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- henrietteMédiateur
Mais pourquoi la compétence doit-elle nécessairement être évaluée sur 4 paliers, c'est cela que je ne comprends pas.
- PeteropNiveau 5
Tu peux définir plus de palier mais officiellement le ministère n’en a que 4 ... donc ça ne sert à rien d’en mettre plus !
- ElyasEsprit sacré
Pour donner un autre point de vue, à l'origine, l'approche par compétences peut tout à fait être dans le cadre de la notation chiffrée. Si tu as des échelles descriptives, c'est très simple même. Bref, l'évaluation par notation chiffrée ou par positionnement est tout à fait possible dans l'approche par compétences.
- doubledeckerSage
henriette a écrit:Mais pourquoi la compétence doit-elle nécessairement être évaluée sur 4 paliers, c'est cela que je ne comprends pas.
Il n'y a rien qui oblige à évaluer le niveau de maîtrise d'une compétence selon 4 paliers, on peut tout à fait décider de prendre une échelle différente.
Édit : je n'avais pas vu la réponse d'Elyas qui est comme d'hab claire et précise
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If you're not failing every now and again it's a sign you're not doing anything very innovative (Woody Allen)
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- henrietteMédiateur
Merci pour vos réponses. Cela confirme une impression que j'ai, à savoir qu'on mélange des choses diffétentes, et que rejeter l'évaluation par compétences ne signifie pas rejeter le principe-même du travail par compétences. On peut tout à fait travailler à partir des pratiques langagières par exemple, et d'échelles descriptives, et continuer à évaluer avec des notes, sans être hérétique, si je comprends bien.
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"Il n'y a que ceux qui veulent tromper les peuples et gouverner à leur profit qui peuvent vouloir retenir les hommes dans l'ignorance."
- JEMSGrand Maître
C'est comme cela que nous procédons.
Nous évaluons par compétences avec la graduation suivante : Non maîtrisée, partiellement maîtrisée, fréquemment maîtrisée, maîtrisée. De plus, nous ajoutons un barème correspondant au degré de maîtrise qui permet de nuancer la difficultés des exercices réalisés.
Un élève qui aura un fréquemment maîtrisé sur un exercice simple aura un 14, avec un exercice plus complexe sur la même compétence il aura un 11.
La rigueur du barème fixé par l'enseignant est déterminante. Et c'est en ça qu'il faut être vigilant avec les compétences.
Nous évaluons par compétences avec la graduation suivante : Non maîtrisée, partiellement maîtrisée, fréquemment maîtrisée, maîtrisée. De plus, nous ajoutons un barème correspondant au degré de maîtrise qui permet de nuancer la difficultés des exercices réalisés.
Un élève qui aura un fréquemment maîtrisé sur un exercice simple aura un 14, avec un exercice plus complexe sur la même compétence il aura un 11.
La rigueur du barème fixé par l'enseignant est déterminante. Et c'est en ça qu'il faut être vigilant avec les compétences.
- beaverforeverNeoprof expérimenté
Cela ne sert à rien pour répondre à la demande de l'institution, mais cela peut avoir une utilité pour l'élève.Peterop a écrit:Tu peux définir plus de palier mais officiellement le ministère n’en a que 4 ... donc ça ne sert à rien d’en mettre plus !
Si un élève reçoit une évaluation avec le positionnement "maîtrise partielle" pour "écrire", cela ne lui est pas d'une grande utilité, mais c'est très utile pour l'établissement.
Par contre, s'il a "niveau de maîtrise 7, vous savez écrire une réponse argumentée dans l'ensemble satisfaisante mais vous n'êtes pas capable de mobiliser des mots clefs vus en cours pour préciser en quoi les exemples cités du document soutiennent une réponse argumentée à la question" et que, sur l'échelle qu'il a dans son cahier depuis le début de l'année, il est indiqué "niveau 8 [...] et je suis capable d'utiliser la définition de notions du cours pour articuler une citation et un argument répondant explicitement à la question.", alors l'élève aura un indice fort et explicite pour savoir sur quoi il doit porter ses efforts et progresser.
- henrietteMédiateur
Merci, JEMS, pour ton retour intéressant.
En fait, beaverforever, j'utilise depuis longtemps une grille un peu de ce genre en rédaction : elle regroupe des indicateurs permettant à l'élève de situer où il en est dans la maîtrise de l'expression écrite, et ce sur quoi il devra travailler pour progresser. D'une certaine façon, je suppose que je travaille par compétences ce point-là.
Mais je ne le traduis pas du tout ensuite directement en x points ou telle couleur pour tel "palier". Entre plusieurs élèves qui se situent globalement au même palier, il y a des variations : celui qui est presque au palier suivant, celui qui l'atteint juste. La note chiffrée sur 20 permet de traduire cela bien plus finement qu'un positionnement à quatre niveaux, et me semble aussi plus motivant pour l'élève qui mesure qu'il avance dans un palier.
