L'usage des mails professionnels en fonction des horaires

Merci pour votre aimable autorisation ; je vais donc épargner ma rate, qui ne mérite effectivement pas de se retrouver au court-bouillon :lol:

Hem, je parlais des arguments du patron of course.

Rosanette a écrit:Prof n'est un pas emploi de bureau, mais on ne va quand même pas s'empêcher de piquer les bonnes idées.

La différence est là. Nous avons un travail où nous gérons nos lieux, heures et méthode de notre travail (hors heures de cours bien entendu). De ce fait, il me parait normal que ce soit à chacun de faire la part des choses entre vie privée et vie pro, puisque la plupart d'entre nous le faisons déjà pour bien d'autres choses que les emails.

Je ne donne ni mon numéro de portable ni mon mail perso mais nous avons une messagerie pro (sur l'ENT) qui fonctionne très bien. J'envoie, je reçois et je réponds à des mails à n'importe quelle heure (mais si je recevais une demande abusive du genre de celle du PA de Yasyas, je n'y répondrais certainement pas et ça ne me ferait pas rire).
En revanche, je ne comprends pas pourquoi vous tombez comme ça sur Rosanette. Dans le contexte actuel (de la pression de la sphère professionnelle sur la sphère privée), ce qu'elle suggère (un logiciel qui diffère l'envoi de mails, si j'ai bien compris) me paraît plutôt sain.

Rosanette a écrit:Autres exemples ailleurs

Indépendamment des obligations légales, diverses initiatives ont été mises en œuvre au sein de grands groupes afin d’empêcher les effets négatifs de l’hyperconnexion. On peut par exemple citer La Poste qui a mis en place une plage de déconnexion pour certains de ses salariés entre 20h et 7h30 du matin. L’envoi d’un mail sur ce créneau entraine alors l’ouverture d’une fenêtre de dialogue demandant si l’envoi est lié ou non à une circonstance exceptionnelle. Si tel n’est pas le cas, l’envoi du mail est différé. Autre exemple avec Engie qui a décidé de bloquer l’accès aux boîtes mail en dehors des horaires de travail. Une application proposant trois solutions : ne jamais bloquer les e-mails, ne les recevoir que les jours ouvrés 24 heures sur 24, ou alors n’avoir accès à ses e-mails que pendant les heures ouvrées (de 7 heures à 20 heures) a alors été mise en place.

Prof n'est un pas emploi de bureau, mais on ne va quand même pas s'empêcher de piquer les bonnes idées.

Merci au moins de ne pas me prendre pour une frappadingue qui s'invente des problèmes.

Pour aller un peu dans le sens de Rosanette, même si nous avons une vision différente, c'est un sujet qui mérite réflexion.

Pour la Poste, j'aimerai bien savoir quels sont ces "certains salariés".
Pour l'envoi différé forcé et/ou le choix des plages de réception, je trouve l'idée intéressante, mais j'estime que ce n'est pas à nous de chercher des applications pour le faire, c'est à notre employeur de nous fournir des outils corrects.

Rosanette a écrit:Hem, je parlais des arguments du patron of course.

En effet : j'ai lu trop vite, au temps pour moi. Il n'empêche que nous sommes en complet désaccord, de toute évidence, je vais donc m'arrêter là.

Comparer le fonctionnement d'entreprises avec des gens bossant dans des bureaux à notre métier n'est pas très judicieux.

Rosanette a écrit:

Volubilys a écrit:Pareil, je ne suis pas responsables des névroses de mes collègues, je ne suis pas leur psy, une boîte mail c'est un lieu de travail où on va volontairement, comme on va relever sa boîte aux lettres. On ne va pas relever la boîte aux lettres de l'école le samedi ou pendant les vacances, ben on fait pareil avec son mail pro.  

Vous faites preuve d'un sacré cynisme sur un sujet qui n'affecte pas trop le personnel de l'Educ nat' mais qui est quand même très pregnant dans le monde du travail en général. Imaginez un patron disant cela de ses employés.

