- l'amoureuseNiveau 4
Suis-je la seule à ne pas trouver de motivation pour m'y remettre, ne sachant pas s'il y a tout de même un espoir minime d'être admissible ?
J'ai bien rangé mon bureau et ai très envie de ranger les oeuvres et pourtant, au fond de moi,une petite voix me dit : "Lis Mc Cullers... allez"...
Pour l'instant, l'envie de ne pas l'écouter l'emporte....
J'ai bien rangé mon bureau et ai très envie de ranger les oeuvres et pourtant, au fond de moi,une petite voix me dit : "Lis Mc Cullers... allez"...
Pour l'instant, l'envie de ne pas l'écouter l'emporte....
- *Penthésilée*Niveau 5
Non, tu n'es pas seule. C'est dur de retrouver la motivation de ces dernières semaines si intenses.
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"Moderation is a fatal thing. Nothing succeeds like excess." Oscar Wilde
- gildasNiveau 3
l'amoureuse a écrit:Suis-je la seule à ne pas trouver de motivation pour m'y remettre, ne sachant pas s'il y a tout de même un espoir minime d'être admissible ?
J'ai bien rangé mon bureau et ai très envie de ranger les oeuvres et pourtant, au fond de moi,une petite voix me dit : "Lis Mc Cullers... allez"...
Pour l'instant, l'envie de ne pas l'écouter l'emporte....
C'est je crois tout à fait normal et beaucoup doivent être dans la même situation...Je me suis cependant résolu à bosser à nouveau depuis deux jours. J'ai fait un planning et tente désormais de m'y soumettre. On verra bien...
A cela s'ajoute, allez je l'avoue, un intérêt franchement moyen pour le programme de littérature comparée. Je n'accroche pas plus que ça...
- olive-in-oilSage
Euterpe03 a écrit:Comment tu sais tout ça, olive-in-oil ? En tous cas ça éclaire un peu les coulisses de correction
Multiples expériences de Jury (dans une autre matière) et beaucoup de discussions comparatives avec une collègue jury (de Lettres Modernes).
l'amoureuse a écrit:Suis-je la seule à ne pas trouver de motivation pour m'y remettre, ne sachant pas s'il y a tout de même un espoir minime d'être admissible ?
J'ai bien rangé mon bureau et ai très envie de ranger les oeuvres et pourtant, au fond de moi,une petite voix me dit : "Lis Mc Cullers... allez"...
Pour l'instant, l'envie de ne pas l'écouter l'emporte....
Justement ! Le concours est une épreuve de fond ! Comme pour un sportif de haut niveau, il faut savoir serrer les dents pour aller jusqu'au bout et là, ce n'est que la moitié de la course ! Dites-vous bien que ceux qui iront loin sont ceux qui y croient et ne faiblissent pas ! Hauts les cœurs et forza !!
- User7917Niveau 9
J'ai du mal à m'y remettre aussi... Mes livres de littérature comparée prennent un peu la poussière !
- ChlidéNiveau 9
L’année dernière j’ai fini épuiser par les écrits. Je me comparais à un coureur de marathon qui a réussi jusqu’à la dernière ligne mais s’est écroulé et n’arrive plus à se relever pour aller au vestiaire. J’ai eu un accident qui aurait pu être très grave pour moi le 8 février. J’ai été inspectée entre les écrits et les oraux avec une classe horrible. Mais deux petites filles ont été très malades sur la période. Je me souviens avoir lu Brecht dans la salle d’attente du médecin. Une pièce de théâtre sur 4 lue avant les résultats. Rien fait d’autre. J’en espérais ne pas être admissible car je ne savais pas où j’irai chercher la force de m’y remettre. Et le résultat de l’admissibilité est tombé. Réaction entre joie et effroi. Et puis une force incommensurable qui naît du plus profond nous soulève. Pour aller jusqu’au bout.
Si vous le pouvez, oui il faut s’y remettre. Cette année vous avez des romans. Ma chance l’année dernière fut que les œuvres de compa étaient des pièces plutôt rapides à lire. Enfin m’attaquer à du Shakespeare ou du Brecht me semblait une montagne enorme à gravir!
Courage, la route est longue encore. Mais vous en êtes capables.
Si vous le pouvez, oui il faut s’y remettre. Cette année vous avez des romans. Ma chance l’année dernière fut que les œuvres de compa étaient des pièces plutôt rapides à lire. Enfin m’attaquer à du Shakespeare ou du Brecht me semblait une montagne enorme à gravir!
Courage, la route est longue encore. Mais vous en êtes capables.