En fait, beaverforever, j'utilise depuis longtemps une grille un peu de ce genre en rédaction : elle regroupe des indicateurs permettant à l'élève de situer où il en est dans la maîtrise de l'expression écrite, et ce sur quoi il devra travailler pour progresser. D'une certaine façon, je suppose que je travaille par compétences ce point-là.
Mais je ne le traduis pas du tout ensuite directement en x points ou telle couleur pour tel "palier". Entre plusieurs élèves qui se situent globalement au même palier, il y a des variations : celui qui est presque au palier suivant, celui qui l'atteint juste. La note chiffrée sur 20 permet de traduire cela bien plus finement qu'un positionnement à quatre niveaux, et me semble aussi plus motivant pour l'élève qui mesure qu'il avance dans un palier.
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- beaverforeverNeoprof expérimenté
De mon point de vue, une échelle de niveau de maîtrise est un itinéraire que l'enseignant indique à l'élève, un moyen pour que l'élève sache en permanence quel est son niveau de réussite supérieur, pour le focaliser sur cet objectif.
Pour moi, la note chiffrée renvoie à d'autres logiques : donner une évaluation globale du travail de l'élève (Est-ce qu'il a rempli les demandes de l'école ?), permettre le classement des élèves et permettre le calcul de la progression des élèves.
Je ne fais donc pas de lien direct entre le niveau de maîtrise et la note, même s'ils sont bien sûr corrélés. Ainsi, si je demande un niveau de maîtrise 9 en rédaction en fin de seconde et que l'élève a un niveau de 11 au mois de mars, sa note sera sans doute très bonne, mais comme il y a généralement plusieurs échelles de niveau de maîtrise par exercice (apprentissage des connaissances, qualité de la rédaction, qualité de l'argumentation, respect de la forme de l'exercice scolaire...), le lien sera nuancé par l'ensemble des niveaux de maîtrise.
Pour moi, la note chiffrée renvoie à d'autres logiques : donner une évaluation globale du travail de l'élève (Est-ce qu'il a rempli les demandes de l'école ?), permettre le classement des élèves et permettre le calcul de la progression des élèves.
Je ne fais donc pas de lien direct entre le niveau de maîtrise et la note, même s'ils sont bien sûr corrélés. Ainsi, si je demande un niveau de maîtrise 9 en rédaction en fin de seconde et que l'élève a un niveau de 11 au mois de mars, sa note sera sans doute très bonne, mais comme il y a généralement plusieurs échelles de niveau de maîtrise par exercice (apprentissage des connaissances, qualité de la rédaction, qualité de l'argumentation, respect de la forme de l'exercice scolaire...), le lien sera nuancé par l'ensemble des niveaux de maîtrise.
- ElyasEsprit sacré
henriette a écrit:Merci, JEMS, pour ton retour intéressant.
En fait, beaverforever, j'utilise depuis longtemps une grille un peu de ce genre en rédaction : elle regroupe des indicateurs permettant à l'élève de situer où il en est dans la maîtrise de l'expression écrite, et ce sur quoi il devra travailler pour progresser. D'une certaine façon, je suppose que je travaille par compétences ce point-là.
Mais je ne le traduis pas du tout ensuite directement en x points ou telle couleur pour tel "palier". Entre plusieurs élèves qui se situent globalement au même palier, il y a des variations : celui qui est presque au palier suivant, celui qui l'atteint juste. La note chiffrée sur 20 permet de traduire cela bien plus finement qu'un positionnement à quatre niveaux, et me semble aussi plus motivant pour l'élève qui mesure qu'il avance dans un palier.
Les 4 positionnements sont une invention institutionnelle et les couleurs, je ne sais pas. La seule chose que je sais est que l'évaluation dans l'approche par compétence a toujours été liée à deux outils: la tâche complexe et l'échelle descriptive. L'échelle descriptive donne les paliers de réussite atteints et ce qui reste à faire, un objet servant à la fois de barème, de méthode et d'explicitation. A ma connaissance, on peut faire des échelles avec environ une dizaine de paliers (plus ce serait contre-productif dans les petites classes, je pense) ou plus (dans les classes plus avancées).
Je ne travaille plus comme ça mais si je devais y retourner, j'aurais quatre échelles descriptives à côté de mes évaluations de connaissances :
- écrire en HG.
- commenter un document en HG.
- cartographier.
- créer un corpus avec sources référencées et commentées.
Cela nourrirait les compétences 'informer, raisonner, produire, lire, écrire (et mes évaluations de connaissances nourriraient maîtriser des repères) dans les grilles transversales fondées sur les compétences des programmes de toutes les disciplines.
On voit avec ça qu'on est très loin des micro-items.
