- AphrodissiaMonarque
Tu voulais lire la DC en entier?gregforever a écrit:je rame sur la Divine Comédie de Dante (pour le défi sur l'enfer); ça confirme que je n'aime pas lire de la poésie sur la durée.... sans compter les référence culturelles, il y a presque autant de pages de notes que de texte....
Cela fait un mois que j'avance trèèèèèès lentement dans L'Enfer : le livre que j'ai ne propose que cette partie de l'oeuvre et je trouve que c'est un fameux travail. Voilà un livre qui demande un réel effort de lecture.
Je lis d'autres choses en parallèle que je risque de finir avant ce défi-là.
- gregforeverGrand sage
Je ne sais pas si j'irai au bout ou si ce sera "stop" après l'Enfer
- AdrenFidèle du forum
Bonjour à tous,
je poursuis la liste "livre lu pour le défi Prix Goncourt des lycéens et finalement associé à un autre défi". Je pourrais envisager de lire tous les romans lauréats que je ne connais pas encore pour les classer dans un autre défi ! Cette semaine, Petit Pays de Gaël Faye que je n'avais encore jamais lu, malgré les très bons échos. Goncourt des lycéens 2016, je l'associe donc au défi "livre qui évoque une frontière, réelle ou symbolique". La frontière réelle est celle entre le Burundi et le Rwanda, en 1993. Le narrateur est un jeune garçon qui vit au Burundi avec sa petite soeur, son père français et sa mère rwandaise exilée. Le récit d'enfance bascule lorsque commencent les massacres entre les Hutus et les Tutsis de part et d'autre de cette frontière.
Extrait : "En juillet, le FPR est enfin arrivé à Kigali. Maman, Mamie et Rosalie sont parties immédiatement pour le Rwanda à la recherche de tante Eusébie, ses enfants, Jeanne, Pacifique, la famille, les amis. Elles retournaient dans leur pays après trente ans d'exil. Elles en avaient rêvé de ce retour, surtout la vieille Rosalie. Elle qui voulait finir ses jours sur la terre de ses ancêtres. Mais le Rwanda du lait et du miel avait disparu. C'était désormais un charnier à ciel ouvert."
je poursuis la liste "livre lu pour le défi Prix Goncourt des lycéens et finalement associé à un autre défi". Je pourrais envisager de lire tous les romans lauréats que je ne connais pas encore pour les classer dans un autre défi ! Cette semaine, Petit Pays de Gaël Faye que je n'avais encore jamais lu, malgré les très bons échos. Goncourt des lycéens 2016, je l'associe donc au défi "livre qui évoque une frontière, réelle ou symbolique". La frontière réelle est celle entre le Burundi et le Rwanda, en 1993. Le narrateur est un jeune garçon qui vit au Burundi avec sa petite soeur, son père français et sa mère rwandaise exilée. Le récit d'enfance bascule lorsque commencent les massacres entre les Hutus et les Tutsis de part et d'autre de cette frontière.
Extrait : "En juillet, le FPR est enfin arrivé à Kigali. Maman, Mamie et Rosalie sont parties immédiatement pour le Rwanda à la recherche de tante Eusébie, ses enfants, Jeanne, Pacifique, la famille, les amis. Elles retournaient dans leur pays après trente ans d'exil. Elles en avaient rêvé de ce retour, surtout la vieille Rosalie. Elle qui voulait finir ses jours sur la terre de ses ancêtres. Mais le Rwanda du lait et du miel avait disparu. C'était désormais un charnier à ciel ouvert."
- OudemiaBon génie
J'ai oublié de dire que j'avais lu Mrs Dalloway pour le défi 34, (se déroule en 24h) : je n'en savais pas plus, je n'ai pas vu le film qui en a été tiré, j'ai beaucoup aimé, à tous points de vue.
J'avance lentement dans Les versets sataniques, et je me délasse avec le commissaire grec de Markadis.
J'avance lentement dans Les versets sataniques, et je me délasse avec le commissaire grec de Markadis.
- Escargot GéantNiveau 8
J'adore Mrs Dalloway. Et les heures aussi qui en est fortement inspiré.
