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- LefterisEsprit sacré
Dans l'absolu, oui, mais le statut de la FP impose qu'1/7e des promotions dans un corps soit "au choix", par liste d'aptitude. Le problème n'est pas ce type de promotion, mais le fait que ça soit opaque, sans système de points. On pourrait imaginer que les admissibilités antérieures donnent tant de points par exemple, que les diplômes dans la discipline donnent aussi des points, puis on départagerait par l'âge, l'ancienneté de service. Là, non ce sont des avis non justifiés. On récompense des déjà récompensés par des formages de formateur, des carrières ultra-rapides, diverses prébendes. Il peut y avoir par la loi des hasards de gens très bien comme des nullards infréquentables. Et la présence trop forte et trop visible de ces derniers rend tout le monde suspect, entache tout le système.celitian a écrit:Truc positif pour lui mais négatif pour d'autres car si l'agrégation par LA n'existait pas, il y aurait des places en plus pour l'agrégation interne.
Dans le cas que je cite plus haut, il n'avait pas le niveau disciplinaire pour le Capes, déjà obtenu par intégration ou concours spécial. L'agrég, il ne l'a même jamais tentée. C'est un nuisible à qui l'on va donner l'occasion de nuire encore plus. Je préfèrerais tant qu'à faire que ça soit donné sur une loterie qu'à des gens spécialement sélectionnés sur leur veulerie, leur méchanceté avec des stagiaires, leur capacité à donner des coups de couteau dans le dos des collègues.Mathador a écrit:Et aussi parce que cela permet à des cireurs de pompes de devenir IA-IPR sans avoir le niveau disciplinaire requis pour l'agrégation.
Même si techniquement, cela resterait possible en devenant IEN ou perdir…
Du reste, des parcours comme tu cites, ad augusta per angusta, il y en a, hélas.
- MathadorEmpereur
L'article 26 de la loi n°84-16 permet de pourvoir la liste d'aptitude par un examen professionnel plutôt que sur dossier.Lefteris a écrit:Dans l'absolu, oui, mais le statut de la FP impose qu'1/7e des promotions dans un corps soit "au choix", par liste d'aptitude.celitian a écrit:Truc positif pour lui mais négatif pour d'autres car si l'agrégation par LA n'existait pas, il y aurait des places en plus pour l'agrégation interne.
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"There are three kinds of lies: lies, damned lies, and statistics." (cité par Mark Twain)
« Vulnerasti cor meum, soror mea, sponsa; vulnerasti cor meum in uno oculorum tuorum, et in uno crine colli tui.
Quam pulchrae sunt mammae tuae, soror mea sponsa! pulchriora sunt ubera tua vino, et odor unguentorum tuorum super omnia aromata. » (Canticum Canticorum 4:9-10)
- frecheGrand sage
faustine62 a écrit:La question est quand même de savoir si ça vaut le coup de la passer dans le contexte des diverses réformes (retraites + lycée ).
La passer, pas forcément, l'avoir, je ne vois pas en quoi ça peut être mauvais.
- LefterisEsprit sacré
Oui c'est d'ailleurs comme ça que le triste sire a eu son capes. Mais il est facile de bricoler l'examen professionnel en supprimant tout aspect disciplinaire, en le "professionnalisant". Pour les lettres, par exemple on remplace l'épreuve d'ancien français par un rapport sur la mise en îlots, la dissertation littéraire par l'organisation d'une sortie, et l'explication de texte par la comparaison de manuels. Donc ça revient à peu peu près au même, la capacité à plaire, comme disait si bien Voltaire.Mathador a écrit:L'article 26 de la loi n°84-16 permet de pourvoir la liste d'aptitude par un examen professionnel plutôt que sur dossier.Lefteris a écrit:Dans l'absolu, oui, mais le statut de la FP impose qu'1/7e des promotions dans un corps soit "au choix", par liste d'aptitude.celitian a écrit:Truc positif pour lui mais négatif pour d'autres car si l'agrégation par LA n'existait pas, il y aurait des places en plus pour l'agrégation interne.