On confond donc bien souvent la marque sommative des quatre positionnements institutionnels et le travail en classe au quotidien.
Cependant, comme on le voit avec les échelles descriptives, je suis passé de l'autre côté des compétences pour les pratiques langagières. Je travaille en faisant enquêter, conceptualiser, périodiser et spatialiser, donc l'écriture disciplinaire, la cartographie, le commentaire de document et la constitution de corpus ne sont que les outils disciplinaires pour y parvenir, pas l'objectif avec en bonus une maîtrise supérieure des connaissances. Mais là, je sors du cadre du fil pour vanter le travail par pratiques langagières.
Une critique souvent faite à l'approche par compétences est celle de laisser les élèves dans l'incompréhension et l'implicite. La plupart de ces critiques sont faites par des gens qui ne font pas d'échelles descriptives ou qui ont des enfants dans des classes où on ne fait pas d'échelles descriptives. J'en parle librement et sans problème : j'ai eu une réunion dans mon collège pour créer une classe sans notes (qui ne se fera pas, en partie à cause de l'HG qui a refusé d'y entrer pour des motifs différents selon les personnes, ma position est dans la suite du paragraphe). Deux intervenants faisant des classes par compétences sont venus. Lorsque j'ai parlé de travailler par tâches complexes et par échelles descriptives, ils m'ont dit qu'il n'y avait pas besoin de ça et que ça marchait très bien. Ils croyaient me rassurer. Ils m'ont fait fuir. J'ai dit non. Je reste dans mon modèle des pratiques langagières. Ils avaient comme argument que la notation chiffrée, c'était n'importe quoi, chose qu'en tant que formateur académique donnant des stages sur l'évaluation je ne pouvais pas accepter en plus (je n'ai jamais donné ma qualité de FA lors de la réunion, et pas après non plus).
Je vois bien que beaucoup de classes sans notes/par compétences font des choses juste pour changer des notes ou motiver les élèves. Dans ces lieux, c'est un échec. Ailleurs, j'ai vu des équipes faire des échelles descriptives et des tâches complexes. Bizarrement, ça fonctionne avec le soutien des parents dans ces cas-là.
- beaverforeverNeoprof expérimenté
Mode HS : Est-ce que tu aurais une référence en ligne sur les pratiques langagières ?
- henrietteMédiateur
Merci, Elyas. Je vois tout à fait ce que tu veux dire dans le "juste pour changer des notes". Je crois que c'est souvent comme cela qu'est perçue, voire "vendue", l'évaluation par compétences, alors qu'en fait l'abandon des notes n'en est pas constitutive, et n'est pas le pré-requis nécessaire au travail par compétences, si je comprends bien.
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"Il n'y a que ceux qui veulent tromper les peuples et gouverner à leur profit qui peuvent vouloir retenir les hommes dans l'ignorance."
- ElyasEsprit sacré
beaverforever a écrit:Mode HS : Est-ce que tu aurais une référence en ligne sur les pratiques langagières ?
Cela commence à se développer doucement. Tu as la revue Echelles de l'Académie de Créteil qui fait un essai avec son numéro intitulé Expliquer, conceptualiser, périodiser ( [url=http://hgc.ac-creteil.fr/spip.php?article1371 ]http://hgc.ac-creteil.fr/spip.php?article1371 [/url] ). A ma connaissance, cela vient de Didier Cariou dans notre discipline. Dans la revue, on ne parle pas explicitement de pratiques langagières mais on essaie de les caler sur les compétences des programmes d'HG (ce qui est facile, les programmes de 2008 ont validé le système par pratiques langagières et les experts auditionnés pour les programmes de 2016 étaient parmi ceux qui travaillent sur ces questions en HG, Cariou et Dousso, d'ailleurs la lente diffusion de ces pratiques fonctionnent si on lit le dernier rapport CEDRE sur l'HG).
D'ailleurs, en te lisant, je me rends compte que je suis trop influencé par ce modèle en cours d'élaboration quand j'explique le système par compétences. Bon, après, l'HG n'avait pas de modèle didactique réel dans ses objectifs de formation intellectuelle, se mettant toujours dans les roues des autres disciplines (le cas le plus probant et le plus ridicule étant la transposition didactique venue des mathématiques et dévoyée par l'HG dans un non-sens par rapport à ce qu'écrit Chevallard, il y a bien eu un timide essai avec la théorie du contrat et du milieu de Brousseau mais c'est très menu).
- Cécile3367Niveau 1
lou gaia a écrit:un témoignage
je mute dans un collège sans note depuis l'année dernière, tout est évalué par compétence. Pronote est utilisé mais impossible de mettre des notes. Deux enseignants seulement continuent les notes, ils les mettent sur sacoche.
