TZR ou poste fixe ?

TZR permet de se foutre un peu des projets et de ne pas s'impliquer. Je n'aurais jamais pu enseigner dans un super lycée cette année. Mais d'avoir eu de très bonnes conditions d'enseignement et repartir illico en REP+ m'a dégoûtée de ce métier car un très bon lycée je n'en aurai pas avant la fin de ma carrière.

Tu perds aussi les points de RC si tu es TZR ?

corailc a écrit:TZR permet de se foutre un peu des projets et de ne pas s'impliquer. Je n'aurais jamais pu enseigner dans un super lycée cette année. Mais d'avoir eu de très bonnes conditions d'enseignement et repartir illico en REP+ m'a dégoûtée de ce métier car un très bon lycée je n'en aurai pas avant la fin de ma carrière.

TZR or not TZR alors ?

Jenny a écrit:Tu perds aussi les points de RC si tu es TZR ?

Il me semble oui .

Ca doit dépendre des académies : dans certaines, on garde les points sous certaines conditions. Tu as jeté un coup d'oeil à la circulaire académique qui te concerne, pour te faire une idée plus précise ?

Danska a écrit:Ca doit dépendre des académies : dans certaines, on garde les points sous certaines conditions. Tu as jeté un coup d'oeil à la circulaire académique qui te concerne, pour te faire une idée plus précise ?

Oui j'ai regardé mais je n'ai rien trouvé (j'avoue l'avoir lue en Z) ... Mais pourquoi conserverai-je les points puisque je serai dans le même département si je suis TZR ?

Parce que dans certaines académies, on conserve les points si on n'est pas dans la même commune.

Et dans la mienne, par exemple, on garde une partie des points quand on demande un poste fixe sur la même commune que son conjoint, y compris si on est TZR dans le même département

Je n'ai pas spécialement choisi d'être TZR, mais finalement j'aime bien, et je n'envisage pas de changer pour le moment.
Ce que j'aime :
_ Comme on voit dix fois plus de nouvelles personnes, on rencontre dix fois plus de gens sympas.
_ On peut aller partout, découvrir toutes sortes d'établissements. On ne s'enferme pas dans une routine, chaque année est une nouvelle aventure.
_ On peut enseigner aussi bien en collège qu'en lycée.
_ Quand ça se passe mal, on sait qu'on partira à la fin de l'année.
_ On est moins impliqué dans l'établissement, on évite certaines réunions.
_ Parfois, on peut avoir des vacances en rab quand on n'a pas de remplacement. L'an dernier, j'ai passé un mois à ne faire que deux heures par semaine dans mon RAD.
_ On reçoit des cadeaux de départ à chaque fois lors du traditionnel repas de fin d'année.

Expérience personnelle et non généralisable, évidemment.

Ryuzaki a écrit:Je n'ai pas spécialement choisi d'être TZR, mais finalement j'aime bien, et je n'envisage pas de changer pour le moment.
Ce que j'aime :
_ Comme on voit dix fois plus de nouvelles personnes, on rencontre dix fois plus de gens sympas.
_ On peut aller partout, découvrir toutes sortes d'établissements. On ne s'enferme pas dans une routine, chaque année est une nouvelle aventure.
_ On peut enseigner aussi bien en collège qu'en lycée.
_ Quand ça se passe mal, on sait qu'on partira à la fin de l'année.
_ On est moins impliqué dans l'établissement, on évite certaines réunions.
_ Parfois, on peut avoir des vacances en rab quand on n'a pas de remplacement. L'an dernier, j'ai passé un mois à ne faire que deux heures par semaine dans mon RAD.
_ On reçoit des cadeaux de départ à chaque fois lors du traditionnel repas de fin d'année.

Expérience personnelle et non généralisable, évidemment.

Merci pour cette expérience partagée. Je voulais savoir, comment les élèves nous perçoivent-ils lorsqu'on vient en remplacement ?

corailc a écrit:TZR permet de se foutre un peu des projets et de ne pas s'impliquer. Je n'aurais jamais pu enseigner dans un super lycée cette année.  

