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- Mezzo voceNiveau 9
Bonjour à tous,
J'aimerais beaucoup recueillir quelques témoignages d'enseignants ayant préparé un doctorat après avoir réussi l'agrégation (ou le capes?) : le doctorat vous a-t-il ouvert des portes, des possibles ?
Merci à vous !
J'aimerais beaucoup recueillir quelques témoignages d'enseignants ayant préparé un doctorat après avoir réussi l'agrégation (ou le capes?) : le doctorat vous a-t-il ouvert des portes, des possibles ?
Merci à vous !
- maroctaNiveau 5
Bonjour Mezzo voce,
je me suis inscrite en doctorat après les concours. J'ai eu un contrat doctoral et une disponibilité, ce qui m'a permis d'enseigner 3 ans à l'université à la place du Secondaire. Je suis retournée ensuite dans le Secondaire. J'ai obtenu mon doctorat cette année. Je ne peux pas te dire si cela ouvre des portes, c'est encore trop tôt. Mais les possibles ce sont : la qualification CNU et la candidature sur des postes de MCF ensuite...
je me suis inscrite en doctorat après les concours. J'ai eu un contrat doctoral et une disponibilité, ce qui m'a permis d'enseigner 3 ans à l'université à la place du Secondaire. Je suis retournée ensuite dans le Secondaire. J'ai obtenu mon doctorat cette année. Je ne peux pas te dire si cela ouvre des portes, c'est encore trop tôt. Mais les possibles ce sont : la qualification CNU et la candidature sur des postes de MCF ensuite...
- Mezzo voceNiveau 9
Merci Marocta. Qu'est-ce que la qualification CNU ? Une qualification pour être candidat aux corps de professeurs des universités et de maîtres de conférences ?
- ZagaraGuide spirituel
Oui.Mezzo voce a écrit:Merci Marocta. Qu'est-ce que la qualification CNU ? Une qualification pour être candidat aux corps de professeurs des universités et de maîtres de conférences ?
Parcours équivalent : agreg, CD 3 ans et je vais commencer ma 2ème année d'ATER + soutenir. Ensuite CNU & candidatures.
Le doctorat permet aussi de candidater au CNRS.
Faut être conscient que tu passes 5 ans à manger des pâtes et à t'habiller avec des sacs à patate quand tu choisis ce chemin de carrière. Et qu'il y a très peu de chance de réussite. La plupart des doctorats finissent en jolis bilboquets sur le mur du salon.
- Mezzo voceNiveau 9
Merci Zagara. Comment obtient-on cette qualification ? Je n'y connais rien.
- ElleDriverNiveau 6
Bonjour,
Je pense qu'il est tout à fait pertinent de procéder dans cet ordre, car il est à mon avis beaucoup plus difficile de préparer un concours après le doctorat, d'autant que l'agrégation est a) un pré-requis officieux dans nombre de disciplines ALL et SHS pour avoir la moindre chance d'un recrutement dans le Supérieur b) l'assurance d'avoir un poste au vu de la situation compliquée, parfois dévastée, du recrutement à l'Université (il arrive que des directrices et directeurs de recherche exigent l'obtention de l'agrégation comme condition préalable à l'inscription en doctorat).
Personnellement, j'ai suivi ce parcours s'il en est assez classique: agrégation, début de thèse sur un poste à temps plein à l'Université, fin de thèse sur un poste dans le secondaire et, par chance (j'insiste sur ce terme au vu des qualités remarquables de l'écrasante majorité des candidats), j'ai obtenu un poste de MCF une fois la thèse soutenue.
Dans ma discipline au vu de la raréfaction extrême des postes d'enseignants-chercheurs, avoir l'agrégation et être titulaire d'un doctorat est également devenu un quasi-impératif pour obtenir un poste en CPGE.
Je pense qu'il est tout à fait pertinent de procéder dans cet ordre, car il est à mon avis beaucoup plus difficile de préparer un concours après le doctorat, d'autant que l'agrégation est a) un pré-requis officieux dans nombre de disciplines ALL et SHS pour avoir la moindre chance d'un recrutement dans le Supérieur b) l'assurance d'avoir un poste au vu de la situation compliquée, parfois dévastée, du recrutement à l'Université (il arrive que des directrices et directeurs de recherche exigent l'obtention de l'agrégation comme condition préalable à l'inscription en doctorat).
Personnellement, j'ai suivi ce parcours s'il en est assez classique: agrégation, début de thèse sur un poste à temps plein à l'Université, fin de thèse sur un poste dans le secondaire et, par chance (j'insiste sur ce terme au vu des qualités remarquables de l'écrasante majorité des candidats), j'ai obtenu un poste de MCF une fois la thèse soutenue.
