- angelxxxÉrudit
Surtout si ce président n'a pas été très gentil avec les cheminots.
- amethysteDoyen
Idem ici : pas de rdv le samedi, certains rdv (pose de l'appareil par ex) pris obligatoirement sur temps scolaire, dernier rdv à 18h (inutile de dire que quand le gamin finit les cours à plus de 17h et qu'il y a plus de 30 mn de trajet, c'est mort), bref, c'est la galère. J'avais réussi un certain temps à caler les rdv de vacances en vacances, mais les parents qui ne sont pas profs ne peuvent pas le faire.frimoussette77 a écrit:Tu as écrit que tu avais été suivi par un orthodontiste pendant 6 ans, mais tu n'as pas précisé de date. Moi aussi j'ai été suivie par un orthodontiste ...il y a 30 ans. (J'ai eu plus de chance, ça n'a pas duré 6 ans !) Il y a 30 ans "mon" ortho acceptait de travailler le mercredi,le samedi et certains soirs. Je n'ai jamais manqué les cours non plus pour ce motif.Volo' a écrit:frimoussette77 a écrit:As-tu essayé actuellement d'avoir un rdv chez un orthodontiste à 19heures ? As-tu déjà essayé de téléphoner à un orthodontiste pendant les vacances ? Mon fils a rdv pendant l'école parce que l'ortho refuse de le prendre à un autre moment et moi je subis. Pareil pour de nombreux autres rdv médicaux. Les spécialistes sont seuls ou presque (dans certains secteurs de France) et imposent leur edt aux autres. C'est ça la vérité. Ils veulent bosser avec des enfants tout en étant avec les leurs. Ils ne veulent pas des inconvénients qui vont avec leur spécialité. Du coup ces médecins n'ont pas de scrupules à prendre leurs vacances pendant les vacances scolaires et à ne pas bosser le mercredi. Tes élèves n'ont pas le choix contrairement à ce que tu penses !Volo' a écrit:
C'est vrai que c'est de plus en plus souvent. Je vois mes collégiens qui ont des rendez-vous médicaux à n'importe quelle heure de la journée. J'ai été suivi pendant 6 ans par un orthodontiste, c'était toujours le soir à 18 voire 19h. Et pour le code, le soir ou le week-end. Mais l'école n'est qu'un élément parmi la vie de nos élèves.
Il me semble que c'est ce que j'ai dit oui.
- CathEnchanteur
Chez nous, toute l'équipe de lettres-histoire sera en grève lundi, sauf 1 (c'est le tour de son mari...couple de prof).
Question posée à des collègues d'autres équipes : "Je sais pas"/" Ah bon il y a grève lundi ?"/"Non".
Question posée à des collègues d'autres équipes : "Je sais pas"/" Ah bon il y a grève lundi ?"/"Non".
- ElbertaHabitué du forum
Lefteris a écrit:
D'après ce que je vois, ça peut arriver, qu'on reproche à un stagiaire la grève. Pas directement, bien entendu, mais on l'attendra au virage. Je me permettais de faire grève stagiaire parce que j'étais titulaire de la FP. Pour les retards sur le programme... quel programme ? Qui a saccagé les programmes ? Quii a réduit les heures de cours, qui sont passées de "plancher " à "plafond " ? Qui organise des réunions, sorties, formations de m... obligatoires sur les heures de cours (ou pire en dehors pour bien pourrir la vie) ?
J'hésite encore. Je suis titulaire de la FP (PE) mais je ne veux pas y retourner, donc je ne veux pas risquer de ne pas être titularisée (en tout cas pas pour une grève). Est-ce que cela peut arriver si je fais grève (en m'attendant au tournant comme tu dis) ?
- angelxxxÉrudit
Je pense sincerement que non.
Quand j''etais stagiaire il y a quelques années je n'etais pas forcement tres apprécié de mes formateurs et je n'ai eu aucun probleme.
[hide]Durant l'annee :
- j'ai quitté un oral qui a commencé en retard pour prendre mon train. J'avais demandé qu'on inverse l'ordre de passage et l'autre etudiant etait d'accord mais la professeur qui etait en retard ne voulait rien savoir. Je lui ai dit combien je l'aimais...