- User7917Niveau 9
Merci pour le message ! Je viens aussi d'apprendre que je vais être inspectée pour mon rdv carrière ! Comme toi Chlidé, je me dis que j'espère ne pas être admissible pour ne pas avoir à gérer tout ça et mieux me préparer l'an prochain... J'ai la tête sous l'eau ! En plus, c'est pas l'année où j'ai préparé au mieux les compétences dans les chapitres, j'ai tout à remettre au propre...
- Nemesis79Niveau 2
Même expérience que Chlidé ...
J'avais clairement sous estimé l'état dans lequel je serais après les écrits (épuisement moral et physique, sans compter le fait de ressasser le contenu de mes copies inlassablement). Je n'ai pas retouché à un bouquin avant les vacances de février. J'avais, avant les écrits, survolé les oeuvres de comparée, à peine touché à l'oeuvre de médiévale (c'est une chance cette année, vous avez bossé toutes les oeuvres pour les écrits ! ) et je ne parle même pas de la grammaire ...
A partir des vacances, j'ai bossé mollement et sans grande conviction : j'ai fiché les cours d 'AF et de comparée, regardé le film (une fois) et fait des fiches à partir du bouquin de Callas et Rossi en complétant avec la GMF. C'était à la fois rafraîchissant de faire quelque chose de "neuf",et avec le recul, je peux dire que ce travail n'était pas franchement efficace, mais il m'a permis de ne pas trop décrocher et de rester en mode agrèg.
A l'approche des résultats, j'en étais à souhaiter ne pas voir mon nom dans l'espoir que tout ça s'arrête et je me souviens m'être dit tous les jours "Mais pourquoi je m'inflige un truc pareil à mon âge ?".
Et puis il y a eu les résultats ...
Et comme Chlidé, j'ai trouvé une énergie que je ne soupçonnais pas, et là j'ai abattu un travail monstre (celui que j'aurais dû fournir jusque là ?). Pourtant ma vie ressemblait à une crise d'angoisse XXL, de jour comme de nuit ! Avec pour moteur : il est hors de question de m'imposer un truc pareil une fois encore. Je vais à l'oral, soit, j'y vais à fond et pour l'avoir. (je précise que ce n'est clairement pas dans ma personnalité au départ, j'avais toujours raté tous mes oraux toute ma vie, et je n'ai pas la confiance innée).
Bref, si j'avais un conseil à donner, soyez indulgents avec vous même, prenez un temps de repos maintenant s'il le faut (il n'y en aura plus d'autre avant mai), et faites en suffisamment pour ne pas sentir que vous décrochez. Cela peut être la lecture des rapports de jury (c'est ce que je faisais quand je n'avais pas le courage / l'envie de me plonger dans les oeuvres, et honnêtement, je crois que c'est ce qui m'a servi le plus, j'en ai relu jusqu'à la veille des épreuves : j'avais pour mantra : "c'est un concours, il y a des codes et des attendus, rentre dans le moule de l'épreuve")
Bon courage et reposez vous.
J'avais clairement sous estimé l'état dans lequel je serais après les écrits (épuisement moral et physique, sans compter le fait de ressasser le contenu de mes copies inlassablement). Je n'ai pas retouché à un bouquin avant les vacances de février. J'avais, avant les écrits, survolé les oeuvres de comparée, à peine touché à l'oeuvre de médiévale (c'est une chance cette année, vous avez bossé toutes les oeuvres pour les écrits ! ) et je ne parle même pas de la grammaire ...
A partir des vacances, j'ai bossé mollement et sans grande conviction : j'ai fiché les cours d 'AF et de comparée, regardé le film (une fois) et fait des fiches à partir du bouquin de Callas et Rossi en complétant avec la GMF. C'était à la fois rafraîchissant de faire quelque chose de "neuf",et avec le recul, je peux dire que ce travail n'était pas franchement efficace, mais il m'a permis de ne pas trop décrocher et de rester en mode agrèg.
A l'approche des résultats, j'en étais à souhaiter ne pas voir mon nom dans l'espoir que tout ça s'arrête et je me souviens m'être dit tous les jours "Mais pourquoi je m'inflige un truc pareil à mon âge ?".
Et puis il y a eu les résultats ...
Et comme Chlidé, j'ai trouvé une énergie que je ne soupçonnais pas, et là j'ai abattu un travail monstre (celui que j'aurais dû fournir jusque là ?). Pourtant ma vie ressemblait à une crise d'angoisse XXL, de jour comme de nuit ! Avec pour moteur : il est hors de question de m'imposer un truc pareil une fois encore. Je vais à l'oral, soit, j'y vais à fond et pour l'avoir. (je précise que ce n'est clairement pas dans ma personnalité au départ, j'avais toujours raté tous mes oraux toute ma vie, et je n'ai pas la confiance innée).