Coup de gueule en hs: faut-il que notre métier soit sabordé pour qu'on en arrive à  préférer l'instabilité du remplacement   à  cette vision du métier qui confond professorat  et  scoutisme.
Les conditions données  aux jeunes professeurs (après  les calamités  de la propagande appelée formation) me désolent.

Ca serait bien que M.Blanquer arrête la com' et les artifices de langage s'il veut vraiment laisser une autre trace que ses predecesseurs: à la fin ca finit par se voir.
Et surtout les dégâts, à tous points de vue, commencent à être vraiment graves.

@Aenhobarbus : Cela dépend des classes. Parfois certains élèves ne savent même pas que tu es TZR si tu es affecté dès septembre. Quand tu arrives en cours d'année, c'est plus compliqué. Mais en gros, que tu sois TZR ou en poste fixe, le problème demeure le même : quand tu débutes, tu es plus en difficulté que quand tu es expérimenté. Les élèves testent peut-être plus un TZR quand ils savent qu'il l'est, mais au bout du compte, l'expérience accumulée fait une différence dans la gestion de classe, TZR ou pas. De toute façon, il faut que les choses soient claires aux yeux des élèves s'ils venaient à savoir que tu es TZR : tu es un vrai prof, tu as obtenu le concours, tu es tout autant légitime que tes collègues en poste fixe dans l'établissement. Je leur dis cela quand ils apprennent mon statut et sont tentés (parfois et pas très longtemps) de me remettre en question.
Généralement, la question ne se pose pas si tu arrives en début d'année et t'es bien renseigné sur le fonctionnement de l'établissement : les élèves te prennent souvent pour un nouveau prof en poste fixe, pas pour un TZR.
Mon expérience pour t'éclairer : J'ai été plus souvent TZR qu'en poste fixe et j'avoue que c'est confortable quand tu débarques dans une académie : j'ai pu tester différents établissements et travailler dans des lycées (y compris le prestigieux de centre-ville inaccessible avec mon barème) autant qu'en collège (mais je préfère le collège). J'ai été bien soulagée de me fixer au bout de 5 ans car c'est un confort certain mais paradoxalement au bout de 3 ans, j'ai de nouveau eu la bougeotte et la peur de m'encroûter. J'ai changé d'académie et suis de nouveau TZR : je pense me fixer de nouveau et cela est source d'inquiétude car je redoute l'envie de bougeotte au bout de quelques années. Avec l'âge, tu as envie de te poser et il faut peser les avantages confort poste fixe / nouveautés TZR.
Il faut également prendre en considération la façon dont les rectorats gèrent les TZR, très différente d'une académie à l'autre (j'en ai connu 3 et à chaque fois, c'était différent). Il y a des rectorats et des gestionnaires avec qui tu peux "négocier" un remplacement plutôt qu'un autre ou bien les conditions de ce remplacement (en ne perdant pas de vue qu'il faut faire des concessions sur certains points si d'autres te tiennent à coeur : on tiendra compte de ta bonne volonté, de ton réalisme  -on ne peut pas toujours tout avoir-et de ta réactivité  -accepter d'aller plus loin si le poste est moins pourri etc...). Dans d'autres rectorats et selon les matières et le vivier de TZR disponible, c'est impossible. Il vaut toujours mieux, en tout cas, contacter directement son gestionnaire pour évoquer sa situation précise en cas de souci -enfants, voiture, etc...Il vaut mieux le faire avant l'affectation des TZR en juillet quand tu débarques dans une académie, histoire de te faire connaître de ton gestionnaire. J'ai toujours été aimable et reconnaissante avec ma gestionnaire qui m'a arrangé des remplacements problématiques et elle ne l'oublie pas.
En espérant t'éclairer.
Edit : Je m'investis dans les projets d'établissements où je me sens bien et quand ces projets me semblent pertinents. Etre TZR n'a rien à voir avec cela. Je fonctionne en tant que TZR comme si j'étais en poste fixe dans l'établissement.

