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- Leroy86Niveau 9
A 54min10s: Le 7/9 du 11/06/2019.
Le tout dans un entretien sur la défense du libéralisme. On dit des saletés et on n'en a pas honte!
Le tout dans un entretien sur la défense du libéralisme. On dit des saletés et on n'en a pas honte!
- PaleoprofFidèle du forum
J'étais au volant de mon véhicule lorsque j'ai entendu cela et j'ai préféré couper la radio plutôt que risquer l'accident de trajet.
:baoum:
Bien évidemment, Léa Salamé n'a pas du tout rebondi sur ce mensonge éhonté.
:baoum:
Bien évidemment, Léa Salamé n'a pas du tout rebondi sur ce mensonge éhonté.
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Je construis ma suite......
- HermionyGuide spirituel
Ah oui, j'ai entendu aussi ! Tout comme son opinion sur la jeune suédoise militante pour l'écologie, qui "ferait mieux d'aller en cours" que de faire des discours...
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"Soyons subversifs. Révoltons-nous contre l'ignorance, l'indifférence, la cruauté, qui d'ailleurs ne s'exerce si souvent contre l'homme que parce qu'elles se sont fait la main sur les animaux. Il y aurait moins d'enfants martyrs s'il y avait moins d'animaux torturés".
Marguerite Yourcenar
« La vraie bonté de l’homme ne peut se manifester en toute pureté et en toute liberté qu’à l’égard de ceux qui ne représentent aucune force. » «Le véritable test moral de l’humanité, ce sont ses relations avec ceux qui sont à sa merci : les animaux. » Kundera, L’Insoutenable Légèreté de l’être
- ZagaraGuide spirituel
Il exploite la plus ancienne embrouille intellectuelle du néolibéralisme, inventée par Hayek himself : prétendre que l'égalité consiste à supprimer toute aide extérieure, à faire un "champ neutre de concurrence", où comme on n'a artificiellement donné aucune arme aux combattants, c'est qu'ils doivent être égaux. Ce mythe pour enfants en bas âge pose l'axiome que tous les humains se valent naturellement et socialement, que si on ne corrige rien aux données, ils seront égaux. C'est totalement débile mais ça marche bien quand on le dit vite.
Évidemment, la vraie égalité des chances consiste à donner plus à ceux qui partent avec moins, afin de compenser les inégalités sociales préexistantes. Mais créer une inégalité qui tend vers l'égalité, c'est déjà une dialectique trop trapue pour être saisie par la plupart de nos concitoyens. Ils préfèrent se ranger à "mais si on met tout le monde à poil alors tout le monde a ses chances *chaton content*".
C'est la même embrouille qui est utilisée pour justifier la flat tax, impôt inique encore une fois promu par Hayek himself : "mais si on met le même taux d'imposition à tout le monde c'est égalitaire !" *bave*
Évidemment, la vraie égalité des chances consiste à donner plus à ceux qui partent avec moins, afin de compenser les inégalités sociales préexistantes. Mais créer une inégalité qui tend vers l'égalité, c'est déjà une dialectique trop trapue pour être saisie par la plupart de nos concitoyens. Ils préfèrent se ranger à "mais si on met tout le monde à poil alors tout le monde a ses chances *chaton content*".
C'est la même embrouille qui est utilisée pour justifier la flat tax, impôt inique encore une fois promu par Hayek himself : "mais si on met le même taux d'imposition à tout le monde c'est égalitaire !" *bave*
- CeladonDemi-dieu
Salamé n'est pas placée là pour rebondir et investiguer mais pour entériner. Ce dont elle s'acquitte avec un enthousiasme sans mélange.Paleoprof a écrit:J'étais au volant de mon véhicule lorsque j'ai entendu cela et j'ai préféré couper la radio plutôt que risquer l'accident de trajet.
:baoum:
Bien évidemment, Léa Salamé n'a pas du tout rebondi sur ce mensonge éhonté.
- BalthazaardVénérable
Zagara a écrit:Il exploite la plus ancienne embrouille intellectuelle du néolibéralisme, inventée par Hayek himself : prétendre que l'égalité consiste à supprimer toute aide extérieure, à faire un "champ neutre de concurrence", où comme on n'a artificiellement donné aucune arme aux combattants, c'est qu'ils doivent être égaux. Ce mythe pour enfants en bas âge pose l'axiome que tous les humains se valent naturellement et socialement, que si on ne corrige rien aux données, ils seront égaux. C'est totalement débile mais ça marche bien quand on le dit vite.