J'évaluais par note dans mon ancien collège. Je n'ai pas le choix puisque les bulletins (4 pages quand même, en couleurs...) ne comportent que des pastilles de couleurs. Je peux toujours arguer de ma liberté pédagogique mais le rendu final semestriel (et oui on passe en semestre cette année) sera en compétences.
Je pensais pour cette année au moins, garder mon système d'évaluation et évaluer en couleurs pour le bulletin, en reportant à chaque éval sur pronote. Un élève qui obtient 8/2O régulièrement et qui à chaque fois se plante sur la partie connaissances des devoirs aura une compétence au minimum fragile dans "apprendre le cours" (il y a quand même un onglet pour cela, j'espère...)
Je travaille dans un collège qui est entièrement passé à l'évaluation par compétences depuis 1 an (l'année précédente ayant été une année de transition où notes et compétences ont cohabité) .
Je ne sais pas quelle matière tu enseignes, Lou Gaia mais pour information, la compétence "apprendre le cours" n'existe dans aucun référentiel de l'EN! D'autre part, pour l'avoir testé il y a deux ans, continuer à mettre des notes en se fixant un barème et en même temps évaluer par compétences te donne en fait double travail et je trouve que la correction de copies est une part suffisamment importante de notre travail sans en rajouter. J'ai donc finalement trouvé plus "confortable" de me limiter à un seul des 2 sytèmes.
En ce qui concerne mon établissement et ma matière (l'hist-géo), nous avons fait un gros travail de réflexion en équipe d'histoire géo (mais cela a été possible parce qu'on s'entend très très bien) qui a abouti à la réalisation de 2 grilles d'évaluation des compétences (il y a 8 compétences en tout) - 1 pour les 6èmes et 1 pour les 5è-4è-3èmes en nous basant sur ce qui était recommandé par les IPR et en reformulant pour fabriquer un outil compréhensible par les élèves et les familles. Travail qui a été validé par notre IPR à la dernière réunion d'équipe qui a lieu avec elle après qu'elle soit venue inspecter le stagiaire que nous avions.
Les élèves ont la grille collée dans leur cahier et y reporte leur évaluation au fur et à mesure de l'année et à chaque évaluation pour voir leur progression -ou pas- au cours de l'année. Evidemment, le prof relève l'évaluation sur son carnet de "notes" et après sur Pronote. A chaque évaluation, les élèves savent précisément quelles compétences (2 ou 3 au maximum) sont évaluées. Les grilles sont utilisées par tous les collègues d'histoire géo (on est 4 titulaires + 1 stagiaire) dans toutes les classes. Il y a donc une cohérence indéniable pour les élèves et leur famille d'une classe à l'autre, quel que soit le prof d'hist géo de la classe.
Je mets en fichier joint un exemple de grille et un exemple d'évaluation pour mieux me faire comprendre.
- Fichiers joints
- Isis39Enchanteur
Et bien moi, dans se repérer dans le temps ou l'espace, je mets les connaissances du cours. Et hop !
- Cécile3367Niveau 1
Isis39 a écrit:Et bien moi, dans se repérer dans le temps ou l'espace, je mets les connaissances du cours. Et hop !
Oui, bien sûr, quand tu demandes aux élèves de compléter une frise chronologique ou une carte, tu évalues leur capacité à se repérer dans le temps et dans l'espace et en même temps leurs connaissances, c'est une évidence!
- Isis39Enchanteur
Je n'ai même pas besoin de ça. Je fais de petits contrôles de connaissances que je mets dans ces compétences.Cécile3367 a écrit:Isis39 a écrit:Et bien moi, dans se repérer dans le temps ou l'espace, je mets les connaissances du cours. Et hop !
Oui, bien sûr, quand tu demandes aux élèves de compléter une frise chronologique ou une carte, tu évalues leur capacité à se repérer dans le temps et dans l'espace et en même temps leurs connaissances, c'est une évidence!
- Calypso64Niveau 10
Je fais comme Isis je prends aussi "repères" comme "connaissances". Ca ne se limite pas aux dates ou localisations géographiques. Par Ex. pour moi savoir que Périclès est le dirigeant d'Athènes au Vè s. av.JC est un repère historique. Et j'y colle aussi la compétence "utiliser un lexique spécifique" pour les définitions !
Perso mes compétences sont principalement :
* COMPETENCES : Construire des repères historiques/géographiques/civiques et utiliser un lexique spécifique.
* COMPETENCE : Pratiquer différents langages.
* COMPETENCE : Analyser et comprendre un document.
Edit : j'ai oublié de préciser que j'évalue pour les élèves/parents/ bulletin par note chiffrée et qu'il n'est pas question que j'abandonne les notes !
Re-Edit : Cécile j'aime bien ta partie "sur les difficultés" analysées par l'élève
Perso mes compétences sont principalement :
* COMPETENCES : Construire des repères historiques/géographiques/civiques et utiliser un lexique spécifique.
* COMPETENCE : Pratiquer différents langages.
* COMPETENCE : Analyser et comprendre un document.
Edit : j'ai oublié de préciser que j'évalue pour les élèves/parents/ bulletin par note chiffrée et qu'il n'est pas question que j'abandonne les notes !
Re-Edit : Cécile j'aime bien ta partie "sur les difficultés" analysées par l'élève
- Isis39Enchanteur
Calypso64 a écrit:Je fais comme Isis je prends aussi "repères" comme "connaissances". Ca ne se limite pas aux dates ou localisations géographiques. Par Ex. pour moi savoir que Périclès est le dirigeant d'Athènes au Vè s. av.JC est un repère historique. Et j'y colle aussi la compétence "utiliser un lexique spécifique" pour les définitions !
Perso mes compétences sont principalement :
* COMPETENCES : Construire des repères historiques/géographiques/civiques et utiliser un lexique spécifique.
* COMPETENCE : Pratiquer différents langages.
* COMPETENCE : Analyser et comprendre un document.
Edit : j'ai oublié de préciser que j'évalue pour les élèves/parents/ bulletin par note chiffrée et qu'il n'est pas question que j'abandonne les notes !
Re-Edit : Cécile j'aime bien ta partie "sur les difficultés" analysées par l'élève
J'ajoute à tes compétences : Rédiger.
- lou gaiaNiveau 5
Cécile3367 a écrit:lou gaia a écrit:un témoignage
je mute dans un collège sans note depuis l'année dernière, tout est évalué par compétence. Pronote est utilisé mais impossible de mettre des notes. Deux enseignants seulement continuent les notes, ils les mettent sur sacoche.
J'évaluais par note dans mon ancien collège. Je n'ai pas le choix puisque les bulletins (4 pages quand même, en couleurs...) ne comportent que des pastilles de couleurs. Je peux toujours arguer de ma liberté pédagogique mais le rendu final semestriel (et oui on passe en semestre cette année) sera en compétences.
Je pensais pour cette année au moins, garder mon système d'évaluation et évaluer en couleurs pour le bulletin, en reportant à chaque éval sur pronote. Un élève qui obtient 8/2O régulièrement et qui à chaque fois se plante sur la partie connaissances des devoirs aura une compétence au minimum fragile dans "apprendre le cours" (il y a quand même un onglet pour cela, j'espère...)
Je travaille dans un collège qui est entièrement passé à l'évaluation par compétences depuis 1 an (l'année précédente ayant été une année de transition où notes et compétences ont cohabité) .
Je ne sais pas quelle matière tu enseignes, Lou Gaia mais pour information, la compétence "apprendre le cours" n'existe dans aucun référentiel de l'EN! D'autre part, pour l'avoir testé il y a deux ans, continuer à mettre des notes en se fixant un barème et en même temps évaluer par compétences te donne en fait double travail et je trouve que la correction de copies est une part suffisamment importante de notre travail sans en rajouter. J'ai donc finalement trouvé plus "confortable" de me limiter à un seul des 2 sytèmes.
En ce qui concerne mon établissement et ma matière (l'hist-géo), nous avons fait un gros travail de réflexion en équipe d'histoire géo (mais cela a été possible parce qu'on s'entend très très bien) qui a abouti à la réalisation de 2 grilles d'évaluation des compétences (il y a 8 compétences en tout) - 1 pour les 6èmes et 1 pour les 5è-4è-3èmes en nous basant sur ce qui était recommandé par les IPR et en reformulant pour fabriquer un outil compréhensible par les élèves et les familles. Travail qui a été validé par notre IPR à la dernière réunion d'équipe qui a lieu avec elle après qu'elle soit venue inspecter le stagiaire que nous avions.
Les élèves ont la grille collée dans leur cahier et y reporte leur évaluation au fur et à mesure de l'année et à chaque évaluation pour voir leur progression -ou pas- au cours de l'année. Evidemment, le prof relève l'évaluation sur son carnet de "notes" et après sur Pronote. A chaque évaluation, les élèves savent précisément quelles compétences (2 ou 3 au maximum) sont évaluées. Les grilles sont utilisées par tous les collègues d'histoire géo (on est 4 titulaires + 1 stagiaire) dans toutes les classes. Il y a donc une cohérence indéniable pour les élèves et leur famille d'une classe à l'autre, quel que soit le prof d'hist géo de la classe.
Je mets en fichier joint un exemple de grille et un exemple d'évaluation pour mieux me faire comprendre.
je suis aussi en HG. Comme dans toutes les disciplines, il y a des savoirs et des savoirs-faire. Je me dis donc que "apprendre le cours" doit bien rentrer quelque part. (par exemple se repérer dans le temps/l'espace) Ton outil est sans doute très pratique, cela représente beaucoup de boulot parce qu'il est quand même compréhensible. Une chose me chiffonne : il est écrit que le prof donne un niveau de maîtrise global pour l'évaluation entière. Or, j'ai l'impression que c'est mélanger les poires et les carottes. Comment donner un niveau global si l'élève a suffisant dans un item, fagile dans un autre, voire insuffisant ailleurs ? Il peut réussir à comprendre un document sans parvenir à rédiger.
Pour cette année (qui va être courte congé mat oblige) je garde les notes et je convertirai en couleurs. Je me suis fabriqué un outil internet qui me crée un pdf par élève à chaque rendu de note avec les points positifs, négatifs de la copie, et même chose pour l'attitude en classe. Il est clair pour les élèves, m'a demandé beaucoup de boulot, je ne vais pas l'abandonner aussi vite. Je verrai à l'usage si c'est tant de travail que de fonctionner ainsi.
Merci beaucoup pour ton partage, cela permet quand même que je réfléchisse aux années qui viennent.
- henrietteMédiateur
Je suis curieuse, peux-tu m'en dire plus ?lou gaia a écrit:
Pour cette année (qui va être courte congé mat oblige) je garde les notes et je convertirai en couleurs. Je me suis fabriqué un outil internet qui me crée un pdf par élève à chaque rendu de note avec les points positifs, négatifs de la copie, et même chose pour l'attitude en classe. Il est clair pour les élèves, m'a demandé beaucoup de boulot, je ne vais pas l'abandonner aussi vite. Je verrai à l'usage si c'est tant de travail que de fonctionner ainsi.
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"Il n'y a que ceux qui veulent tromper les peuples et gouverner à leur profit qui peuvent vouloir retenir les hommes dans l'ignorance."
- Calypso64Niveau 10
Isis39 a écrit:Calypso64 a écrit:Je fais comme Isis je prends aussi "repères" comme "connaissances". Ca ne se limite pas aux dates ou localisations géographiques. Par Ex. pour moi savoir que Périclès est le dirigeant d'Athènes au Vè s. av.JC est un repère historique. Et j'y colle aussi la compétence "utiliser un lexique spécifique" pour les définitions !
Perso mes compétences sont principalement :
* COMPETENCES : Construire des repères historiques/géographiques/civiques et utiliser un lexique spécifique.
* COMPETENCE : Pratiquer différents langages.
* COMPETENCE : Analyser et comprendre un document.
Edit : j'ai oublié de préciser que j'évalue pour les élèves/parents/ bulletin par note chiffrée et qu'il n'est pas question que j'abandonne les notes !
Re-Edit : Cécile j'aime bien ta partie "sur les difficultés" analysées par l'élève
J'ajoute à tes compétences : Rédiger.
Je n'ai pas détaillé mais selon le cas j'ajoute à la COMPETENCE : Pratiquer différents langages -> Récit - Description - Carte - Carte mentale - Schéma -
- Isis39Enchanteur
Calypso64 a écrit:Isis39 a écrit:Calypso64 a écrit:Je fais comme Isis je prends aussi "repères" comme "connaissances". Ca ne se limite pas aux dates ou localisations géographiques. Par Ex. pour moi savoir que Périclès est le dirigeant d'Athènes au Vè s. av.JC est un repère historique. Et j'y colle aussi la compétence "utiliser un lexique spécifique" pour les définitions !
Perso mes compétences sont principalement :
* COMPETENCES : Construire des repères historiques/géographiques/civiques et utiliser un lexique spécifique.
* COMPETENCE : Pratiquer différents langages.
* COMPETENCE : Analyser et comprendre un document.
Edit : j'ai oublié de préciser que j'évalue pour les élèves/parents/ bulletin par note chiffrée et qu'il n'est pas question que j'abandonne les notes !
Re-Edit : Cécile j'aime bien ta partie "sur les difficultés" analysées par l'élève
J'ajoute à tes compétences : Rédiger.
Je n'ai pas détaillé mais selon le cas j'ajoute à la COMPETENCE : Pratiquer différents langages -> Récit - Description - Carte - Carte mentale - Schéma -
Je sépare la rédaction du reste. Ce qui me permet de mettre un positionnement de fin de cycle dans le domaine 1.
- Isis39Enchanteur
lou gaia a écrit:Cécile3367 a écrit:lou gaia a écrit:un témoignage
je mute dans un collège sans note depuis l'année dernière, tout est évalué par compétence. Pronote est utilisé mais impossible de mettre des notes. Deux enseignants seulement continuent les notes, ils les mettent sur sacoche.
J'évaluais par note dans mon ancien collège. Je n'ai pas le choix puisque les bulletins (4 pages quand même, en couleurs...) ne comportent que des pastilles de couleurs. Je peux toujours arguer de ma liberté pédagogique mais le rendu final semestriel (et oui on passe en semestre cette année) sera en compétences.
Je pensais pour cette année au moins, garder mon système d'évaluation et évaluer en couleurs pour le bulletin, en reportant à chaque éval sur pronote. Un élève qui obtient 8/2O régulièrement et qui à chaque fois se plante sur la partie connaissances des devoirs aura une compétence au minimum fragile dans "apprendre le cours" (il y a quand même un onglet pour cela, j'espère...)
Je travaille dans un collège qui est entièrement passé à l'évaluation par compétences depuis 1 an (l'année précédente ayant été une année de transition où notes et compétences ont cohabité) .
Je ne sais pas quelle matière tu enseignes, Lou Gaia mais pour information, la compétence "apprendre le cours" n'existe dans aucun référentiel de l'EN! D'autre part, pour l'avoir testé il y a deux ans, continuer à mettre des notes en se fixant un barème et en même temps évaluer par compétences te donne en fait double travail et je trouve que la correction de copies est une part suffisamment importante de notre travail sans en rajouter. J'ai donc finalement trouvé plus "confortable" de me limiter à un seul des 2 sytèmes.
En ce qui concerne mon établissement et ma matière (l'hist-géo), nous avons fait un gros travail de réflexion en équipe d'histoire géo (mais cela a été possible parce qu'on s'entend très très bien) qui a abouti à la réalisation de 2 grilles d'évaluation des compétences (il y a 8 compétences en tout) - 1 pour les 6èmes et 1 pour les 5è-4è-3èmes en nous basant sur ce qui était recommandé par les IPR et en reformulant pour fabriquer un outil compréhensible par les élèves et les familles. Travail qui a été validé par notre IPR à la dernière réunion d'équipe qui a lieu avec elle après qu'elle soit venue inspecter le stagiaire que nous avions.
Les élèves ont la grille collée dans leur cahier et y reporte leur évaluation au fur et à mesure de l'année et à chaque évaluation pour voir leur progression -ou pas- au cours de l'année. Evidemment, le prof relève l'évaluation sur son carnet de "notes" et après sur Pronote. A chaque évaluation, les élèves savent précisément quelles compétences (2 ou 3 au maximum) sont évaluées. Les grilles sont utilisées par tous les collègues d'histoire géo (on est 4 titulaires + 1 stagiaire) dans toutes les classes. Il y a donc une cohérence indéniable pour les élèves et leur famille d'une classe à l'autre, quel que soit le prof d'hist géo de la classe.
Je mets en fichier joint un exemple de grille et un exemple d'évaluation pour mieux me faire comprendre.
je suis aussi en HG. Comme dans toutes les disciplines, il y a des savoirs et des savoirs-faire. Je me dis donc que "apprendre le cours" doit bien rentrer quelque part. (par exemple se repérer dans le temps/l'espace) Ton outil est sans doute très pratique, cela représente beaucoup de boulot parce qu'il est quand même compréhensible. Une chose me chiffonne : il est écrit que le prof donne un niveau de maîtrise global pour l'évaluation entière. Or, j'ai l'impression que c'est mélanger les poires et les carottes. Comment donner un niveau global si l'élève a suffisant dans un item, fagile dans un autre, voire insuffisant ailleurs ? Il peut réussir à comprendre un document sans parvenir à rédiger.
Pour cette année (qui va être courte congé mat oblige) je garde les notes et je convertirai en couleurs. Je me suis fabriquée un outil internet qui me crée un pdf par élève à chaque rendu de note avec les points positifs, négatifs de la copie, et même chose pour l'attitude en classe. Il est clair pour les élèves, m'a demandé beaucoup de boulot, je ne vais pas l'abandonner aussi vite. Je verrai à l'usage si c'est tant de travail que de fonctionner ainsi.
Merci beaucoup pour ton partage, cela permet quand même que je réfléchisse aux années qui viennent.
Personnellement, je n'évalue qu'une compétence à la fois. Ce qui rend les choses plus simples.
- Cécile3367Niveau 1
lou gaia a écrit:Cécile3367 a écrit:lou gaia a écrit:un témoignage
je mute dans un collège sans note depuis l'année dernière, tout est évalué par compétence. Pronote est utilisé mais impossible de mettre des notes. Deux enseignants seulement continuent les notes, ils les mettent sur sacoche.
J'évaluais par note dans mon ancien collège. Je n'ai pas le choix puisque les bulletins (4 pages quand même, en couleurs...) ne comportent que des pastilles de couleurs. Je peux toujours arguer de ma liberté pédagogique mais le rendu final semestriel (et oui on passe en semestre cette année) sera en compétences.
Je pensais pour cette année au moins, garder mon système d'évaluation et évaluer en couleurs pour le bulletin, en reportant à chaque éval sur pronote. Un élève qui obtient 8/2O régulièrement et qui à chaque fois se plante sur la partie connaissances des devoirs aura une compétence au minimum fragile dans "apprendre le cours" (il y a quand même un onglet pour cela, j'espère...)
