs. La saisie et la numérisation reposent notamment sur un prestataire qui doit saisir et déchiffrer les certificats, ce qui n'est pas sans difficulté. Avec la crise, certains travaillent de manière dégradée depuis leur domicile, confinement oblige.
https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/coronavirus-une-mortalite-sous-evaluee-en-france-faute-davoir-tire-les-enseignements-des-crises-precedentes_3953549.html
- roxanneOracle
Mais évidemment !!!C'est pour ça que j'ai proposé une banque de données de fiches de révisions de l'oral pour éviter de recevoir 15 fois le même boulot.
- RuthvenGuide spirituel
Danska a écrit:
On va faire comme d'habitude en septembre : on va s'adapter. Alléger nos cours au maximum pour rattraper ce qui aurait due être fait cette année, zapper certains points non essentiel, accélérer un peu... Pas drôle, pas confortable, mais ça se fait. Ce qui m'inquiète beaucoup plus, c'est de savoir comment on va faire si la rentrée de septembre continue dans les mêmes conditions : quatre mois perdus, ce n'est pas grave (sauf à certains niveaux clés comme le CP) ; si ça doit se prolonger sur le long terme, ça va être beaucoup plus problématique.
Ce qui est aussi problématique à mon sens, c'est l'enseignement des spés en Terminale si les épreuves sont fin mars/début avril.
- BrindIfFidèle du forum
Une collègue demande aux élèves d'enregistrer leurs réponses sur la QuiZinière. J'imagine que c'est le même principe, même s'ils lisent le travail d'un autre ils sont bien obligés de le lire... mais ça doit être long à corrigerClecle78 a écrit:Je viens de tomber sur des échanges entre les élèves ( ils m'ont invitée à un chat ) . En remontant la le fil de discussion j'ai découvert leurs échanges antérieurs, ce qu'ils n'avaient sans doute pas anticipé. Eh bien ! Heureusement qu'on ne note pas. C'est une excellente classe mais ça pompe à tous les niveaux, sur site, entre eux, j'en avais débusqué pas mal mais j'étais loin du compte ! Malheureusement sur internet la triche n'est pas trop pédagogique avec les copier-coller, au moins quand ils recopient manuscritement on peut espérer que ça imprime un peu . Bref c'est de bonne guerre mais un peu déprimant (comme tout le reste)
- DanskaProphète
Pontorson50 a écrit:Merci d'avoir mis le doigt sur un des aspects les plus absurdes : avoir supprimé les examens qui, à l'exception des oraux, ne sont sanitairement pas dangereux, puisqu'on y est ordinairement prié de se mettre à distance du voisin et de ne pas lui parler, et maintenu l'enseignement sur site dont la condition, l'intérêt, est l'échange entre maîtres et élèves, et entre élèves. Kafka est un amateur...
Ah non, là je ne suis pas d'accord : le bac, pour parler du sujet que je connais le mieux, ça veut dire des dizaines de milliers de candidats qui se déplacent, sont regroupés pendant des journées entières avec quelques dizaines de personnes autres que leurs camarades de classe (et sûrement pas à un mètre de distance), des copies tripotées pendant des heures puis ramassées et touchées par les correcteurs, des réunions de correcteurs, des déplacements à n'en plus finir, des agents sollicités pour la bonne tenue de l'examen, c'est un truc absolument énorme. Vu l'intérêt tout relatif de cet examen, l'annuler était une mesure de bon sens.
Quand je parle de mettre l'accent sur les niveaux qui en auraient eu le plus besoin, je parle de la fin des études, quitte à finir en contrôle continu, pas de l'examen lui-même (qui ne change rien au niveau acquis par un élève).
Ruthven a écrit:Danska a écrit:
On va faire comme d'habitude en septembre : on va s'adapter. Alléger nos cours au maximum pour rattraper ce qui aurait due être fait cette année, zapper certains points non essentiel, accélérer un peu... Pas drôle, pas confortable, mais ça se fait. Ce qui m'inquiète beaucoup plus, c'est de savoir comment on va faire si la rentrée de septembre continue dans les mêmes conditions : quatre mois perdus, ce n'est pas grave (sauf à certains niveaux clés comme le CP) ; si ça doit se prolonger sur le long terme, ça va être beaucoup plus problématique.
Ce qui est aussi problématique à mon sens, c'est l'enseignement des spés en Terminale si les épreuves sont fin mars/début avril.
Disons que dans un système un peu logique, on reculerait ces épreuves le plus tard possible pour nous laisser le temps, à nous et aux élèves, d'absorber le retard... Le problème ici, ce n'est pas vraiment les semaines de cours perdues, mais plutôt l'incapacité de l'institution à s'adapter rapidement à des circonstances exceptionnelles.
- chmarmottineGuide spirituel
Ruthven a écrit:Danska a écrit:
On va faire comme d'habitude en septembre : on va s'adapter. Alléger nos cours au maximum pour rattraper ce qui aurait due être fait cette année, zapper certains points non essentiel, accélérer un peu... Pas drôle, pas confortable, mais ça se fait. Ce qui m'inquiète beaucoup plus, c'est de savoir comment on va faire si la rentrée de septembre continue dans les mêmes conditions : quatre mois perdus, ce n'est pas grave (sauf à certains niveaux clés comme le CP) ; si ça doit se prolonger sur le long terme, ça va être beaucoup plus problématique.
Ce qui est aussi problématique à mon sens, c'est l'enseignement des spés en Terminale si les épreuves sont fin mars/début avril.