Évidemment, la vraie égalité des chances consiste à donner plus à ceux qui partent avec moins, afin de compenser les inégalités sociales préexistantes. Mais créer une inégalité qui tend vers l'égalité, c'est déjà une dialectique trop trapue pour être saisie par la plupart de nos concitoyens. Ils préfèrent se ranger à "mais si on met tout le monde à poil alors tout le monde a ses chances *chaton content*".
C'est la même embrouille qui est utilisée pour justifier la flat tax, impôt inique encore une fois promu par Hayek himself : "mais si on met le même taux d'imposition à tout le monde c'est égalitaire !" *bave*
Et même....ce n'est un principe qui n' a de valeur que si on considère la vie comme une compétition!!! Si ce n'est pas la vision ultime, les différences ne sont plus forcément déterminantes. A moins que je ne t'ai mal comprise, ce qui pour moi importe ce n'est pas l'égalité au départ (compensée ou non) destinée à assurer une compétition libre et non faussée.
- FeuchtwangerNiveau 9
Zagara a écrit:Il exploite la plus ancienne embrouille intellectuelle du néolibéralisme, inventée par Hayek himself : prétendre que l'égalité consiste à supprimer toute aide extérieure, à faire un "champ neutre de concurrence", où comme on n'a artificiellement donné aucune arme aux combattants, c'est qu'ils doivent être égaux. Ce mythe pour enfants en bas âge pose l'axiome que tous les humains se valent naturellement et socialement, que si on ne corrige rien aux données, ils seront égaux. C'est totalement débile mais ça marche bien quand on le dit vite.
Évidemment, la vraie égalité des chances consiste à donner plus à ceux qui partent avec moins, afin de compenser les inégalités sociales préexistantes. Mais créer une inégalité qui tend vers l'égalité, c'est déjà une dialectique trop trapue pour être saisie par la plupart de nos concitoyens. Ils préfèrent se ranger à "mais si on met tout le monde à poil alors tout le monde a ses chances *chaton content*".
C'est la même embrouille qui est utilisée pour justifier la flat tax, impôt inique encore une fois promu par Hayek himself : "mais si on met le même taux d'imposition à tout le monde c'est égalitaire !" *bave*
Ce qui est intéressant c'est de voir que ce fantasme de l'égalitarisme se trouve aussi chez le camp opposé à Hayek avec Rawles et ses théories de la justice sociale. Cela pose la question de savoir si la notion de "justice sociale" comme celle de "l'égalité-équité" (parce qu'en réalité le néo-libéralisme n'est pas égalitaire mais "équitable" en se libérant justement de toute considération morale supérieure ne sont pas les deux faces d'une même pièce posée sur les ruines fumantes des sociétés non-libérales qui ont autre chose en leur sein et comme idéal qu'une obsession de la concurrence et de l'efficacité.
- MathadorEmpereur
Lorsque l'on cherche un emploi, on est en compétition face aux autres qui postulent au même emploi, concours ou pas. Lorsque l'on dirige une entreprise, on est en concurrence avec les autres entreprises du secteur. Lorsque l'on est une femme au foyer, on est en concurrence avec d'autres femmes pour séduire le mari adéquat. Et ainsi de suite.Balthazaard a écrit:Et même....ce n'est un principe qui n' a de valeur que si on considère la vie comme une compétition!!! Si ce n'est pas la vision ultime, les différences ne sont plus forcément déterminantes. A moins que je ne t'ai mal comprise, ce qui pour moi importe ce n'est pas l'égalité au départ (compensée ou non) destinée à assurer une compétition libre et non faussée.
Difficile d'éviter tout cela.
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"There are three kinds of lies: lies, damned lies, and statistics." (cité par Mark Twain)
« Vulnerasti cor meum, soror mea, sponsa; vulnerasti cor meum in uno oculorum tuorum, et in uno crine colli tui.
Quam pulchrae sunt mammae tuae, soror mea sponsa! pulchriora sunt ubera tua vino, et odor unguentorum tuorum super omnia aromata. » (Canticum Canticorum 4:9-10)
- RosanetteEsprit éclairé
Mathador a écrit:Lorsque l'on cherche un emploi, on est en compétition face aux autres qui postulent au même emploi, concours ou pas. Lorsque l'on dirige une entreprise, on est en concurrence avec les autres entreprises du secteur. Lorsque l'on est une femme au foyer, on est en concurrence avec d'autres femmes pour séduire le mari adéquat. Et ainsi de suite.Balthazaard a écrit:Et même....ce n'est un principe qui n' a de valeur que si on considère la vie comme une compétition!!! Si ce n'est pas la vision ultime, les différences ne sont plus forcément déterminantes. A moins que je ne t'ai mal comprise, ce qui pour moi importe ce n'est pas l'égalité au départ (compensée ou non) destinée à assurer une compétition libre et non faussée.