Pour ma decharge je faisaid quotidiennement le trajet strasbourg reims et c'etait un de mes seuls trains
- j'ai dit à un autre intervenant que ce qu'on faisait ne servait à rien : on preprait le capes alors qu'on l'avais deja... pas assez de moyen pour avoir deux filières
- on pourrait continuer la liste longtemps...
Et j'ai eu toutes les felicitaions et cases exellents cochées sur leurs feuilles de notations. [/spoiler]
Quand j''etais stagiaire il y a quelques années je n'etais pas forcement tres apprécié de mes formateurs et je n'ai eu aucun probleme.
[hide]Durant l'annee :
- j'ai quitté un oral qui a commencé en retard pour prendre mon train. J'avais demandé qu'on inverse l'ordre de passage et l'autre etudiant etait d'accord mais la professeur qui etait en retard ne voulait rien savoir. Je lui ai dit combien je l'aimais...
Pour ma decharge je faisaid quotidiennement le trajet strasbourg reims et c'etait un de mes seuls trains
- j'ai dit à un autre intervenant que ce qu'on faisait ne servait à rien : on preprait le capes alors qu'on l'avais deja... pas assez de moyen pour avoir deux filières
- on pourrait continuer la liste longtemps...
Et j'ai eu toutes les felicitaions et cases exellents cochées sur leurs feuilles de notations. [/spoiler]
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"La lumière pense voyager plus vite que quoi que ce soit d'autre, mais c'est faux. Peu importe à quelle vitesse voyage la lumière, l'obscurité arrive toujours la première, et elle l'attend. Terry Pratchett."
- LefterisEsprit sacré
Ca personne ne peut le dire. Il faut sentir les relations autour de toi, les dispositions des formateurs ESpé, du principal... On ne te reprochera pas directement de faire grève, c'est interdit, c'est même une faute. Mais on peut te chercher la petite bête pour n'importe quoi. Les stagiaires sont fragiles, n'ont aucune garantie, ils le savent. Tout réside dans l'humanité et le bon vouloir de ceux qui tiennent leur avenir entre leurs mains : tuteurs, CE, formateurs...Elberta a écrit:J'hésite encore. Je suis titulaire de la FP (PE) mais je ne veux pas y retourner, donc je ne veux pas risquer de ne pas être titularisée (en tout cas pas pour une grève). Est-ce que cela peut arriver si je fais grève (en m'attendant au tournant comme tu dis) ?
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- ElbertaHabitué du forum
Je suis stagiaire 18h, donc pas d’espe. J’ai une relation plus que correcte avec ma tutrice. En revanche, demain j’ai 7h de cours. La direction pourrait voir d’un mauvais oeil que je fasse sauter autant d’heures non ?
- colombaneFidèle du forum
mais si tu es la seule présente, et les élèves déjà partis.... ou complètement démotivés par tous les trous qu'ils auront.... ma propre direction se moque bien de savoir qui est en grève ou pas (du moment que je note scrupuleusement et que je fais la saisie sur l'application dédiée !) Et même, pour cette réforme, elle enrage un peu de voir si peu de mobilisation ! et même maudissant ceux par qui le malheur va arriver (ceux qui ne font rien pour résister !) Alors...
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N'allez pas là où le chemin peut mener. Allez là où il n'y a pas de chemin et laissez une trace (R. W. Emerson)
- Ma'amÉrudit
Je serai en grève demain, mais on sera 5 ou 6 dans mon bahut, comme d'hab.
Très peu de monde suit les actualités de l'EN chez nous...
Très peu de monde suit les actualités de l'EN chez nous...
- henrietteMédiateur
Pareil, sauf qu'il est plus que probable qu'on ne soit que 2 ou 3...
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"Il n'y a que ceux qui veulent tromper les peuples et gouverner à leur profit qui peuvent vouloir retenir les hommes dans l'ignorance."
- JennyMédiateur
Elberta a écrit:Je suis stagiaire 18h, donc pas d’espe. J’ai une relation plus que correcte avec ma tutrice. En revanche, demain j’ai 7h de cours. La direction pourrait voir d’un mauvais oeil que je fasse sauter autant d’heures non ?
