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- marjoDoyen
Je suis en période "d'essai bébé" et il n'est pas impossible que je tombe enceinte d'ici la fin de l'année scolaire. Si je sais que je suis enceinte au moment de la répartition des services (qui se fera tard chez nous), mais que je n'en suis pas arrivée à la période fatidique des trois mois, dois-je en informer mes collègues afin de faire une répartition intelligente ? Je pose cette question pour plusieurs raisons :
1/ Je suis prof de LC et il est quasiment impossible que je puisse être remplacée en latin (je suis en lycée).
2/ Mais nous sommes deux dans mon établissement et il n'y a que 7H de latin à assurer. Ma collègue est super.
3/ Nous sommes en pleine lutte pour faire remonter nos effectifs de latin : si je suis absente et pas remplacée, ça va être la bérézina du point de vue des effectifs, ce qui met aussi en danger mon poste, à terme.
Je sais que la sagesse voudrait que je ne me préoccupe pas de ça, puisque c'est du ressort de l'administration, mais puisqu'il y a une solution toute simple à mettre en oeuvre, je me dis que ce serait dommage de ne pas en parler. Je suis aussi consciente que j'aurai l'air bien maline si j'annonce que je suis enceinte lors de la répartition et qu'il y a un problème ensuite.
1/ Je suis prof de LC et il est quasiment impossible que je puisse être remplacée en latin (je suis en lycée).
2/ Mais nous sommes deux dans mon établissement et il n'y a que 7H de latin à assurer. Ma collègue est super.
3/ Nous sommes en pleine lutte pour faire remonter nos effectifs de latin : si je suis absente et pas remplacée, ça va être la bérézina du point de vue des effectifs, ce qui met aussi en danger mon poste, à terme.
Je sais que la sagesse voudrait que je ne me préoccupe pas de ça, puisque c'est du ressort de l'administration, mais puisqu'il y a une solution toute simple à mettre en oeuvre, je me dis que ce serait dommage de ne pas en parler. Je suis aussi consciente que j'aurai l'air bien maline si j'annonce que je suis enceinte lors de la répartition et qu'il y a un problème ensuite.
- AphrodissiaMonarque
Non, si tu annonces que tu es enceinte et qu'il y a un problème ensuite (je suppose que tu penses à une fausse couche), tu n'auras pas l'air bien maline : tu auras l'air de quelqu'un qui traverse un moment de peine, de souffrance et qui a besoin d'un peu de compassion et de sollicitude.
Tu peux aussi dire à tes collègues que cela t'arrangerait de ne pas avoir de latin l'an prochain sans préciser pourquoi. Vous devriez pouvoir régler cela entre vous.
Tu peux aussi dire à tes collègues que cela t'arrangerait de ne pas avoir de latin l'an prochain sans préciser pourquoi. Vous devriez pouvoir régler cela entre vous.
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Hominis mens discendo alitur et cogitando. (Cicéron)
Et puis les steaks ? Ça se rate toujours comme la tragédie. Mais à des degrés différents. (M. Duras)
- PoupoutchModérateur
Si tu t'entends bien avec ta collègue LC, pourquoi ne pas lui dire juste à elle, pour expliquer pourquoi tu veux qu'elle prenne tout le latin?
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Lapin Émérite, celle qui Nage en Lisant ou Inversement, Dompteuse du fauve affamé et matutinal.
"L'intelligence est une maladie qui peut se transmettre très facilement mais dont on peut guérir très rapidement et sans aucune séquelle"
- Une passanteEsprit éclairé
Même idée, n'en parler qu'à ta collègue de LC.
- KalliopéNiveau 8
Même si tu n'es pas enceinte au moment de la répartition, mais que tu tombes enceinte en début d'année scolaire, cela peut impliquer des absences en cours d'année liées à la grossesse.
Pour ma part, j'espère également avoir un enfant l'an prochain et puisque je m'entends très bien avec mes collègues je leur ai expliqué que je préférais ne pas avoir de troisièmes pour éviter qu'ils se retrouvent sans enseignant en fin d'année à l'approche du brevet (je suis aussi LC, je me doute qu'il sera difficile de me trouver un remplaçant). Mes collègues ont très bien compris, et ma foi si je n'arrive pas à tomber enceinte elles ne viendront évidemment pas me reprocher d'avoir tenu compte de l'éventualité d'une grossesse lors de la répartition !
Tu t'entends bien avec ta collègue, tu as l'air prête à ne pas avoir de classes de latin l'an prochain, si elle est prête à prendre les 7h alors c'est parfait. Présente-lui les choses simplement et vois avec elle si ta proposition lui convient.
Pour ma part, j'espère également avoir un enfant l'an prochain et puisque je m'entends très bien avec mes collègues je leur ai expliqué que je préférais ne pas avoir de troisièmes pour éviter qu'ils se retrouvent sans enseignant en fin d'année à l'approche du brevet (je suis aussi LC, je me doute qu'il sera difficile de me trouver un remplaçant). Mes collègues ont très bien compris, et ma foi si je n'arrive pas à tomber enceinte elles ne viendront évidemment pas me reprocher d'avoir tenu compte de l'éventualité d'une grossesse lors de la répartition !
Tu t'entends bien avec ta collègue, tu as l'air prête à ne pas avoir de classes de latin l'an prochain, si elle est prête à prendre les 7h alors c'est parfait. Présente-lui les choses simplement et vois avec elle si ta proposition lui convient.
- marjoDoyen
Merci pour vos conseils. Je pense effectivement en parler seulement à ma collègue de LC dans un premier temps : elle est tellement cool qu'elle sera certainement d'accord. Par contre, je m'interroge pour les autres : il n'y a pas une super ambiance dans l'équipe et on s'est déjà un peu pris la tête au sujet de la future répartition (je ne rentre pas dans les détails). Je ne sais pas comment elles vont accueillir cette "nouvelle" si elle n'est pas justifiée (et comme ce sont quasiment toutes des femmes, je pense qu'elles vont comprendre). Sans compter la réaction de la direction : il va bien falloir qu'on "justifie" auprès d'elle le fait que je ne prenne pas de latin du tout (parce que ça va leur compliquer la constitution des EDT). Je vais devoir me retrouver à en parler à tout le monde, alors que je n'en ai pas envie...
- KalliopéNiveau 8
N'en parle à personne d'autre et attends de voir les éventuelles réactions avant de t'en faire.
Si tes collègues ou ta direction te demandent les raisons de ce choix, tu peux simplement répondre "Nous nous sommes mises d'accord Mme X et moi, ça nous arrange toutes les deux." Si l'interlocuteur insiste, précise que tu as des projets qu'il te sera plus facile de mener sans heures de latin (et que cela évitera de pénaliser éventuellement les élèves et de fragiliser encore les effectifs - ce peut être un argument pour la direction). Et si vraiment à ce stade-là l'interlocuteur n'a pas compris que tu ne veux pas entrer dans le détail, tu dis franchement que ce sont des projets personnels dont tu n'as pas envie de parler tant qu'ils restent hypothétiques.
Mais franchement, quand on lit sur d'autres fils que des professeurs de LC font tout leur service en français et laissent les heures de latin (voire de grec) à des collègues LM, tu n'aurais vraiment pas de chance qu'on te refuse de laisser les 7h de latin à ta collègue de LC...
Si tes collègues ou ta direction te demandent les raisons de ce choix, tu peux simplement répondre "Nous nous sommes mises d'accord Mme X et moi, ça nous arrange toutes les deux." Si l'interlocuteur insiste, précise que tu as des projets qu'il te sera plus facile de mener sans heures de latin (et que cela évitera de pénaliser éventuellement les élèves et de fragiliser encore les effectifs - ce peut être un argument pour la direction). Et si vraiment à ce stade-là l'interlocuteur n'a pas compris que tu ne veux pas entrer dans le détail, tu dis franchement que ce sont des projets personnels dont tu n'as pas envie de parler tant qu'ils restent hypothétiques.
Mais franchement, quand on lit sur d'autres fils que des professeurs de LC font tout leur service en français et laissent les heures de latin (voire de grec) à des collègues LM, tu n'aurais vraiment pas de chance qu'on te refuse de laisser les 7h de latin à ta collègue de LC...
- marjoDoyen
Kalliopé a écrit: Mais franchement, quand on lit sur d'autres fils que des professeurs de LC font tout leur service en français et laissent les heures de latin (voire de grec) à des collègues LM, tu n'aurais vraiment pas de chance qu'on te refuse de laisser les 7h de latin à ta collègue de LC...
Ce serait surtout pas de chance pour eux, et pour les élèves concernés.
- KalliopéNiveau 8
Tout à fait.
- trompettemarineMonarque
Ne dis rien.
Demande seulement que les horaires ne soient pas mis en barrette pour que ta collègue puisse te remplacer.
Tu ne sais pas non plus si un tzr en LC ne sera pas nommé : c'est déjà arrivé.
Et si tu ne tombes pas enceinte, au moins, tu pourras faire du latin.
Je ne vois pas en quoi notre condition de femme devrait influer sur nos choix au travail.
Demande seulement que les horaires ne soient pas mis en barrette pour que ta collègue puisse te remplacer.
Tu ne sais pas non plus si un tzr en LC ne sera pas nommé : c'est déjà arrivé.
Et si tu ne tombes pas enceinte, au moins, tu pourras faire du latin.
Je ne vois pas en quoi notre condition de femme devrait influer sur nos choix au travail.
- PlutarqueNiveau 10
trompettemarine a écrit:Tu ne sais pas non plus si un tzr en LC ne sera pas nommé : c'est déjà arrivé.
Cas particulier de l'académie de Versailles : il n'y a aucun nouveau TZR de LC depuis quelques années, et donc probablement aucun TZR de LC.
- AphrodissiaMonarque
trompettemarine a écrit:Ne dis rien.
Demande seulement que les horaires ne soient pas mis en barrette pour que ta collègue puisse te remplacer.
Tu ne sais pas non plus si un tzr en LC ne sera pas nommé : c'est déjà arrivé.
Et si tu ne tombes pas enceinte, au moins, tu pourras faire du latin.
Je ne vois pas en quoi notre condition de femme devrait influer sur nos choix au travail.
Imaginons que tu ne tombes pas enceinte cette année, tes précautions auront été vaines: devras-tu ne pas faire de latin l'année suivante à cause de cette éventuelle grossesse? Et s'il y a un deuxième enfant, bis repetita?
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- nevermoreNiveau 10
Ça me rappelle étrangement une question que je me suis posée il y a 5 ans. 😊 j’étais presque dans la même situation que toi, sauf que j’étais enceinte mais sans avoir dépassé la « barre fatidique ». On a fait la répartition de services normalement et quand j’ai dû partir en congé maternité, je suis partie. Après une dizaine de jours de flottement au rectorat, ils ont envoyé une TZR moderne qui n’a pris que mes heures de français et ma collègue LC a assuré les heures de latin jusqu’à la fin de l’année.
- Fires of PompeiiGuide spirituel
Académie de Versailles ou pas, je te conseille de suivre le conseil de trompettemarine. Ne dis rien et bosse comme d'habitude. Changer les services pour une grossesse possible mais pas encore existante me paraît peu souhaitable (et même si c'était une grossesse existante). C'est une question de principe. Tu n'as pas à prendre les responsabilités du rectorat. On ne peut pas tout contrôler et c'est tant mieux. Et puis faire cela c'est accepter d'être limitée en tant que femme, dans le monde du travail.
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Je ne dirai qu'une chose : stulo plyme.
- MalagaModérateur
il y a cinq ans, je suis tombée enceinte de ma fille au mois de mars. Arrive le mois de mai et le conseil d'enseignement pour faire la répartition. La premier échographie devait avoir lieu dix jours plus tard mais je ne me voyais pas "cacher" ma grossesse et devoir refaire éventuellement toute la répartition une fois que je l'aurais annoncée. J'ai donc expliqué les choses le plus simplement du monde : je suis en tout début de grossesse donc rien n'est sûr mais je ne serai potentiellement pas là durant plusieurs mois l'an prochain.
En revanche, je n'ai jamais tenu compte de mes désirs de grossesse pour faire une répartition et c'est tant mieux : j'ai mis deux ans à tomber enceinte de mon aîné, ça aurait été dommage de me priver de niveaux que j'apprécie pour une grossesse hypothétique.
En revanche, je n'ai jamais tenu compte de mes désirs de grossesse pour faire une répartition et c'est tant mieux : j'ai mis deux ans à tomber enceinte de mon aîné, ça aurait été dommage de me priver de niveaux que j'apprécie pour une grossesse hypothétique.
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J'utilise des satellites coûtant plusieurs millions de dollars pour chercher des boîtes Tupperware dans la forêt ; et toi, c'est quoi ton hobby ?
- IphigénieProphète
1 tu es enceinte au moment de la repartition: priorité au bébé, pour le latin vous faites au mieux, selon ta collègue et toi
2 tu n'es pas enceinte: ben tu n'es pas enceinte. Sinon on peut aussi anticiper sur une éventuelle rage de dents, ou jambe cassée au ski parce qu'on prevoit d'y aller à Noël....
2 tu n'es pas enceinte: ben tu n'es pas enceinte. Sinon on peut aussi anticiper sur une éventuelle rage de dents, ou jambe cassée au ski parce qu'on prevoit d'y aller à Noël....
- KilmenyEmpereur
Tu peux par exemple prendre du latin, mais laisser les terminales à ta collègue. Faire un entre-deux.
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Un petit clic pour les animaux : http://www.clicanimaux.com/catalog/accueil.php?sites_id=1
- marjoDoyen
Kilmeny a écrit:Tu peux par exemple prendre du latin, mais laisser les terminales à ta collègue. Faire un entre-deux.
Ca c'est déjà prévu. Vous allez l'air de penser que je me sentirais privée de ne pas faire de latin du tout : au contraire...
- EnaecoVénérable
Fires of Pompeii a écrit:Académie de Versailles ou pas, je te conseille de suivre le conseil de trompettemarine. Ne dis rien et bosse comme d'habitude. Changer les services pour une grossesse possible mais pas encore existante me paraît peu souhaitable (et même si c'était une grossesse existante). C'est une question de principe. Tu n'as pas à prendre les responsabilités du rectorat. On ne peut pas tout contrôler et c'est tant mieux. Et puis faire cela c'est accepter d'être limitée en tant que femme, dans le monde du travail.
Ce sont de bien jolis principes.
La place des femmes dans le travail, le rectorat qui ne fait pas son boulot...
D'un point de vue plus égoïste, une année saccadée ou l'absence d'un professeur, non remplacé ou mal remplacé, a un réel impact sur les choix des élèves.
Ce n'est pas le rectorat qui viendra sauver un poste menacé s'il manque une poignée d'élèves pour une option.
- AphrodissiaMonarque
C'est autre chose alors. Ce n'est plus un problème d'hypothétique bébé. Eh bien, tu peux dire à ta collègue que cela ne te dérange pas de ne pas avoir de latin et si elle peut couvrir tous les besoins à elle seule, tant mieux.marjolie.june a écrit:Kilmeny a écrit:Tu peux par exemple prendre du latin, mais laisser les terminales à ta collègue. Faire un entre-deux.
Ca c'est déjà prévu. Vous allez l'air de penser que je me sentirais privée de ne pas faire de latin du tout : au contraire...
Cela m'est arrivé certaines années de prendre toutes les heures ou de toutes les laisser à ma collègue parce que ça nous arrangeait pour une raison ou une autre (en général des raisons professionnelles de type classe à projet).
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Et puis les steaks ? Ça se rate toujours comme la tragédie. Mais à des degrés différents. (M. Duras)
- KalliopéNiveau 8
Ta réponse confirme ce que j'allais écrire Marjolie : je serais d'accord avec les réponses des collègues si le fait de laisser toutes les heures de latin à ta collègue était une sorte de "sacrifice" pour toi. Mais si cela arrange tout le monde, et évite en plus aux élèves de se retrouver de longues semaines sans cours, tant mieux.
Pour ma part, j'hésitais un peu à prendre des troisièmes, davantage parce qu'une autre collègue hésitait elle-même que par réelle envie. L'éventualité d'une grossesse a simplement été un élément parmi d'autres pour faire un choix. Il s'agit une décision prise en accord avec mes collègues, en aucun cas "d'accepter d'être limitée en tant que femme". Je pense que cela peut s'entendre et se respecter.
Pour ma part, j'hésitais un peu à prendre des troisièmes, davantage parce qu'une autre collègue hésitait elle-même que par réelle envie. L'éventualité d'une grossesse a simplement été un élément parmi d'autres pour faire un choix. Il s'agit une décision prise en accord avec mes collègues, en aucun cas "d'accepter d'être limitée en tant que femme". Je pense que cela peut s'entendre et se respecter.
- marjoDoyen
Enaeco a écrit:Fires of Pompeii a écrit:Académie de Versailles ou pas, je te conseille de suivre le conseil de trompettemarine. Ne dis rien et bosse comme d'habitude. Changer les services pour une grossesse possible mais pas encore existante me paraît peu souhaitable (et même si c'était une grossesse existante). C'est une question de principe. Tu n'as pas à prendre les responsabilités du rectorat. On ne peut pas tout contrôler et c'est tant mieux. Et puis faire cela c'est accepter d'être limitée en tant que femme, dans le monde du travail.
Ce sont de bien jolis principes.
La place des femmes dans le travail, le rectorat qui ne fait pas son boulot...
D'un point de vue plus égoïste, une année saccadée ou l'absence d'un professeur, non remplacé ou mal remplacé, a un réel impact sur les choix des élèves.
Ce n'est pas le rectorat qui viendra sauver un poste menacé s'il manque une poignée d'élèves pour une option.
Je suis complètement d'accord avec ça, d'où mon questionnement, même si au fond on ne devrait pas avoir à se poser la question. Mais si on sait comment ça se passe, autant être intelligent.
Pour le reste, faire du latin ou pas, ça m'est égal en fait. Les conditions de travail sont devenues tellement peu exaltantes.
- Madame_ProfEsprit sacré
trompettemarine a écrit:Demande seulement que les horaires ne soient pas mis en barrette pour que ta collègue puisse te remplacer.
Euh ?!
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2017-2025 - 10ème établissement, en poste fixe ! Et, militante (encore, malgré tout...) !
2013-2017 - TZR en expérimentation au gré des établissements, et militante !
2012-2013 - Année de stage en collège
- KilmenyEmpereur
marjolie.june a écrit:Kilmeny a écrit:Tu peux par exemple prendre du latin, mais laisser les terminales à ta collègue. Faire un entre-deux.
Ca c'est déjà prévu. Vous allez l'air de penser que je me sentirais privée de ne pas faire de latin du tout : au contraire...
Si tu ne veux pas de latin, le problème est différent.
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- IphigénieProphète
Si ta collègue est d’accord pour prendre tout le latin et toi que du français, où est le problème? Franchement vous vous posez vraiment trop de questions, surtout si tu n’es pas enceinte: on ne peut pas gérer aussi les remplacements. Sinon quelle est la prochaine étape pour la survie du latin? N'être malade que si on trouve son remplaçant?
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