Difficile d'éviter tout cela.
Bonjour l'exemple ! Faut être décontracté pour venir causer égalité ensuite...Misère.
- HalybelÉrudit
Zagara a écrit:Il exploite la plus ancienne embrouille intellectuelle du néolibéralisme, inventée par Hayek himself : prétendre que l'égalité consiste à supprimer toute aide extérieure, à faire un "champ neutre de concurrence", où comme on n'a artificiellement donné aucune arme aux combattants, c'est qu'ils doivent être égaux. Ce mythe pour enfants en bas âge pose l'axiome que tous les humains se valent naturellement et socialement, que si on ne corrige rien aux données, ils seront égaux. C'est totalement débile mais ça marche bien quand on le dit vite.
Évidemment, la vraie égalité des chances consiste à donner plus à ceux qui partent avec moins, afin de compenser les inégalités sociales préexistantes. Mais créer une inégalité qui tend vers l'égalité, c'est déjà une dialectique trop trapue pour être saisie par la plupart de nos concitoyens. Ils préfèrent se ranger à "mais si on met tout le monde à poil alors tout le monde a ses chances *chaton content*".
C'est la même embrouille qui est utilisée pour justifier la flat tax, impôt inique encore une fois promu par Hayek himself : "mais si on met le même taux d'imposition à tout le monde c'est égalitaire !" *bave*
N'est ce pas finalement la différence entre justice et égalité ? ou Egalité et équité ?
Je reprends cette image qui m'avait marqué
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Je soigne ma dyslexie pardon si elle ressort trop parfois.
Le téléphone ne m’aide pas.
- MathadorEmpereur
Rosanette a écrit:Mathador a écrit:Lorsque l'on cherche un emploi, on est en compétition face aux autres qui postulent au même emploi, concours ou pas. Lorsque l'on dirige une entreprise, on est en concurrence avec les autres entreprises du secteur. Lorsque l'on est une femme au foyer, on est en concurrence avec d'autres femmes pour séduire le mari adéquat. Et ainsi de suite.Balthazaard a écrit:Et même....ce n'est un principe qui n' a de valeur que si on considère la vie comme une compétition!!! Si ce n'est pas la vision ultime, les différences ne sont plus forcément déterminantes. A moins que je ne t'ai mal comprise, ce qui pour moi importe ce n'est pas l'égalité au départ (compensée ou non) destinée à assurer une compétition libre et non faussée.
Difficile d'éviter tout cela.
Bonjour l'exemple ! Faut être décontracté pour venir causer égalité ensuite...Misère.
Cela fonctionne aussi pour les hommes au foyer; je me restreignais simplement aux cas de figure les plus fréquents, sans prétendre à la moindre exhaustivité.
Peut-être ai-je tort de m'intéresser à ce qui se passe dans le monde plutôt qu'à de la doctrine.
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"There are three kinds of lies: lies, damned lies, and statistics." (cité par Mark Twain)
« Vulnerasti cor meum, soror mea, sponsa; vulnerasti cor meum in uno oculorum tuorum, et in uno crine colli tui.
Quam pulchrae sunt mammae tuae, soror mea sponsa! pulchriora sunt ubera tua vino, et odor unguentorum tuorum super omnia aromata. » (Canticum Canticorum 4:9-10)
- ZagaraGuide spirituel
Balthazaard a écrit:
Et même....ce n'est un principe qui n' a de valeur que si on considère la vie comme une compétition!!! Si ce n'est pas la vision ultime, les différences ne sont plus forcément déterminantes. A moins que je ne t'ai mal comprise, ce qui pour moi importe ce n'est pas l'égalité au départ (compensée ou non) destinée à assurer une compétition libre et non faussée.
Entièrement d'accord : j'expliquais le concept d'égalité des chances sans le défendre ; c'est en fait un des tentacules du "néolibéralisme social", variante assez française incarnée par des gens comme F. Hollande. Pour accepter l'égalité des chances, il faut déjà penser la société comme un champ concurrentiel où il y aura des gagnants et des perdants. De même, la phrase "non mais moi c'est pas les riches qui m'embêtent c'est la pauvreté, je veux juste réduire la pauvreté" vient de la même école de pensée : accepter que la concurrence détruise des vies, puis dire "oui elle détruit mais on va aider un peu les perdants à se relever". Tous ces concepts de fausse gauche (et bien d'autres) sont en fait du néolibéralisme dit à visage humain : accepter le cadre de pensée de l'adversaire en le ripolinant à la marge.
