- GoldmundNiveau 1
Bonsoir tout le monde,
Je suis entrain de corriger les épreuves d'E3C de langues et j'ai un petit doute par rapport à la note finale.
En effet, sur la grille d'évaluation, la note maximale est de 20. Or, sur l'application Santorin et sur les sujets également, la première partie (CO) doit être notée sur 10. Pareil pour la seconde partie (EE).
Dois-je donc noter chaque partie sur 20 ensuite diviser la note pour avoir 10?
Merci et bonne soirée!
Je suis entrain de corriger les épreuves d'E3C de langues et j'ai un petit doute par rapport à la note finale.
En effet, sur la grille d'évaluation, la note maximale est de 20. Or, sur l'application Santorin et sur les sujets également, la première partie (CO) doit être notée sur 10. Pareil pour la seconde partie (EE).
Dois-je donc noter chaque partie sur 20 ensuite diviser la note pour avoir 10?
Merci et bonne soirée!
- LaverdureEmpereur
Bonsoir,
Peux-tu préciser ton titre, s’il te plaît ? Pour que l’on comprenne qu’il s’agit de l’E3C de langues.
Edit : merci . Topic déplacé dans une section du forum plus appropriée.
Peux-tu préciser ton titre, s’il te plaît ? Pour que l’on comprenne qu’il s’agit de l’E3C de langues.
Edit : merci . Topic déplacé dans une section du forum plus appropriée.
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- PiliGrand sage
Et oui, la grille de Santorin n’a même pas été adaptée à la grille d’évaluation.
Surréaliste ...
Dans la précipitation, dans l’urgence encore et toujours.... :decu:
Surréaliste ...
Dans la précipitation, dans l’urgence encore et toujours.... :decu:
- CasparProphète
Si j'ai bien compris, on divise en effet chacune des deux notes par deux pour obtenir deux notes sur 10 qui donnent une note sur 20. Il y a d'ailleurs bien deux cases sur Santorin.
- MelanieSLBDoyen
C'est merveilleux, on calcule des points score (dont le max est 90), qu'on convertit en note sur 20 grâce à la super grille, qu'on doit ensuite convertir en note sur 10. L'absurde jusque dans les détails.
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La réforme du collège en clair : www.reformeducollege.fr .
Et pour ceux qui voudraient en comprendre quelques fondements idéologiques:
De l’école, Jean-Claude Milner, visionnaire en 1984 (ça ne s'invente pas!) de ce qui nous arrive: "On ne dira pas que les enseignants sont l'appendice inutile d'une institution dangereuse et presque criminelle; on dira seulement qu'ils doivent devenir Autres: animateurs, éducateurs, grands frères, nourrices, etc. La liste est variable. Que, par là, les enseignants cessent d’être ce qu'ils doivent être, c'est encore une fois sortir de la question. On ne dira pas que les enseignants n'ont pas à exister, mais qu'ils ont à exister Autrement. Que cette Autre existence consiste à renoncer à soi-même pour disparaître dans la nuit éducative et s'y frotter, tous corps et tous esprits confondus, avec les partenaires de l'acte éducatif - manutentionnaires, parents, élèves, etc. -, seul un méchant pourrait en prendre ombrage." (page 24)
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