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- 0massilia0Niveau 6
Bonjour, je l'avoue humblement, je suis totalement perdue au niveau du nombre de textes à étudier.
Combien de textes sont à prévoir pour :
+ Combien d'explications (EL) en tout ?
Est-ce qu'un extrait de la lecture cursive peut être utilisé pour le parcours associé ? ou pour le groupement de textes complémentaires ?
Merci !
Combien de textes sont à prévoir pour :
- L'oeuvre au programme
- Le groupement de textes du parcours associé
- Le groupement de textes complémentaires
+ Combien d'explications (EL) en tout ?
Est-ce qu'un extrait de la lecture cursive peut être utilisé pour le parcours associé ? ou pour le groupement de textes complémentaires ?
Merci !
- User5455Niveau 5
Bonjour,
Le nombre de textes à étudier en vue de l'oral des EAF est présenté dans le document intitulé "Epreuves anticipées obligatoires et épreuve orale de contrôle de français pour le baccalauréat général et pour le baccalauréat technologique, à compte de la session 2021 de l'examen du baccalauréat" (NOR : MENE 1910625N).
Page 3, dans un développement consacré au descriptif à réaliser en vue de l'épreuve orale, on peut lire : "Sauf mention expliquant et justifiant l'anomalie, chaque objet d'étude doit comporter : - pour le baccalauréat général au moins six textes susceptibles de donner lieu à une interrogation (3 extraits au minimum pour chaque oeuvre, 3 extraits pour le parcours associé)". Comme il y a quatre objets d'étude, cela fait en tout 24 explications à préparer. Puisqu'il s'agit d'un minimum, on peut en faire plus
Les textes complémentaires sont présentés dans les programmes comme des textes qui "peuvent s'ajouter" aux oeuvres et aux parcours. Je crois donc qu'ils sont facultatifs. De toute façon, les élèves ne seront pas interrogés dessus à l'oral.
Au sujet des lectures cursives, les programmes précisent que "quatre oeuvres au moins - une par objet d'étude, toutes distinctes de celles étudiées dans le cadre des parcours - doivent être lues par l'élève".
J'espère ne pas me tromper.
Le nombre de textes à étudier en vue de l'oral des EAF est présenté dans le document intitulé "Epreuves anticipées obligatoires et épreuve orale de contrôle de français pour le baccalauréat général et pour le baccalauréat technologique, à compte de la session 2021 de l'examen du baccalauréat" (NOR : MENE 1910625N).
Page 3, dans un développement consacré au descriptif à réaliser en vue de l'épreuve orale, on peut lire : "Sauf mention expliquant et justifiant l'anomalie, chaque objet d'étude doit comporter : - pour le baccalauréat général au moins six textes susceptibles de donner lieu à une interrogation (3 extraits au minimum pour chaque oeuvre, 3 extraits pour le parcours associé)". Comme il y a quatre objets d'étude, cela fait en tout 24 explications à préparer. Puisqu'il s'agit d'un minimum, on peut en faire plus
Les textes complémentaires sont présentés dans les programmes comme des textes qui "peuvent s'ajouter" aux oeuvres et aux parcours. Je crois donc qu'ils sont facultatifs. De toute façon, les élèves ne seront pas interrogés dessus à l'oral.
Au sujet des lectures cursives, les programmes précisent que "quatre oeuvres au moins - une par objet d'étude, toutes distinctes de celles étudiées dans le cadre des parcours - doivent être lues par l'élève".
J'espère ne pas me tromper.
- The PaperHabitué du forum
On fera ce qu'on peut, voilà. Qu'est-ce qu'ils vont faire si on n'a que 19 textes au lieu de 24 parce qu'on a pris le temps d'aborder la grammaire et de bosser les lectures cursives en classe ? Ils vont nous retirer une journée de salaire ? Je ne pense pas. Donc, le descriptif sera ce que nous en ferons.
