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- choup78Habitué du forum
Tous en action pour J.W a écrit:Comme l'indique les deux derniers commentaires, nous ne souhaitons pas communiquer les faits reprochés, puisqu'ils ont de toute manière étaient jugés faux par l'enquête administrative.
Nous pouvons, en revanche, affirmer qu'une plain7te visant les parents accusateurs va bien être déposée (au moins par Rachida). Nous vous tiendrons, bien entendu, informés des suites de cette affaire.
merci, et tant mieux qu'il y ait plainte. Ces parents nuisibles ont besoin d'être punis.
- ProtonExpert
De tout coeur avec vous. La plainte contre ces parents est une très bonne chose, il faut une sacrée dose de courage pour rester combatif. Bravo.
- Leroy86Niveau 9
Avec tous les éléments cités, la plainte a toutes les chances d'aboutir, il est temps que les pervers assument leurs actes.
_________________
"On ne peut pas plier la réalité à ses désirs." Thomas A. Anderson
"Ça rapporterait des milliers de milliers de dollars." "Ça s'appelle des millions."
- DesolationRowEmpereur
Il ne faut évidemment pas relayer des accusations calomnieuses. J'espère qu'il y aura une plainte contre les parents et qu'ils prendront le maximum.
- Manu7Expert spécialisé
Tous en action pour J.W a écrit:Comme l'indique les deux derniers commentaires, nous ne souhaitons pas communiquer les faits reprochés, puisqu'ils ont de toute manière étaient jugés faux par l'enquête administrative.
Nous pouvons, en revanche, affirmer qu'une plainte visant les parents accusateurs va bien être déposée (au moins par Rachida). Nous vous tiendrons, bien entendu, informés des suites de cette affaire.
Merci pour votre réponse. C'est en effet une bonne nouvelle, et il faut une bonne dose de courage.
J'aimerai bien aussi connaître la position de la FCPE qui a finalement été "manipulée", est-il prévu qu'elle engage des poursuites contre les parents menteurs ? Et sinon, quelle suite cette assoc a donné à cette affaire, le minimum serait qu'elle s'excuse auprès des enseignants et surtout auprès des autres parents qu'elle n'a pas su écouter ou entendre ?
Personnelement à la place de la présidente de la FCPE, si je m'étais fourvoyé à ce point alors il me semble qu'une démission serait la moindre des choses, après tout ce n'est pas un métier. Et le coup des dénonciations anonymes, dans une association de parents d'élèves je trouve le procédé très malsain. J'espère que cette affaire va faire bouger les choses dans cette section de la FCPE...
- Tous en action pour J.WNiveau 2
Des nouvelles de la page FB "Nous soutenons les enseignants de Romillé".
Publication du 10 septembre :
"Depuis, les dernières publications, il y a eu un article dans Ouest-France le 27 août, un appel au rassemblement devant l’inspection académique le 28 et… l’inspection académique, via l'inspecteur de circonscription, qui a souhaité nous recevoir le 27 août après-midi.
Faut-il voir une relation de cause à effet entre l’appel au rassemblement devant l’inspection et leur souhait soudain de nous recevoir ?
Dans l’article Ouest-France, nous apprenons que le déplacement de Mme NOEL est dû à un problème relationnel interne : « Les antagonismes devenaient tellement forts qu’il a été décidé de changer d’affectation le directeur de l’école et l’enseignante, pour la rentrée à venir », rapporte Claude Rousseau, inspecteur adjoint pour le premier degré (dixit l’article Ouest-France).
Le directeur est donc également déplacé. Ce dernier a plutôt annoncé à Romillé qu’il avait demandé à changer d’école! Lors de notre rendez-vous, l'inspecteur de Saint-Grégoire nous confirmera qu’il s’agit bien d’un double déplacement.
Notre souhait étant de garder Mme NOEL dans l’école, nous sommes donc allés confiants au rendez-vous de l’inspection : le directeur n’étant plus là, les antagonismes disparaissent d'eux-mêmes. Mme NOËL peut donc rester à Romillé.
Et bien non ! L’inspection nous rétorque alors que ce n’est pas la seule raison. Que nous ne savons pas tout, que l’on ne peut pas tout nous dire et que l’on ne nous dira pas tout.
L'inspection estime que Mme NOEL est coupable de la "publicité" qu'il y a eu autour des évènements de la fin d'année (Article Ouest-France du 29-30 Juin) puisque dès le 26 juin, elle savait qu'aucune des accusations "classe de mer" n'était finalement retenue. Comment aurait-elle pu en parler quand on lui demande de garder un devoir de réserve?! Cela dit, ni l'inspection, ni la direction n'a jugé nécessaire de nous en informer.
Décidément nous ne comprenons effectivement pas tout !
Toujours est-il que c’est ainsi que l’inspection académique nous a évincés. Ils nous ont reçus pour nous faire passer des messages et pour que nous arrêtions notre mouvement. Et ce, en détournant le déplacement de Mme NOEL sur des problèmes internes et en se cachant derrière leurs petits « secrets ».
Alors oui, nous ne savons peut-être pas tout mais, nous savons que Mme NOEL est soutenue par la majorité des parents et aussi par la majorité de ses collègues. Nous savons que certains collègues sont intervenus de différentes manières et, lors des événements de juin, nous ont fait part de leur soutien et de leur incompréhension du positionnement du directeur au sein de l'équipe.
Nous savons également que c’est le directeur qui a fourni les adresses mails pour lancer les invitations à la réunion du 5 Juin (selon un mail de l'organisatrice de cette réunion), alors qu'il n'a jamais répondu à notre demande de mailling pour faire passer un message d'apaisement aux parents inquiets. Nous avons vu le directeur passer la soirée de la fête de l’école, le 15 juin, en compagnie des parents accusateurs. Et que, ces mêmes parents annonçaient des choses très personnelles le concernant, lors de la réunion du 5 juin, alors que personne n’était au courant.
Alors, nous voulons bien croire à des difficultés internes mais nous nous interrogeons sur le rôle que le directeur a joué dans cette affaire. Et nous pensons, vu ce qui précède, que c’est la « connivence avec les parents accusateurs » qui a provoqué ces conflits internes. C'est d'ailleurs ce que confirme l'article de Ouest-France par : « Les relations dans l’équipe se seraient détériorées quelques mois avant les vacances d’été ». Oui, à partir de la mi-mai pour être très précis.
Tout au long de cette affaire, le directeur tout comme l’inspecteur ont refusé de nous recevoir et ce, malgré nos nombreuses demandes (Alors que les parents accusateurs étaient reçus). A aucun moment, l'inspection n'a cherché à vérifier la version des parents accusateurs ou celle du directeur.
Au vu de tout ceci, nous réaffirmons que nous sommes contre le déplacement de Mme NOEL. Nous restons convaincus qu'une enseignante telle que Madame Noël qui s'investit, donc s'expose est une richesse pour l'école, et que son départ ne ramènera pas nécessairement la sérénité au sein de l'équipe enseignante. Et que, contrairement à ce dit l’article de Ouest-France, ce n’est ni dans l’intérêt du service ni dans l’intérêt de l’école de déplacer Mme NOEL.
Ce déplacement, qu’il soit lié ou pas à la classe de mer, laisse la part belle aux parents accusateurs. Il freinera encore une fois la motivation des enseignants et fera planer au-dessus de leurs sorties et de leurs projets, l’ombre de la plainte des parents belliqueux. Sans compter la crainte qui résulte de ce qui vient de se passer: "Qui sera la prochaine cible ?"
L'inspection juge qu'en déplaçant Mme Noël et le directeur, l'affaire est close. Mais qu'en est-il de l'honneur de ces 2 institutrices qui ont été bafouées lors de la réunion publique du 5 Juin. Elles sont blanchies, certes. Mais, selon l'inspecteur de circonscription, l'inspection ne fera aucun communiqué officiel. L'Education Nationale ne communiquera rien aux parents, ce n'est pas leur rôle, dixit l’inspecteur lui-même. Par contre nous, nous pouvons communiquer ! Et bien nous clamons haut et fort que ces maîtresses n'ont rien à se reprocher, qu'elles ont été blanchies de toutes ces accusations mensongères qui leur ont été portées et qu'elles ont du "talent", c’est ce que nous à dit l'inspecteur lors de notre entretien.
Nous ne pourrons pas, nous parents, aller plus loin. Mais le mouvement « nous soutenons les enseignants de Romillé » continuera à interpeller et à protéger les enseignants qui exercent à Romillé.
Nous vous remercions pour votre soutien, pour vos nombreux témoignages. Cette page et la pétition restent ouvertes, entre autre pour vos commentaires et vos signatures mais aussi dans l’espoir qu’un jour elles puissent servir d’autres causes… similaires, comme en témoignent les nombreux messages reçus.
Nous avons pris conscience en tant que parents que des instituteurs souvent très investis, pouvaient réellement être abandonnés. Le tout, sans aucune reconnaissance de cet investissement et en laissant s'installer une grande détresse. Vous ajoutez à cela une préférence pour déplacer les enseignants plutôt que de les soutenir, et vous avez notre sordide histoire de Romillé, remplie d'incohérences et de malveillance."
Publication du 15 septembre :
"Nous avons appris que des plaintes ont été déposées par les enseignantes. Pour les enfants, pour les parents et pour tous les enseignants, nous attendons avec impatience que justice soit rendue."
Publication du 10 septembre :
"Depuis, les dernières publications, il y a eu un article dans Ouest-France le 27 août, un appel au rassemblement devant l’inspection académique le 28 et… l’inspection académique, via l'inspecteur de circonscription, qui a souhaité nous recevoir le 27 août après-midi.
Faut-il voir une relation de cause à effet entre l’appel au rassemblement devant l’inspection et leur souhait soudain de nous recevoir ?
Dans l’article Ouest-France, nous apprenons que le déplacement de Mme NOEL est dû à un problème relationnel interne : « Les antagonismes devenaient tellement forts qu’il a été décidé de changer d’affectation le directeur de l’école et l’enseignante, pour la rentrée à venir », rapporte Claude Rousseau, inspecteur adjoint pour le premier degré (dixit l’article Ouest-France).
Le directeur est donc également déplacé. Ce dernier a plutôt annoncé à Romillé qu’il avait demandé à changer d’école! Lors de notre rendez-vous, l'inspecteur de Saint-Grégoire nous confirmera qu’il s’agit bien d’un double déplacement.
Notre souhait étant de garder Mme NOEL dans l’école, nous sommes donc allés confiants au rendez-vous de l’inspection : le directeur n’étant plus là, les antagonismes disparaissent d'eux-mêmes. Mme NOËL peut donc rester à Romillé.
Et bien non ! L’inspection nous rétorque alors que ce n’est pas la seule raison. Que nous ne savons pas tout, que l’on ne peut pas tout nous dire et que l’on ne nous dira pas tout.
L'inspection estime que Mme NOEL est coupable de la "publicité" qu'il y a eu autour des évènements de la fin d'année (Article Ouest-France du 29-30 Juin) puisque dès le 26 juin, elle savait qu'aucune des accusations "classe de mer" n'était finalement retenue. Comment aurait-elle pu en parler quand on lui demande de garder un devoir de réserve?! Cela dit, ni l'inspection, ni la direction n'a jugé nécessaire de nous en informer.
Décidément nous ne comprenons effectivement pas tout !
Toujours est-il que c’est ainsi que l’inspection académique nous a évincés. Ils nous ont reçus pour nous faire passer des messages et pour que nous arrêtions notre mouvement. Et ce, en détournant le déplacement de Mme NOEL sur des problèmes internes et en se cachant derrière leurs petits « secrets ».
Alors oui, nous ne savons peut-être pas tout mais, nous savons que Mme NOEL est soutenue par la majorité des parents et aussi par la majorité de ses collègues. Nous savons que certains collègues sont intervenus de différentes manières et, lors des événements de juin, nous ont fait part de leur soutien et de leur incompréhension du positionnement du directeur au sein de l'équipe.
Nous savons également que c’est le directeur qui a fourni les adresses mails pour lancer les invitations à la réunion du 5 Juin (selon un mail de l'organisatrice de cette réunion), alors qu'il n'a jamais répondu à notre demande de mailling pour faire passer un message d'apaisement aux parents inquiets. Nous avons vu le directeur passer la soirée de la fête de l’école, le 15 juin, en compagnie des parents accusateurs. Et que, ces mêmes parents annonçaient des choses très personnelles le concernant, lors de la réunion du 5 juin, alors que personne n’était au courant.
Alors, nous voulons bien croire à des difficultés internes mais nous nous interrogeons sur le rôle que le directeur a joué dans cette affaire. Et nous pensons, vu ce qui précède, que c’est la « connivence avec les parents accusateurs » qui a provoqué ces conflits internes. C'est d'ailleurs ce que confirme l'article de Ouest-France par : « Les relations dans l’équipe se seraient détériorées quelques mois avant les vacances d’été ». Oui, à partir de la mi-mai pour être très précis.
Tout au long de cette affaire, le directeur tout comme l’inspecteur ont refusé de nous recevoir et ce, malgré nos nombreuses demandes (Alors que les parents accusateurs étaient reçus). A aucun moment, l'inspection n'a cherché à vérifier la version des parents accusateurs ou celle du directeur.
Au vu de tout ceci, nous réaffirmons que nous sommes contre le déplacement de Mme NOEL. Nous restons convaincus qu'une enseignante telle que Madame Noël qui s'investit, donc s'expose est une richesse pour l'école, et que son départ ne ramènera pas nécessairement la sérénité au sein de l'équipe enseignante. Et que, contrairement à ce dit l’article de Ouest-France, ce n’est ni dans l’intérêt du service ni dans l’intérêt de l’école de déplacer Mme NOEL.
Ce déplacement, qu’il soit lié ou pas à la classe de mer, laisse la part belle aux parents accusateurs. Il freinera encore une fois la motivation des enseignants et fera planer au-dessus de leurs sorties et de leurs projets, l’ombre de la plainte des parents belliqueux. Sans compter la crainte qui résulte de ce qui vient de se passer: "Qui sera la prochaine cible ?"
L'inspection juge qu'en déplaçant Mme Noël et le directeur, l'affaire est close. Mais qu'en est-il de l'honneur de ces 2 institutrices qui ont été bafouées lors de la réunion publique du 5 Juin. Elles sont blanchies, certes. Mais, selon l'inspecteur de circonscription, l'inspection ne fera aucun communiqué officiel. L'Education Nationale ne communiquera rien aux parents, ce n'est pas leur rôle, dixit l’inspecteur lui-même. Par contre nous, nous pouvons communiquer ! Et bien nous clamons haut et fort que ces maîtresses n'ont rien à se reprocher, qu'elles ont été blanchies de toutes ces accusations mensongères qui leur ont été portées et qu'elles ont du "talent", c’est ce que nous à dit l'inspecteur lors de notre entretien.
Nous ne pourrons pas, nous parents, aller plus loin. Mais le mouvement « nous soutenons les enseignants de Romillé » continuera à interpeller et à protéger les enseignants qui exercent à Romillé.
Nous vous remercions pour votre soutien, pour vos nombreux témoignages. Cette page et la pétition restent ouvertes, entre autre pour vos commentaires et vos signatures mais aussi dans l’espoir qu’un jour elles puissent servir d’autres causes… similaires, comme en témoignent les nombreux messages reçus.
Nous avons pris conscience en tant que parents que des instituteurs souvent très investis, pouvaient réellement être abandonnés. Le tout, sans aucune reconnaissance de cet investissement et en laissant s'installer une grande détresse. Vous ajoutez à cela une préférence pour déplacer les enseignants plutôt que de les soutenir, et vous avez notre sordide histoire de Romillé, remplie d'incohérences et de malveillance."
Publication du 15 septembre :
"Nous avons appris que des plaintes ont été déposées par les enseignantes. Pour les enfants, pour les parents et pour tous les enseignants, nous attendons avec impatience que justice soit rendue."
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- Manu7Expert spécialisé
Merci beaucoup, j'espère que nous aurons aussi des nouvelles des actions en justice.
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