Après j'entends tout à fait le discours "ouais mais l'égalité des chances et la lutte contre la pauvreté sont les leviers les plus aisés et rapides à actionner, alors on commence par ça". Par contre s'y arrêter et croire qu'on a fait le maximum de ce qui pouvait être fait, ça je ne l'entends pas. C'est du social à la Sarkozy (ça parlait beaucoup d'égalité des chances à l'époque).
- MathadorEmpereur
Lorsque je pense aux réformes de l'EN faites sous Sarkozy (avec Blanquer comme recteur de Créteil puis comme DGESCO) j'ai du mal à associer cela à une quelconque promotion de l'égalité des chances.Zagara a écrit:Après j'entends tout à fait le discours "ouais mais l'égalité des chances et la lutte contre la pauvreté sont les leviers les plus aisés et rapides à actionner, alors on commence par ça". Par contre s'y arrêter et croire qu'on a fait le maximum de ce qui pouvait être fait, ça je ne l'entends pas. C'est du social à la Sarkozy (ça parlait beaucoup d'égalité des chances à l'époque).
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"There are three kinds of lies: lies, damned lies, and statistics." (cité par Mark Twain)
« Vulnerasti cor meum, soror mea, sponsa; vulnerasti cor meum in uno oculorum tuorum, et in uno crine colli tui.
Quam pulchrae sunt mammae tuae, soror mea sponsa! pulchriora sunt ubera tua vino, et odor unguentorum tuorum super omnia aromata. » (Canticum Canticorum 4:9-10)
- ZagaraGuide spirituel
J'ai dit "ça parlait", pas "ça faisait". Évidemment que ce sont des réformes anti-sociales et iniques. Mais on les fait au nom de l'égalité des chances. Parce qu'arriver devant les Français en leur disant "bonjour on va vous faire les poches, vous voler votre patrimoine commun et vous couper le bras pour les donner en trophée à nos copains", étrangement ça ne permet pas d'être élu.
- RosanetteEsprit éclairé
Mathador a écrit:
Cela fonctionne aussi pour les hommes au foyer; je me restreignais simplement aux cas de figure les plus fréquents, sans prétendre à la moindre exhaustivité.
Peut-être ai-je tort de m'intéresser à ce qui se passe dans le monde plutôt qu'à de la doctrine.
Pardon mais malgré le rattrapage en règle je ne vois pas bien en quoi l'exemple des femmes au foyer illustre le concept de compétition, comme s'il s'agissait là d'un but en soi avoué par tout un groupe de femmes dont le seul but est de mettre le grappin sur un homme aux revenus confortables.
Aucune doctrine là-dedans, c'est pas bien grave mais c'est un exemple sacrément malheureux.
- MathadorEmpereur
Donc un homme marié/pacsé/en concubinage ne se fait jamais draguer ? Dans le cas contraire les prétendant(e)s constituent une compétition, que ce soit leur intention explicite ou non. Et cela fonctionne aussi si c'est lui qui fait des avances qui sont acceptées en face.Rosanette a écrit:Pardon mais malgré le rattrapage en règle je ne vois pas bien en quoi l'exemple des femmes au foyer illustre le concept de compétition, comme s'il s'agissait là d'un but en soi avoué par tout un groupe de femmes dont le seul but est de mettre le grappin sur un homme aux revenus confortables.
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- RosanetteEsprit éclairé
Mathador a écrit:Donc un homme marié/pacsé/en concubinage ne se fait jamais draguer ? Dans le cas contraire les prétendant(e)s constituent une compétition, que ce soit leur intention explicite ou non. Et cela fonctionne aussi si c'est lui qui fait des avances qui sont acceptées en face.Rosanette a écrit:Pardon mais malgré le rattrapage en règle je ne vois pas bien en quoi l'exemple des femmes au foyer illustre le concept de compétition, comme s'il s'agissait là d'un but en soi avoué par tout un groupe de femmes dont le seul but est de mettre le grappin sur un homme aux revenus confortables.
Vous mettez très vite sur le même plan la "compétition amoureuse" en simplifiant et surtout en le présentant comme étant aussi naturelle que la compétition en entreprise, mais surtout votre premier message laissait penser que la compétition avait lieu "entre femmes en foyer en devenir" donc en prenant l'exemple de femmes uniquement intéressées par le fait de bien s'établir en ménage pour ne plus rien faire ensuite (séduire le mari adéquat, c'est quand même plus un plan de carrière répandu depuis quelques temps).
