Page 2 sur 2 • 1, 2
- OdéonNiveau 3
Madame_Prof a écrit:Sur le plan professionnel, je suis pas sûre que choisir son tuteur (ou inversement) soit bénéfique. Tout comme le fait de rester toujours dans le même établissement (pour le stage puis par la suite).
Dans mon académie, on est obligé de changer d'établissement après son stage. Donc dans tous les cas, on n'y reste que cette année-là. Après rien ne nous empêche, je crois, de demander à y revenir.
- Madame_ProfEsprit sacré
Comment est-ce possible d'y être obligé dans le cas où un poste passe au mouvement ? Le poste peut être obtenu tout de suite. C'est assez rare toutefois.
Enfin là il ne s'agit pas de ça. C'était une remarque complémentaire.
Enfin là il ne s'agit pas de ça. C'était une remarque complémentaire.
_________________
2017-2025 - 10ème établissement, en poste fixe ! Et, militante (encore, malgré tout...) !
2013-2017 - TZR en expérimentation au gré des établissements, et militante !
2012-2013 - Année de stage en collège
- kioupsPBTHabitué du forum
Odéon a écrit:Dans mon académie, on est obligé de changer d'établissement après son stage.
Non, c'est faux, quelle que soit l'académie. En tant que stagiaire, on participe au mouvement (inter dans la plupart des cas, puis intra). Rien n'empêche de demander à être affecté dans son établissement de stagiaire.
A moins que ce ne soit dans le privé...
- HayneeNiveau 7
@Odéon : Il ne faut pas perdre de vue que certains établissements sont officiellement étiquetés comme berceaux pour des stagiaires, et d'autres pas. Donc, déjà, si pour quelque raison que ce soit, ton établissement n'est pas considéré comme "pouponnière" par l'IA, il y a peu de chances qu'il accueille un stagiaire à court terme.
Oui, c'est exactement cela.
Suite à une fausse manipulation (je pense) de la part de mon CDE, j'ai reçu le contenu exhaustif d'une conversation entre l'IA et deux CDE (d'établissements différents) au sujet d'un stagiaire. Je ne reproduirai, bien évidemment, pas le corps des messages ici mais je peux les résumer :
Étape 1 :
Le CDE n°1 apprend qu'un stagiaire va être nommé sur son BMP de 9h. Il répond à l'IA qu'il accepte le stagiaire mais que personne dans son établissement n'est en mesure de prendre en charge le stagiaire.
Étape 2 :
L'IA remercie le CDE d'accepter le stagiaire et propose de se concerter avec le CDE n°1 et le CDE n°2 pour nommer un professeur tuteur. L'IA propose aux deux CDE un nom de tuteur.
Étape 3 :
Le CDE n°1 répond favorablement, et le CDE n°2 dit qu'il va par conséquent transmettre la proposition au proposition au professeur potentiellement tuteur.
Par contre, pour la partie en gras dans la citation, je ne suis pas d'accord : j'ai déjà refusé un fois d'être tutrice, et il est même probable que j'aille sur un second refus d'ici la fin de l'année scolaire. Ma carrière se porte bien (aussi bien qu'elle peut se porter pour quelqu'un qui n'est pas proche de l'IA et qui se refuse à pratiquer la flagornerie et "la lèche" à quelque niveau que ce soit). Si mon horizon professionnel s'est obscurci, c'est à Najat Valaud-Belkacem & cie que je le dois, et je ne vois pas de rapport de cause à effet entre mon refus antérieur et sa nomination en tant que ministre...