De mon côté j'ai lu:
37. Un livre dont l'histoire se déroule avant la naissance de l'auteur. "Pline" de Mari Yamazaki
Bon ben c'est la vie de Pline en manga. Il y a plusieurs tomes mais je m'arrêterai à celui-là, je n'ai pas été séduite par le dessin ou la narration. Dommage il y avait une description intéressante de Pline (un peu attention whore le Pline pendant les éruptions volcaniques quand même)
24. Un livre dont le titre comporte un prénom féminin ou un prénom masculin. "Je m'appelle Nathan Lucius" de Mark Winkler
"Nathan Lucius est un jeune homme ordinaire. Il dort avec la lumière allumée. Il collectionne les vieilles photos anonymes. Il vend des encarts publicitaires dans un journal. Il s’entend plutôt bien avec sa chef. Parfois ils vont boire des bières. Il a une amie plus âgée, Madge, une antiquaire un peu fantasque. Il aime que chaque jour ressemble exactement à la veille. Il déteste les souvenirs. Un type banal. Parfois, il ne se souvient plus de rien. Il est un peu confus.
Un jour, Madge le supplie de l’aider à en finir. Elle a un cancer, elle n’en a plus pour longtemps, elle souffre trop." (résumé éditeur)
Je n'ai pas détesté mais on voit assez vite où l'auteur veut se rendre et on a une impression de déjà lu.
De mon côté j'ai lu:
37. Un livre dont l'histoire se déroule avant la naissance de l'auteur. "Pline" de Mari Yamazaki
Bon ben c'est la vie de Pline en manga. Il y a plusieurs tomes mais je m'arrêterai à celui-là, je n'ai pas été séduite par le dessin ou la narration. Dommage il y avait une description intéressante de Pline (un peu attention whore le Pline pendant les éruptions volcaniques quand même)
24. Un livre dont le titre comporte un prénom féminin ou un prénom masculin. "Je m'appelle Nathan Lucius" de Mark Winkler
"Nathan Lucius est un jeune homme ordinaire. Il dort avec la lumière allumée. Il collectionne les vieilles photos anonymes. Il vend des encarts publicitaires dans un journal. Il s’entend plutôt bien avec sa chef. Parfois ils vont boire des bières. Il a une amie plus âgée, Madge, une antiquaire un peu fantasque. Il aime que chaque jour ressemble exactement à la veille. Il déteste les souvenirs. Un type banal. Parfois, il ne se souvient plus de rien. Il est un peu confus.
Un jour, Madge le supplie de l’aider à en finir. Elle a un cancer, elle n’en a plus pour longtemps, elle souffre trop." (résumé éditeur)
Je n'ai pas détesté mais on voit assez vite où l'auteur veut se rendre et on a une impression de déjà lu.
- liskayaNeoprof expérimenté
Pour le défi 1 : un roman qui évoque l'histoire américaine du XXe siècle, j'ai lu un tout petit récit Alcatraz, indian land qui raconte sous forme romancée la tentative des Indiens pour créer sur l'île d'Alcatraz la première université amérindienne.
Bon, bof. Il y avait de quoi faire quelque chose de vraiment intéressant mais là c'est vraiment très court (une cinquantaine de pages) et ça manque de détails. Bref, je suis restée sur ma faim.
Bon, bof. Il y avait de quoi faire quelque chose de vraiment intéressant mais là c'est vraiment très court (une cinquantaine de pages) et ça manque de détails. Bref, je suis restée sur ma faim.
- ValorNiveau 9
Comme il se trouvait à la fois dans la liste Babelio des "livres appartenant au réalisme magique" et dans ma bibliothèque, j'ai décidé de lire Le Vicomte pourfendu d'Italo Calvino afin de valider le défi n°32. Je suis assez déçue finalement : il s'agit d'une sorte de conte philosophique somme toute simpliste dans lequel un chevalier italien est coupé en deux par un boulet de canon lors d'une bataille contre les Turcs. De retour dans son fief, il appréhende le monde selon le principe de la binarité dont son être est l'illustration : une partie de lui exerce le mal et la cruauté, l'autre partie prodigue le bien. Je classerais ce récit dans la littérature jeunesse.
