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- XucarNiveau 1
Bonjour, je me permets de témoigner de mon expérience TZR.
Voilà deux ans que je suis TZR (et dans le métier, sans compter l'année de stage), je partage assez peu les différents avis sur le TZRiat. Je pense que ceux qui en sont satisfait ont eu des postes à l'année, ce n'est pas mon cas, c'est pourquoi je voulais en témoigner.
Néo-tit, nouvellement arrivée dans la région parisienne, 22 ans, trop jeune, tout le monde me passe devant, affectée ZR Bobigny soit tout le 93, 31 aout, pas d'affectation, je me rends donc pour la pré-rentrée dans mon RAD, une journée à écouter parler de super projets, rencontrer une super équipe que je ne verrais plus, plusieurs jours d'attente, (certains diront vacances en plus), la boule au ventre à la moindre sonnerie de mon téléphone, je ne sais pas à quelle sauce je vais être mangée.
Je suis appelée finalement sur un établissement chouette, bien que REP, mais pas pour l'année, fin de mon remplacement, quelques jours avant la fin, on m'appelle, finalement je continue jusqu'à la fin de l'année. Cette année rebelote, pré-rentrée dans mon RAD, la rentrée passe, je suis appelée établissement chaud REP, pas à l'année, je termine mon remplacement, dit aurevoir à tous mes élèves, le lendemain on m'appelle, la personne que je remplace a un arret maladie, je suis prof d'éducation musicale j'ai donc 2 semaines soit 2 séances à faire pour combler les trous (avant les vacances), vacances, retour de vacances je suis actuellement dans l'attente d'un coup de téléphone. Je vais donc arriver en mars dans un nouvel établissement. J'en suis là.
Par rapport aux élèves, dans l'ensemble ça s'est bien passé, par contre, arrivée en cours d'année (même à quelques jours de la rentrée) et c'est le test. Pour eux un remplaçant n'est pas un vrai prof. Arriver après la rentrée c'est la galère, on n'a pas la prérentrée pour rencontrer les autres et donc on doit prendre nos marques, voir les PP alors que les cours ont commencés et que c'est le rush de début d'année. Tu n'es pas là à l'année donc les beaux projets... on oublie. Ah et tout le monde pense que tu n'as pas le concours. Des collègues contractuels m'ont avoué qu'ils n'auraient pas accepté mon remplacement de 2 semaines bouche trou... ça vous donne une idée.
Alors oui si ça se passe mal on y est pas longtemps, mais quand ça se passe bien et qu'on ne sait pas où on va se trouver le mois suivant... Sans parler de la vie perso, les emploi du temps qui changent en cours d'année c'est compliqué de s'y adapter, de renoncer à des activités perso, de n'avoir aucune stabilité. Bref merci les ISSR ... je vais en rester là.
Voilà deux ans que je suis TZR (et dans le métier, sans compter l'année de stage), je partage assez peu les différents avis sur le TZRiat. Je pense que ceux qui en sont satisfait ont eu des postes à l'année, ce n'est pas mon cas, c'est pourquoi je voulais en témoigner.
Néo-tit, nouvellement arrivée dans la région parisienne, 22 ans, trop jeune, tout le monde me passe devant, affectée ZR Bobigny soit tout le 93, 31 aout, pas d'affectation, je me rends donc pour la pré-rentrée dans mon RAD, une journée à écouter parler de super projets, rencontrer une super équipe que je ne verrais plus, plusieurs jours d'attente, (certains diront vacances en plus), la boule au ventre à la moindre sonnerie de mon téléphone, je ne sais pas à quelle sauce je vais être mangée.
Je suis appelée finalement sur un établissement chouette, bien que REP, mais pas pour l'année, fin de mon remplacement, quelques jours avant la fin, on m'appelle, finalement je continue jusqu'à la fin de l'année. Cette année rebelote, pré-rentrée dans mon RAD, la rentrée passe, je suis appelée établissement chaud REP, pas à l'année, je termine mon remplacement, dit aurevoir à tous mes élèves, le lendemain on m'appelle, la personne que je remplace a un arret maladie, je suis prof d'éducation musicale j'ai donc 2 semaines soit 2 séances à faire pour combler les trous (avant les vacances), vacances, retour de vacances je suis actuellement dans l'attente d'un coup de téléphone. Je vais donc arriver en mars dans un nouvel établissement. J'en suis là.
Par rapport aux élèves, dans l'ensemble ça s'est bien passé, par contre, arrivée en cours d'année (même à quelques jours de la rentrée) et c'est le test. Pour eux un remplaçant n'est pas un vrai prof. Arriver après la rentrée c'est la galère, on n'a pas la prérentrée pour rencontrer les autres et donc on doit prendre nos marques, voir les PP alors que les cours ont commencés et que c'est le rush de début d'année. Tu n'es pas là à l'année donc les beaux projets... on oublie. Ah et tout le monde pense que tu n'as pas le concours. Des collègues contractuels m'ont avoué qu'ils n'auraient pas accepté mon remplacement de 2 semaines bouche trou... ça vous donne une idée.
Alors oui si ça se passe mal on y est pas longtemps, mais quand ça se passe bien et qu'on ne sait pas où on va se trouver le mois suivant... Sans parler de la vie perso, les emploi du temps qui changent en cours d'année c'est compliqué de s'y adapter, de renoncer à des activités perso, de n'avoir aucune stabilité. Bref merci les ISSR ... je vais en rester là.
- jjrousseauNiveau 6
Moi je te déconseille d'être TZR car avec les élèves, cela ne fonctionne pas forcément bien car ils ne te prennent pas au sérieux; il faut faire beaucoup d'efforts d'investissement dans les établissements pour peu de temps quelquefois...
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