Chaque académie, chaque situation diffèrent, c'est déjà un problème en soi. Pour les projets, si tu trouves qu'il y en a de bien, c'est bien, effectivement.

Aenhobarbus a écrit:Merci pour cette expérience partagée. Je voulais savoir, comment les élèves nous perçoivent-ils lorsqu'on vient en remplacement ?

Ils ne le savent pas forcément quand on est affecté à l'année ou dès septembre.

fabienne7564 a écrit:
Edit : Je m'investis dans les projets d'établissements où je me sens bien et quand ces projets me semblent pertinents. Etre TZR n'a rien à voir avec cela. Je fonctionne en tant que TZR comme si j'étais en poste fixe dans l'établissement.

+1.

Arrrgh je suis en plein doute.

Aenhobarbus a écrit:

Danska a écrit:Ca doit dépendre des académies : dans certaines, on garde les points sous certaines conditions. Tu as jeté un coup d'oeil à la circulaire académique qui te concerne, pour te faire une idée plus précise ?

Oui j'ai regardé mais je n'ai rien trouvé (j'avoue l'avoir lue en Z) ... Mais pourquoi conserverai-je les points puisque je serai dans le même département si je suis TZR ?

Tu confonds RC et séparation.
Un TZR conserve ses points de RC et en bénéficie dans le cadre de la note de service mais si sa ZR est dans le même DPT il n'a en effet plus de points de séparation qui portent sur le vœu tout poste dans le DPT. Ce sont deux choses différentes.

Ryuzaki a écrit:Je n'ai pas spécialement choisi d'être TZR, mais finalement j'aime bien, et je n'envisage pas de changer pour le moment.
Ce que j'aime :
_ Comme on voit dix fois plus de nouvelles personnes, on rencontre dix fois plus de gens sympas.
_ On peut aller partout, découvrir toutes sortes d'établissements. On ne s'enferme pas dans une routine, chaque année est une nouvelle aventure.
_ On peut enseigner aussi bien en collège qu'en lycée.
_ Quand ça se passe mal, on sait qu'on partira à la fin de l'année.
_ On est moins impliqué dans l'établissement, on évite certaines réunions.
_ Parfois, on peut avoir des vacances en rab quand on n'a pas de remplacement. L'an dernier, j'ai passé un mois à ne faire que deux heures par semaine dans mon RAD.
_ On reçoit des cadeaux de départ à chaque fois lors du traditionnel repas de fin d'année.

Expérience personnelle et non généralisable, évidemment.

J'ai le même sentiment que toi, si ce n'est qu'en deux ans j'ai toujours eu des postes à l'année. En effet j'ai eu également un cadeau dans un des deux collèges où j'étais l'an dernier. Une BD des "Profs". Dans l'autre collège je n'ai rien eu (mais bon j'y suis de retour cette année finalement, ce qui est dommage surtout est que les stagiaires n'ont rien eu).
Mon RAD est en face de chez moi mais je n'y ai mis les pieds qu'une fois.

Miew a écrit:

Ryuzaki a écrit:Je n'ai pas spécialement choisi d'être TZR, mais finalement j'aime bien, et je n'envisage pas de changer pour le moment.
Ce que j'aime :
_ Comme on voit dix fois plus de nouvelles personnes, on rencontre dix fois plus de gens sympas.
_ On peut aller partout, découvrir toutes sortes d'établissements. On ne s'enferme pas dans une routine, chaque année est une nouvelle aventure.
_ On peut enseigner aussi bien en collège qu'en lycée.
_ Quand ça se passe mal, on sait qu'on partira à la fin de l'année.
_ On est moins impliqué dans l'établissement, on évite certaines réunions.
_ Parfois, on peut avoir des vacances en rab quand on n'a pas de remplacement. L'an dernier, j'ai passé un mois à ne faire que deux heures par semaine dans mon RAD.
_ On reçoit des cadeaux de départ à chaque fois lors du traditionnel repas de fin d'année.