Ca ne peut pas être pire en tout cas. Maintenant, il faut voir le ratio investissement/bénéfice.Dans le cas de quelqu'un qui vient de LP, ça permet au moins d'avoir directement, sans marchander quoi que ce soit, un poste dans le seconde degré de l'enseignement général.Freche a écrit:La passer, pas forcément, l'avoir, je ne vois pas en quoi ça peut être mauvais.
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- frecheGrand sage
Lefteris a écrit:Ca ne peut pas être pire en tout cas. Maintenant, il faut voir le ratio investissement/bénéfice.Dans le cas de quelqu'un qui vient de LP, ça permet au moins d'avoir directement, sans marchander quoi que ce soit, un poste dans le seconde degré de l'enseignement général.Freche a écrit:La passer, pas forcément, l'avoir, je ne vois pas en quoi ça peut être mauvais.
C'est sûr que je ne compenserai jamais le temps que j'ai passé à la préparer par le gain de 3 heures par semaine jusqu'à la fin de ma carrière, mais outre le fait que j'ai bien aimé m'y remettre, les 3 heures de moins seront tout à fait bienvenues quand j'aurai plus de 60 ans.
- IlonaHabitué du forum
@faustine62
Ma thèse est que ce pays va connaître un véritable effondrement, et on en connaît tous la raison (nous sommes aux premières loges).
Dans ces conditions, vous comprenez le pourquoi du peu d’intérêt que je porte à ma pseudo-carrière dans l'éducation nationale.
Par contre, j'utilise le salaire que l'institution me verse pour construire petit à petit mon indépendance financière.
Et quand ce sera fait (si ce moment arrive), je pose ma démission.
Je n'attends aucune retraite. Si un jour, on m'en verse une , même modique, ce sera une bonne surprise.
Ma thèse est que ce pays va connaître un véritable effondrement, et on en connaît tous la raison (nous sommes aux premières loges).
Dans ces conditions, vous comprenez le pourquoi du peu d’intérêt que je porte à ma pseudo-carrière dans l'éducation nationale.
Par contre, j'utilise le salaire que l'institution me verse pour construire petit à petit mon indépendance financière.
Et quand ce sera fait (si ce moment arrive), je pose ma démission.
Je n'attends aucune retraite. Si un jour, on m'en verse une , même modique, ce sera une bonne surprise.
- BoubouleDoyen
freche a écrit:Lefteris a écrit:Ca ne peut pas être pire en tout cas. Maintenant, il faut voir le ratio investissement/bénéfice.Dans le cas de quelqu'un qui vient de LP, ça permet au moins d'avoir directement, sans marchander quoi que ce soit, un poste dans le seconde degré de l'enseignement général.Freche a écrit:La passer, pas forcément, l'avoir, je ne vois pas en quoi ça peut être mauvais.
C'est sûr que je ne compenserai jamais le temps que j'ai passé à la préparer par le gain de 3 heures par semaine jusqu'à la fin de ma carrière, mais outre le fait que j'ai bien aimé m'y remettre, les 3 heures de moins seront tout à fait bienvenues quand j'aurai plus de 60 ans.
Il y a un gain difficilement quantifiable qui est que tu as augmenté ton efficacité.
C'est la même chose quand on a une solide formation initiale, on peut en faire plus dans le même temps.
- MathadorEmpereur
Certes mais cela montre que la contrainte de la loi Le Pors est fictive et que les promotions des cireurs de pompes sont des choix délibérés des ministres successifs de l'EN.Lefteris a écrit:Oui c'est d'ailleurs comme ça que le triste sire a eu son capes. Mais il est facile de bricoler l'examen professionnel en supprimant tout aspect disciplinaire, en le "professionnalisant". Pour les lettres, par exemple on remplace l'épreuve d'ancien français par un rapport sur la mise en îlots, la dissertation littéraire par l'organisation d'une sortie, et l'explication de texte par la comparaison de manuels. Donc ça revient à peu peu près au même, la capacité à plaire, comme disait si bien Voltaire.Mathador a écrit:L'article 26 de la loi n°84-16 permet de pourvoir la liste d'aptitude par un examen professionnel plutôt que sur dossier.Lefteris a écrit:Dans l'absolu, oui, mais le statut de la FP impose qu'1/7e des promotions dans un corps soit "au choix", par liste d'aptitude.celitian a écrit:Truc positif pour lui mais négatif pour d'autres car si l'agrégation par LA n'existait pas, il y aurait des places en plus pour l'agrégation interne.
Ilona a écrit:Par contre, j'utilise le salaire que l'institution me verse pour construire petit à petit mon indépendance financière.
Et quand ce sera fait (si ce moment arrive), je pose ma démission.
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"There are three kinds of lies: lies, damned lies, and statistics." (cité par Mark Twain)
« Vulnerasti cor meum, soror mea, sponsa; vulnerasti cor meum in uno oculorum tuorum, et in uno crine colli tui.
Quam pulchrae sunt mammae tuae, soror mea sponsa! pulchriora sunt ubera tua vino, et odor unguentorum tuorum super omnia aromata. » (Canticum Canticorum 4:9-10)
- sifiÉrudit
Pour réagir à ceux qui disent que l'agreg interne est moins prestigieuse que l'externe... oui, peut-être.
Ceci dit, en lettres modernes, le pourcentage d'admis est plus élevé à l'externe qu'à l'interne: en passant l'interne il y a maintenant un peu plus d'un an, on nous a recommandé de nous inscrire aussi à l'externe parce que les chances de l'avoir étaient meilleures ("on ne sait jamais, ça peut passersur un malentendu"). Dans mon souvenir, le taux de réussite à l'externe est de l'ordre de 10 ou 12%, alors que celui de l'interne est de 7%.
Ensuite, je ne vois pas en quoi réussir une agrégation interne en travaillant en même temps, avec des enfants et des obligations parfois lourdes serait moins méritoire que de réussir une agrégation externe à la fin de ses études, quand finalement on n'a pas grand chose d'autre à faire que d'étudier.
Alors oui, il n'y a pas de langues anciennes, ni d'ancien français à l'externe. Sachant qu'en lettres modernes, on n'est pas amené à enseigner les langues anciennes.
Je ne suis pas là pour des querelles de clocher: évidemment, j'aurais préféré décrocher l'externe à la sortie de mes études, mais la vie en a voulu autrement, je n'ai pas pu refaire une année comme j'aurais dû le faire. Je suis bien contente d'avoir réussi l'interne du premier coup, en travaillant et en m'occupant de ma famille. Je n'ai pas eu besoin de lécher les bottes d'un quelconque inspecteur pour ça.
Ceci dit, en lettres modernes, le pourcentage d'admis est plus élevé à l'externe qu'à l'interne: en passant l'interne il y a maintenant un peu plus d'un an, on nous a recommandé de nous inscrire aussi à l'externe parce que les chances de l'avoir étaient meilleures ("on ne sait jamais, ça peut passer
Ensuite, je ne vois pas en quoi réussir une agrégation interne en travaillant en même temps, avec des enfants et des obligations parfois lourdes serait moins méritoire que de réussir une agrégation externe à la fin de ses études, quand finalement on n'a pas grand chose d'autre à faire que d'étudier.
Alors oui, il n'y a pas de langues anciennes, ni d'ancien français à l'externe. Sachant qu'en lettres modernes, on n'est pas amené à enseigner les langues anciennes.
Je ne suis pas là pour des querelles de clocher: évidemment, j'aurais préféré décrocher l'externe à la sortie de mes études, mais la vie en a voulu autrement, je n'ai pas pu refaire une année comme j'aurais dû le faire. Je suis bien contente d'avoir réussi l'interne du premier coup, en travaillant et en m'occupant de ma famille. Je n'ai pas eu besoin de lécher les bottes d'un quelconque inspecteur pour ça.
- LeclochardEmpereur
sifi a écrit:Pour réagir à ceux qui disent que l'agreg interne est moins prestigieuse que l'externe... oui, peut-être.
Ceci dit, en lettres modernes, le pourcentage d'admis est plus élevé à l'externe qu'à l'interne: en passant l'interne il y a maintenant un peu plus d'un an, on nous a recommandé de nous inscrire aussi à l'externe parce que les chances de l'avoir étaient meilleures ("on ne sait jamais, ça peut passersur un malentendu"). Dans mon souvenir, le taux de réussite à l'externe est de l'ordre de 10 ou 12%, alors que celui de l'interne est de 7%.
Ensuite, je ne vois pas en quoi réussir une agrégation interne en travaillant en même temps, avec des enfants et des obligations parfois lourdes serait moins méritoire que de réussir une agrégation externe à la fin de ses études, quand finalement on n'a pas grand chose d'autre à faire que d'étudier.
Alors oui, il n'y a pas de langues anciennes, ni d'ancien français à l'externe. Sachant qu'en lettres modernes, on n'est pas amené à enseigner les langues anciennes.
Je ne suis pas là pour des querelles de clocher: évidemment, j'aurais préféré décrocher l'externe à la sortie de mes études, mais la vie en a voulu autrement, je n'ai pas pu refaire une année comme j'aurais dû le faire. Je suis bien contente d'avoir réussi l'interne du premier coup, en travaillant et en m'occupant de ma famille. Je n'ai pas eu besoin de lécher les bottes d'un quelconque inspecteur pour ça.
Honnêtement, ce n'est pas tout à fait le même concours à cause des épreuves: je crois d'ailleurs que quand on veut faire une carrière dans le supérieur, c'est bien l'externe qui sert d'étalon. En lettres, à la fac, on nous avait dit qu'il fallait même être dans les premiers.
Maintenant, si le but est d'améliorer l'ordinaire et de faire reconnaître ses compétences d'enseignant en poste, l'interne suffit et il n'y a pas de quoi polémiquer sur le niveau car il est aussi sélectif.
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Quelqu'un s'assoit à l'ombre aujourd'hui parce que quelqu'un d'autre a planté un arbre il y a longtemps. (W.B)
- CarmenLRNeoprof expérimenté
Ilona a écrit:@faustine62
Ma thèse est que ce pays va connaître un véritable effondrement, et on en connaît tous la raison (nous sommes aux premières loges).
Dans ces conditions, vous comprenez le pourquoi du peu d’intérêt que je porte à ma pseudo-carrière dans l'éducation nationale.
Par contre, j'utilise le salaire que l'institution me verse pour construire petit à petit mon indépendance financière.
Et quand ce sera fait (si ce moment arrive), je pose ma démission.
Je n'attends aucune retraite. Si un jour, on m'en verse une , même modique, ce sera une bonne surprise.
Ah ? Je ne comprends pas comment c'est possible. Quelle est ta méthode ? A quel âge faut-il commencer ?
Je suis en milieu de carrière et j'ai jusqu'ici pensé que j'aurai une retraite un jour, comme mes parents avant moi... Je suis désemparée et frappée par l'aquoibonisme. Je ne veux pas faire dévier le fil, mais un fil sur ce sujet précis m'intéresserait.
- CasparProphète
Il y a déjà un fil sur le sujet des retraites il me semble. Quant à construire son indépendance...Nous ne sommes pas à l'abri d'une énorme crise économique qui dévaloriserait nos economies il me semble (mais j'avoue que je n'y connais pour ainsi dire rien).
Pour répondre à la question de départ, je pense que oui, ça vaut le coup, et ça permet de changer d'établissement, de public, de se donner un petit coup de fouet.
Pour répondre à la question de départ, je pense que oui, ça vaut le coup, et ça permet de changer d'établissement, de public, de se donner un petit coup de fouet.
- faustine62Érudit
Ce dont je suis sure en revanche, c'est qu'être certifiée en lycée (je parle des lettres ), ça ne vaut pas le coup, on atteint vite ses limites.
- frecheGrand sage
sifi a écrit:Pour réagir à ceux qui disent que l'agreg interne est moins prestigieuse que l'externe... oui, peut-être.
Ceci dit, en lettres modernes, le pourcentage d'admis est plus élevé à l'externe qu'à l'interne: en passant l'interne il y a maintenant un peu plus d'un an, on nous a recommandé de nous inscrire aussi à l'externe parce que les chances de l'avoir étaient meilleures ("on ne sait jamais, ça peut passersur un malentendu"). Dans mon souvenir, le taux de réussite à l'externe est de l'ordre de 10 ou 12%, alors que celui de l'interne est de 7%.
Ensuite, je ne vois pas en quoi réussir une agrégation interne en travaillant en même temps, avec des enfants et des obligations parfois lourdes serait moins méritoire que de réussir une agrégation externe à la fin de ses études, quand finalement on n'a pas grand chose d'autre à faire que d'étudier.
Alors oui, il n'y a pas de langues anciennes, ni d'ancien français à l'externe. Sachant qu'en lettres modernes, on n'est pas amené à enseigner les langues anciennes.
Je ne suis pas là pour des querelles de clocher: évidemment, j'aurais préféré décrocher l'externe à la sortie de mes études, mais la vie en a voulu autrement, je n'ai pas pu refaire une année comme j'aurais dû le faire. Je suis bien contente d'avoir réussi l'interne du premier coup, en travaillant et en m'occupant de ma famille. Je n'ai pas eu besoin de lécher les bottes d'un quelconque inspecteur pour ça.
Pour les taux de réussite, pour l'an dernier, à l'externe on a ça :
l'agreg spéciale
l'interne
- marcouNiveau 2
Lorsqu'on enseigne dans un Établissement privé, mieux vaut ne pas passer l'externe car alors, on est muté dans une autre région, dans le public.
- LaverdureEmpereur
Il me semble qu'on peut demander un maintien dans le privé mais je n'en connais pas les modalités.
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- marcouNiveau 2
Laverdure a écrit:Il me semble qu'on peut demander un maintien dans le privé mais je n'en connais pas les modalités.
Mes deux collègues ont réussi à rester dans l'Etablissement mais maintenant cela a changé, je crois.
- MathadorEmpereur
marcou a écrit:Laverdure a écrit:Il me semble qu'on peut demander un maintien dans le privé mais je n'en connais pas les modalités.
Mes deux collègues ont réussi à rester dans l'Etablissement mais maintenant cela a changé, je crois.
Le maintien dans le privé est encore mentionné dans la note de service sur l'affectation des lauréats des concours du public, à condition d'avoir déjà un agrément définitif et d'avoir passé uniquement l'agrégation externe, à l'exclusion du CAERPA.
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"There are three kinds of lies: lies, damned lies, and statistics." (cité par Mark Twain)
« Vulnerasti cor meum, soror mea, sponsa; vulnerasti cor meum in uno oculorum tuorum, et in uno crine colli tui.
Quam pulchrae sunt mammae tuae, soror mea sponsa! pulchriora sunt ubera tua vino, et odor unguentorum tuorum super omnia aromata. » (Canticum Canticorum 4:9-10)
- MathadorEmpereur
CarmenLR a écrit:Ilona a écrit:@faustine62
Ma thèse est que ce pays va connaître un véritable effondrement, et on en connaît tous la raison (nous sommes aux premières loges).
Dans ces conditions, vous comprenez le pourquoi du peu d’intérêt que je porte à ma pseudo-carrière dans l'éducation nationale.
Par contre, j'utilise le salaire que l'institution me verse pour construire petit à petit mon indépendance financière.
Et quand ce sera fait (si ce moment arrive), je pose ma démission.
Je n'attends aucune retraite. Si un jour, on m'en verse une , même modique, ce sera une bonne surprise.
Ah ? Je ne comprends pas comment c'est possible. Quelle est ta méthode ? A quel âge faut-il commencer ?
Je suis en milieu de carrière et j'ai jusqu'ici pensé que j'aurai une retraite un jour, comme mes parents avant moi... Je suis désemparée et frappée par l'aquoibonisme. Je ne veux pas faire dévier le fil, mais un fil sur ce sujet précis m'intéresserait.
La méthode c'est de vivre au-dessous de ses moyens et d'investir sur du long terme. Pour plus de détails tu peux commencer par lire cette page: http://www.mrmoneymustache.com/2012/01/13/the-shockingly-simple-math-behind-early-retirement/ .
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"There are three kinds of lies: lies, damned lies, and statistics." (cité par Mark Twain)
« Vulnerasti cor meum, soror mea, sponsa; vulnerasti cor meum in uno oculorum tuorum, et in uno crine colli tui.
Quam pulchrae sunt mammae tuae, soror mea sponsa! pulchriora sunt ubera tua vino, et odor unguentorum tuorum super omnia aromata. » (Canticum Canticorum 4:9-10)
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