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- pseudo-intelloSage
La formule révèle le principe.
Parce qu'on choisit pas son roi, et si les rares fois où j'ai du demander quelque chose, ça s'est toujours très bien passé (en même temps, ça se justifiait), si le roi avait été un [modéré], ça me compliquait quand même drôlement la vie (quand je suis arrivée au collège, l'ancienne cheffe avait fait sauter des trentièmes pour absences pourtant légales, que le rectorat avait remis derrière, pour te dire à quel point certains sont bornés).
Je sais bien que c'est insoluble : entre se contenter du strict cadre légal et le bon vouloir du roi, évidemment que par défaut, le bon vouloir du roi est un peu moins enquiquinant, parce qu'il est des rois humains. Le cadre légal pourrait évidemment être plus généreux, mais si on voulait l'ajuster au plus près du bon sens, il risquerait de devenir compliqué et trèèèès fourni.
Parce qu'on choisit pas son roi, et si les rares fois où j'ai du demander quelque chose, ça s'est toujours très bien passé (en même temps, ça se justifiait), si le roi avait été un [modéré], ça me compliquait quand même drôlement la vie (quand je suis arrivée au collège, l'ancienne cheffe avait fait sauter des trentièmes pour absences pourtant légales, que le rectorat avait remis derrière, pour te dire à quel point certains sont bornés).
Je sais bien que c'est insoluble : entre se contenter du strict cadre légal et le bon vouloir du roi, évidemment que par défaut, le bon vouloir du roi est un peu moins enquiquinant, parce qu'il est des rois humains. Le cadre légal pourrait évidemment être plus généreux, mais si on voulait l'ajuster au plus près du bon sens, il risquerait de devenir compliqué et trèèèès fourni.
- RendashBon génie
Heu, non. Je n'ai pas "résumé cette complexité" : je m'indigne qu'une décision d'ordre médical puisse être soumise à l'approbation d'un chef d'établissement, et qu'un traitement médical puisse être considéré comme une absence de convenance personnelle. C'est du même tonneau que le jour de carence : on emmerde potentiellement des gens déjà bien emmerdés d'être malades. Rien à voir avec le fait de devoir piquer le grand-oncle du hamster, qui, là, relève d'une appréciation personnelle d'une situation donnée par le CDE. Dans ce dernier cas, si le CDE est humain, il saura apprécier convenablement la situation ; si on tombe ... disons mal, pour ne pas zorcharter, on l'a dans l'os : c'est le jeu ma pauv'Lucette, fallait mieux choisir son chef/son job/son corps/son hamster.pogonophile a écrit:
Je ne peux pas tout refuser et ne jamais me montrer conciliant, ce serait inhumain, et dévastateur en termes de climat.
Je ne peux pas tout accorder, il y a des demandes illégitimes, et comment on fait dans les autres boulots ?
Donc il faut trier, hiérarchiser, et là il n'y a pas de critère objectif ni consensuel - la seule certitude, c'est qu'il y aura des protestations comme quoi "le CdE il est inhumain et arbitraire et c'est dégueulasse."
C'est pour ça que j'en veux beaucoup à @Rendash et @Pointàlaligne qui résument cette complexité à des formules lapidaires.
pogonophile a écrit:L'alternative, c'est "non" pour tout ce qui ne rentre pas dans le cadre, qu'est-ce qui est préférable, au fond ?Rendash a écrit:
ça, c'est dramatique. Le roi dit "nous voulons" ... :|
On est ici dans un cadre médical, défini par un médecin. Rien de ce qui est médical ne devrait être soumis à l'approbation d'une quelconque hiérarchie, hors médecin du rectorat (si tant est qu'il y en ait un, et qu'il soit accessible au commun des mortels ) ; ce qui n'entre pas dans le cadre médical, en revanche, dépend de l'appréciation du CDE, je n'ai pas dit le contraire. Dans ce dernier cas, si le CDE est humain, etc.
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"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- livieFidèle du forum
Bonjour à tous,
Je me permets de faire remonter ce post pour éviter d'en créer un autre.
Je vais avoir des absences pour examens médicaux mais une loi en rapport avec ces examens et soins me protège. Je ne suis pas tenue de rattraper mes heures et/ou d'avoir une retenue sur salaire peu importe le nombre d'absences ou leur durée.
A qui dois-je en parler pour éviter ces retenues sur salaire ?
Mon gestionnaire ?
Ma direction ?
Mon IPR?
La secrétaire de direction de mon établissement ?
Je vous remercie par avance et vous souhaite une belle journée.
Livie
Je me permets de faire remonter ce post pour éviter d'en créer un autre.
Je vais avoir des absences pour examens médicaux mais une loi en rapport avec ces examens et soins me protège. Je ne suis pas tenue de rattraper mes heures et/ou d'avoir une retenue sur salaire peu importe le nombre d'absences ou leur durée.
A qui dois-je en parler pour éviter ces retenues sur salaire ?
Mon gestionnaire ?
Ma direction ?
Mon IPR?
La secrétaire de direction de mon établissement ?
Je vous remercie par avance et vous souhaite une belle journée.
Livie
- trompettemarineMonarque
Normalement, tout cela se gère sans problème avec le secrétariat.
- LadyOlennaModérateur
Bonjour Livie, je te conseille de t'adresser à ton chef d'établissement.
- Thalia de GMédiateur
Je plussoie LadyOlenna. Seul le ou la cde peut prendre la décision, la secrétaire de direction t'informera qu'il faut demander au cde ou à la cde.livie a écrit:A qui dois-je en parler pour éviter ces retenues sur salaire ?Mon gestionnaire ?Ma direction ?Mon IPR?La secrétaire de direction de mon établissement ?
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Le printemps a le parfum poignant de la nostalgie, et l'été un goût de cendres.
Soleil noir de mes mélancolies.
- AsclépiosNiveau 7
livie a écrit:
Je vais avoir des absences pour examens médicaux mais une loi en rapport avec ces examens et soins me protège. Je ne suis pas tenue de rattraper mes heures et/ou d'avoir une retenue sur salaire peu importe le nombre d'absences ou leur durée.
Livie
Livie, les seuls autorisations d'absences que je connaisse et qui sont de droit (au niveau médical) sont liées à la grossesse et la médecine de prévention.
Mais si il y en a d'autre, et si ce n'est pas indiscret, j'aimerais bien les connaître.
Ou si tu as la référence, connaitre le texte de loi. Merci d'avance.
Pour ta question comme l'a dit LadyOlenna, il faut voir avec le chef d'établissement.
- EdithWGrand sage
Il y avait dans mon ancien bahut un formulaire dédié "autorisation spéciale d'absence" en libre accès en SDP, à remettre avec pièces justificatives à la secrétaire du CDE ensuite, une fois signé par le CDE, ça te garantissait le maintien de salaire et la couverture/ assurance en cas de pépin. J'en ai rempli un une fois pour témoigner à un procès par exemple et plusieurs fois pour les examens liés à la grossesse. Si ça n'a pas changé depuis... C'était dans le privé, mais le document était "neutre" avec en-tête du rectorat (Versailles pour moi), puisque destiné au rectorat. ça dépend peut-être des bahuts, des CDE, des académies...
- livieFidèle du forum
Je vous remercie pour vos réponses.
Je vais suivre vos conseils et aller en parler avec la direction.
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