Expérience personnelle et non généralisable, évidemment.

J'ai le même sentiment que toi, si ce n'est qu'en deux ans j'ai toujours eu des postes à l'année. En effet j'ai eu également un cadeau dans un des deux collèges où j'étais l'an dernier. Une BD des "Profs". Dans l'autre collège je n'ai rien eu (mais bon j'y suis de retour cette année finalement, ce qui est dommage surtout est que les stagiaires n'ont rien eu).
Mon RAD est en face de chez moi mais je n'y ai mis les pieds qu'une fois.

Mais comment le rad est-il attribué ?

Je pense mettre mes voeux de poste fixe avant mes voeux de ZR finalement. Si je suis TZR je ne vivrai pas la nouvelle comme un drame et je suis capable d'y voir des avantages et de bien m'en accommoder, mais je souhaite tout de même avoir un poste fixe si possible, surtout pour pouvoir redemander une mutation les années suivantes si je le souhaite.

Jusqu'à maintenant, j'ai réussi à avoir des postes à l'année dans la ville où j'habite.
Je ne prendrai pas le risque de faire le voeu "tout poste département " car il y a aussi des établissements loin de chez moi, qui dit poste fixe dit ensuite route tous les jours durant des années ou déménagement. Or je suis très bien où je suis. Au pire si je devais avoir l'an prochain un poste loin de chez moi en tant que tzr, ce serait pour un an seulement.

Concernant l'implication, au collège j'ai participé à quelques projets, je fais les oraux du dnb (tout le monde y passe), le club lecture un midi toutes les 2 semaines avec 2 collègues. En revanche, les réunions ont souvent lieu le jeudi, alors que je finis à 18h au lycée. Tant pis ^^. Je me suis bien intégrée dans l'équipe.
Au lycée c'est un peu différent, j'ai des BTS et mon service est de 6h. Certains collègues ne savent toujours pas qui je suis (et je n'ai pas retenu les noms et les visages de tout le monde, shame on me !)
Je n'ai rien contre le lycée mais je crois que les BTS, c'est pas pour moi. Mais l'avantage d'être tzr c'est que là j'ai fait tous les niveaux au collège, et BTS en lycée. Ça commence à faire en seulement 4 ans de métier.

Le RAD est dans ta zone de rattachement, après comment il est attribué, pourquoi tel établissement et pas un autre... Je ne sais pas. J'ai pris un appartement dans ma ZR et le hasard a fait que c'est à 200m de mon RAD. Mais je n'y vais jamais. Les documents sont envoyés par courrier (mutations, bulletin de salaire).

Miew a écrit:Le RAD est dans ta zone de rattachement, après comment il est attribué, pourquoi tel établissement et pas un autre... Je ne sais pas. J'ai pris un appartement dans ma ZR et le hasard a fait que c'est à 200m de mon RAD. Mais je n'y vais jamais. Les documents sont envoyés par courrier (mutations, bulletin de salaire).

J'ai vu dans le guide des mutations de mon académie que nous pouvions exprimer des souhaits concernant le RAD.
ET GLOBALEMENT, TZR ça te plaît ? D'un côté , j'aimerai faire TZR pour me former avant de prendre un poste fixe.

En effet on peut demander le changement du RAD à condition bien sûr qu'il soit dans ta ZR.
Je suppose qu'il faut apporter des arguments recevables pour que la demande soit acceptée.
Il ne faut pas oublier que les frais de déplacement sont calculés à partir du RAD.

Encore deux jours à réfléchir...

Etre TZR ne me dérange pas actuellement, parce que j'ai la chance d'avoir eu des postes à l'année, d'être dans des établissements proches de chez moi. Il y a toutefois parfois cette impression d'être partout et nulle part à la fois : l'an dernier j'ai été nommée prof principale d'une classe de 5e sans qu'on me consulte au préalable. Comme je n'étais là que la moitié du temps, j'avais l'impression de ne pas pouvoir autant m'impliquer que les collègues qui eux, pour la plupart (sauf un en gros) étaient en poste fixe dans l'établissement.
Vu les postes proposés au mouvement, je préfère encore rester TZR que de prendre le risque d'être nommée dans la cambrousse, loin de chez moi, avec l'obligation de faire la route tous les jours notamment sur des petites routes qui peuvent s'avérer dangereuses l'hiver. Et ce, pour plusieurs années. Alors que TZR, ça varie d'une année sur l'autre : une année tu peux te retrouver en campagne (l'avantage est que, souvent, les établissements sont sympas, pas beaucoup d'élèves. Mais attention aussi aux a priori, il ne faut pas non plus arriver en se disant "chouette, c'est la campagne, ça va être calme ici !") et l'autre en ville. Tu voyages et tu finis par découvrir différentes façons d'enseigner, différents publics, différents niveaux. C'est très formateur.

Bonjour, je me permets de témoigner de mon expérience TZR.
Voilà deux ans que je suis TZR (et dans le métier, sans compter l'année de stage), je partage assez peu les différents avis sur le TZRiat. Je pense que ceux qui en sont satisfait ont eu des postes à l'année, ce n'est pas mon cas, c'est pourquoi je voulais en témoigner.
Néo-tit, nouvellement arrivée dans la région parisienne, 22 ans, trop jeune, tout le monde me passe devant, affectée ZR Bobigny soit tout le 93, 31 aout, pas d'affectation, je me rends donc pour la pré-rentrée dans mon RAD, une journée à écouter parler de super projets, rencontrer une super équipe que je ne verrais plus, plusieurs jours d'attente, (certains diront vacances en plus), la boule au ventre à la moindre sonnerie de mon téléphone, je ne sais pas à quelle sauce je vais être mangée.
Je suis appelée finalement sur un établissement chouette, bien que REP, mais pas pour l'année, fin de mon remplacement, quelques jours avant la fin, on m'appelle, finalement je continue jusqu'à la fin de l'année. Cette année rebelote, pré-rentrée dans mon RAD, la rentrée passe, je suis appelée établissement chaud REP, pas à l'année, je termine mon remplacement, dit aurevoir à tous mes élèves, le lendemain on m'appelle, la personne que je remplace a un arret maladie, je suis prof d'éducation musicale j'ai donc 2 semaines soit 2 séances à faire pour combler les trous (avant les vacances), vacances, retour de vacances je suis actuellement dans l'attente d'un coup de téléphone. Je vais donc arriver en mars dans un nouvel établissement. J'en suis là.
Par rapport aux élèves, dans l'ensemble ça s'est bien passé, par contre, arrivée en cours d'année (même à quelques jours de la rentrée) et c'est le test. Pour eux un remplaçant n'est pas un vrai prof. Arriver après la rentrée c'est la galère, on n'a pas la prérentrée pour rencontrer les autres et donc on doit prendre nos marques, voir les PP alors que les cours ont commencés et que c'est le rush de début d'année. Tu n'es pas là à l'année donc les beaux projets... on oublie. Ah et tout le monde pense que tu n'as pas le concours. Des collègues contractuels m'ont avoué qu'ils n'auraient pas accepté mon remplacement de 2 semaines bouche trou... ça vous donne une idée.
Alors oui si ça se passe mal on y est pas longtemps, mais quand ça se passe bien et qu'on ne sait pas où on va se trouver le mois suivant... Sans parler de la vie perso, les emploi du temps qui changent en cours d'année c'est compliqué de s'y adapter, de renoncer à des activités perso, de n'avoir aucune stabilité. Bref merci les ISSR ...  je vais en rester là.