Je ne suis pas le patron de mes collègues...
Mon mari qui bosse dans le privé comme cadre, ben sa messagerie pro il ne l'ouvre pas quand il n'est pas au boulot, point, alors ses collègues, son chef, son grand patron peuvent bien lui envoyer des mails à 3h du matin un dimanche, ça lui fait ni chaud ni froid.

Décidément je ne comprends toujours pas votre délire là. Le souci de la déconnexion quand on vous lit est bel et bien l'exigence patronale de réponse dans l'heure et non pas juste de messages envoyés à pas d'heure et dont l'expéditeur n'attend pas de réponse immédiate qu'on ne traitera que quand on sera au travail.

Isis39 a écrit:Comparer le fonctionnement d'entreprises avec des gens bossant dans des bureaux à notre métier n'est pas très judicieux.

Un peu malgré tout, même si la différence majeure réside dans le volume de mails que nous avons à traiter en tant que profs, bien moindre. Puisque c'est de ça dont il s'agit, pas d'une comparaison dans l'absolu.

Tout le monde est intervenu ici pour partager son fonctionnement de travail en dehors des heures de présence dans son établissement mais ça n'est en rien une norme. Il serait quand même curieux de s'abstraire des réalités de nos établissements, ouvert à des horaires tout à fait classiques, permettant de traiter l'administratif et la communication avec ses collègues et sa hiérarchie sur des horaires tout à fait classiques et comparables avec ceux d'un bureau.

Pour la fac, les seuls envois de courriels pour lesquels je me "surveille" sont précisément ceux qui attendent une réponse urgente. J'essaie de les envoyer avant 18h (sachant qu'il m'est parfois arrivé de faire cours jusqu'à 21h ), parce que j'estime que si je demande une réponse, ça ne doit pas tomber dans la boîte des collègues (même enseignants) le soir.
Les échanges avec des chercheurs, ma foi, c'est au petit bonheur la chance, et quand ils sont aux EU ou au Japon je me vois mal leur écrire en tenant compte des fuseaux horaires.
Quand j'écris aux secrétariats, à la fois j'essaie de faire attention, mais ce sont des adresses institutionnelles, je me dis que ce n'est pas grave, je prends ma place dans la file des courriels "à traiter", et tous les collègues m'ont dit qu'en fait ils s'en fichaient royalement, ils se contentaient d'ouvrir leur boîte le matin et de gérer les messages dans l'ordre.
Avec les collègues enseignants, j'observe qu'on a une politique commune : si on envoie un mail le soir, c'est qu'on est (soi) à la bourre pour ce faire, les collègues compatissent quand ils le lisent le lendemain, ou au milieu de la nuit si ça leur chante, mais au moins le boulot est fait, le doc est transmis.
Personnellement, j'aimerais pouvoir dormir de 5h du mat à 11h30-midi, j'attends de devenir maître du monde pour réviser les horaires des facs et des biblis en ce sens

Rosanette a écrit:

Isis39 a écrit:Comparer le fonctionnement d'entreprises avec des gens bossant dans des bureaux à notre métier n'est pas très judicieux.

Un peu malgré tout, même si la différence majeure réside dans le volume de mails que nous avons à traiter en tant que profs, bien moindre. Puisque c'est de ça dont il s'agit, pas d'une comparaison dans l'absolu.

Tout le monde est intervenu ici pour partager son fonctionnement de travail en dehors des heures de présence dans son établissement mais ça n'est en rien une norme. Il serait quand même curieux de s'abstraire des réalités de nos établissements, ouvert à des horaires tout à fait classiques, permettant de traiter l'administratif et la communication avec ses collègues et sa hiérarchie sur des horaires tout à fait classiques et comparables avec ceux d'un bureau.

Mais nous ne travaillons pas dans des bureaux. Quand on est au collège ou au lycée, on fait cours, on n'a pas le temps d'envoyer des mails. Et ensuite, on peut avoir autre chose à faire que rester pour le faire, par exemple récupérer ses enfants ou autre. Elaïna l'a bien expliqué.
C'est en cela que la comparaison n'est pas opérante.