Bref, si j'avais un conseil à donner, soyez indulgents avec vous même, prenez un temps de repos maintenant s'il le faut (il n'y en aura plus d'autre avant mai), et faites en suffisamment pour ne pas sentir que vous décrochez. Cela peut être la lecture des rapports de jury (c'est ce que je faisais quand je n'avais pas le courage / l'envie de me plonger dans les oeuvres, et honnêtement, je crois que c'est ce qui m'a servi le plus, j'en ai relu jusqu'à la veille des épreuves : j'avais pour mantra : "c'est un concours, il y a des codes et des attendus, rentre dans le moule de l'épreuve")
Bon courage et reposez vous.
- User7917Niveau 9
Merci, merci, merci encore pour vos messages de soutien ! ça donne envie de donner un coup de pied pour remonter à la surface... Il faut que je retrouve un peu de motivation après la déprime des épreuves...
- ChlidéNiveau 9
J’avais aussi planté les oraux de l’externe il y a longtemps à deux reprises et je savais que le plus dur m’attendait. Ça a été de l’auto-motivation permanente, la confiance des inspecteurs a joué aussi, la maturité, la force intérieure de se dire qu’on a sa place (à l’externe, inconsciemment j’ai dû me sabrer toute seule en me disant que non, une fille d’ouvriers de banlieue ne réussit pas l’agreg externe). Là, c’était autre chose. Même si dans la cour du lycée avant la réunion, j’étais quand même pas bien fière. Il faut lutter contrer ses démons, contre tout ce qui tire vers le bas et se dire que si, on peut, on va le faire. Accordez-vous du temps si c’est nécessaire, prenez une pause sans complètement décrocher en effet et il sera temps de foncer quand vous verrez votre nom sur la liste. Avec deux enfants en bas âge, un mari, une maison, un travail à 60 km, clairement je suis allée à l’essentiel quand j’ai su que j’étais admissible. Je n’ai pas pu relire la gmf, et d’ailleurs ça m’a planté, mais j’ai pu m’en tirer autrement. J’ai pu assister et faire quelques oraux très formateurs aussi. Et cette force qui fait se mettre dans sa bulle. Plus rien n’existait ensuite, mon mari l’a assez mal vécu... mais pareil je me suis dit que c’était maintenant ou jamais. Jamais deux sans trois mais pas trois sans quatre.
- petit caillouNiveau 5
Bonjour,
Je suis nouvelle sur le forum. Je sous marine depuis quelques semaines, je me tâte pour me lancer l'année prochaine…
Je vous souhaite bon courage pour la reprise des révisions. L'écrit était vraiment très difficile. Mais dans un concours tout est possible! Ne lâchez rien.
Je suis nouvelle sur le forum. Je sous marine depuis quelques semaines, je me tâte pour me lancer l'année prochaine…
Je vous souhaite bon courage pour la reprise des révisions. L'écrit était vraiment très difficile. Mais dans un concours tout est possible! Ne lâchez rien.
- gildasNiveau 3
malo24 a écrit:Après, je pense que même si on n'a pas le concours, il faut aussi regarder tout ce qui a été acquis pendant l'année et le voir aussi comme un enrichissement personnel qui portera ses fruits plus tard, que ce soit en décrochant le précieux sésame ou tout simplement au sein de nos cours.
Pour motiver celles et ceux (dont je fais aussi partie) qui se découragent, je reprends les propos que j'ai lus plus haut : préparer l'oral en effet, on ne sais jamais, et surtout pour l'apport que cela constituera pour une nouvelle tentative en cas d'échec.
Mais je comprends fort bien ce que certains expriment ici : sitôt que l'on ressasse ce que l'on a fait, on voit plein d'erreurs, d'oubli (et c'est sans compter la crainte de bon nombre de fautes quand on a eu à peine le temps de relire sa copie...)
Courage à toutes et tous ! Le travail fourni n'est de toute façon jamais perdu...
- gildasNiveau 3
Au passage, j'ai reçu un MP d'une intervenante sur ce post, et je l'en remercie, mais je n'ai pu le lire et encore moins répondre car mon nombre de messages sur néoprofs était considéré comme insuffisant...