Non, on ne peut pas te le reprocher.
- mamieprofEsprit éclairé
Chez nous grosse mobilisation en SES, HG, P/C, espagnol, allemand, SVT. En philo, lettres et anglais les collègues ne se sentent pas concernés sauf ceux qui enseignent des options (LCA ou HDA et Cinéma).
Plus de la moitié des profs seront absents ce qui est très rare.
Plus de la moitié des profs seront absents ce qui est très rare.
- SaltaojosHabitué du forum
J'hallucine : je viens de voir dans Pronote que je suis notée absente demain en "absence personnelle" (je fais effectivement grève, j'en ai parlé pas mal au collège mais sans l'annoncer officiellement à mon chef).
Mon CDE a-t-il le droit de l'avoir affiché avant le jour de la grève ?
Mes élèves ont une raison de plus de sécher les cours qu'il leur reste demain...
Sur pas mal de grévistes nous ne sommes que deux à être déjà notées absentes aujourd'hui... je n'avais pas regardé, si ça se trouve c'est marqué depuis vendredi !
Mon CDE a-t-il le droit de l'avoir affiché avant le jour de la grève ?
Mes élèves ont une raison de plus de sécher les cours qu'il leur reste demain...
Sur pas mal de grévistes nous ne sommes que deux à être déjà notées absentes aujourd'hui... je n'avais pas regardé, si ça se trouve c'est marqué depuis vendredi !
- mamieprofEsprit éclairé
Chez nous si tu as communiqué ton absence à l'administration car tu fais grève on te demande si tu souhaites prévenir les élèves ou non.
Si tu n'as rien dit officiellement comment peuvent-ils le mettre sur pronote ? Un collègue "bien intentionné" a du aller le dire en haut lieu...
Si tu n'as rien dit officiellement comment peuvent-ils le mettre sur pronote ? Un collègue "bien intentionné" a du aller le dire en haut lieu...
- Calypso64Niveau 10
J'ai eu la même surprise sur le Pronote de mon fils : il y a marqué l'absence de certains profs dont le fiston m'a dit qu'ils étaient en grève. Jamais vu ça dans mon collège !
- PuckVénérable
Nous serons 2 dans mon bahut sur une quarantaine. Indifférence, ignorance, pas « concernés », etc. Mais en revanche, plein de collègues surexcités par les gilets jaunes de samedi prochain et le prix des carburants. Comment se fait-il que je ne sois même plus surprise ?
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"Ce que nous avons fait, aucune bête au monde ne l'aurait fait.
Mais nous nous en sommes sortis. Et nous voici confrontés à l'ingratitude de la nation. Pourtant, c'était pas ma guerre. C'était pas ma guerre, oh non !"Cripure
- nounoursNiveau 6
Je participerai à une grève le jour où le mot d'ordre portera sur les salaires et non sur les postes.
Quand vous regardez les titres de presse, les professeurs manifestent demain contre la "saignée des postes" (même pas 0.5% ...) : comment voulez vous que le reste de la population nous soutienne ?
Alors que si le mot d'ordre était de revaloriser nos salaires, l'opinion publique nous suivrait ou tout du moins ne se moquerait pas de nous car tout le monde constate la paupérisation du métier.
Les syndicats défendent les postes prioritairement, et les salaires de manière secondaire seulement comme l'attestent les affiches et tracts que consultent les journalistes :il faut inverser ces priorités !
Quand vous regardez les titres de presse, les professeurs manifestent demain contre la "saignée des postes" (même pas 0.5% ...) : comment voulez vous que le reste de la population nous soutienne ?
Alors que si le mot d'ordre était de revaloriser nos salaires, l'opinion publique nous suivrait ou tout du moins ne se moquerait pas de nous car tout le monde constate la paupérisation du métier.
Les syndicats défendent les postes prioritairement, et les salaires de manière secondaire seulement comme l'attestent les affiches et tracts que consultent les journalistes :il faut inverser ces priorités !