- LaverdureEmpereur
Je suis très en retard mais j'avance à petits pas . J'ai lu Le Cas étrange du Dr Jekyll et de Mr Hyde de R. L. Stevenson pour le défi 25 "Un classique du XIXè siècle". Je connaissais un l'histoire mais ne l'avais jamais lue. J'ai plutôt apprécié mais j'ai eu du mal à vraiment entrer dans l'histoire, à me laisser prendre par le suspense. Stevenson en fait beaucoup, je trouve, pour décrire la terreur que le personnage de Hyde inspire à ceux qu'il croise, le combat intérieur d'un personnage coincé entre la peur, l'envie de savoir, les scrupules qu'inspire la loyauté envers un ami. J'aurais sans doute eu un sentiment différent si je l'avais lu sans connaître l'histoire et donc la fin.
Sans trop dire la fin (même si elle est assez largement connue), on peut dire que le livre correspond aussi au défi sur le franchissement d'une frontière, celle entre le bien et le mal par exemple. C'est plus évident dans le dernier chapitres du livre.
J'ai lu un autre classique que je n'ai jamais lu : Des souris et des hommes de Steinbeck, pour le défi 1 "livre racontant l'histoire américaine du XXè". L'histoire semble ne servir ici que de contexte, quelques références apparaissent au cours du récit (comme l'agence Murray and Ready donnant des cartes de travail aux chômeurs dans les années 1930) mais elle éclaire aussi la situation des personnages principaux et de leurs camarades : les journaliers qui parcourent de mois en mois les ranchs californiens pour y trouver un emploi temporaire, le racisme dont le journalier noir fait l'objet (et qui lui brutalement rappelé alors qu'il semblait l'oublier). J'ai beaucoup aimé même si j'ai trouvé l'histoire très triste en dépit de l'omniprésence du rêve. Je complèterai sans doute par un autre Steinbeck comme les raisins de la colère pour ce défi.
Sans trop dire la fin (même si elle est assez largement connue), on peut dire que le livre correspond aussi au défi sur le franchissement d'une frontière, celle entre le bien et le mal par exemple. C'est plus évident dans le dernier chapitres du livre.
J'ai lu un autre classique que je n'ai jamais lu : Des souris et des hommes de Steinbeck, pour le défi 1 "livre racontant l'histoire américaine du XXè". L'histoire semble ne servir ici que de contexte, quelques références apparaissent au cours du récit (comme l'agence Murray and Ready donnant des cartes de travail aux chômeurs dans les années 1930) mais elle éclaire aussi la situation des personnages principaux et de leurs camarades : les journaliers qui parcourent de mois en mois les ranchs californiens pour y trouver un emploi temporaire, le racisme dont le journalier noir fait l'objet (et qui lui brutalement rappelé alors qu'il semblait l'oublier). J'ai beaucoup aimé même si j'ai trouvé l'histoire très triste en dépit de l'omniprésence du rêve. Je complèterai sans doute par un autre Steinbeck comme les raisins de la colère pour ce défi.
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- BabaretteDoyen
Laverdure a écrit:Je suis très en retard mais j'avance à petits pas . J'ai lu Le Cas étrange du Dr Jekyll et de Mr Hyde de R. L. Stevenson pour le défi 25 "Un classique du XIXè siècle". Je connaissais un l'histoire mais ne l'avais jamais lue. J'ai plutôt apprécié mais j'ai eu du mal à vraiment entrer dans l'histoire, à me laisser prendre par le suspense. Stevenson en fait beaucoup, je trouve, pour décrire la terreur que le personnage de Hyde inspire à ceux qu'il croise, le combat intérieur d'un personnage coincé entre la peur, l'envie de savoir, les scrupules qu'inspire la loyauté envers un ami. J'aurais sans doute eu un sentiment différent si je l'avais lu sans connaître l'histoire et donc la fin.
Sans trop dire la fin (même si elle est assez largement connue), on peut dire que le livre correspond aussi au défi sur le franchissement d'une frontière, celle entre le bien et le mal par exemple. C'est plus évident dans le dernier chapitres du livre.