- MathadorEmpereur
Rosanette a écrit:[…] mais surtout votre premier message laissait penser que la compétition avait lieu "entre femmes en foyer en devenir" donc en prenant l'exemple de femmes uniquement intéressées par le fait de bien s'établir en ménage pour ne plus rien faire ensuite (séduire le mari adéquat, c'est quand même plus un plan de carrière répandu depuis quelques temps).
- Il me semble évident que cette compétition existe aussi, dans la mesure où ce « plan de carrière » existe encore. Des emplois (vide infra) et des postulants, cela donne un marché.
- Ce que j'ai graissé est une extrapolation inexacte de mon discours. L'emploi de femme au foyer, réalisé sérieusement, n'a rien de fictif, surtout s'il y a des enfants à la clé.
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"There are three kinds of lies: lies, damned lies, and statistics." (cité par Mark Twain)
« Vulnerasti cor meum, soror mea, sponsa; vulnerasti cor meum in uno oculorum tuorum, et in uno crine colli tui.
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- RosanetteEsprit éclairé
C'est HS m'enfin reconnaissez que l'exemple est foireux quand on cite pèle mêle la compétition en entreprise et la compétition "des femmes au foyer pour trouver le mari adéquat" comme si le second avait la même validité et la même fréquence que le premier.
Je ne vais pas refaire le débat sur les femmes au foyer mais ce n'est pas vu comme un métier en France (emploi ?) et je ne vois pas bien ce que serait une femme au foyer ne réalisant pas son occupation "sérieusement". Non, franchement, l'exemple n'était pas élégant pour illustrer la compétition à laquelle chacun.e se trouve confronté.e dans sa vie.
Je ne vais pas refaire le débat sur les femmes au foyer mais ce n'est pas vu comme un métier en France (emploi ?) et je ne vois pas bien ce que serait une femme au foyer ne réalisant pas son occupation "sérieusement". Non, franchement, l'exemple n'était pas élégant pour illustrer la compétition à laquelle chacun.e se trouve confronté.e dans sa vie.
- FenrirFidèle du forum
Je suppose qu'il s'agissait ici de trouver un exemple professionnel et non rémunéré qui fait le pendant à une autre discussion du forum. Mais peut-être suis je aussi un phallocrate.
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À quoi bon mettre son pédigrée, on est partis pour 40 ans*. ████ ████. * 42, il faut lire 42.
- Ajonc35Sage
Aujourd'hui, une fois de plus Nicole Ferroni fait mouche avec sa chronique " Le bac, les jeux olympiques du savoir".
- PaleoprofFidèle du forum
J'étais encore au volant de mon véhicule (non , je n'y passe pas ma vie) quand j'ai entendu le billet de Nicole Ferroni. Fatigue de fin d'année oblige, sans doute, j'ai fini les larmes aux yeux de reconnaissance pour elle et les mots qu'elle a choisis.
Ecoutez ce billet en podcast, diffusez-le largement. En tous le cas, c'est ce que je vais faire cet après-midi.
Ecoutez ce billet en podcast, diffusez-le largement. En tous le cas, c'est ce que je vais faire cet après-midi.
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Je construis ma suite......
- William FosterExpert
Paleoprof a écrit:J'étais encore au volant de mon véhicule (non , je n'y passe pas ma vie) quand j'ai entendu le billet de Nicole Ferroni. Fatigue de fin d'année oblige, sans doute, j'ai fini les larmes aux yeux de reconnaissance pour elle et les mots qu'elle a choisis.
Ecoutez ce billet en podcast, diffusez-le largement. En tous le cas, c'est ce que je vais faire cet après-midi.
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Tout le monde me dit que je ne peux pas faire l'unanimité.
"Opinions are like orgasms : mine matters most and I really don't care if you have one." Sylvia Plath
Vérificateur de miroir est un métier que je me verrais bien faire, un jour.
- PaleoprofFidèle du forum
Je te remercie WilliamFoster, de retour à domicile, je cherchais la vidéo pour la mettre en lien, mais tu m'as devancée, c'est parfait !
Je vais l'écouter (et la regarder) de nouveau.
Je vais l'écouter (et la regarder) de nouveau.
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Je construis ma suite......
- Ajonc35Sage
Je n'y avais pas pensé. Encore des choses à apprendre.Paleoprof a écrit:Je te remercie WilliamFoster, de retour à domicile, je cherchais la vidéo pour la mettre en lien, mais tu m'as devancée, c'est parfait !
Je vais l'écouter (et la regarder) de nouveau.
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