Absence professeur pour examens

Résolu

http://www.education.gouv.fr/botexte/bo020829/MENA0201858C.htm

ça ne fait pas partie des autorisations d'absences de droit, c'est donc au bon vouloir de ton chef.

Merci pour la réponse.

Ce qui est laissé à l'appréciation du CDE, ce sont les 48 heures avant, non ?
Qu'en penses-tu Will T. ?

Si on a une convocation à un examen ou un concours, il s'agit, pour le jour du concours, d'une autorisation d'absence de droit, non ?

Dans la limite de 8 jours par an, me semble-t-il.

Je n'ai, en revanche, pas le texte.

CarmenLR a écrit:Ce qui est laissé à l'appréciation du CDE, ce sont les 48 heures avant, non ?
Qu'en penses-tu Will T. ?

Si on a une convocation à un examen ou un concours, il s'agit, pour le jour du concours, d'une autorisation d'absence de droit, non ?

Dans la limite de 8 jours par an, me semble-t-il.

Je n'ai, en revanche, pas le texte.

on parle d'examen, pas de concours de recrutement (les textes font une différence entre les 2)

D'accord ? Quels sont les deux textes en question ?

https://www.snes.edu/private/2-6-2-4-Autorisations-d-absence.html

Oups, Karine, apparemment, le document est réservé aux syndiqués.

CarmenLR a écrit:Oups, Karine, apparemment, le document est réservé aux syndiqués.

Ce sont des autorisations d’absence facultatives. Les agents à temps partiel peuvent y prétendre dans les même conditions que les personnels travaillant à temps plein.

Concours de recrutement et examens professionnels

Candidature à un concours de recrutement ou examen professionnel : 48 heures par concours avant le début de la première épreuve (circulaires du MEN n° 75-238 et 75-U-065 du 9 juillet 1975).

Préparation aux concours de recrutement et examens professionnels : 8 jours par an pendant 2 ans consécutifs (décret n° 85-607 du 14 juin 1985).

Participation aux concours organisés par l’administration (décret n° 85-607 du 14 juin 1985).

Examens universitaires

Le seul texte qui existe concerne les MI SE

Merci Karine.

Ce sont toutefois bien les 48 heures qui sont laissées à l'appréciation du CDE, non ?

Si je décide de passer une licence X ou Y et que les examens ont lieu tel jour, l'autorisation pour le jour de l'examen est bien de droit, non ?

Il est de même pour les concours de la fonction publique (française et européenne), me semble-t-il, non ?

Et en cas de convocation à une audition pour un entretien d'embauche, d'ailleurs, que se passe-t-il ?

CarmenLR a écrit:

Si je décide de passer une licence X ou Y et que les examens ont lieu tel jour, l'autorisation pour le jour de l'examen est bien de droit, non ?

Il est de même pour les concours de la fonction publique (française et européenne), me semble-t-il, non ?

Et en cas de convocation à une audition pour un entretien d'embauche, d'ailleurs, que se passe-t-il ?

concours et examens professionnels, oui mais pas examens universitaires (licence)

Merci Karine.

Vive le règne de la formation tout au long de la vie !!!!
Dans ces cas-là, qu'on nous octroie 5 jours de congés mobiles à poser quand on le souhaite... (Ce qui réglerait aussi le problème des entretiens d'embauche, vu que c'est très délicat de dire au CDE qu'on cherche autre chose...).

J'en profite pour faire état d'un truc tout bête à mettre en place : on est obligé, quand on passe un concours interne, de faire signer des papiers au cde, alors qu'il devrait être possible d'éditer un document officiel sur iprof précisant nos états de service, ne nécessitant pas de signature. (En bref, d'éviter de rappeler 5 fois dans l'année qu'on passe un concours...) Il me semble que la mobilité et la reconversion pourraient être facilitées.

Pour le moment, c'est un parcours du combattant.
Est-ce qu'il est possible, syndicalement, de demander et d'obtenir des choses du ministère sur la question de la reconversion ?

Je sais que ce n'est pas une question à laquelle les syndicats sont très attachés (je n'ai rien vu dans la presse syndicale à ce sujet). Pourtant, il me semble que c'est une question essentielle, qui revient très souvent, et qui dépasse largement les cas individuels. Qu'en dis-tu ?

CarmenLR a écrit:Ce qui est laissé à l'appréciation du CDE, ce sont les 48 heures avant, non ?
Qu'en penses-tu Will T. ?

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Will. T pense la même chose que Karine B.
un examen universitaire n'est pas un concours

Paradoxe des paradoxes... quand même quand on est dans le monde de l'éducation.

CarmenLR a écrit:Merci Karine.

Vive le règne de la formation tout au long de la vie !!!!
Dans ces cas-là, qu'on nous octroie 5 jours de congés mobiles à poser quand on le souhaite... (Ce qui réglerait aussi le problème des entretiens d'embauche, vu que c'est très délicat de dire au CDE qu'on cherche autre chose...).

J'en profite pour faire état d'un truc tout bête à mettre en place : on est obligé, quand on passe un concours interne, de faire signer des papiers au cde, alors qu'il devrait être possible d'éditer un document officiel sur iprof précisant nos états de service, ne nécessitant pas de signature. (En bref, d'éviter de rappeler 5 fois dans l'année qu'on passe un concours...) Il me semble que la mobilité et la reconversion pourraient être facilitées.

Pour le moment, c'est un parcours du combattant.
Est-ce qu'il est possible, syndicalement, de demander et d'obtenir des choses du ministère sur la question de la reconversion ?

Je sais que ce n'est pas une question à laquelle les syndicats sont très attachés (je n'ai rien vu dans la presse syndicale à ce sujet). Pourtant, il me semble que c'est une question essentielle, qui revient très souvent, et qui dépasse largement les cas individuels. Qu'en dis-tu ?

La priorité est d'améliorer les conditions de travail des personnels qui se syndiquent.

Ensuite, nous demandons :
- le retour du congé de mobilité professionnelle
- une formation préalable à une reconversion quand celle - ci consiste à un changement de discipline (et pas à une affectation "sauvage" en fonction des besoins du moment)
- la mise en place de véritables possibilités de 2nde carrière, ce qui est quasi inexistant sauf exceptions

http://www.education.gouv.fr/pid24372/portail-mobilite-des-enseignants.html

Merci Karine.


Il y a aussi des personnels syndiqués qui souhaitent l'amélioration présente de leurs conditions de travail ET de véritables perspectives de seconde carrière hors enseignement (autres que les traditionnels concours de CDE ou d'IPR).

Je crois que c'est une question qui est encore taboue alors qu'elle est absolument essentielle.

CarmenLR a écrit:Merci Karine.


Il y a aussi des personnels syndiqués qui souhaitent l'amélioration présente de leurs conditions de travail ET de véritables perspectives de seconde carrière hors enseignement (autres que les traditionnels concours de CDE ou d'IPR).

Je crois que c'est une question qui est encore taboue alors qu'elle est absolument essentielle.

ce n'est pas ceux là que je rencontre, j'ai très peu de demandes de ce genre dans mon établissement, ceux dans lesquels je vais faire des HIS ou encore à la permanence du SNES. Et quand elles interviennent, ce n'est pas une volonté des collègues, c'est "je n'en peux plus, trouvez moi quelque chose qui me sorte de là". Je n'appelle pas ça une reconversion

Je crois que ce n'est pas incompatible : il y a des changements qui sont des questions de survie à court terme et d'autres à moyen terme, en gros des reconversions d'urgence et des reconversions qui sont des projets.

Les dernières sont moins visibles mais méritent aussi d'être accompagnées par les syndicats. En tout cas, je sais que les syndicats font un travail colossal et formidable, mais je trouverais dommage de laisser la question de la reconversion-projet aux associations ou de ne pas s'emparer de la question de la "mobilité professionnelle" qui va nous tomber dessus sans que nous ayons rien demandé.

Ce n'est pas une attaque, mais je crois vraiment qu'il y a une vraie demande à ce sujet.