Rentrée : la popularité de Jean-Michel Blanquer s’effrite

William Foster a écrit:Le pauvre. Cela doit être dur de se sentir mal-aimé : la déconsidération est un facteur de démobilisation au travail.
Je propose qu'on l'augmente de 300€ bruts/an.

henriette a écrit:A compter de 2020.

En moyenne

pseudo-intello a écrit:J'ai écouté Jean-Rémi qui était très bien, et quand le présentateur a dit "Mme Machin, vous êtes députée LREM, j'ai coupé.

Tu as coupé trop vite, Jean-Rémi a contre-attaqué au bazooka plusieurs fois par la suite.

Rendash a écrit:

William Foster a écrit:Le pauvre. Cela doit être dur de se sentir mal-aimé : la déconsidération est un facteur de démobilisation au travail.
Je propose qu'on l'augmente de 300€ bruts/an.

henriette a écrit:A compter de 2020.

En moyenne

Par petits chèques d'un euro chacun, envoyés par 300 colibris.

Tivinou a écrit:

Rendash a écrit:

William Foster a écrit:Le pauvre. Cela doit être dur de se sentir mal-aimé : la déconsidération est un facteur de démobilisation au travail.
Je propose qu'on l'augmente de 300€ bruts/an.

henriette a écrit:A compter de 2020.

En moyenne

Par petits chèques d'un euro chacun, envoyés par  300 colibris.

C'est tellement poétique !

Comme l'a fait remarquer le délégué syndical ce matin, avec une grande justesse, les colibris sont aussi ces oiseaux qui battent des ailes à toute vitesse pour faire du surplace.

Sont pas prêts d'arriver, les chèques :diable:

Oui, mais ça brassera de l'air, ils aiment bien ça, au MEN.

J'ai rien compris à cette histoire de colibris !!! Je ne vois pas le rapport entre Blanquer et un oiseau ... Sauf un corbeau peut-être.
Quelqu'un peut m'expliquer ?

Le colibri, c'est très en vogue en ce moment, symbole de plusieurs assos, etc. Ça part d'un conte de je ne sais plus quelle origine, où il est question d'un incendie dans la forêt. Chaque animal y va de son effort pour l'éteindre, selon ses moyens. Les animaux demandent au colibri, intrigués de le voir voleter : "mais que fais-tu "? Le colibri répond "je fais ma part" ; en effet, le colibri aide à la hauteur de ses moyens, et transporte donc de l'eau dans son tout petit bec ; il n'a de la place que pour une goutte, mais goutte après goutte, il aide les autres animaux à éteindre le feu.

Donc le principe du colibri dans les discours, c'est que si chacun fait sa part même toute petite, les choses se résolvent. Les esprits chagrins dont nous sommes arguent que c'est finalement souvent signe d'un désengagement de l'Etat, à compenser par des efforts demandés à un peu tout le monde à la place.

Selon JM Blanquer, les enseignants sont "un peuple de colibris" ( expression qu'il a utilisée dans un discours visant à utiliser une métaphore autre que celle de C. Allègre et de son mammouth), je ne retrouve pas le lien mais cela a fait l"actualité" il y a deux-trois jours.  A relier avec l'explication donnée ci-dessus par Pseudo-intello.

De mammouth à colibris, y'a pas, on voit bien qu'on est au régime sec !

Sûr!

Merci pour les infos, j'avais donc bien manqué un épisode !