RogerMartin a écrit:
Quand j'écris aux secrétariats, à la fois j'essaie de faire attention, mais ce sont des adresses institutionnelles, je me dis que ce n'est pas grave, je prends ma place dans la file des courriels "à traiter", et tous les collègues m'ont dit qu'en fait ils s'en fichaient royalement, ils se contentaient d'ouvrir leur boîte le matin et de gérer les messages dans l'ordre.

Tu as pris le soin de t'assurer que les collègues en question aient pour règle de ne pas consulter leurs mails le soir, mais si certaines chartes de fac ont cru bon de le mentionner c'est que le problème s'est posé.


Sinon, en regardant à la louche, je pense qu'on est moins d'un 1/5 parmi les collègues enseignants à utiliser notre adresse académique pour nos échanges avec l'établissement. Ca ne dit pas le nombre de collègues ayant deux adresses pro/perso ou ceux comme moi qui utilisent la messagerie de l'ENT et une adresse perso, mais ça en dit assez sur le désamour quant à la messagerie académique (qui est de surcroît pourrie par tous les mails collectifs pour la profession).

Rosanette a écrit:

RogerMartin a écrit:
Quand j'écris aux secrétariats, à la fois j'essaie de faire attention, mais ce sont des adresses institutionnelles, je me dis que ce n'est pas grave, je prends ma place dans la file des courriels "à traiter", et tous les collègues m'ont dit qu'en fait ils s'en fichaient royalement, ils se contentaient d'ouvrir leur boîte le matin et de gérer les messages dans l'ordre.

Tu as pris le soin de t'assurer que les collègues en question aient pour règle de ne pas consulter leurs mails le soir, mais si certaines chartes de fac ont cru bon de le mentionner c'est que le problème s'est posé.


Sinon, en regardant à la louche, je pense qu'on est moins d'un 1/5 parmi les collègues enseignants à utiliser notre adresse académique pour nos échanges avec l'établissement. Ca ne dit pas le nombre de collègues ayant deux adresses pro/perso ou ceux comme moi qui utilisent la messagerie de l'ENT et une adresse perso, mais ça en dit assez sur le désamour quant à la messagerie académique (qui est de surcroît pourrie par tous les mails collectifs pour la profession).

Moins d'1/5e ? Qu'en sais-tu ?
Ici tout se fait via le mail académique.

Je regarde les destinataires des mails envoyés par mon établissement, et j'y vois bien plus de @gmail @yahoo et j'en passe que de mails académiques ; à la louche de mon calcul, 1/5 des profs, voire moins.

Isis39 a écrit:

Rosanette a écrit:

RogerMartin a écrit:
Quand j'écris aux secrétariats, à la fois j'essaie de faire attention, mais ce sont des adresses institutionnelles, je me dis que ce n'est pas grave, je prends ma place dans la file des courriels "à traiter", et tous les collègues m'ont dit qu'en fait ils s'en fichaient royalement, ils se contentaient d'ouvrir leur boîte le matin et de gérer les messages dans l'ordre.

Tu as pris le soin de t'assurer que les collègues en question aient pour règle de ne pas consulter leurs mails le soir, mais si certaines chartes de fac ont cru bon de le mentionner c'est que le problème s'est posé.


Sinon, en regardant à la louche, je pense qu'on est moins d'un 1/5 parmi les collègues enseignants à utiliser notre adresse académique pour nos échanges avec l'établissement. Ca ne dit pas le nombre de collègues ayant deux adresses pro/perso ou ceux comme moi qui utilisent la messagerie de l'ENT et une adresse perso, mais ça en dit assez sur le désamour quant à la messagerie académique (qui est de surcroît pourrie par tous les mails collectifs pour la profession).

Moins d'1/5e ? Qu'en sais-tu ?
Ici tout se fait via le mail académique.

1/2 à Versailles : http://www.versailles.snes.edu/spip.php?article4584

Rosanette a écrit:Je regarde les destinataires des mails envoyés par mon établissement, et j'y vois bien plus de @gmail @yahoo et j'en passe que de mails académiques ; à la louche de mon calcul, 1/5 des profs, voire moins.

Ça par contre c'est choquant. Un établissement n'a pas à écrire sur 1 boite personnelle.

Will.T a écrit:

Rosanette a écrit:Je regarde les destinataires des mails envoyés par mon établissement, et j'y vois bien plus de @gmail @yahoo et j'en passe que de mails académiques ; à la louche de mon calcul, 1/5 des profs, voire moins.

Ça par contre c'est choquant. Un établissement n'a pas à écrire sur 1 boite personnelle.

Si dans la mesure où c'est l'adresse de contact qu'ont bien voulu donner les profs.

Dans mon cas, même si je tenais à utiliser cette adresse, je suis arrivée dans mon académie en même temps que dans mon établissement, je n'avais pas mon nouveau compte académique en remplissant la fiche contact et j'ai mis mon adresse perso.

Depuis je suis uniquement contactée par ce biais, même pas par l'ENT.


EDIT Ton lien rappelle s'il en était besoin l'intérêt limité des boîtes académiques, puisque les infos vraiment importantes retransitent par l'établissement, y compris pour les inspections et convocations.

Chez nous il est obligatoire d'utiliser la boîte pro.
Donc 100%.

Donc trois canaux en ce qui me concerne : ENT, boîte perso, boîte académique (+ d'autres comptes éventuellement liés à d'autres activités).

L'adresse académique se justifie pour communiquer avec le rectorat, elle nous identifie facilement vis-à-vis de notre interlocuteur comme personnel de l'académie ; ça paraît tout de suite bien moins pertinent à l'échelle de l'établissement.

Rosanette a écrit:

Will.T a écrit:

Rosanette a écrit:Je regarde les destinataires des mails envoyés par mon établissement, et j'y vois bien plus de @gmail @yahoo et j'en passe que de mails académiques ; à la louche de mon calcul, 1/5 des profs, voire moins.

Ça par contre c'est choquant. Un établissement n'a pas à écrire sur 1 boite personnelle.

Si dans la mesure où c'est l'adresse de contact qu'ont bien voulu donner les profs.

Dans mon cas, même si je tenais à utiliser cette adresse, je suis arrivée dans mon académie en même temps que dans mon établissement, je n'avais pas mon nouveau compte académique en remplissant la fiche contact et j'ai mis mon adresse perso.

Pour moi c'est 1 faute professionnelle. Un CdE n'a pas à contacter 1 prof par 1 autre moyen que l'ent ou la boite pro. Ils devraient apprendre ça à l'ESEN.

Que les profs redirigent ensuite sur 1 boite perso, ça les regarde.

Si en septembre on en faisait une obligation au sein de mon bahut, je ferai le nécessaire, mais je ne vois pas en quoi c'est une faute professionnelle dès lors que les enseignants ont fourni cette adresse.

Rosanette a écrit:Si en septembre on en faisait une obligation au sein de mon bahut, je ferai le nécessaire, mais je ne vois pas en quoi c'est une faute professionnelle dès lors que les enseignants ont fourni cette adresse.

Les enseignants n'ont pas à fournir d'adresse, les chefs ont tout ça dans leurs bases.
Et cette adresse académique est justement ce qui permet de séparer le personnel du professionnel : c'est la base dans n'importe quel taf.

Rosanette a écrit:Si en septembre on en faisait une obligation au sein de mon bahut, je ferai le nécessaire, mais je ne vois pas en quoi c'est une faute professionnelle dès lors que les enseignants ont fourni cette adresse.

Sans parler de faute...c est juste que l'établissement a constaté que bon nombre d'adresses mail données en septembre devenaient invalides en cours d'année. Donc adresse académique pour tout le monde.

Rosanette a écrit:Donc trois canaux en ce qui me concerne : ENT, boîte perso, boîte académique (+ d'autres comptes éventuellement liés à d'autres activités).

L'adresse académique se justifie pour communiquer avec le rectorat, elle nous identifie facilement vis-à-vis de notre interlocuteur comme personnel de l'académie ; ça paraît tout de suite bien moins pertinent à l'échelle de l'établissement.

En utilisant ton mail académique, tu es protégé par ton employeur sur le contenu des courriels que tu reçois. Après, cela fait partie d'une hygiène de vie. Le pro avec le pro, le personnel avec le personnel. De plus, écrire à jean.dupond@ac-academie.fr fait plus sérieux qu'à jeanjeandu84@tututtttt.com ou labellecoquine@youhou.fr. Enfin, tu peux rediriger tes mails académiques sur une autre boîte sans souci. Considérer qu'utiliser un mail perso dans le cadre professionnel comme un truc normal, c'est bizarre. Je trouve que c'est accepter que le pro empiète sur le perso. D'ailleurs, dire qu'on utilise sa boîte perso pour le pro, c'est déjà accepté l'empiètement sur sa vie perso. Hors de question.

Cath a écrit:Chez nous il est obligatoire d'utiliser la boîte pro.
Donc 100%.

Chez nous c'est fortement conseillé, et tout le monde a une adresse académique donc c'est l'adresse par défaut. Si une autre est utilisée, c'est que les collègues l'ont donnée en plus de l'adresse ac-.

Elyas a écrit:

Rosanette a écrit:Donc trois canaux en ce qui me concerne : ENT, boîte perso, boîte académique (+ d'autres comptes éventuellement liés à d'autres activités).

L'adresse académique se justifie pour communiquer avec le rectorat, elle nous identifie facilement vis-à-vis de notre interlocuteur comme personnel de l'académie ; ça paraît tout de suite bien moins pertinent à l'échelle de l'établissement.

En utilisant ton mail académique, tu es protégé par ton employeur sur le contenu des courriels que tu reçois. Après, cela fait partie d'une hygiène de vie. Le pro avec le pro, le personnel avec le personnel. De plus, écrire à jean.dupond@ac-academie.fr fait plus sérieux qu'à jeanjeandu84@tututtttt.com ou labellecoquine@youhou.fr. Enfin, tu peux rediriger tes mails académiques sur une autre boîte sans souci. Considérer qu'utiliser un mail perso dans le cadre professionnel comme un truc normal, c'est bizarre. Je trouve que c'est accepter que le pro empiète sur le perso. D'ailleurs, dire qu'on utilise sa boîte perso pour le pro, c'est déjà accepté l'empiètement sur sa vie perso. Hors de question.

C'est exactement ça, Rosanette, tu ne veux pas être envahie par ton boulot hors de tes horaires de boulot, mais tu donnes ton adresse perso, je ne comprends pas. Je n'aimerais pas recevoir les catalogues de matériel ou les spécimens chez moi, je ne donne pas mon adresse perso aux éditeurs de bouquins et fournisseurs de matériel. C'est pareil. Tu peux facilement ne consulter ta boite pro qu'au collège.

D'ailleurs tous les textes concernant le droit à la déconnection visent précisément les adresses professionnelles. On n'imaginerait pas un cadre dans une boîte privée donner son adresse perso (je l'avais fait pour quelques mails urgents quand je bossais dans le privé, et les clients avaient tiqué : le serveur qui gérait nos mails pro était en rade et tout marchait par mail, il avait bien fallu trouver une solution). On se plaint assez que L'EN ne mette pas d'outils à notre disposition ; là elle en met un, autant l'utiliser (l'argument de la performance me semblant d'autant moins logique lorsque l'on veut tout faire depuis les bousins hors d'âge de la salle des profs...)
D'ailleurs, j'ai réalisé aujourd'hui que je recevais la plupart des info de mon CDE sur ma boîte perso (que j'avais donnée en attendant d'avoir une boîte académique l'année de mon stage).... Il va falloir y remédier !