Je travaille dans un collège qui est entièrement passé à l'évaluation par compétences depuis 1 an (l'année précédente ayant été une année de transition où notes et compétences ont cohabité) .
Je ne sais pas quelle matière tu enseignes, Lou Gaia mais pour information, la compétence "apprendre le cours" n'existe dans aucun référentiel de l'EN! D'autre part, pour l'avoir testé il y a deux ans, continuer à mettre des notes en se fixant un barème et en même temps évaluer par compétences te donne en fait double travail et je trouve que la correction de copies est une part suffisamment importante de notre travail sans en rajouter. J'ai donc finalement trouvé plus "confortable" de me limiter à un seul des 2 sytèmes.
En ce qui concerne mon établissement et ma matière (l'hist-géo), nous avons fait un gros travail de réflexion en équipe d'histoire géo (mais cela a été possible parce qu'on s'entend très très bien) qui a abouti à la réalisation de 2 grilles d'évaluation des compétences (il y a 8 compétences en tout) - 1 pour les 6èmes et 1 pour les 5è-4è-3èmes en nous basant sur ce qui était recommandé par les IPR et en reformulant pour fabriquer un outil compréhensible par les élèves et les familles. Travail qui a été validé par notre IPR à la dernière réunion d'équipe qui a lieu avec elle après qu'elle soit venue inspecter le stagiaire que nous avions.
Les élèves ont la grille collée dans leur cahier et y reporte leur évaluation au fur et à mesure de l'année et à chaque évaluation pour voir leur progression -ou pas- au cours de l'année. Evidemment, le prof relève l'évaluation sur son carnet de "notes" et après sur Pronote. A chaque évaluation, les élèves savent précisément quelles compétences (2 ou 3 au maximum) sont évaluées. Les grilles sont utilisées par tous les collègues d'histoire géo (on est 4 titulaires + 1 stagiaire) dans toutes les classes. Il y a donc une cohérence indéniable pour les élèves et leur famille d'une classe à l'autre, quel que soit le prof d'hist géo de la classe.
Je mets en fichier joint un exemple de grille et un exemple d'évaluation pour mieux me faire comprendre.
je suis aussi en HG. Comme dans toutes les disciplines, il y a des savoirs et des savoirs-faire. Je me dis donc que "apprendre le cours" doit bien rentrer quelque part. (par exemple se repérer dans le temps/l'espace) Ton outil est sans doute très pratique, cela représente beaucoup de boulot parce qu'il est quand même compréhensible. Une chose me chiffonne : il est écrit que le prof donne un niveau de maîtrise global pour l'évaluation entière. Or, j'ai l'impression que c'est mélanger les poires et les carottes. Comment donner un niveau global si l'élève a suffisant dans un item, fagile dans un autre, voire insuffisant ailleurs ? Il peut réussir à comprendre un document sans parvenir à rédiger.
Pour cette année (qui va être courte congé mat oblige) je garde les notes et je convertirai en couleurs. Je me suis fabriquée un outil internet qui me crée un pdf par élève à chaque rendu de note avec les points positifs, négatifs de la copie, et même chose pour l'attitude en classe. Il est clair pour les élèves, m'a demandé beaucoup de boulot, je ne vais pas l'abandonner aussi vite. Je verrai à l'usage si c'est tant de travail que de fonctionner ainsi.
Merci beaucoup pour ton partage, cela permet quand même que je réfléchisse aux années qui viennent.
De rien, c'est le but! Ce n'est évidemment pas LA solution parfaite mais celle à laquelle nous sommes arrivés avec mes collègues. Et je découvrirai avec intérêt la façon dont vous fonctionnez car cela continuera de faire avancer ma réflexion !
Pour ce qui est de mélanger "les poires et les carottes", il n'est pas question de donner un niveau de maîtrise global pour l'évaluation entière. D'ailleurs, sur l'en-tête qui me sert pour évaluer le travail de l'élève, tu remarqueras qu'il n'y a pas de case "niveau de maîtrise sur l'ensemble de l'évaluation". Je mets simplement une croix dans un des 4 niveaux pour chaque compétence.
- Cécile3367Niveau 1
henriette a écrit:Je suis curieuse, peux-tu m'en dire plus ?lou gaia a écrit:
Pour cette année (qui va être courte congé mat oblige) je garde les notes et je convertirai en couleurs. Je me suis fabriqué un outil internet qui me crée un pdf par élève à chaque rendu de note avec les points positifs, négatifs de la copie, et même chose pour l'attitude en classe. Il est clair pour les élèves, m'a demandé beaucoup de boulot, je ne vais pas l'abandonner aussi vite. Je verrai à l'usage si c'est tant de travail que de fonctionner ainsi.
Moi aussi, ça m'intéresse!
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