- SisypheHabitué du forum
Bonjour,
C'est dur pour moi aussi. Alors je me motive en songeant au 13 mars comme à la date officielle des vacances. En attendant les vacances de février, je travaille le cinéma (et du coup, je regarde des Hitchcock le soir. Je fais un peu de grammaire chaque jour et je lis des petits bouts de Médée quand mes élèves consentent à travailler un peu en autonomie (je suis au début du 2 : "Jason". Ils ne sont pas très autonomes.)
Le pire étant les collègues et amis qui me demandent sans arrêt si je pense être admissible. Non, mais je ne veux rien regretter. Il peut toujours y avoir un échange de copie, un correcteur atteint de démence subite ou un pic de mortalité chez les candidats en raison du coronavirus qui contraindrait la barre d'admissibilité à reculer toujours plus...
C'est dur pour moi aussi. Alors je me motive en songeant au 13 mars comme à la date officielle des vacances. En attendant les vacances de février, je travaille le cinéma (et du coup, je regarde des Hitchcock le soir. Je fais un peu de grammaire chaque jour et je lis des petits bouts de Médée quand mes élèves consentent à travailler un peu en autonomie (je suis au début du 2 : "Jason". Ils ne sont pas très autonomes.)
Le pire étant les collègues et amis qui me demandent sans arrêt si je pense être admissible. Non, mais je ne veux rien regretter. Il peut toujours y avoir un échange de copie, un correcteur atteint de démence subite ou un pic de mortalité chez les candidats en raison du coronavirus qui contraindrait la barre d'admissibilité à reculer toujours plus...
- TziporaExpert
Ah oui tiens, je n'y avais pas pensé !Sisyphe a écrit:Il peut toujours y avoir un échange de copie, un correcteur atteint de démence subite ou un pic de mortalité chez les candidats en raison du coronavirus qui contraindrait la barre d'admissibilité à reculer toujours plus...
Au boulot !
_________________
Mon blog lecture : www.la-tete-ailleurs.over-blog.fr
- LiliblueNiveau 1
Ça fait du bien de vous lire...
J'ai passé les écrits en Lettres classiques à Toulouse et vis à l'étranger.
De plus comme je vous dans l'hémisphère sud la rentrée a eu lieu hier!
Autant vous dire que je ne réussis pas à m'y remettre.
Ceux qui sont en lettre classiques pouvez vous me dire vos impressions concernant les épreuves?
Comment travaillez vous les oeuvres imposées en langues anciennes ?
Il fait tout retraduire? Avez vous trouve des choses sur le Poenulus? Moi rien... Et le CNED ne m'est pour l'instant pas d'un grand secours.
Au plaisir de vous lire!!!
Courage à tous...
J'ai passé les écrits en Lettres classiques à Toulouse et vis à l'étranger.
De plus comme je vous dans l'hémisphère sud la rentrée a eu lieu hier!
Autant vous dire que je ne réussis pas à m'y remettre.
Ceux qui sont en lettre classiques pouvez vous me dire vos impressions concernant les épreuves?
Comment travaillez vous les oeuvres imposées en langues anciennes ?
Il fait tout retraduire? Avez vous trouve des choses sur le Poenulus? Moi rien... Et le CNED ne m'est pour l'instant pas d'un grand secours.
Au plaisir de vous lire!!!
Courage à tous...
- JulieLHNiveau 8
Eh ! Sisyphe ! Je te surprends à souhaiter ma mort ! :p (je plaisante)Sisyphe a écrit:Bonjour,
C'est dur pour moi aussi. Alors je me motive en songeant au 13 mars comme à la date officielle des vacances. En attendant les vacances de février, je travaille le cinéma (et du coup, je regarde des Hitchcock le soir. Je fais un peu de grammaire chaque jour et je lis des petits bouts de Médée quand mes élèves consentent à travailler un peu en autonomie (je suis au début du 2 : "Jason". Ils ne sont pas très autonomes.)
Le pire étant les collègues et amis qui me demandent sans arrêt si je pense être admissible. Non, mais je ne veux rien regretter. Il peut toujours y avoir un échange de copie, un correcteur atteint de démence subite ou un pic de mortalité chez les candidats en raison du coronavirus qui contraindrait la barre d'admissibilité à reculer toujours plus...
Bisous et bon courage
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Quand ton anniv' tombe le 29 janvier. ^^
- olive-in-oilSage
Courage à tous ! Il faut rebondir car il s'agit d'un concours, une copie moyenne peut toujours se révéler meilleure que d'autres !
Ce coup de mou me conforte dans l'idée qu'il faut mener de front la préparation des écrits et celle des oraux car cela fait partie d'un tout.
Oui, après les écrits, on est vidés au point de se demander pourquoi on cherche à se faire autant de mal volontairement (en même temps, quand on est prof...).
Mais il faut rester tenace pour ne pas être pris au dépourvu lors des résultats d'admissibilité !
Accordez-vous un peu de repos mais il faut repartir au front ! Courage !
Ce coup de mou me conforte dans l'idée qu'il faut mener de front la préparation des écrits et celle des oraux car cela fait partie d'un tout.
Oui, après les écrits, on est vidés au point de se demander pourquoi on cherche à se faire autant de mal volontairement (en même temps, quand on est prof...).
Mais il faut rester tenace pour ne pas être pris au dépourvu lors des résultats d'admissibilité !
Accordez-vous un peu de repos mais il faut repartir au front ! Courage !
- ThalieGrand sage
Petite question à laquelle vous avez peut être déjà répondu : un des programmes de comparée va y il rester pour l an prochain ?
Bon courage pour se remettre au travail à tous.
Bon courage pour se remettre au travail à tous.
- isocèleNiveau 7
Oui pour l'externe : Solitude et communauté dans le roman (Le Vice consul de Duras, Médée, voix de Christa Wolf et Le Cœur est un chasseur solitaire de Carson Mc Cullers).
- SaloumHabitué du forum
Je me suis remise au travail hier après un gros coup de mou moral et physique : je suis tombée malade à la sortie des écrits et je me remets tout juste. Je ne me pensais pas capable de somatiser à ce point et je n'avais pas conscience d'avoir atteint un tel degré d'épuisement ! Et je passe par toutes ces phases que vous évoquez : après avoir refait mes copies en boucle, débusqué tous leurs points faibles, je me demande si ça vaut bien le coup que je m'inflige tout ça... Mais j'ai repris les cours et les lectures. Bon courage à tous ! C'est vraiment le moment le plus dur de la préparation.
- ernyaFidèle du forum
Bonsoir à tous !
Je me penche enfin sur le programme de comparée. Quelqu'un aurait-il une méthodo de l'oral pour cette épreuve ? J'étais une quiche quand je l'ai passée il y a plusieurs années en externe et j'aimerais bien enfin comprendre ce qui est attendu pour dépasser le 4/20...
Je me penche enfin sur le programme de comparée. Quelqu'un aurait-il une méthodo de l'oral pour cette épreuve ? J'étais une quiche quand je l'ai passée il y a plusieurs années en externe et j'aimerais bien enfin comprendre ce qui est attendu pour dépasser le 4/20...
- eneide69Niveau 1
Bonsoir, je me pose la même question que toi ... de je n ai pu avoir accès à aucun cours de qualité. Sniff
- ChlidéNiveau 9
Je n’ai pas eu une note bien brillante non plus à l’interne. J’ai à peine doublé ton 04. Il s’agit de faire un commentaire composé sur un passage long, voire deux passages qui se relient. Il nous avait été très bien dit de considérer la structure et la cohérence du passage, interroger les bornes choisies pour mettre en place un premier sens du texte. Après il s’agit d’approfondir...
Ce qui est déroutant et demande entraînement est clairement la durée de l’épreuve. Il faut connaître son texte sur le bout des doigts pour aller très vite dans la construction du plan. C’est clairement une épreuve de rapidité.
Ce qui est déroutant et demande entraînement est clairement la durée de l’épreuve. Il faut connaître son texte sur le bout des doigts pour aller très vite dans la construction du plan. C’est clairement une épreuve de rapidité.
- ernyaFidèle du forum
Chlidé a écrit:Je n’ai pas eu une note bien brillante non plus à l’interne. J’ai à peine doublé ton 04. Il s’agit de faire un commentaire composé sur un passage long, voire deux passages qui se relient. Il nous avait été très bien dit de considérer la structure et la cohérence du passage, interroger les bornes choisies pour mettre en place un premier sens du texte. Après il s’agit d’approfondir...
Ce qui est déroutant et demande entraînement est clairement la durée de l’épreuve. Il faut connaître son texte sur le bout des doigts pour aller très vite dans la construction du plan. C’est clairement une épreuve de rapidité.
Si je précise un peu, voici mes questions :
- quel type de problématique est attendu ? (genre problématique de dissert ou plutôt type projet de lecture comme une explic de texte ?)
- y a-t-il des attendus au niveau des parties ? (genre une première partie descriptive, une deuxième thématique et une troisième métapoétique, ce genre de choses)
- comment connaître l'oeuvre pour être efficace ? (= que faut-il savoir avant tout ? la présence des perso selon les chapitres ? les "grandes " étapes du récit ?...)
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