1) du stagiaire LC qui se retrouve très vite bien seul dans son établissement (un bon apprentissage de la vie, ceci dit, puisque le professeur de LC qui exerce en collège se retrouve encore plus seul que d'habitude en conseil pédagogique depuis la réforme 2016...) ;
2) du tuteur qui se retrouve dans une sorte de service partagé sur deux établissements, à devoir renseigner son stagiaire sur des pratiques au sein de l'établissement et des élèves qu'il ne connaît pas (florilège : "comment fait-on quand on n'a plus de crédits photocopies sur son compte ?", "quand les rencontres parents-professeurs ont-elles lieu ?", "à l'ESPE on a parlé d'une échelle des sanctions : il y a une dans cet établissement ?", "est-ce qu'on peut faire acheter un livre aux familles en cours d'année ou bien est-ce que tout devait être inscrit sur la fiche de fournitures ?", "j'avais rdv avec les parents de Machin mais ils ne sont pas venus : ça leur arrive souvent dans cette famille ?", "il n'y a pas de gestionnaire dans l'établissement : qui doit-on contacter pour déposer un projet ?" etc.). Je ne parle même pas du temps perdu pour la moindre chose qui pourrait, dans une situation normale et saine, se régler entre deux portes ou pendant la récréation en salle des professeurs, au lieu de noircir des pages de mails ou passer des coups de téléphone.
Je rejoins par ailleurs ce que d'autres ont dit sur l'aspect délicat d'être le tuteur de quelqu'un qu'on connaît : ce n'est déjà pas toujours facile de dire à quelqu'un de sympathique et soucieux de bien faire qu'il est complètement à côté de la plaque sur certains points (voire sur certaines connaissances, et là, c'est plus délicat, parce que le professeur stagiaire est censé être au point sur les connaissances liées au contenu de son enseignement : c'est à cela que sert l'obtention du concours) alors si, en plus, ça doit venir empoisonner les relations amicales et/ou familiales...
Bosco75 a écrit:C’est l’inspection, en lien avec la DPE, qui place les stagiaires dans les supports dévolus au stage. Et cela a la suite d’une procédure de mouvement stagiaire assez étrange il faut le reconnaître...
Concernant le choix du tuteur, celui ci est dévolu au CDE sur proposition du corps d’inspection. Un CDE peut très bien nommer le tuteur de son choix du moment que celui ci a une certaine ancienneté et accepte (en pratique peu refusent car ce serait se mettre une balle dans le pied pour la carrière). Pour être tuteur donc, c’est simple: ta tête doit revenir au CDE et que l’inspection ait formulé un bon avis sur ta pratique pédagogique lors des visites voilà tout.
Par conséquent, mieux vaut ne pas trop espérer car tu risques d’être déçu si ton CDE et l’inspection voient les choses autrement...
Oui, c'est exactement cela.
Suite à une fausse manipulation (je pense) de la part de mon CDE, j'ai reçu le contenu exhaustif d'une conversation entre l'IA et deux CDE (d'établissements différents) au sujet d'un stagiaire. Je ne reproduirai, bien évidemment, pas le corps des messages ici mais je peux les résumer :
Étape 1 :
Le CDE n°1 apprend qu'un stagiaire va être nommé sur son BMP de 9h. Il répond à l'IA qu'il accepte le stagiaire mais que personne dans son établissement n'est en mesure de prendre en charge le stagiaire.
Étape 2 :
L'IA remercie le CDE d'accepter le stagiaire et propose de se concerter avec le CDE n°1 et le CDE n°2 pour nommer un professeur tuteur. L'IA propose aux deux CDE un nom de tuteur.
Étape 3 :
Le CDE n°1 répond favorablement, et le CDE n°2 dit qu'il va par conséquent transmettre la proposition au proposition au professeur potentiellement tuteur.
Par contre, pour la partie en gras dans la citation, je ne suis pas d'accord : j'ai déjà refusé un fois d'être tutrice, et il est même probable que j'aille sur un second refus d'ici la fin de l'année scolaire. Ma carrière se porte bien (aussi bien qu'elle peut se porter pour quelqu'un qui n'est pas proche de l'IA et qui se refuse à pratiquer la flagornerie et "la lèche" à quelque niveau que ce soit). Si mon horizon professionnel s'est obscurci, c'est à Najat Valaud-Belkacem & cie que je le dois, et je ne vois pas de rapport de cause à effet entre mon refus antérieur et sa nomination en tant que ministre...