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- Etude de "Manon Lescaut" https://www.amazon.fr/dp/B0B8BM227F
"Cahier de Douai" + étude https://www.amazon.fr/dp/B0CF4CWMPH
Etude du Menteur de Corneille : https://www.amazon.fr/dp/B0DG31W66J
Etude du "Malade imaginaire" https://www.amazon.fr/dp/B08D54RDYF
Etude de la "Déclaration des droits de la femme" : https://www.amazon.fr/dp/B09B7DHTXP
Etude de "La princesse de Clèves" : https://www.amazon.fr/dp/B07VWGR4L4
"Bataille de dames" + étude https://www.amazon.fr/dp/B09FC7XCW4
"Les Romanesques" + étude : https://www.amazon.fr/dp/B0DC78GZR9
"Bisclavret" et "Le laüstic" + dossier sur le loup https://www.amazon.fr/dp/B0CGL84111
- 0massilia0Niveau 6
Merci ! C'est plus clair.
J'ai souvent étudié 20 textes en S, en ayant l'impression d'avoir bâclé la fin de l'année... ça promet... On ira plus vite sur les études linéaires et puis voilà.
J'ai souvent étudié 20 textes en S, en ayant l'impression d'avoir bâclé la fin de l'année... ça promet... On ira plus vite sur les études linéaires et puis voilà.
- The PaperHabitué du forum
Non, on n'ira pas plus vite sur les lectures linéaires : parce qu'il faudra leur donner suffisamment de contenu pour tenir 10 mn comme avec la lecture analytique. Et qu'on ne me dise pas que leur épreuve est plus courte parce qu'il n'y a que huit minutes d'explication et deux minutes d'introduction et de lecture : c'est déjà le cas dans l'épreuve actuelle.
Il est dit dans les textes officiels qu'on devra justifier si jamais on n'a pas les vingt-quatre textes ; c'est fait pour nous intimider. Je ne compte pas indiquer une quelconque justification sur le descriptif. Si on me convoque, je sais quoi répondre : cette réforme nous demande de bâtir un château fort en trois jours, qui immanquablement s'écroulera. Je préfère bâtir juste une tour mais qui tiendra debout. Mais si on est nombreux à n'avoir pas les 24 textes, ça m'étonnerait qu'ils s'amusent à convoquer tout le monde (la hiérarchie estime que nous n'avons pas besoin de vie personnelle, qu'on doit dédier tout notre temps à notre métier, mais elle ne raisonne pas de la même façon pour elle-même).
Il est dit dans les textes officiels qu'on devra justifier si jamais on n'a pas les vingt-quatre textes ; c'est fait pour nous intimider. Je ne compte pas indiquer une quelconque justification sur le descriptif. Si on me convoque, je sais quoi répondre : cette réforme nous demande de bâtir un château fort en trois jours, qui immanquablement s'écroulera. Je préfère bâtir juste une tour mais qui tiendra debout. Mais si on est nombreux à n'avoir pas les 24 textes, ça m'étonnerait qu'ils s'amusent à convoquer tout le monde (la hiérarchie estime que nous n'avons pas besoin de vie personnelle, qu'on doit dédier tout notre temps à notre métier, mais elle ne raisonne pas de la même façon pour elle-même).
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- doctor whoDoyen
L'argument de mon IPR, c'est de dire qu'une explication de texte linéaire, ça va plus vite et qu'on peut la boucler en une heure.
C'est faux, évidemment. Ça peut aller un petit peu plus vite, mais pas dans des proportions suffisantes.
En linéaire, on ne peut pas faire l'économie d'un travail global sur les impressions de lecture, la recherche de fils rouges dans le texte, en amont de l'étude elle-même. En outre, il est assez rare de trouver 20 lignes qui se suffisent à elles-mêmes et on tirera toujours nos études dans des passages plus longs, dont il faudra parler (il aurait en cela été plus logique de demander une dizaine de ligne d'explication, à mon avis.)
Perso, j'en prévois une vingtaine et c'est bien comme ça...
C'est faux, évidemment. Ça peut aller un petit peu plus vite, mais pas dans des proportions suffisantes.
En linéaire, on ne peut pas faire l'économie d'un travail global sur les impressions de lecture, la recherche de fils rouges dans le texte, en amont de l'étude elle-même. En outre, il est assez rare de trouver 20 lignes qui se suffisent à elles-mêmes et on tirera toujours nos études dans des passages plus longs, dont il faudra parler (il aurait en cela été plus logique de demander une dizaine de ligne d'explication, à mon avis.)
Perso, j'en prévois une vingtaine et c'est bien comme ça...
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Mon blog sur Tintin (entre autres) : http://popanalyse.over-blog.com/
Blog pédagogique : http://pedagoj.eklablog.com
- ysabelDevin
Dans mon académie, les IPR exigeaient déjà 24 textes pour les généraux, donc rien de neuf sous le soleil à cette heure.
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« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- User5455Niveau 5
Je ne suis pas systématiquement opposé à la hiérarchie ou aux réformes, mais j'avoue que j'ai du mal à comprendre les prescriptions qui accompagnent la dernière réforme en ce qui concerne le nombre d'explications à faire.
Mes élèves ont souvent du mal à comprendre le sens littéral des textes, car le vocabulaire (même simple) et les références culturelles leur posent problème. Lorsque j'aborde un nouveau texte, il n'est pas rare que je passe la moitié d'une séance à m'assurer que le texte est tout simplement compris. D'ailleurs, quand j'ai débuté dans l'enseignement, un IPR m'a gentiment reproché de commencer le commentaire trop tôt, sans avoir pris le temps de m'assurer que le sens littéral était compris.
En outre, quand j'étais à l'IUFM, on m'a dit qu'il fallait penser à varier la façon d'aborder les textes pour lutter contre l'ennui des élèves et leur sentiment de monotonie. D'après mes formatrices, il fallait surtout éviter de commencer systématiquement par "aujourd'hui, on va étudier tel texte", donner le texte, le lire, et le commenter. En bon petit soldat (et aussi parce que cela faisait sens à mes yeux), j'ai donc pris l'habitude de varier mes approches. Je commence par exemple certaines études par un petit travail d'écriture préparatoire qui vise à faire émerger une difficulté, à initier un débat, ou à faire apparaître une constante. Ensuite, je propose de comparer avec ce que fait tel auteur dans tel texte. Cela marche assez bien, et cela attise souvent la curiosité des élèves. Bien entendu, je ne le fais pas systématiquement, et il m'arrive de dire "aujourd'hui, on va étudier tel texte" !
Enfin, j'aime bien prendre le temps de discuter avec les élèves de leurs lectures personnelles ou des miennes. Par exemple, au retour de vacances, je leur demande parfois ce qu'ils ont lu ou ce qu'ils sont en train de lire pour leur plaisir, et je leur parle un peu de mes lectures personnelles. J'essaie ainsi de valoriser leur curiosité et leurs lectures, et de leur montrer que la pratique de la lecture (qu'il s'agisse de la leur ou de la mienne) ne se limite pas à l'école et aux textes étudiés à l'école. Inutile de dire que ces moments risquent fort de passer à la trappe. Ils étaient pourtant précieux à plus d'un titre.
Je n'aime pas courir, et je n'en comprends pas l'intérêt. En outre, je trouve qu'une telle façon de travailler n'est pas en accord avec notre discipline, qui demande de se poser et de prendre du temps (ce qui représente d'ailleurs un défi pour nombre d'élèves, qui sont dans une sorte d'agitation perpétuelle).
J'aime ma discipline et mon métier, mais les exigences de l'institution me découragent et me démoralisent.
Mes élèves ont souvent du mal à comprendre le sens littéral des textes, car le vocabulaire (même simple) et les références culturelles leur posent problème. Lorsque j'aborde un nouveau texte, il n'est pas rare que je passe la moitié d'une séance à m'assurer que le texte est tout simplement compris. D'ailleurs, quand j'ai débuté dans l'enseignement, un IPR m'a gentiment reproché de commencer le commentaire trop tôt, sans avoir pris le temps de m'assurer que le sens littéral était compris.
En outre, quand j'étais à l'IUFM, on m'a dit qu'il fallait penser à varier la façon d'aborder les textes pour lutter contre l'ennui des élèves et leur sentiment de monotonie. D'après mes formatrices, il fallait surtout éviter de commencer systématiquement par "aujourd'hui, on va étudier tel texte", donner le texte, le lire, et le commenter. En bon petit soldat (et aussi parce que cela faisait sens à mes yeux), j'ai donc pris l'habitude de varier mes approches. Je commence par exemple certaines études par un petit travail d'écriture préparatoire qui vise à faire émerger une difficulté, à initier un débat, ou à faire apparaître une constante. Ensuite, je propose de comparer avec ce que fait tel auteur dans tel texte. Cela marche assez bien, et cela attise souvent la curiosité des élèves. Bien entendu, je ne le fais pas systématiquement, et il m'arrive de dire "aujourd'hui, on va étudier tel texte" !
Enfin, j'aime bien prendre le temps de discuter avec les élèves de leurs lectures personnelles ou des miennes. Par exemple, au retour de vacances, je leur demande parfois ce qu'ils ont lu ou ce qu'ils sont en train de lire pour leur plaisir, et je leur parle un peu de mes lectures personnelles. J'essaie ainsi de valoriser leur curiosité et leurs lectures, et de leur montrer que la pratique de la lecture (qu'il s'agisse de la leur ou de la mienne) ne se limite pas à l'école et aux textes étudiés à l'école. Inutile de dire que ces moments risquent fort de passer à la trappe. Ils étaient pourtant précieux à plus d'un titre.
Je n'aime pas courir, et je n'en comprends pas l'intérêt. En outre, je trouve qu'une telle façon de travailler n'est pas en accord avec notre discipline, qui demande de se poser et de prendre du temps (ce qui représente d'ailleurs un défi pour nombre d'élèves, qui sont dans une sorte d'agitation perpétuelle).
J'aime ma discipline et mon métier, mais les exigences de l'institution me découragent et me démoralisent.
- The PaperHabitué du forum
Il ne faut pas. Tout ce qui intéresse l'institution, c'est qu'on donne le diplôme à 90 % des élèves et qu'on ne coûte pas trop cher. Tout le reste n'est là que pour nous occuper l'esprit. Vanité, tout est vanité, disait Salomon en parlant des richesses du monde, alors je ne vous dis pas ce qu'il aurait dit d'une consigne qui impose 24 textes dans un descriptif...Pinocchio a écrit:mais les exigences de l'institution me découragent et me démoralisent.
Continue comme tu fais
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- Eugène GatupéryJe viens de m'inscrire !
Bonjour,
Si j'ai bien compris, les textes des parcours de lecture sont aussi soumis à une lecture linéaire ?
Merci, bon courage pour les préparations.
Si j'ai bien compris, les textes des parcours de lecture sont aussi soumis à une lecture linéaire ?
Merci, bon courage pour les préparations.
- KilmenyEmpereur
Eugène Gatupéry a écrit:Bonjour,
Si j'ai bien compris, les textes des parcours de lecture sont aussi soumis à une lecture linéaire ?
Merci, bon courage pour les préparations.
Oui, 3 dans l'OI et 3 dans le parcours. (minimum)
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- KilmenyEmpereur
Pensez-vous que l'on va arriver à tenir nos 16 textes en techno et nos 24 en générale ? Je crains de devoir abréger la dernière séquence.
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- eliamEsprit éclairé
J'en doute fort. Je vais essayer de limiter au maximum les activités en dehors des EL mais je crains de devoir abréger la dernière séquence.
- KilmenyEmpereur
eliam a écrit:J'en doute fort. Je vais essayer de limiter au maximum les activités en dehors des EL mais je crains de devoir abréger la dernière séquence.
Oui, mais il faut compter avec la grammaire, avec la méthode du commentaire, avec les études d'ensemble des œuvres, les préparations à la dissertation, au commentaire... Il nous aurait fallu une heure de plus.
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- eliamEsprit éclairé
J'ai décidé de donner une fiche aux élèves: un point de grammaire par texte. Ils travailleront le texte à l'avance : compréhension du texte, plan. Je les interrogerai en analyse sur un passage donné (évaluation orale). Les études d'ensemble se feront par groupes en 2 h (un thème par groupe) et déboucheront sur une présentation orale que je reprendrai le plus rapidement possible. Cela devrait me gagner du temps. Les élèves auront du travail à la maison mais je ne vois pas comment faire autrement.
- ValorNiveau 9
Plutôt que de sacrifier complètement le dernier objet d'étude, certains de mes collègues ont choisi de n'étudier "que" 5 textes par séquence (3 pour l'OI et 2 pour le parcours), sachant pertinemment les programmes sont impossibles à tenir en ayant 4 heures par semaine.Kilmeny a écrit:Pensez-vous que l'on va arriver à tenir nos 16 textes en techno et nos 24 en générale ? Je crains de devoir abréger la dernière séquence.
- annacamilleNiveau 6
Valor, l'option choisie par les collègues que vous évoquez me semble intéressante. J'y pense aussi...
- User5455Niveau 5
Valor a écrit:Plutôt que de sacrifier complètement le dernier objet d'étude, certains de mes collègues ont choisi de n'étudier "que" 5 textes par séquence (3 pour l'OI et 2 pour le parcours), sachant pertinemment les programmes sont impossibles à tenir en ayant 4 heures par semaine.Kilmeny a écrit:Pensez-vous que l'on va arriver à tenir nos 16 textes en techno et nos 24 en générale ? Je crains de devoir abréger la dernière séquence.
J'avoue que je suis tenté de décider dès le début de l'année de ne pas faire le nombre de textes requis par les nouveaux programme. Si je prends cette décision - ou si je n'arrive tout simplement pas à faire 24 lectures linéaires - je me contenterai de justifier cette "anomalie" (le mot est dans le texte présentant la nouvelle mouture de l'épreuve) en disant tout simplement que l'objectif à atteindre est impossible à atteindre !
L'idée de bâcler un objet d'étude me gêne beaucoup, car avec la nouvelle version de l'écrit, les élèves pourraient assez vite se retrouver coincés s'ils comprennent mal le texte à commenter, et que l'objet d'étude sur lequel porte la dissertation a été bâclé.
Les exigences de ce nouveau programme me dépassent.
- Écusette de NoireuilEsprit éclairé
Je ne pense pas non plus faire 24 textes, c'est difficilement tenable.
Et les activités en dehors des EL me paraissent essentielles pour que les élèves soient capables d'aborder la dissertation.
Et les activités en dehors des EL me paraissent essentielles pour que les élèves soient capables d'aborder la dissertation.
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" Celui qui ne lit pas ne vit qu'une seule vie " (Umberto Eco )
- The PaperHabitué du forum
J'avais envisagé, pour mon dernier objet d'étude, si je ne suis pas dans les temps, de donner l'oeuvre à lire mais de ne donner que le parcours, constitué de deux extraits de l'oeuvre + 1 texte d'un autre auteur.
L'avantage de cette idée, c'est que je fais à fond les autres objets et je ne renonce qu'à la fin si nécessaire (mais à mon avis ce sera nécessaire...) à faire les 24 (pour passer à 21).
Mais... je trouve votre idée bien plus équilibrée. J'hésite !!
L'avantage de cette idée, c'est que je fais à fond les autres objets et je ne renonce qu'à la fin si nécessaire (mais à mon avis ce sera nécessaire...) à faire les 24 (pour passer à 21).
Mais... je trouve votre idée bien plus équilibrée. J'hésite !!
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- Écusette de NoireuilEsprit éclairé
Moi je vais essayer de faire 5 textes par objet d'étude...
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" Celui qui ne lit pas ne vit qu'une seule vie " (Umberto Eco )
- OxfordNeoprof expérimenté
(décidément ) 3 textes pour l'OI et 2 pour le "parcours"Écusette de Noireuil a écrit:Moi je vais essayer de faire 5 textes par objet d'étude...
Point barre.
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Tutti i ghjorna si n'impara.
- Écusette de NoireuilEsprit éclairé
Exactement!
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" Celui qui ne lit pas ne vit qu'une seule vie " (Umberto Eco )
- lilichengEsprit éclairé
ysabel a écrit:Dans mon académie, les IPR exigeaient déjà 24 textes pour les généraux, donc rien de neuf sous le soleil à cette heure.
Certes mais as-tu la même quotité horaire que l'année dernière ?
Nous en faisions ici 21 ou 22 mais on a globalement perdu 1h dans toutes les filières, pour 3,4 textes de plus c'est chaud
- KilmenyEmpereur
Je vais partir pour 6 textes pour le premier objet d'étude. Si je vois que c'est chronophage, j'arrêterai après le 5ème et ainsi de suite en fractionnant l'année de façon mathématique.
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