J'ai attaqué un autre classique que je n'ai jamais lu : Des souris et des hommes de Steinbeck, pour le défi 1 "livre racontant l'histoire américaine du XXè". A première vue, l'histoire ne sert ici que de contexte, quelques références apparaissent au cours du récit (comme l'agence donnant des cartes de travail aux chômeurs dans les années 1930). Je complèterai sans doute par un autre Steinbeck comme les raisins de la colère pour ce défi.
Les Raisins de la Colère est l'un de mes romans favoris. Tu peux le garder pour le défi des "péchés capitaux".
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“Google peut vous donner 100 000 réponses, un bibliothécaire vous donne la bonne.” Neil Gaiman.
:lecteur:
- LaverdureEmpereur
Alors je le garde au cas où je n'irais pas au bout de Oblomov Je crois que j'aime bien Steinbeck. J'ai lu aussi, sous forme de BD, l'adaptation de son roman La Perle... J'ai beaucoup aimé mais quelle histoire sombre !
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- Lady OscarNiveau 9
24. Un livre dont le titre comporte un prénom féminin ou un prénom masculin.
The Rosie Project de Graeme Simsion: roman australien de 2013 que j'ai découvert aux dernières vacances alors que le 3e tome va bientôt sortir en librairie. C'est l'histoire de Don, un généticien qui, à 39 ans, décide qu'il est temps pour lui de se marier. Pour ce faire, il ne fait pas confiance aux procédés de séduction ordinaires puisqu'il n'a jamais obtenu de second rendez-vous en les pratiquant et met au point un questionnaire qui déterminera la partenaire de vie idéale. Survient Rosie, irrémédiablement incompatible, qu'il aide dans sa quête de recherche paternelle et avec qui il se sent si bien. Roman qui se lit rapidement et c’est très drôle.
The Rosie Project de Graeme Simsion: roman australien de 2013 que j'ai découvert aux dernières vacances alors que le 3e tome va bientôt sortir en librairie. C'est l'histoire de Don, un généticien qui, à 39 ans, décide qu'il est temps pour lui de se marier. Pour ce faire, il ne fait pas confiance aux procédés de séduction ordinaires puisqu'il n'a jamais obtenu de second rendez-vous en les pratiquant et met au point un questionnaire qui déterminera la partenaire de vie idéale. Survient Rosie, irrémédiablement incompatible, qu'il aide dans sa quête de recherche paternelle et avec qui il se sent si bien. Roman qui se lit rapidement et c’est très drôle.
- BabaretteDoyen
Laverdure a écrit:Alors je le garde au cas où je n'irais pas au bout de Oblomov Je crois que j'aime bien Steinbeck. J'ai lu aussi, sous forme de BD, l'adaptation de son roman La Perle... J'ai beaucoup aimé mais quelle histoire sombre !
Ah, ça, si tu veux de la joie, il faut lire autre chose !
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“Google peut vous donner 100 000 réponses, un bibliothécaire vous donne la bonne.” Neil Gaiman.
:lecteur:
- LaverdureEmpereur
Babarette a écrit:Laverdure a écrit:Alors je le garde au cas où je n'irais pas au bout de Oblomov Je crois que j'aime bien Steinbeck. J'ai lu aussi, sous forme de BD, l'adaptation de son roman La Perle... J'ai beaucoup aimé mais quelle histoire sombre !
Ah, ça, si tu veux de la joie, il faut lire autre chose !
C'est prévu
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- ValorNiveau 9
Pour le défi n°38 (Un livre dont le titre contient une apostrophe), je viens de lire L'Homme qui plantait des arbres de Jean Giono, texte tout petit par la taille mais grand par l'impression qu'il laisse et le bien qu'il procure. Une écriture simple et puissante à l'image du geste de ce berger qui sème des glands qui eux-mêmes donneront vie à des forêts de chênes qui ramèneront la vie dans les villages… J'aime beaucoup les œuvres de Giono
- liskayaNeoprof expérimenté
Babarette a écrit:Laverdure a écrit: Je complèterai sans doute par un autre Steinbeck comme les raisins de la colère pour ce défi.
Les Raisins de la Colère est l'un de mes romans favoris. Tu peux le garder pour le défi des "péchés capitaux".
J'adore aussi !
- gregforeverGrand sage
Je viens de finir Foenkinos Le mystère Henri Pick prêté par une collègue qui l'a lu car elle voulait le connaître avant de voir le film....
j'ai bien aimé l'histoire, moins la fin (que je ne dévoilerai pas au cas où certains ne l'auraient pas lu) et le style d'écriture...
je ne vois pas bien si je peux le caser quelque part... des suggestions?
j'ai bien aimé l'histoire, moins la fin (que je ne dévoilerai pas au cas où certains ne l'auraient pas lu) et le style d'écriture...
je ne vois pas bien si je peux le caser quelque part... des suggestions?
- LaverdureEmpereur
J'ai vu le film, que j'ai bien aimé. L'ennui, c'est qu'il va me falloir un bout de temps avant de pouvoir lire le livre dont il est adapté . J'ai le même sentiment quant à la fin (si celle du film est fidèle à celle du roman). Pour le défi : 50 "Masque(s)" ? 27 "Né le même mois que vous ?"
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- cléliaFidèle du forum
Quelques défis validés:
- 37 (avant la naissance de l'auteur) : Agnès Desarthe, Ce coeur changeant, qui raconte la vie de Rose, née au Danemark et partie à Paris, qui semble se laisser porter par son destin, entre misère et passion, au début du XXe. Une lecture distrayante, qui fait penser aux feuilletons du XIXe.
- 45 (lu par un autre participant) : B. Benett, Le coeur battant de nos mères J'ai trouvé ce livre dans une boîte à livres, dans un village perdu. Trois destins qui se croisent, dont celui de Nadia, jeune afro-américaine, qui au début du roman perd sa mère et avorte en cachette. Une lecture agréable, une belle découverte.
- 38 (apostrophe) : Lucas Harari, L'Aimant , un roman graphique, en bleu et rouge, sur les thermes de Vals en Suisse (je ne connaissais pas cet endroit). L'histoire tourne autour de ce lieu mystérieux qui exerce une véritable fascination sur le personnage. J'adore les histoires de labyrinthes et j'ai beaucoup apprécié cette lecture.
- 47 (haïkus) : un recueil emprunté à la bibliothèque, Le goût des haïku, collection Le petit mercure. Bof. A quelques exceptions près, je n'ai pas été très sensible à ces textes. Et ceux de la partie "Eros" me semblent plus relever du bon mot que de la poésie et de l'érotisme...
- 37 (avant la naissance de l'auteur) : Agnès Desarthe, Ce coeur changeant, qui raconte la vie de Rose, née au Danemark et partie à Paris, qui semble se laisser porter par son destin, entre misère et passion, au début du XXe. Une lecture distrayante, qui fait penser aux feuilletons du XIXe.
- 45 (lu par un autre participant) : B. Benett, Le coeur battant de nos mères J'ai trouvé ce livre dans une boîte à livres, dans un village perdu. Trois destins qui se croisent, dont celui de Nadia, jeune afro-américaine, qui au début du roman perd sa mère et avorte en cachette. Une lecture agréable, une belle découverte.
- 38 (apostrophe) : Lucas Harari, L'Aimant , un roman graphique, en bleu et rouge, sur les thermes de Vals en Suisse (je ne connaissais pas cet endroit). L'histoire tourne autour de ce lieu mystérieux qui exerce une véritable fascination sur le personnage. J'adore les histoires de labyrinthes et j'ai beaucoup apprécié cette lecture.
- 47 (haïkus) : un recueil emprunté à la bibliothèque, Le goût des haïku, collection Le petit mercure. Bof. A quelques exceptions près, je n'ai pas été très sensible à ces textes. Et ceux de la partie "Eros" me semblent plus relever du bon mot que de la poésie et de l'érotisme...
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Il voyagea.
Il connut la mélancolie des paquebots, les froids réveils sous la tente, l’étourdissement des paysages et des ruines, l’amertume des sympathies interrompues.
Il revint.
Il fréquenta le monde, et il eut d’autres amours, encore.
- gregforeverGrand sage
tellement évident! merci!Escargot Géant a écrit:24 contient un prénom?
- Escargot GéantNiveau 8
gregforever a écrit:tellement évident! merci!Escargot Géant a écrit:24 contient un prénom?
De mon côté cette nuit j'ai lu pour le défi 13 (Goncourt des lycéens) : Un brillant avenir de Catherine Cusset.
On suit la vie d'Elena, qui tombe amoureuse d'un juif en Roumanie en 1958, migre aux Etats -unis, connaît une relation difficile avec sa bru.
J'ai adoré.
Lisez-le.
Puis venez me remercier de l'avoir conseillé. De rien ça fait plaisir.
(en plus convient à de nombreux défis)
- AphrodissiaMonarque
@EscargotGéant, c'est vrai que c'est un super roman!
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Hominis mens discendo alitur et cogitando. (Cicéron)
Et puis les steaks ? Ça se rate toujours comme la tragédie. Mais à des degrés différents. (M. Duras)
- AdrenFidèle du forum
Bonjour à tous,
parce qu'on vient de me le prêter, j'ai lu La vérité sur "dix petits nègres" de Pierre Bayard. J'aime bien ce qu'il écrit et je n'ai pas été déçus. Le narrateur est le véritable assassin des dix petits nègres. L'essai est construit en trois parties : un retour sur l'oeuvre d'Agatha Christie pour en montrer les invraisemblances, la deuxième sur les erreurs commises par les enquêteurs, mais surtout les lecteurs qui ne savent pas réfléchir quand tout est sous leurs yeux, et la troisième, la confession du meurtrier, fâché que, depuis si longtemps, personne n'ait compris ce qui s'était passé sur cette île et ne reconnaisse son oeuvre. Cette lecture peut coller pour le défi n°48 "Un livre dont l'histoire contient un procès", même si les procès sont plutôt évoqués. Il s'agit des procès dans l'oeuvre d'Agatha Christie, suite auxquels les accusés ont été acquittés et que le meurtrier du roman dénonce et veut venger en tuant les dix petits nègres. Citation : "Deux "meurtres" enfin se situent dans le cadre d'un procès. Il en va ainsi de celui reproché au juge Wargrave, qui aurait chargé un accusé pour l'envoyer à la potence, comme de celui dont est accusé Blore, lequel grâce à un faux témoignage, aurait conduit un innocent en prison où il serait mort". Et une citation du texte d'Agatha Christie dans le récit : "J'ai la conviction qu'il a fait un faux témoignage éhonté lors du procès Landor." Convient aussi pour le 4e mur, tant le narrateur prend le lecteur à parti pour lui montrer à quel point il est stupide et pour lui recommander la lecture des essais de Pierre Bayard.
Lu dans le cadre du défi L'Aleph de Borges, parce qu'il était dans la liste Babelio du réalisme magique et dans ma bibliothèque depuis des années. C'est un recueil de nouvelles que j'avais depuis longtemps parce que j'avais souhaité en lire une et n'avais jamais découvert les autres. Bon, je n'aime pas les nouvelles, c'est un fait. Les thèmes auraient dû me plaire (labyrinthe, miroir, double, errance, questionnement métaphysique...), mais je n'ai pas accroché. Je ne comprends d'ailleurs toujours pas le "réalisme magique" dans cette oeuvre, même si en effet, les mots "magie, magique" y apparaissent et que le cadre est plutôt réaliste. Bref, je ne vais pas contester Babelio et valide ce défi n°32. Conviendrait aussi pour le n°33, le désert étant présent dans plusieurs nouvelles.
parce qu'on vient de me le prêter, j'ai lu La vérité sur "dix petits nègres" de Pierre Bayard. J'aime bien ce qu'il écrit et je n'ai pas été déçus. Le narrateur est le véritable assassin des dix petits nègres. L'essai est construit en trois parties : un retour sur l'oeuvre d'Agatha Christie pour en montrer les invraisemblances, la deuxième sur les erreurs commises par les enquêteurs, mais surtout les lecteurs qui ne savent pas réfléchir quand tout est sous leurs yeux, et la troisième, la confession du meurtrier, fâché que, depuis si longtemps, personne n'ait compris ce qui s'était passé sur cette île et ne reconnaisse son oeuvre. Cette lecture peut coller pour le défi n°48 "Un livre dont l'histoire contient un procès", même si les procès sont plutôt évoqués. Il s'agit des procès dans l'oeuvre d'Agatha Christie, suite auxquels les accusés ont été acquittés et que le meurtrier du roman dénonce et veut venger en tuant les dix petits nègres. Citation : "Deux "meurtres" enfin se situent dans le cadre d'un procès. Il en va ainsi de celui reproché au juge Wargrave, qui aurait chargé un accusé pour l'envoyer à la potence, comme de celui dont est accusé Blore, lequel grâce à un faux témoignage, aurait conduit un innocent en prison où il serait mort". Et une citation du texte d'Agatha Christie dans le récit : "J'ai la conviction qu'il a fait un faux témoignage éhonté lors du procès Landor." Convient aussi pour le 4e mur, tant le narrateur prend le lecteur à parti pour lui montrer à quel point il est stupide et pour lui recommander la lecture des essais de Pierre Bayard.
Lu dans le cadre du défi L'Aleph de Borges, parce qu'il était dans la liste Babelio du réalisme magique et dans ma bibliothèque depuis des années. C'est un recueil de nouvelles que j'avais depuis longtemps parce que j'avais souhaité en lire une et n'avais jamais découvert les autres. Bon, je n'aime pas les nouvelles, c'est un fait. Les thèmes auraient dû me plaire (labyrinthe, miroir, double, errance, questionnement métaphysique...), mais je n'ai pas accroché. Je ne comprends d'ailleurs toujours pas le "réalisme magique" dans cette oeuvre, même si en effet, les mots "magie, magique" y apparaissent et que le cadre est plutôt réaliste. Bref, je ne vais pas contester Babelio et valide ce défi n°32. Conviendrait aussi pour le n°33, le désert étant présent dans plusieurs nouvelles.
- SphinxProphète
Adren, peux-tu mettre une partie de ton message en spoiler ? Je crois que tout le monde ne l'a pas lu.
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An education was a bit like a communicable sexual disease. It made you unsuitable for a lot of jobs and then you had the urge to pass it on. - Terry Pratchett, Hogfather
"- Alors, Obélix, l'Helvétie c'est comment ? - Plat."
- AdrenFidèle du forum
Merci, je le note dans ma liste "lu pour le Prix Goncourt des lycéens et associé finalement à un autre défi".Escargot Géant a écrit:
De mon côté cette nuit j'ai lu pour le défi 13 (Goncourt des lycéens) : Un brillant avenir de Catherine Cusset.
On suit la vie d'Elena, qui tombe amoureuse d'un juif en Roumanie en 1958, migre aux Etats -unis, connaît une relation difficile avec sa bru.
J'ai adoré.
Lisez-le.
Puis venez me remercier de l'avoir conseillé. De rien ça fait plaisir.
(en plus convient à de nombreux défis)
- Escargot GéantNiveau 8
Adren a écrit:Merci, je le note dans ma liste "lu pour le Prix Goncourt des lycéens et associé finalement à un autre défi".Escargot Géant a écrit:
De mon côté cette nuit j'ai lu pour le défi 13 (Goncourt des lycéens) : Un brillant avenir de Catherine Cusset.
On suit la vie d'Elena, qui tombe amoureuse d'un juif en Roumanie en 1958, migre aux Etats -unis, connaît une relation difficile avec sa bru.
J'ai adoré.
Lisez-le.
Puis venez me remercier de l'avoir conseillé. De rien ça fait plaisir.
(en plus convient à de nombreux défis)
Haha oui bonne idée j'ai aussi noté pour ce roman qu'il validait les défis 7 22 35 46 (et 33 et 50 de façon un peu-beaucoup- tirée par les cheveux) (et maintenant 45) (par contre je ne connais pas le mois de naissance de Catherine Cusset)
Pour le réalisme magique effectivement la liste Babelio est parfois surprenante et je comprends certaines déceptions. Je vous conseille El ùltimo lector de David Toscana qui n'y figure pas mais que j'ai adoré l'an dernier.
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