Dans ma discipline au vu de la raréfaction extrême des postes d'enseignants-chercheurs, avoir l'agrégation et être titulaire d'un doctorat est également devenu un quasi-impératif pour obtenir un poste en CPGE.
- maroctaNiveau 5
Mezzo voce a écrit:Comment obtient-on cette qualification ? Je n'y connais rien.
C'est un dossier à monter vers novembre/décembre.
https://www.conseil-national-des-universites.fr/cnu/#/
- ElleDriverNiveau 6
Mezzo voce a écrit:Merci Zagara. Comment obtient-on cette qualification ? Je n'y connais rien.
Une fois la thèse soutenue, il faut envoyer un dossier à la section du Conseil National des Universités (CNU) relative de ta discipline (ou aux sections pour les profils pluridisciplinaires car on peut être qualifié dans plusieurs sections). La procédure se fait tous les ans de manière centralisée via la plateforme Galaxie entre septembre (pour l'inscription) et décembre (pour le dépôt de l'ensemble des pièces) de l'année civile en cours.
Diverses pièces sont demandées, la thèse, le rapport de soutenance, la liste des publications, des enseignements etc., avec des spécifiés selon les disciplines, chaque section a ses critères, elles sont normalement publiques et publiées sur le site du CNU. Certaines sections demandent l'envoi d'un dossier par voie postale en plus du dossier électronique, c'est comme ça, si on a soutenu tard, qu'on se retrouve mi-décembre à faire la queue à la Poste pour poster des exemplaires de thèse au milieu de la cohue de noël.
Deux collègues de la section vont ensuite être désignés rapporteurs et présenter leur avis sur ton dossier. Si tu réponds aux critères de la section, tu reçois un numéro de qualification, valable quatre ans, et qui est obligatoire pour ensuite pouvoir participer aux concours de recrutement MCF. Au bout de quatre ans, il faut refaire une demande.
- Mezzo voceNiveau 9
Merci à vous ! De toute façon, je n'en suis pas là : pour l'heure, j'ai envie de continuer à me nourrir intellectuellement après cette année d'agrégation, tout en enseignant. Mais je suis hantée par les voix de collègues qui soutiennent que le doctorat ne sert à rien, ce qui me freine un peu, d'autant que j'aspire davantage au lycée qu'à l'université (j'alterne entre collège et lycée) : l'université me semble inaccessible, en outre.
- RogerMartinBon génie
Non, l'inscription en ligne se fait plus tôt que cela, en octobre au plus tard, et sans dérogation. Mais la démarche est à faire lorsque la date de soutenance est fixée, et avant les dates butoirs indiquées.marocta a écrit:Mezzo voce a écrit:Comment obtient-on cette qualification ? Je n'y connais rien.
C'est un dossier à monter vers novembre/décembre.
https://www.conseil-national-des-universites.fr/cnu/#/
Un directeur de recherche devrait pouvoir fournir ces renseignements, et une école doctorale aussi. Il faudrait peut-être faire les choses dans cet ordre : d'abord trouver un sujet / quelqu'un qui accepte de le diriger.
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Yo, salut ma bande ! disait toujours le Samouraï.
I User5899.
User 17706 s'est retiré à Helsingør.
Strange how paranoia can link up with reality now and then.
- Mezzo voceNiveau 9
Tout ceci est "fait' (sujet + directeur) ; c'est d'ailleurs mon directeur qui me pourchasse depuis quelques années pour faire évoluer mon sujet de master sous la forme d'une thèse. Mais je souhaitais d'abord enseigner/obtenir l'agrégation, et je n'étais pas convaincue de l'intérêt d'une thèse.
- Theriakos96Habitué du forum
Il a déjà été dit (de plus je n'ai qu'une connaissance théorique de la chose puisque je passe cette année l'agrégation et avant la thèse il y a encore un bon bout de temps) mais si l'on souhaite enseigner en CPGE une thèse et un (très) bon classement à l'agrégation sont des conditiones sine quibus non pour y parvenir. En plus, j'estime, que la thèse est un moment pour s'épanouir intellectuellement et devenir vraiment spécialiste de quelque chose !
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Dicebat Bernardus Carnotensis nos esse quasi nanos, gigantium humeris insidentes, ut possimus plura eis et remotiora videre, non utique proprii visus acumine, aut eminentia corporis, sed quia in altum subvenimur et extollimur magnitudine gigantea.