Le problème au lycée, notamment pour la génération qui est en 1ere et en maths, c'est qu'on ajuste les programmes depuis plusieurs années pour diverses raisons, la première d'entre elles étant le fait qu'ils n'aient pas eu droit aux nouveaux programmes de 2de.
Donc, l'épreuve de spé en mars de Tale est une aberration.
- LangelotNiveau 9
Danska a écrit:
A l'échelle d'une scolarité, non, 14 semaines de cours ne changent pas grand-chose. Ou sinon, il faut renoncer à travailler avec les élèves qui ont eu le malheur d'avoir la prof partie en congé mat' pendant 4 mois sans être remplacée, le collègue parti à la retraite sans remplacement non plus, le contractuel recruté à l'arrache et propulsé devant les élèves sans avoir la moindre idée du programme, le stagiaire qui a fait n'importe quoi avant de démissionner en milieu d'année, l'élève hospitalisé en milieu d'année suite à une maladie ou à un accident, ou tout simplement ceux qui n'ont pas eu de bol et se sont tapés la même année deux semaines de neige, trois de grèves, une de voyage scolaire, etc.
Et encore, la situation est nettement moins problématique cette fois, puisque les élèves sérieux et motivés ont pu continuer à travailler globalement. Il faut peut-être rappeler à nouveau qu'on n'est pas en vacances en ce moment et que leur scolarité n'est pas interrompu.
On va faire comme d'habitude en septembre : on va s'adapter. Alléger nos cours au maximum pour rattraper ce qui aurait due être fait cette année, zapper certains points non essentiel, accélérer un peu... Pas drôle, pas confortable, mais ça se fait. Ce qui m'inquiète beaucoup plus, c'est de savoir comment on va faire si la rentrée de septembre continue dans les mêmes conditions : quatre mois perdus, ce n'est pas grave (sauf à certains niveaux clés comme le CP) ; si ça doit se prolonger sur le long terme, ça va être beaucoup plus problématique.
Autant rallonger mes vacances alors ! Allez fils, t'es en 4ème l'année prochaine, pars en vacances en mars !
J'arrête là ! Nos avis divergent et cette conversation ne les fera pas converger, je le crains.
- DanskaProphète
Si tu ne vois pas la différence entre "perdre par accident ou autre plusieurs semaines de scolarité" et "rallonger les vacances de 4 mois tous les ans", effectivement, on ne se comprendra pas.
- MaissaHabitué du forum
Un document du SNES mis à jour hier :Stéphanie88 a écrit:Bonjour,
Dans mon cas, l'ecole de mon enfant ma fait savoir qu'une reprise des cours ne serait pas envisageable avant le début ou mi-juin... Et que pour être prioritaire il faudrait que mon mari et moi apartenions tous les deux aux professions prioritaires (santé ou éducation). Cependant, je suis la seule à être enseignante. Donc l'école estime que je ne suis pas prioritaire. Par ailleurs, étant donné le niveau de classe de mon enfant, il est même possible qu'il ne retourne pas du tout à l'école à cause des conditions sanitaires (refus de la direction d'ouvrir l'école à certains niveaux de classe de maternelle car trop compliqué à gérer).
Je l'ai expliqué à la direction de mon collège mais elle n'a pas l'air de vouloir l'entendre. Ai-je le droit de demander à continuer l'enseignement à distance ? Comment dois-je m'y prendre? Je n'ai trouvé aucune information à ce sujet.
Je vous remercie pour votre réponse, je suis démunie et très stressée par cette pression qu'on me met pour retourner en classe en présentiel alors que j'ai encore mon enfant à la maison et qu'il ne peut pas se garder seul.
https://www.snes.edu/IMG/pdf/faq_reouverture_maj_705.pdf
1) "Vous pouvez soit rester en télétravail après avoir prévenu votre chef d’établissement, soit demander une ASA (autorisation spéciale d’absence, ce qui est un congé donc implique que le travail à distance n’est pas possible). Jusqu’à la fin du mois de mai, cette procédure se fait sur la base du déclaratif, aucun document particulier ne vous est demandé. Le dispositif pourrait évoluer au début du mois de juin."
- PrezboGrand Maître
Shajar a écrit:
Techniquement, nous mettons une "note de 3e trimestre" qui est la moyenne des 2 premiers plus un bonus en fonction du "parcours global de l'élève". Cette "note de 3e trimestre" ne peut pas être inférieure aux moyennes des 2 premiers, donc toutes les notes que nous aurions pu mettre avant le confinement sont annulées. Sans compter que j'ai la ferme impression que nos chefs ont remonté des notes sans nous le dire, car leurs calculs ne correspondent pas à ceux faits avec les élèves.
La manipulation que tu décris me semble techniquement possible, mais très limite. D'une part, notre direction affirme qu'aucune note mise pendant le confinement ne peut être prise en compte, même sous forme de bonus, alors qu'elle l'avait envisagé. D'autre part, chaque enseignant reste souverain quant au notes attribuées à un trimestre donné, et il me semble délicat de lui demander d'"annuler" des notes mises avant le confinement.
Un conseil de classe du troisième trimestre doit par ailleurs administrativement avoir lieu. (Chez nous, la direction demande même à les faire en présentiel "compte tenu des enjeux", ce qui me semble tout sauf prioritaire vu précisément le peu de poids qu'ils auront dans le contexte actuel. La visioconférence m'aurait paru très suffisante.) Un CDE qui s'amuserait à modifier les notes d'un bulletin avant le conseil ou pire après irait je pense à la faute.
- Gestion de la crise du Coronavirus dans l'Éducation Nationale
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