- coquilletteNiveau 6
nounours a écrit:Je participerai à une grève le jour où le mot d'ordre portera sur les salaires et non sur les postes.
Quand vous regardez les titres de presse, les professeurs manifestent demain contre la "saignée des postes" (même pas 0.5% ...) : comment voulez vous que le reste de la population nous soutienne ?
Alors que si le mot d'ordre était de revaloriser nos salaires, l'opinion publique nous suivrait ou tout du moins ne se moquerait pas de nous car tout le monde constate la paupérisation du métier.
Les syndicats défendent les postes prioritairement, et les salaires de manière secondaire seulement comme l'attestent les affiches et tracts que consultent les journalistes :il faut inverser ces priorités !
Je ne suis pas d'accord. Il me semble que c'est plutôt l'inverse : se battre pour de meilleures conditions de travail, c'est aussi agir pour l'intérêt des élèves ; réclamer plus d'argent... c'est perçu comme une revendication égoïste. La paupérisation de notre métier... je ne suis pas sûre que beaucoup nous plaignent à ce sujet. Il suffit de regarder le salaire médian en France.
- Madame_ProfEsprit sacré
Tout à fait coquillette.
Mais sinon, dans le mail de rappel reçu de ma section syndicale aujourd'hui, le blocage des salaires est évoqué avant les suppressions de poste dans les motifs. Et globalement, il l'est à chaque grève.
Bref, pas très convaincue nounours...
Mais sinon, dans le mail de rappel reçu de ma section syndicale aujourd'hui, le blocage des salaires est évoqué avant les suppressions de poste dans les motifs. Et globalement, il l'est à chaque grève.
Bref, pas très convaincue nounours...
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2017-2025 - 10ème établissement, en poste fixe ! Et, militante (encore, malgré tout...) !
2013-2017 - TZR en expérimentation au gré des établissements, et militante !
2012-2013 - Année de stage en collège
- gauvain31Empereur
coquillette a écrit:nounours a écrit:Je participerai à une grève le jour où le mot d'ordre portera sur les salaires et non sur les postes.
Quand vous regardez les titres de presse, les professeurs manifestent demain contre la "saignée des postes" (même pas 0.5% ...) : comment voulez vous que le reste de la population nous soutienne ?
Alors que si le mot d'ordre était de revaloriser nos salaires, l'opinion publique nous suivrait ou tout du moins ne se moquerait pas de nous car tout le monde constate la paupérisation du métier.
Les syndicats défendent les postes prioritairement, et les salaires de manière secondaire seulement comme l'attestent les affiches et tracts que consultent les journalistes :il faut inverser ces priorités !
Je ne suis pas d'accord. Il me semble que c'est plutôt l'inverse : se battre pour de meilleures conditions de travail, c'est aussi agir pour l'intérêt des élèves ; réclamer plus d'argent... c'est perçu comme une revendication égoïste. La paupérisation de notre métier... je ne suis pas sûre que beaucoup nous plaignent à ce sujet. Il suffit de regarder le salaire médian en France.
C'est vrai, mais il est indéniable qu'en plus de la paupérisation qui est très importante, il y a aussi (c'est lié) un déclassement du métier aux yeux de la société dans son ensemble.
Le gel du point d'indice + l’augmentation du coût de la vie fait que les enseignants de France ont perdu beaucoup de pouvoir d'achat ces dernières années. Ajouté à cela des salaires qui étaient déjà ridiculement bas par rapport à la formation que nous avons eue, je comprends parfaitement les propos de nounours.
D'autant plus qu'en plus d'avoir des postes, il faut recruter et donc attirer les jeunes. Avec un salaire décent. Et ce n'est la vidéo du braquage dans une salle de classe qui va arranger l'affaire. L'image de l'EN est pour moi écornée pour de nombreuses années au yeux du grand public. Je serai curieux de voir combien se présenteront au concours de recrutement des PLP l'année prochaine.
Bref, il ne faudrait pas opposer revendication de postes et revendication salariale; ça n'a pas de sens
- LefterisEsprit sacré
Que les gens ne nous plaignent pas, c'est une certitude, mais parce qu'on leur a bourré le crâne ( le dénigrement permanent des médias, piloté par le ministère lui-même : qu'on se rappelle NVB et ses insultes ...) et qu'ils placent sur le plan de la revendication corporative ce qui est un problème de société.coquillette a écrit:
Je ne suis pas d'accord. Il me semble que c'est plutôt l'inverse : se battre pour de meilleures conditions de travail, c'est aussi agir pour l'intérêt des élèves ; réclamer plus d'argent... c'est perçu comme une revendication égoïste. La paupérisation de notre métier... je ne suis pas sûre que beaucoup nous plaignent à ce sujet. Il suffit de regarder le salaire médian en France.
On peut cogner sur les professeurs en poste, OK, ils sont captifs et ne pourront pas tous partir et se reconvertir. Mais à l'entrée, ça coince : plus grand monde ne veut enseigner, et préfère à niveau égal passer d'autres concours , notamment en raison du traitement. C'est lié aux conditions de travail , c'est vrai : un traitement de catégorie B serait accepté par des catégories A avec un boulot agréable, sans management, sans la brutalité imposée dès les Espé . Mais ce n'est pas (ou plus) le cas. Les enseignants ont décroché financièrement ( il y a un temps si lointain, j'étais dans une autre administration, et il était inimaginable qu'un professeur certifié soit moins payé qu'un secrétaire administratif, un contrôleur des douanes, un gardien de la paix etc. ce qui est aujourd'hui le cas) , et parallèlement leur métier est devenu infaisable malgré un travail énorme, dans de nombreux cas, et ce qui se prépare est tout simplement terrible. Ca n'a plus de sens, et l'Education Nationale va mourir (régionalisation, compétences, fin des diplômes nationaux, fin du statut...). C'est cela qu'il faudrait que les Français aient compris. Passé la satisfaction jalouse de voir des fonctionnaires précaires, licenciés, il vont payer le prix fort. Comme pour d'autres choses d'ailleurs...
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- LefterisEsprit sacré
On me l'a fait aussi. Désormais, j'annonce mon absence par texto à 7h30 (pur être compté). Un fait de grève n'est pas une "absence administrative" qui doit passer inaperçue.Calypso64 a écrit:J'ai eu la même surprise sur le Pronote de mon fils : il y a marqué l'absence de certains profs dont le fiston m'a dit qu'ils étaient en grève. Jamais vu ça dans mon collège !
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- angelxxxÉrudit
Je ferai aussi grève le jour où le seul mot d'ordre concernera les salaires. Nos revendications ne sont pas claires pour le grand public et on laisse les journalistes le loisir de choisir le sujet...
Et la plupart du temps si mes proches ne me font pas de remarques quant à mes vacances, ils me disent que mon salaires est minables et du coup suis mal vu ...
Et la plupart du temps si mes proches ne me font pas de remarques quant à mes vacances, ils me disent que mon salaires est minables et du coup suis mal vu ...
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- LefterisEsprit sacré
Là, ça concerne le salaire (sauf les deux syndicats qui ne parlent que des postes et pas des causes) puisque ça touche à la destruction du statut.angelxxx a écrit:Je ferai aussi grève le jour où le seul mot d'ordre concernera les salaires. Nos revendications ne sont pas claires pour le grand public et on laisse les journalistes le loisir de choisir le sujet...
Et la plupart du temps si mes proches ne me font pas de remarques quant à mes vacances, ils me disent que mon salaires est minables et du coup suis mal vu ...
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Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- faerNiveau 6
Je ne ferai pas grève demain, et ce sera la première grève que je ne ferai pas depuis que je suis dans l'EN. J'ai fait grève le 9 oct et j'étais tout seul. Très peu de communication de la part des grands syndicats, des collègues pas concernés, et l'annonce d'un mouvement spécifique à l'éducation pour au final mettre en avant la suppression des postes ? Quel est le but ? Que tout d'un coup le gouvernement se dise "ah non finalement on va pas toucher à l'éducation on va plutôt faire davantage d'économies dans les hôpitaux ou les minima sociaux" ? On marche vraiment sur la tête et je vais être de très mauvaise humeur demain.
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