– Jean de Salisbury, Metalogicon, III, 4
- ShajarVénérable
Parcours semblable aux autres : agrégation, 2 ans d'enseignement, puis thèse en histoire de l'art pendant 6 ans, dont 2 années couplées avec une licence pour la langue et plusieurs mois de terrain à l'étranger. Je n'ai pas eu de contrat doctoral, donc j'ai financé en habitant chez mes parents, en utilisant les salaires mis de côté pendant mes années d'enseignement, et en bossant de manière irrégulière, dont une fois un an à temps (très très) plein et des vacations d'enseignement à la fac. Je reprends l'an prochain, en espérant soutenir aux vacances de la Toussaint.
Résultat des couses :
* Sur le plan intellectuel, je ne regrette pas. J'aime toujours autant mon sujet, je suis heureuse et fière d'avoir réussi à le mener jusqu'au bout, j'ai beaucoup progressé dans mon domaine.
* Sur le plan personnel, j'ai 33 ans, j'habite chez mes parents, vie sentimentale au point mort, et même la vie tout court en fait. C'est quelque chose dont j'étais consciente dès le départ et un sacrifice qui ne me coûtait pas beaucoup ; mais ce n'est pas toujours facile, je vois mes amis avoir des bébés, se marier, prendre des apparts, avoir des vrais boulots et une vraie vie, et la déprime guette souvent. Après, c'est une question de personnalité aussi, ce n'est pas à mettre sur le dos de la thèse, pas entièrement du moins, même si j'ai l'impression d'être une éternelle étudiante.
* Sur le plan professionnel, c'est l'horreur. Je travaille dans un domaine confidentiel, dans lequel les postes sont rarissimes. Un poste CNRS est passé l'an dernier, il n'y en aura probablement pas d'autre avant plusieurs années. Malgré des dizaines de demandes, je n'ai jamais eu aucun financement (sauf une bourse de terrain, une fois), aucun poste d'ATER, aucun poste de PRAG. J'avais demandé cette année pour les CPGE aussi (car excellent rang à l'agreg), mais refusée. L'herbe est plus verte hors de France, c'est une certitude, mais je ne veux pas m'expatrier. La qualification CNU ne servira à rien étant donné l'absence totale de postes. Le retour au secondaire sonne comme un glas.
Résultat des couses :
* Sur le plan intellectuel, je ne regrette pas. J'aime toujours autant mon sujet, je suis heureuse et fière d'avoir réussi à le mener jusqu'au bout, j'ai beaucoup progressé dans mon domaine.
* Sur le plan personnel, j'ai 33 ans, j'habite chez mes parents, vie sentimentale au point mort, et même la vie tout court en fait. C'est quelque chose dont j'étais consciente dès le départ et un sacrifice qui ne me coûtait pas beaucoup ; mais ce n'est pas toujours facile, je vois mes amis avoir des bébés, se marier, prendre des apparts, avoir des vrais boulots et une vraie vie, et la déprime guette souvent. Après, c'est une question de personnalité aussi, ce n'est pas à mettre sur le dos de la thèse, pas entièrement du moins, même si j'ai l'impression d'être une éternelle étudiante.
* Sur le plan professionnel, c'est l'horreur. Je travaille dans un domaine confidentiel, dans lequel les postes sont rarissimes. Un poste CNRS est passé l'an dernier, il n'y en aura probablement pas d'autre avant plusieurs années. Malgré des dizaines de demandes, je n'ai jamais eu aucun financement (sauf une bourse de terrain, une fois), aucun poste d'ATER, aucun poste de PRAG. J'avais demandé cette année pour les CPGE aussi (car excellent rang à l'agreg), mais refusée. L'herbe est plus verte hors de France, c'est une certitude, mais je ne veux pas m'expatrier. La qualification CNU ne servira à rien étant donné l'absence totale de postes. Le retour au secondaire sonne comme un glas.
- Fires of PompeiiGuide spirituel
J'ajoute mon grain de sel, et un parcours un tout petit peu différent.
Après avoir obtenu l'agrégation, j'ai pris mon poste dans le secondaire (c'était mon ambition , je ne l'ai pas fait par défaut et je me sens utile auprès de mes élèves.). C'est pendant l'année de l'agrégation que l'envie de creuser mon sujet de master, avec le directeur qui m'avait dirigée lors de mon master, est venue. C'est donc ce que j'ai fait : stagiaire dans le secondaire, je me suis inscrite en thèse avec mon directeur, et depuis j'avance.
Pas de contrat doctoral, pas de poste d'ATER. Temps plein dans le secondaire.
Ma thèse me procure une joie incroyable, c'est un sujet auquel je tiens énormément, c'est "mon bébé" (en plus de l'enfant en bas âge que j'ai). Il y a énormément de stress aussi. Énormément de pression pour tout concilier.
Je n'ai pas encore terminé, je ne peux pas te dire quelles portes cela m'ouvre : ma discipline est sinistrée donc je pense que l'université ce n'est pas pour moi. Mon directeur me parle d'enseigner en prépa, je ne sais même pas si cela sera possible, parce qu'il y a du monde sur les rangs. Bref, je suis très pessimiste sur l'intérêt professionnel de ma thèse. Mais d'un point de vue intellectuel, quel bonheur de creuser ce sujet à fond. Cela m'apporte énormément.
Après avoir obtenu l'agrégation, j'ai pris mon poste dans le secondaire (c'était mon ambition , je ne l'ai pas fait par défaut et je me sens utile auprès de mes élèves.). C'est pendant l'année de l'agrégation que l'envie de creuser mon sujet de master, avec le directeur qui m'avait dirigée lors de mon master, est venue. C'est donc ce que j'ai fait : stagiaire dans le secondaire, je me suis inscrite en thèse avec mon directeur, et depuis j'avance.
Pas de contrat doctoral, pas de poste d'ATER. Temps plein dans le secondaire.
Ma thèse me procure une joie incroyable, c'est un sujet auquel je tiens énormément, c'est "mon bébé" (en plus de l'enfant en bas âge que j'ai). Il y a énormément de stress aussi. Énormément de pression pour tout concilier.
Je n'ai pas encore terminé, je ne peux pas te dire quelles portes cela m'ouvre : ma discipline est sinistrée donc je pense que l'université ce n'est pas pour moi. Mon directeur me parle d'enseigner en prépa, je ne sais même pas si cela sera possible, parce qu'il y a du monde sur les rangs. Bref, je suis très pessimiste sur l'intérêt professionnel de ma thèse. Mais d'un point de vue intellectuel, quel bonheur de creuser ce sujet à fond. Cela m'apporte énormément.
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Je ne dirai qu'une chose : stulo plyme.
- Fires of PompeiiGuide spirituel
Je te zutte (mais amicalement!)
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- Theriakos96Habitué du forum
tu es en quelle discipline @Fire of Pompeii? En LC (nekuia suggère cela...) =)
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– Jean de Salisbury, Metalogicon, III, 4
- Fires of PompeiiGuide spirituel
Oui, en LC Nekuia, et la "discipline sinistrée" dont je parlais sont en effet des indices
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- Theriakos96Habitué du forum
Ah oui je comprends ton désarroi...étant sur le même bateau que toi je me demande si jamais on aura des chances d'avoir un poste dans le supérieur..
- Theriakos96Habitué du forum
Pour cette raison j'aimerais faire une cotutelle avec une université anglaise ou américaine pour la thèse...
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– Jean de Salisbury, Metalogicon, III, 4
- ZagaraGuide spirituel
Y'a plus de postes au Québec qu'en France.Theriakos96 a écrit:Ah oui je comprends ton désarroi...étant sure le même bateau que toi je me demande si jamais on aura des chances d'avoir un poste dans le supérieur..
...alors qu'ils sont 7 fois moins nombreux.
Au pire j'achète 10 chats ragdolls et je lance un élevage. Reconversion parfaite.
- Theriakos96Habitué du forum
En LC tu veux dire ? Il faut s'y précipiter alors !!! Merci pour le tuyau ...
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- ZagaraGuide spirituel
En comptant leurs structures à la PRAG où les enseignants ne font qu'enseigner à des licences.Theriakos96 a écrit:En LC tu veux dire ? Il faut s'y précipiter alors !!! Merci pour le tuyau ...
Je m'étais renseignée y'a un ou deux ans pendant une période de spleen. C'est mon plan 5 d'avenir (les chats c'est le 7 ).
- Fires of PompeiiGuide spirituel
Theriakos96 a écrit:Ah oui je comprends ton désarroi...étant sur le même bateau que toi je me demande si jamais on aura des chances d'avoir un poste dans le supérieur..
Je ne suis pas en désarroi, en fait : mon ambition a toujours été le secondaire. Apprendre le latin à des gosses qui partent de rien (même en français...). La thèse c'est la cerise sur le gâteau. Le poste en CPGE, oui ça me ferait plaisir, je pourrais donner un enseignement plus approfondi, mais je ne vis pas dans l'attente de ça (et ça change tout). Pour le moment, en tout cas, je suis heureuse dans ce que je fais. Je suis aussi partie de l'idée que de toute façon c'était sinistré, en LC, donc bon. Pas de surprise.
Ce qui m'inquiète, c'est la situation des LC dans le secondaire (et ça n'arrangera pas le supérieur...).
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