C'est effectivement le cas dans plusieurs académies, notamment pour les stagiaires Lettres classiques. Certains recteurs ont choisi comme cheval de bataille de nommer un tuteur LC pour chaque stagiaire LC. Sur le papier, cela peut sembler sympathique et attentionné. Ou juste une forme fantasque de cruauté ingénieuse et barbare, car, dans la pratique, c'est compliquer inutilement les choses, pour ne pas dire pourrir inutilement la vie :Odéon a écrit:DaphNenya a écrit:Le tuteur peut aussi ne pas être dans le même établissement que son stagiaire.
Ah bah v'la aut' chose !
C'est pas mal pour le suivi, ça !
1) du stagiaire LC qui se retrouve très vite bien seul dans son établissement (un bon apprentissage de la vie, ceci dit, puisque le professeur de LC qui exerce en collège se retrouve encore plus seul que d'habitude en conseil pédagogique depuis la réforme 2016...) ;
2) du tuteur qui se retrouve dans une sorte de service partagé sur deux établissements, à devoir renseigner son stagiaire sur des pratiques au sein de l'établissement et des élèves qu'il ne connaît pas (florilège : "comment fait-on quand on n'a plus de crédits photocopies sur son compte ?", "quand les rencontres parents-professeurs ont-elles lieu ?", "à l'ESPE on a parlé d'une échelle des sanctions : il y a une dans cet établissement ?", "est-ce qu'on peut faire acheter un livre aux familles en cours d'année ou bien est-ce que tout devait être inscrit sur la fiche de fournitures ?", "j'avais rdv avec les parents de Machin mais ils ne sont pas venus : ça leur arrive souvent dans cette famille ?", "il n'y a pas de gestionnaire dans l'établissement : qui doit-on contacter pour déposer un projet ?" etc.). Je ne parle même pas du temps perdu pour la moindre chose qui pourrait, dans une situation normale et saine, se régler entre deux portes ou pendant la récréation en salle des professeurs, au lieu de noircir des pages de mails ou passer des coups de téléphone.
Personnellement, j'ai eu pour tutrice une LM sans formation pour le latin et le grec, et c'est sans doute la meilleure chose qui me soit arrivée dans ma vie professionnelle quand je vois le sort dévolu aux langues anciennes vingt ans plus tard et l'avenir de professeur de français qui semble m'attendre, à moins que je ne sois tentée d'exercer sur deux ou trois établissements pour continuer à dispenser des cours de latin et de grec. J'ai par contre eu la possibilité d'observer, de mémoire pendant trente heures, un professeur de LC en cours de latin dans un autre établissement. C'était largement suffisant : à mon sens, en dix-quinze heures, on aurait pu faire le tour de ce qu'il était possible de faire avec les élèves (et ce doit être encore plus vrai maintenant).Odéon a écrit:Nizab a écrit:Un lettres classiques peut avoir un lettres modernes pour tuteur par exemple...
Oui, ce serait plus logique en effet . Mais dans ce cas, le PLM a-t-il une formation pour le latin et/ou le grec ?
Je rejoins par ailleurs ce que d'autres ont dit sur l'aspect délicat d'être le tuteur de quelqu'un qu'on connaît : ce n'est déjà pas toujours facile de dire à quelqu'un de sympathique et soucieux de bien faire qu'il est complètement à côté de la plaque sur certains points (voire sur certaines connaissances, et là, c'est plus délicat, parce que le professeur stagiaire est censé être au point sur les connaissances liées au contenu de son enseignement : c'est à cela que sert l'obtention du concours) alors si, en plus, ça doit venir empoisonner les relations amicales et/ou familiales...
À mon époque, on obtenait même + 0,1 pt dans le barème si on demandait l'établissement dans lequel on avait été formé.kioupsPBT a écrit:Odéon a écrit:Dans mon académie, on est obligé de changer d'établissement après son stage.
Non, c'est faux, quelle que soit l'académie. En tant que stagiaire, on participe au mouvement (inter dans la plupart des cas, puis intra). Rien n'empêche de demander à être affecté dans son établissement de stagiaire.
- OdéonNiveau 3
Mon établissement accueille chaque année des stagiaires (notamment en EPS, Mathématiques et Anglais), mais en Lettres classiques je crois qu'il n'y en a jamais eu...
Je connais une PLM qui a déjà été tutrice de PLC, mais elle avait déjà enseigné le latin pendant deux ans.
Ah... C'est peut-être moi qui ai mal compris alors, j'étais persuadé qu'on était obligé de changer.
Je connais une PLM qui a déjà été tutrice de PLC, mais elle avait déjà enseigné le latin pendant deux ans.
Haynee a écrit:À mon époque, on obtenait même + 0,1 pt dans le barème si on demandait l'établissement dans lequel on avait été formé.
Ah... C'est peut-être moi qui ai mal compris alors, j'étais persuadé qu'on était obligé de changer.
- kioupsPBTHabitué du forum
Chez nous, on a 5 ou 6 profs de LM, 6 h de latin à faire (peu ou prou) et on a donc tous les ans un ou une stagiaire en LC (qui complète avec une classe de seconde en français). Et un tuteur de chez nous, en LM donc.
_________________
- Spoiler:
- 2004-2005 : stagiaire en lycée (seconde)
2005-2006 : stagiaire (again !) en collège (4ème)
2006-2008 : TZR en collège à l'année (5-4-3 PP 5ème puis 6-5)
2008-2011 : collège 1 (6-5-3, PP 6ème puis 5ème)
2011-2012 : collèges 2 et 3 (6-4, PP 6ème)
2012-2017 : collège 2 (un peu de tout, PP 6ème)
2017 : agreg interne
2017-2018 : lycée 1 (1S, 1STI2D, seconde)
2018-2019 : lycée 1 (1S, TS, TSTI2D, PP 1S et TS)
- EnaecoVénérable
Et cette mission de tuteur tu l'accepterais pour une unique année ? Ou c'est une volonté sur le long terme et la connaissance d'un futur stagiaire te pousse à sauter le pas ?
- OdéonNiveau 3
@kioupsPBT Mais du coup tous les ans le prof de latin change ? Les élèves ne sont pas perdus d'une année sur l'autre ?
@Enaeco En réalité, tout est parti d'une boutade du style « Ah, ce serait super que ce sois toi mon tuteur ! ». Voilà, voilà... Donc c'était juste un renseignement, parce que sinon il ne me serait jamais venu à l'idée de prendre un stagiaire. Déjà qu'en Lettres classiques, ça ne court pas les rues... Après, si l'occasion se présente de manière plus concrète, pourquoi pas ? Cela fait aussi partie de notre rôle d'éducateur après tout...
@Enaeco En réalité, tout est parti d'une boutade du style « Ah, ce serait super que ce sois toi mon tuteur ! ». Voilà, voilà... Donc c'était juste un renseignement, parce que sinon il ne me serait jamais venu à l'idée de prendre un stagiaire. Déjà qu'en Lettres classiques, ça ne court pas les rues... Après, si l'occasion se présente de manière plus concrète, pourquoi pas ? Cela fait aussi partie de notre rôle d'éducateur après tout...
- Bosco75Niveau 7
Madame_Prof a écrit:En tout cas, si berceau stagiaire il y a, j'ose espérer que les règles d'affectation seront respectées (rien ne dit, donc, que ce soit elle et pas un autre stagiaire).
C'est fou ces fils qui fleurissent ces temps ci sur les stagiaires qui choisiraient leur établissement, non ?
Et je ne parle pas des nombreux néo-titulaires qui sont en train de demander des révisions d'affectation parce qu'ils ont eu un autre établissement que celui de leur stage au mouvement...
Sur le plan professionnel, je suis pas sûre que choisir son tuteur (ou inversement) soit bénéfique. Tout comme le fait de rester toujours dans le même établissement (pour le stage puis par la suite).
Exactement, l'année de stage, de par son côté excessivement infantilisant (c'est mon ressenti hein), nécessite de muter dans un autre établissement pour se réinvestir totalement et être enfin professeur (eh oui car on fait bien comprendre aux stagiaires lors de l'année de stage qu'ils ne sont que "stagiaires"...).
Et quelle déception ce serait si tous les stagiaires étaient dans l'obligation de rester sur le berceau stagiaire l'année de néotitulaire et les années suivantes...chaque EPLE est unique en son genre, c'est la richesse de notre institution et je crois qu'il est important, les premières années en tous cas, d'en prendre conscience.
- MédéeÉrudit
Bosco75 a écrit:Madame_Prof a écrit:En tout cas, si berceau stagiaire il y a, j'ose espérer que les règles d'affectation seront respectées (rien ne dit, donc, que ce soit elle et pas un autre stagiaire).
C'est fou ces fils qui fleurissent ces temps ci sur les stagiaires qui choisiraient leur établissement, non ?
Et je ne parle pas des nombreux néo-titulaires qui sont en train de demander des révisions d'affectation parce qu'ils ont eu un autre établissement que celui de leur stage au mouvement...
Sur le plan professionnel, je suis pas sûre que choisir son tuteur (ou inversement) soit bénéfique. Tout comme le fait de rester toujours dans le même établissement (pour le stage puis par la suite).
Exactement, l'année de stage, de par son côté excessivement infantilisant (c'est mon ressenti hein), nécessite de muter dans un autre établissement pour se réinvestir totalement et être enfin professeur (eh oui car on fait bien comprendre aux stagiaires lors de l'année de stage qu'ils ne sont que "stagiaires"...).
Et quelle déception ce serait si tous les stagiaires étaient dans l'obligation de rester sur le berceau stagiaire l'année de néotitulaire et les années suivantes...chaque EPLE est unique en son genre, c'est la richesse de notre institution et je crois qu'il est important, les premières années en tous cas, d'en prendre conscience.
Non pas forcément, on peut aussi tomber sur une bonne équipe !
Après je suis d'accord sur le fait que c'est bien de voir plusieurs établissements, mais après tout chacun fait bien comme il veut.
- Bosco75Niveau 7
Sherlock a écrit:Bosco75 a écrit:Madame_Prof a écrit:En tout cas, si berceau stagiaire il y a, j'ose espérer que les règles d'affectation seront respectées (rien ne dit, donc, que ce soit elle et pas un autre stagiaire).
C'est fou ces fils qui fleurissent ces temps ci sur les stagiaires qui choisiraient leur établissement, non ?
Et je ne parle pas des nombreux néo-titulaires qui sont en train de demander des révisions d'affectation parce qu'ils ont eu un autre établissement que celui de leur stage au mouvement...
Sur le plan professionnel, je suis pas sûre que choisir son tuteur (ou inversement) soit bénéfique. Tout comme le fait de rester toujours dans le même établissement (pour le stage puis par la suite).
Exactement, l'année de stage, de par son côté excessivement infantilisant (c'est mon ressenti hein), nécessite de muter dans un autre établissement pour se réinvestir totalement et être enfin professeur (eh oui car on fait bien comprendre aux stagiaires lors de l'année de stage qu'ils ne sont que "stagiaires"...).
Et quelle déception ce serait si tous les stagiaires étaient dans l'obligation de rester sur le berceau stagiaire l'année de néotitulaire et les années suivantes...chaque EPLE est unique en son genre, c'est la richesse de notre institution et je crois qu'il est important, les premières années en tous cas, d'en prendre conscience.
Non pas forcément, on peut aussi tomber sur une bonne équipe !
Après je suis d'accord sur le fait que c'est bien de voir plusieurs établissements, mais après tout chacun fait bien comme il veut.
Ou des moins bonnes. Ajoutons à cela l'ESPE et la pratique des "visites-conseil" bien connue de tous les fonctionnaires stagiaires ayant survécu à cette année de stage somme toute éprouvante...Inutile d'en dire plus
- MédéeÉrudit
Bosco75 a écrit:Sherlock a écrit:Bosco75 a écrit:
Exactement, l'année de stage, de par son côté excessivement infantilisant (c'est mon ressenti hein), nécessite de muter dans un autre établissement pour se réinvestir totalement et être enfin professeur (eh oui car on fait bien comprendre aux stagiaires lors de l'année de stage qu'ils ne sont que "stagiaires"...).
Et quelle déception ce serait si tous les stagiaires étaient dans l'obligation de rester sur le berceau stagiaire l'année de néotitulaire et les années suivantes...chaque EPLE est unique en son genre, c'est la richesse de notre institution et je crois qu'il est important, les premières années en tous cas, d'en prendre conscience.
Non pas forcément, on peut aussi tomber sur une bonne équipe !
Après je suis d'accord sur le fait que c'est bien de voir plusieurs établissements, mais après tout chacun fait bien comme il veut.
Ou des moins bonnes. Ajoutons à cela l'ESPE et la pratique des "visites-conseil" bien connue de tous les fonctionnaires stagiaires ayant survécu à cette année de stage somme toute éprouvante...Inutile d'en dire plus
Oui ça ok tout le monde le sait ; si on admet que les "moins bonne équipes" existent, on peut aussi admettre que les bonnes équipes existent aussi. L'année de stage est difficile, je le sais, j'en sors (l'espe est particulièrement pénible) ; mais après, pas la peine non plus de tout généraliser Heureusement que de bons collègues sont là pour aider ceux qui entrent dans le métier, c'est peut-être bien de le souligner aussi.
- kioupsPBTHabitué du forum
Odéon a écrit:@kioupsPBT Mais du coup tous les ans le prof de latin change ? Les élèves ne sont pas perdus d'une année sur l'autre ?
Tout à fait... A priori, les élèves ne s'en sortent pas trop mal...
- OdéonNiveau 3
kioupsPBT a écrit:Odéon a écrit:@kioupsPBT Mais du coup tous les ans le prof de latin change ? Les élèves ne sont pas perdus d'une année sur l'autre ?
Tout à fait... A priori, les élèves ne s'en sortent pas trop mal...
Et pourquoi ne pas créer un poste en Lettres classiques, puisque les néo-titulaires peuvent demander l'établissement de leur stage ?
- kioupsPBTHabitué du forum
J'en sais trop rien... Mais il n'y a que 6 h à pourvoir en LC. Et pas assez en français pour faire un temps plein. Pourrait y avoir un complément de service... En tous cas, ça fait apparemment plusieurs années qu'on fonctionne avec un stagiaire...
_________________
- Spoiler:
- 2004-2005 : stagiaire en lycée (seconde)
2005-2006 : stagiaire (again !) en collège (4ème)
2006-2008 : TZR en collège à l'année (5-4-3 PP 5ème puis 6-5)
2008-2011 : collège 1 (6-5-3, PP 6ème puis 5ème)
2011-2012 : collèges 2 et 3 (6-4, PP 6ème)
2012-2017 : collège 2 (un peu de tout, PP 6ème)
2017 : agreg interne
2017-2018 : lycée 1 (1S, 1STI2D, seconde)
2018-2019 : lycée 1 (1S, TS, TSTI2D, PP 1S et TS)
Page 2 sur 2 • 1, 2
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum