Page 2 sur 3 • 1, 2, 3
- kiwiGuide spirituel
pogonophile a écrit:Tu peux suivre les conseils qui te sont donnés par ceux qui ne seront pas les payeurs, entrer en opposition frontale et refuser en bloc le fonctionnement qu'apparemment les autres suivent, ne prendre qu'une HSA et forcer les autres à en prendre ou faire venir un BMP 3h, passer ainsi auprès de tes collègues pour "mossieu l'agrégé qui n'accepte aucune contrainte", et te placer dans le collimateur de tout l'établissement avant même la pré-rentrée.
Tu peux aussi faire le dos rond, te créer ta place après t'être fait reconnaître, et ensuite élaborer ton propre fonctionnement, qui n'a pas fini d'évoluer puisque tu débutes.
Pour mieux te positionner entre les deux, le plus simple serait encore d'aller sur place et échanger avec tes futurs collègues - entre autres, participer à la répartition des services - pour mieux identifier la réalité au delà du discours.
On peut aussi adopter un positionnement intermédiaire : s'intégrer aux projets qui l'intéressent, voir s'il y a des points vraiment bloquants qui rendent la répartition compliquée et s'adapter pour un an (en précisant bien qu'il aura fait des efforts, donc l'année prochaine...), en effet, ne pas dire non d'emblée, ni oui, s'informer sur le profil exact des élèves dans cet établissement, demander conseils aux collègues plus expérimentés pour la gestion de classe...
Bref, on n'est pas obligé de passer pour le pédant de service ni se faire marcher sur les pieds par un chef et une équipe qui, parce qu'ils ont vu "neotit-agrégé externe" se sont dit que ça n'allait pas le faire...
- Hugo78Niveau 10
Bonjour,
Tout refuser en bloc dès ton arrivée serait un peu présomptueux et risque d'être très mal pris par l'ensemble du personnel, non ? Quand on débarque quelque part, l'important est de se fondre dans le moule et d'attendre avant d'avoir une once de prétentions. Quant aux heures supplémentaires, très franchement, il faut arrêter. On te demande de faire cours 18 heures/semaine... Ce qui est la quotité horaire d'un certifié... Tu seras payé en conséquence... Bref, je ne comprends pas cette mentalité du "moins je travaille, mieux je me porte !"
Tout refuser en bloc dès ton arrivée serait un peu présomptueux et risque d'être très mal pris par l'ensemble du personnel, non ? Quand on débarque quelque part, l'important est de se fondre dans le moule et d'attendre avant d'avoir une once de prétentions. Quant aux heures supplémentaires, très franchement, il faut arrêter. On te demande de faire cours 18 heures/semaine... Ce qui est la quotité horaire d'un certifié... Tu seras payé en conséquence... Bref, je ne comprends pas cette mentalité du "moins je travaille, mieux je me porte !"
- trompettemarineMonarque
Lord Steven a écrit:Ne vous laissez pas intimider et refusez déjà toute heure supplémentaire au delà de l'heure statutaire.
Attention tout de même, si ce jeune collègue est amené à donner des khôlles, des vacations, ou autres choses, cela lui sera refusé.
L'idéal est d'être présent lors de la répartition. Certains collègues ont peut-être besoin d'heures supplémentaires.
Pour les projets, tu en fais peu. Apprends déjà la part la plus importante de ton métier : enseigner ta matière. Petit à petit tu t'engageras (ou pas) dans des projets.
Mais, profitons encore un peu du temps où le projet n'est pas l'alpha et l'oméga de notre métier. Nous professons une matière à des élèves : et cela va déjà bien te prendre 99 % de ton énergie.
Les projets, ils vont et viennent en fonction "des porteurs de projets", souvent ils disparaissent au bout de quatre cinq ans (après épuisement ou lassitude du porteur de projet).
- User20188Niveau 5
Hugo78 a écrit:Bonjour,
Tout refuser en bloc dès ton arrivée serait un peu présomptueux et risque d'être très mal pris par l'ensemble du personnel, non ? Quand on débarque quelque part, l'important est de se fondre dans le moule et d'attendre avant d'avoir une once de prétentions. Quant aux heures supplémentaires, très franchement, il faut arrêter. On te demande de faire cours 18 heures/semaine... Ce qui est la quotité horaire d'un certifié... Tu seras payé en conséquence... Bref, je ne comprends pas cette mentalité du "moins je travaille, mieux je me porte !"
Parce que la vie se résume à travailler ??
- trompettemarineMonarque
Cicyle a écrit:Tu es tombé sur un sombre c****…
Tu peux refuser toute heure supp au delà de la première. Et tu fais absolument ce que tu veux en cours tant que tu respectes les programmes. Et seul un inspecteur a vocation à juger de la qualité de tes cours. Tu es titulaire à partir du 01/09/18 et tu n'es donc absolument pas obligé d'aller assister au cours d'un collègue (quoique parfois, ça puisse être enrichissant quand c'est souhaité de part et d'autres).
Après, si tu luttes, tu risques de passer une année compliquée avec le proviseur et si les élèves sont difficiles, tu risques d'avoir besoin de son soutien…
Courage, en tous cas.
- Spoiler:
- Oui, utilise la technique du pet sur une toile cirée : laisse glisser. (J'ai un peu honte de la formulation de mes propos, mais c'est l'expression la plus idoine que j'ai pu trouver.
- HalybelÉrudit
Hugo78 a écrit:Bonjour,
Tout refuser en bloc dès ton arrivée serait un peu présomptueux et risque d'être très mal pris par l'ensemble du personnel, non ? Quand on débarque quelque part, l'important est de se fondre dans le moule et d'attendre avant d'avoir une once de prétentions. Quant aux heures supplémentaires, très franchement, il faut arrêter. On te demande de faire cours 18 heures/semaine... Ce qui est la quotité horaire d'un certifié... Tu seras payé en conséquence... Bref, je ne comprends pas cette mentalité du "moins je travaille, mieux je me porte !"
Si tout le monde acceptent les HSA ça envoie un message simple : 18h c'est trop peu. Et hop on passe tous à 21h, le bonheur pour nos gouvernants dans un métier où il y a crise des vocations... Alors que toi tu veuilles les faire pour l'aspect pécuniaire, soit, mais là tu es face à quelqu'un qui ne veut pas, donc je ne vois pas pourquoi il faudrait l'encourager à le faire.
Quand à cette phrase : "Bref, je ne comprends pas cette mentalité du "moins je travaille, mieux je me porte !". Je ne l'a commenterais même pas tellement elle me fait frémir. 3h c'est une classe en plus, peut-être donc un niveau en plus + les copies... C'est pas juste une HSA rappelons que dans les textes on prévoit 1.5h de préparation, ça fait donc 3 + 4.5 H en plus par semaine. Il est agrégé, il a donc le droit d'être à 16h. Rappelons qu'il est T1 et que c'est plus difficile de cumuler en étant T2 que T4 quand tes cours sont rodés.
_________________
Je soigne ma dyslexie pardon si elle ressort trop parfois.
Le téléphone ne m’aide pas.
- User20401Vénérable
Je ne comprends pas le lien avec ma réponse.trompettemarine a écrit:Cicyle a écrit:Tu es tombé sur un sombre c****…
Tu peux refuser toute heure supp au delà de la première. Et tu fais absolument ce que tu veux en cours tant que tu respectes les programmes. Et seul un inspecteur a vocation à juger de la qualité de tes cours. Tu es titulaire à partir du 01/09/18 et tu n'es donc absolument pas obligé d'aller assister au cours d'un collègue (quoique parfois, ça puisse être enrichissant quand c'est souhaité de part et d'autres).
Après, si tu luttes, tu risques de passer une année compliquée avec le proviseur et si les élèves sont difficiles, tu risques d'avoir besoin de son soutien…
Courage, en tous cas.
- Spoiler:
Oui, utilise la technique du pet sur une toile cirée : laisse glisser. (J'ai un peu honte de la formulation de mes propos, mais c'est l'expression la plus idoine que j'ai pu trouver.
Je ne disais pas de ne rien faire. Simplement, qu'en cas de "rébellion", il risquait d'avoir une année plus difficile. Les conseilleurs ne sont pas les payeurs. Donc oui, il a le droit de refuser. A lui de voir s'il refuse tout ou partie de ce que lui dicte le CDE.
- trompettemarineMonarque
Je plussoyais ton message. Il laisse couler sans faire de vagues et sans prendre de risques inutiles en début de carrière (si l'on peut parler de risques).
- User20401Vénérable
D'accord. Je ne parvenais pas à saisir le degré de ton message.
- skindiverÉrudit
Hugo78 a écrit:Bonjour,
Tout refuser en bloc dès ton arrivée serait un peu présomptueux et risque d'être très mal pris par l'ensemble du personnel, non ? Quand on débarque quelque part, l'important est de se fondre dans le moule et d'attendre avant d'avoir une once de prétentions. Quant aux heures supplémentaires, très franchement, il faut arrêter. On te demande de faire cours 18 heures/semaine... Ce qui est la quotité horaire d'un certifié... Tu seras payé en conséquence... Bref, je ne comprends pas cette mentalité du "moins je travaille, mieux je me porte !"
Perso si j'étais agrégé ça ne serait pas pour faire 18H / semaine... Il est libre de ne pas vouloir de ces 3HSE.
Après fais attention dans la manière dont tu amènes les choses, et ça peut être un deal avec le chef pour avoir un EDT qui te plait. Du donnant donnant.
En revanche pour être intégré de force aux projets des collègues, clairement je dirais non si le projet ne m'interesse pas.
- CasparProphète
trompettemarine a écrit:Je plussoyais ton message. Il laisse couler sans faire de vagues et sans prendre de risques inutiles en début de carrière (si l'on peut parler de risques).
Je crois aussi qu'il faut avoir une attitude modérée: ne pas se laisser marcher sur les pieds mais ne pas ruer dans les brancards non plus, surtout après un seul entretien téléphonique (attendre de voir le cde IRL et surtout les collègues, prendre le pouls de l'établissement - sans doute difficile si j'ai bien compris). La façon de le dire compte aussi...Mais débarquer en refusant tout et en brandissant des textes ne me semble pas être une bonne idée
- KapoutNiveau 1
Quel intérêt de passer l'agreg alors ? Ou d'aller enseigner en rep+ par exemple ?Hugo78 a écrit:On te demande de faire cours 18 heures/semaine... Ce qui est la quotité horaire d'un certifié... Tu seras payé en conséquence... Bref, je ne comprends pas cette mentalité du "moins je travaille, mieux je me porte !"
Chacun est libre de définir ses priorités : s'il ne place pas le travail et l'argent comme buts de sa vie, c'est lui que ça regarde
Et après, il y a la loi, qui est claire. Refuser des heures sup, je n'appellerais pas cela une rébellion.
- CasparProphète
Si je me souviens bien, Hugo78 est un grand pourfendeur de l'agrégation et des agrégés. On peut s'amuser à continuer "On te demande de faire cours 21 heures par semaine...ce qui était la quotité horaire d'un PEGC autrefois, tu seras payé en conséquence etc etc..."
- Hugo78Niveau 10
Caspar a écrit:Si je me souviens bien, Hugo78 est un grand pourfendeur de l'agrégation et des agrégés. On peut s'amuser à continuer "On te demande de faire cours 21 heures par semaine...ce qui était la quotité horaire d'un PEGC autrefois, tu seras payé en conséquence etc etc..."
Ah non, pas du tout... Je n'ai rien contre les agrégés, je suis juste pour les heures supplémentaires et pour le "travailler plus pour gagner plus".
- Hugo78Niveau 10
Kapout a écrit:Quel intérêt de passer l'agreg alors ? Ou d'aller enseigner en rep+ par exemple ?Hugo78 a écrit:On te demande de faire cours 18 heures/semaine... Ce qui est la quotité horaire d'un certifié... Tu seras payé en conséquence... Bref, je ne comprends pas cette mentalité du "moins je travaille, mieux je me porte !"
Chacun est libre de définir ses priorités : s'il ne place pas le travail et l'argent comme buts de sa vie, c'est lui que ça regarde
Et après, il y a la loi, qui est claire. Refuser des heures sup, je n'appellerais pas cela une rébellion.
La loi évoluera, c'est dans les cartons de toute façon !
- CasparProphète
Hugo78 a écrit:Caspar a écrit:Si je me souviens bien, Hugo78 est un grand pourfendeur de l'agrégation et des agrégés. On peut s'amuser à continuer "On te demande de faire cours 21 heures par semaine...ce qui était la quotité horaire d'un PEGC autrefois, tu seras payé en conséquence etc etc..."
Ah non, pas du tout... Je n'ai rien contre les agrégés, je suis juste pour les heures supplémentaires et pour le "travailler plus pour gagner plus".
C'est ton choix, mais pas celui de tous, comme cela a été dit plus haut par d'autres. On peut aussi préférer avoir plus de temps libre, pour une raison ou pour une autre, ou sans raison particulière. De toute façon le problème ici est surtout l'attitude désagréable et autoritaire du cde.
- User20188Niveau 5
Hugo78 a écrit:Caspar a écrit:Si je me souviens bien, Hugo78 est un grand pourfendeur de l'agrégation et des agrégés. On peut s'amuser à continuer "On te demande de faire cours 21 heures par semaine...ce qui était la quotité horaire d'un PEGC autrefois, tu seras payé en conséquence etc etc..."
Ah non, pas du tout... Je n'ai rien contre les agrégés, je suis juste pour les heures supplémentaires et pour le "travailler plus pour gagner plus".
Le problème c'est qu'en France on travaillera plus pour la même chose voire moins avec la CSG etc.
- CasparProphète
Domitius a écrit:Hugo78 a écrit:Caspar a écrit:Si je me souviens bien, Hugo78 est un grand pourfendeur de l'agrégation et des agrégés. On peut s'amuser à continuer "On te demande de faire cours 21 heures par semaine...ce qui était la quotité horaire d'un PEGC autrefois, tu seras payé en conséquence etc etc..."
Ah non, pas du tout... Je n'ai rien contre les agrégés, je suis juste pour les heures supplémentaires et pour le "travailler plus pour gagner plus".
Le problème c'est qu'en France on travaillera plus pour la même chose voire moins avec la CSG etc.
C'est votre dada ? Cela n'arrive pas qu'en France. Dans le collège où j'ai été assistant en GB, on a demandé aux professeurs de faire 25 heurs au lieu de 21 sans compensations financières, pour des raison budgétaires.
- pseudo-intelloSage
Oui, sauf si ça t'amène à faire mille bornes aller-retour.pogonophile a écrit:Pour mieux te positionner entre les deux, le plus simple serait encore d'aller sur place et échanger avec tes futurs collègues - entre autres, participer à la répartition des services - pour mieux identifier la réalité au delà du discours.
Demande les coordonnées de collègues. La répartition n'est pas encore faire, et si ça se trouve,quelqu'un sera prêt à faire les heures sup (personne ne pouvait tabler sur l'arrivée certaine d'un agrégé). EN lus, pour la DHG, c'est facile de basculer des heures postes en heures sup - c'est le contraire qui est compliqué.
On te parle d'un néotit dans un collège difficile.Hugo78 a écrit: Quant aux heures supplémentaires, très franchement, il faut arrêter. On te demande de faire cours 18 heures/semaine... Ce qui est la quotité horaire d'un certifié... Tu seras payé en conséquence... Bref, je ne comprends pas cette mentalité du "moins je travaille, mieux je me porte !"
Ses trois heures d'agrégé en moins seront feront peut-être la différence entre une année compliqué et une année insoutenable, en lui laissant plus de temps pour respirer.
J'ai personnellement le plus grand mal à comprendre votre mentalité du jugement et du mépris immédiat, a fortiori à l'égard d'un débutant.
trompettemarine a écrit:Mais, profitons encore un peu du temps où le projet n'est pas l'alpha et l'oméga de notre métier. Nous professons une matière à des élèves : et cela va déjà bien te prendre 99 % de ton énergie.
Les projets, ils vont et viennent en fonction "des porteurs de projets", souvent ils disparaissent au bout de quatre cinq ans (après épuisement ou lassitude du porteur de projet).
SI je n'avais pas connu les début sque j'ai connus, j'aurais peut-être, comme d'autres ici, prôné la souplesse. Mais voilà. J'ai connu des débuts difficiles (avec heure supr pour éviter un complément de service trop loin de chez moi - ça m'avait paru une victoire, à l'époque, c'est vous dire si j'étais cruche).
20 heures comptées 22 avec la décharge néotit et la décharge déplacement - le compte en banque a apprécia.
Mais j'avais le bordel, un travail de dingue - sauf quand j'ai eu tellement le bordel que les cours n'avançaient plus, ça a diminué ma charge de travail sans augmenter pour autant ma satisfaction personnelle.
Trois matins, je m'en souviens, à peine arrivée en salle des profs, je suis partie dans des sanglots incontrôlables. C'était, je le pense, une défense inconsciente : les collègues m'accompagnaient alors à l'infirmerie, où je récupérais pendant la première heure de la matinée - je ne prenais mes classes qu'ensuite.
Dès le début du mois de mai, j'avais un décompte précis du nombre d'heures restant à assurer avec mes 3e de la mort.
Quand l'un s'est levé en menaçant de me frapper, j'ai secrètement espéré qu'il le fasse, car cela m'aurait sans doute permis d'obtenir un arrêt maladie pour le dernier mois de l'année scolaire (mais il s'est dégonflé).
J'ai eu très peu de soutien de la hiérarchie, qui était défaillante.
un bon nombre de collègues, qui avaient le bordel, mais moins, au lieu de tenir compte de mon inexpérience, m'ont regardée avec un mépris croissant ; nous étions trois ou quatre, dans l'équipe, à être considérés comme des ratés complets.
Franchement, si j'avais pu avoir 16 heures au lieu de 20, ça n'aurait pas été la fête, mais ça aurait toujours été ça de gagné.
J'ai gagné en expérience, j'ai été mutée dans des endroits moins compliquée (mais compliqués quand même, parfois), j'ai eu des collègues plus solidaires, et/ou des directions plus compétentes également. Je ne suis plus méprisée par personne, je pense.
Mais je conseille de refuser les heures sup, autant que faire se peut, en tout cas pour cette année.
- Sylvain de Saint-SylvainGrand sage
archeboc a écrit:Si vous acceptez les 3 HSA (p.ê. y a-t-il dans l'équipe un enseignant prêt à faire ces trois HSA), au minimum faites comprendre au CDE que vous lui faites une grâce. Me sentirais-je, à votre place, de négocier l'acceptation des HSA contre un avantage qui ne lui coûterait pas grand chose et qui m'allègerait la tâche, par exemple une journée libre dans la semaine ?
J'ai pensé la même chose. C'est une bonne idée, et une bonne raison de refuser si le proviseur ne veut rien lâcher en échange.
Cette question est très délicate. Je crois que, pour l'année de stage, je me serai incliné. Mais pas ensuite.
Je les aurais quand même jusque là, moi, si j'avais passé l'agrégation pour faire 18 heures.
- frecheGrand sage
Il y a aussi le fait qu'un edt de 15h peut être pire qu'un edt de 18h si celui qui le fait y met de la bonne volonté. Je pense aussi qu'il faut contacter les collègues, leur expliquer que tu débutes (ce qu'ils ne savent sans doute pas) et que par conséquent tu ne souhaites pas faire d'heures sup.
Pour ceux qui disent qu'on peut avoir un bmp avec toutes les heures, ce n'est pas toujours vrai. Dans certaines académies, les postes en maths sont loin d'être pourvus.
Pour ceux qui disent qu'on peut avoir un bmp avec toutes les heures, ce n'est pas toujours vrai. Dans certaines académies, les postes en maths sont loin d'être pourvus.
- User17095Érudit
Si LA question compliquée c'est celle des HSA, il doit bien y avoir moyen de refaire une répartition qui en absorbe une ou deux - le moyen terme négocié est sans doute préférable à forcer l'arrivée d'un BMP 3h, qui n'a certainement pas envie d'être sur trois établissements...
- roxanneOracle
Le plus inquiétant à mon sens serait pour moi la position du CDE sur votre matière et le contenu pédagogique.
- VerduretteModérateur
Je suis bien d'accord. Mais là on peut toujours dire "oui oui oui" , penser "cause toujours mon coco" et faire comme on veut une fois la porte de la classe fermée. Il y a des programmes, que diable ! pauvre Thalès !
Cela dit, s'il y a beaucoup d'autres zigotos dans son genre, ce n'est pas très étonnant qu'on soit si bas dans TIMMS.
Cela dit, s'il y a beaucoup d'autres zigotos dans son genre, ce n'est pas très étonnant qu'on soit si bas dans TIMMS.
- CantorNiveau 1
Merci pour toutes vos réponses et tous vos conseils.
Concernant les HSA, je suis prêt à en prendre quelques unes, mais contrairement à certains qui aiment travailler plus pour gagner plus, je préfère travailler à un rythme que je maîtrise pour travailler bien (d'ailleurs ça me semble saugrenu que quelqu'un dont la mentalité est travailler plus pour gagner plus ait choisi le métier d'enseignant...). Et je n'ai aucune envie de porter atteinte à ma santé pour quelques piécettes. Ayant des problèmes d'autorité, je ne suis pas sûr que je partirai gagnant si je suis épuisé par la préparation de mes cours et si je n'ai pas le temps d'y apporter le temps de préparation nécessaire.
Mais ce qui m'a le plus frappé c'est surtout la façon dont le proviseur s'est adressé à moi, sa vision de « l'enseignement » et de notre métier, ainsi que son côté autoritaire. Je ne veux pas rentrer en conflit avec lui mais je n'ai pas non plus envie de me faire étouffer par un chef qui prend trop d'espace... Pour être tout à fait honnête, je n'ai pas choisi l'enseignement pour me trouver soumis à un chef et me faire donner des ordres en permanence ; d'autant plus si je ne me reconnais pas dans ces ordres.
J'ai contacté un collègue en math, et j'attends sa réponse.
Concernant les HSA, je suis prêt à en prendre quelques unes, mais contrairement à certains qui aiment travailler plus pour gagner plus, je préfère travailler à un rythme que je maîtrise pour travailler bien (d'ailleurs ça me semble saugrenu que quelqu'un dont la mentalité est travailler plus pour gagner plus ait choisi le métier d'enseignant...). Et je n'ai aucune envie de porter atteinte à ma santé pour quelques piécettes. Ayant des problèmes d'autorité, je ne suis pas sûr que je partirai gagnant si je suis épuisé par la préparation de mes cours et si je n'ai pas le temps d'y apporter le temps de préparation nécessaire.
Mais ce qui m'a le plus frappé c'est surtout la façon dont le proviseur s'est adressé à moi, sa vision de « l'enseignement » et de notre métier, ainsi que son côté autoritaire. Je ne veux pas rentrer en conflit avec lui mais je n'ai pas non plus envie de me faire étouffer par un chef qui prend trop d'espace... Pour être tout à fait honnête, je n'ai pas choisi l'enseignement pour me trouver soumis à un chef et me faire donner des ordres en permanence ; d'autant plus si je ne me reconnais pas dans ces ordres.
J'ai contacté un collègue en math, et j'attends sa réponse.
- VerduretteModérateur
Sage décision. Ce collègue va te servir de "thermomètre" pour évaluer l'impact réel des élucubrations du Chef.
Malheureusement, si on a pu imposer la réforme du collège, c'est bien parce qu'il y avait aussi des chevilles ouvrières favorables aux EPIS et autres fariboles. Et quand c'est le grand chef sioux ...
Malheureusement, si on a pu imposer la réforme du collège, c'est bien parce qu'il y avait aussi des chevilles ouvrières favorables aux EPIS et autres fariboles. Et quand c'est le grand chef sioux ...
Page 2 sur 3 • 1, 2, 3
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum