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- OlympiasProphète
hypermnestre a écrit:Idem. Merci de ne pas faire une généralité.Anaxagore a écrit:J'ai fait grève pour le collège. Il est dommage que cela n'ait pas plus bougé. Je suis en lycée.
Idem. Je suis en lycée et je suis allée manifester à Paris un fameux 10 octobre, pendant que plein de profs de collèges qui chouinent aujourd'hui, sont restés chez eux. STOP aux donneurs de leçons.
- OlympiasProphète
Vu que tu as débarqué sur ce forum il y a deux mois, je suppose que tu n'as aucune connaissance de l'opposition à la réforme du collège qui peut exister ici.Thiriet a écrit:Bah quoi, une réforme et vous vous plaignez les profs de lycée ? Réforme = suppression d'heures et de postes, comme pour les collèges il y a 2 ans ! Où étiez-vous quand cela a touché les collèges ? Vous a-t-on entendu ? Que nenni ou si peu !
Stop la chouine : 4 niveau à rebosser d'un coup, ils ne vous feront pas, c'est "le" lycée !
Suppression des filières carrèment pour ! Quand on voit des secondes démissionaires en maths dès le le 1er trimestre !
Ce que je trouve le plus abject, c'est la non réforme des pratiques pédagogiques en lycée qui aurait du poursuivre celle du collège !
Pour ta gouverne, en seconde, les collègues de maths font des révisions de troisième pendant les premières semaines.
- PrezboGrand Maître
Thiriet a écrit:
Suppression des filières carrèment pour ! Quand on voit des secondes démissionaires en maths dès le le 1er trimestre !
Je ne suis pas sûr de comprendre votre logique. Vous pensez que les élèves largués en maths dès les premiers mois de seconde (largués en maths bien avant l'entrée en seconde, en fait) vont se remotiver si on leur apprend qu'ils vont continuer à suivre le même programme que les autres pendant trois ans ?
Olympias a écrit:Vu que tu as débarqué sur ce forum il y a deux mois, je suppose que tu n'as aucune connaissance de l'opposition à la réforme du collège qui peut exister ici.Thiriet a écrit:
Ce que je trouve le plus abject, c'est la non réforme des pratiques pédagogiques en lycée qui aurait du poursuivre celle du collège !
Pour ta gouverne, en seconde, les collègues de maths font des révisions de troisième pendant les premières semaines.
Je serai tenté de dire : aujourd'hui, la plus grosse partie de l'année de seconde est passée à faire le programme de troisième.
Et à expliquer aux élèves qu'il faut être attentif pendant la prise de note, qu'on ne peut pas poser n'importe quelle question qui passe par la tête à n'importe quel moment, qu'il faut réviser ce qui a été fait en cours avant un DS...
Heureusement, on a l'AP pour bosser tout ça.
- gauvain31Empereur
Olympias a écrit:hypermnestre a écrit:Idem. Merci de ne pas faire une généralité.Anaxagore a écrit:J'ai fait grève pour le collège. Il est dommage que cela n'ait pas plus bougé. Je suis en lycée.
Idem. Je suis en lycée et je suis allée manifester à Paris un fameux 10 octobre, pendant que plein de profs de collèges qui chouinent aujourd'hui, sont restés chez eux. STOP aux donneurs de leçons.
Idem, j'ai manifesté dès mai 2015 à Toulouse, nous étions très peu nombreux dans le cortège. Très peu de collègues à l'époque ne voyaient pas le problème de cette réforme qui s'annonçait (pour ceux qui savaient qu'il allait y avoir une réforme...). Voilà, j'ai alerté, avec d'autant plus d'acuité que TZR, j'avais vu que les dégâts de la réforme des lycées de Châtel en 2010 allaient se répéter en 2016 au collège. J'ai fait mon boulot de manifestant. Après je ne vais pas prendre les collègues par les cheveux et les obliger à regarder les tracts syndicaux pour s'intéresser un tant soit peu à leur métier. Je ne ferai donc pas de commentaires sur les collègues qui chouinent actuellement et qui n'ont pas manifesté à l'époque...
Je me pose par contre la question de savoir d'où vient cette inertie? Est-ce un changement générationnel? L'ancienne génération est-elle plus combative que l'actuelle ? Vu le nombre de départs à le retraite en 2007 et 2012, ce n'est pas impossible, mais ce n'est pas une explication suffisante. Un fatalisme collectif? Lié à quoi? Au fait de se sentir "en trop"?. La propagande néolibérale dans les médias commence à prendre. En nous bassinant tous les jours que l'on coûte trop cher et que la dette patati patata.... il y a peut être le sentiment chez de nombreux collègues qu'il faut se serrer la ceinture pour pouvoir maîtriser les dépenses publiques....et qu'une réforme est un mal nécessaire ?
Ou alors une indifférence liée à un manque de culture politique chez de nombreux jeunes collègues qui débutent ? Je ne sais pas, en tout cas cette mutation générationnelle que j'ai observée de mes propres yeux dans certains établissements serait intéressante à étudier
- KagomeHabitué du forum
La plupart de mes collègues au lycée ont entre 45 et 60 ans... Personne ne bouge par défaitisme : ils ont pourtant quasi tous bcp manifestés depuis 20, 25 ans, à chaque fois en vain donc maintenant, ils m'expliquent que cela ne sert plus à rien sauf réduire le salaire en fin de mois et que la réforme passera quand même. A échelle aussi locale, alors qu'il y avait un fort syndicalisme, désormais plus rien car la direction s'est montrée intraitable depuis 15 ans ... donc entre l'échec à grande et petite échelle, plus d'espoir.
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Makenaï Zettaï
- OlympiasProphète
Les gens ne bougent plus parce que cela fait des années qu'il y a une multiplication de grèves totalement improductives, qui n'ont aucun effet, quand les syndicats eux-mêmes savent qu'il faut d'autres modes d'action qu'ils se gardent bien de lancer...parce que çapourraitpenaliserlesélèves ...
- AnaxagoreGuide spirituel
Et puis surtout on se demande pourquoi on s'épuiserait et s'appauvrirait quand ils ne sont même pas foutus d'être incisifs dans les médias et auprès des décideurs.
Je sais. Certains plus que d'autres.
Je sais. Certains plus que d'autres.
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"De même que notre esprit devient plus fort grâce à la communication avec les esprits vigoureux et raisonnables, de même on ne peut pas dire combien il s'abâtardit par le commerce continuel et la fréquentation que nous avons des esprits bas et maladifs." Montaigne
"Woland fit un signe de la main, et Jérusalem s'éteignit."
"On déclame contre les passions sans songer que c'est à leur flambeau que la philosophie allume le sien." Sade
- ZryblowskowskyNiveau 3
Ces syndicats mous du genou sont d'autant moins crédibles qu'ils ont appelé à voter Macaron en mai 2017...en traitant de fascistes ceux qui refusaient de
voter pour un européiste béat suppôt de cet ultralibéralisme qui détruit le monde occidental depuis plus de 35 ans.
Voilà pourquoi SNES, SGEN et beaucoup d'autres feraient mieux de se faire discrets et devraient revenir à la mission qui est la leur à savoir défendre les intérêts des professeurs de collège et lycée au lieu de servir de courroie de transmission à un parti moribond ( le PS) qui a détruit le système éducatif en France.
voter pour un européiste béat suppôt de cet ultralibéralisme qui détruit le monde occidental depuis plus de 35 ans.
Voilà pourquoi SNES, SGEN et beaucoup d'autres feraient mieux de se faire discrets et devraient revenir à la mission qui est la leur à savoir défendre les intérêts des professeurs de collège et lycée au lieu de servir de courroie de transmission à un parti moribond ( le PS) qui a détruit le système éducatif en France.
- MathadorEmpereur
Olympias a écrit:Les gens ne bougent plus parce que cela fait des années qu'il y a une multiplication de grèves totalement improductives, qui n'ont aucun effet, quand les syndicats eux-mêmes savent qu'il faut d'autres modes d'action qu'ils se gardent bien de lancer...parce que çapourraitpenaliserlesélèves ...
Tu veux dire des syndicats ?
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"There are three kinds of lies: lies, damned lies, and statistics." (cité par Mark Twain)
« Vulnerasti cor meum, soror mea, sponsa; vulnerasti cor meum in uno oculorum tuorum, et in uno crine colli tui.
Quam pulchrae sunt mammae tuae, soror mea sponsa! pulchriora sunt ubera tua vino, et odor unguentorum tuorum super omnia aromata. » (Canticum Canticorum 4:9-10)
- ZeSandmanFidèle du forum
Les syndicats n'ont que la force que l'on leur donne, et moins de la moitié de participation aux dernières élections syndicales ont laissé un boulevard aux politiques pour appliquer leurs réformes aux visées économiques en les habillant de pédagogie d'apparat.
L'annualisation des collègues de primaire, la première réforme du lycée, la réforme du collège, et aujourd'hui la seconde réforme du lycée juste après la voie professionnelle qui vient d'être abandonnée aux entreprises : ils ont bien compris que c'est en attaquant chaque secteur de manière séparée qu'ils arriveraient à leurs fins.
Cessons de jouer leur jeu, redonnons aux syndicats de la légitimité en votant en masse aux prochaines élections pros (en ouvrant les yeux sur ceux qui nous ont le mieux défendus, qui n'ont lâché sur rien et ont proposé des modes d'actions efficaces plutôt que des grevounettes qui n'ont que le mérite de rappeler l'existence de certaines orgas, même majoritaires) plutôt que de sous entendre que ce sont les collègues préalablement en charge de nos élèves qui sont responsables de leur niveau déplorable, d'opposer agrégés et certifiés et contractuels.
Motivez tant que faire se peut vos collègues, sans pour autant les détester s'ils refusent de plus se bouger, et peut-être pourra-t-on commencer à sortir de ce marasme et sauver ce qu'il reste de nos statuts et de la Fonction Publique en général.
L'annualisation des collègues de primaire, la première réforme du lycée, la réforme du collège, et aujourd'hui la seconde réforme du lycée juste après la voie professionnelle qui vient d'être abandonnée aux entreprises : ils ont bien compris que c'est en attaquant chaque secteur de manière séparée qu'ils arriveraient à leurs fins.
Cessons de jouer leur jeu, redonnons aux syndicats de la légitimité en votant en masse aux prochaines élections pros (en ouvrant les yeux sur ceux qui nous ont le mieux défendus, qui n'ont lâché sur rien et ont proposé des modes d'actions efficaces plutôt que des grevounettes qui n'ont que le mérite de rappeler l'existence de certaines orgas, même majoritaires) plutôt que de sous entendre que ce sont les collègues préalablement en charge de nos élèves qui sont responsables de leur niveau déplorable, d'opposer agrégés et certifiés et contractuels.
Motivez tant que faire se peut vos collègues, sans pour autant les détester s'ils refusent de plus se bouger, et peut-être pourra-t-on commencer à sortir de ce marasme et sauver ce qu'il reste de nos statuts et de la Fonction Publique en général.
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Ce sont les rêves qui donnent au monde sa forme.
- ZakalweNiveau 9
henriette a écrit:Poster cela, Thiriet, c'est monter les uns contre les autres, et cela ne fera pas avancer le schmilblick, tu sais. Je comprends bien que tu es indigné, mais ne te trompe pas de cible en t'en prenant aux collègues de lycée.Thiriet a écrit:Bah quoi, une réforme et vous vous plaignez les profs de lycée ? Réforme = suppression d'heures et de postes, comme pour les collèges il y a 2 ans ! Où étiez-vous quand cela a touché les collèges ? Vous a-t-on entendu ? Que nenni ou si peu !
Stop la chouine : 4 niveau à rebosser d'un coup, ils ne vous feront pas, c'est "le" lycée !
Suppression des filières carrèment pour ! Quand on voit des secondes démissionaires en maths dès le le 1er trimestre !
Ce que je trouve le plus abject, c'est la non réforme des pratiques pédagogiques en lycée qui aurait du poursuivre celle du collège !
Bon nombre d'entre eux se sont mobilisés contre la réforme du collège. Il ne faut pas faire de généralisation abusive, et se serrer les coudes : au final, on est tous dans la même galère.
- Code:
Oui, pour le coup, dans les lycées carolo que je connais, il y a quand même eu des gens pour faire grève contre la réforme du collège (dont moi ). Et je n'ai pas eu tant l'impression que cela (hélas) que la mobilisation était plus forte dans les collèges du coin...
Bon, accessoirement, difficile de vouloir à la fois la réforme "pédagogique" du collège sans en assumer les conséquences voulues en termes de postes et d'heures vu que ça formait un package. Quant aux secondes démissionnaires en maths, honnêtement à de rares exceptions près on est dans le même ordre d'idée que ceux incapables d'écrire deux lignes en français : le problème, ce ne sont ni les maths ni l'orthographe, mais le manque de bonne volonté et d'exigence depuis le primaire...
Après, supprimer les filières, à voir. Mais les recréer avec des couplages imposés comme c'était suggéré dans le rapport récent, c'est au mieux de l'hypocrisie, au pire du fout*** de gueule. Enfin, on verra bien le 14 les annonces "finales"...
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INJUSTE Terme utilisé pour désigner les avantages dont on a essayé de spolier d'autres gens, mais sans y arriver. Voir aussi MALHONNETETE, DISSIMULATION, et TIENS J'AI DU POT
- HypermnestreÉrudit
Le café pédagogique tweete sur un éclatement probable des SES...
Le message n'est pas clair.
Le message n'est pas clair.
- chmarmottineGuide spirituel
éclatement ?
- DanskaProphète
On peut avoir un lien ?
- CleroliDoyen
Les explications ici :
C'est quand même fou, depuis que j'enseigne, chaque réforme du lycée vise (notamment) à abattre la série ES et les SES.
https://www.lesechos.fr/politique-societe/societe/0301278475893-reforme-du-bac-les-scenarios-de-jean-michel-blanquer-2152568.phpLes Echos a écrit:La question du sort des sciences économiques et sociales (SES) est majeure. Jean-Michel Blanquer va-t-il maintenir les « SES » en un seul bloc ou les scinder en différentes disciplines - sciences économiques, sciences politiques, droit... -, et ainsi faire coïncider les disciplines du lycée avec celles de l'enseignement supérieur ?
C'est quand même fou, depuis que j'enseigne, chaque réforme du lycée vise (notamment) à abattre la série ES et les SES.
- BRNiveau 9
Le café pédagogique n'a pas directement tweeté à propos des SES. À ma connaissance, il s'est contenté de retweeter l'APSES qui se fait l'écho d'un article des Échos
Les Échos a écrit:La question du sort des sciences économiques et sociales (SES) est majeure. Jean-Michel Blanquer va-t-il les maintenir en un seul bloc ou les scinder en différentes disciplines - sciences économiques, sciences politiques, droit... -, et ainsi faire coïncider les disciplines du lycée avec celles de l'enseignement supérieur ? « Il faut des disciplines permettant à l'université de savoir si les attendus (prévus par Parcoursup, NDLR) sont au rendez-vous ou pas », décrypte une source bien informée qui se demande toutefois « si le ministre va aller au charbon avec l'APSES, car une césure des sciences économiques et sociales ne se ferait pas sans cris ni heurts ».
- chmarmottineGuide spirituel
Franchement, je n'y crois pas trop ...
Je sens la réforme qui va passer du tout au rien ...
Je sens aussi venir le recul sur l'informatique.
Je sens la réforme qui va passer du tout au rien ...
Je sens aussi venir le recul sur l'informatique.
- DanskaProphète
Merci pour les liens - j'espère infiniment que cette réforme va se résumer à pas grand-chose au final, mais le climat général est assez démoralisant !
Edit : le journaliste des Echos ne donne pas l'impression de s'y connaître beaucoup : il n'y a pas de droit en SES, très peu de science po à part en Tle (et un chapitre en 1ère, qui est le premier à sauter quand on est trop juste pour finir le programme)... Ou alors, il faudrait carrément transformer la discipline en tout autre chose, ce qui implique de supprimer le Capes et l'agreg de SES, de former les enseignants en SES actuels, etc.
Edit : le journaliste des Echos ne donne pas l'impression de s'y connaître beaucoup : il n'y a pas de droit en SES, très peu de science po à part en Tle (et un chapitre en 1ère, qui est le premier à sauter quand on est trop juste pour finir le programme)... Ou alors, il faudrait carrément transformer la discipline en tout autre chose, ce qui implique de supprimer le Capes et l'agreg de SES, de former les enseignants en SES actuels, etc.
- CleroliDoyen
Certes, il n'y a pas de droit en SES mais il peut être "facile" de proposer un découpage par matière ( Sc. Eco, Socio, Sc. Po et Droit - ce dernier revenant aux collègues d'Eco gestion ou à ceux en charge de l'option "Droits et grands enjeux du monde contemporain"). Si cette idée se concrétise, elle ne remet pas forcément en cause le Capes ou l'Agreg mais renie l'histoire de la discipline et l'idée, avec la filière B puis ES, d'une "3ème culture". Personnellement, après plus de 20 ans d'enseignement, j'ai vécu suffisamment d'attaques pour être à présent très méfiante.Danska a écrit:Merci pour les liens - j'espère infiniment que cette réforme va se résumer à pas grand-chose au final, mais le climat général est assez démoralisant !
Edit : le journaliste des Echos ne donne pas l'impression de s'y connaître beaucoup : il n'y a pas de droit en SES, très peu de science po à part en Tle (et un chapitre en 1ère, qui est le premier à sauter quand on est trop juste pour finir le programme)... Ou alors, il faudrait carrément transformer la discipline en tout autre chose, ce qui implique de supprimer le Capes et l'agreg de SES, de former les enseignants en SES actuels, etc.
- CasparProphète
Un journaliste qui n'y connaîtrait rien en éducation ? Vous affabulez. 😀
- gauvain31Empereur
Caspar a écrit:Un journaliste qui n'y connaîtrait rien en éducation ? Vous affabulez. 😀
+1000
A part Natacha Polony, je ne vois aucun journaliste qui en parle de façon correcte
- chmarmottineGuide spirituel
J'émets même des réserves sur Natacha Polony qui est capable d'affirmer des choses en dehors de toute réalité. Elle croit parfois tout savoir à ce sujet, mais n'a que peu été sur le terrain.
- archebocEsprit éclairé
Ruthven a écrit:Pour info :
http://www.appep.net/rencontre-avec-le-directeur-du-cabinet-du-ministre-de-leducation-nationale/
Alors quand je lis ceci :
La philosophie, « discipline phare », doit occuper une place centrale et régulatrice : elle doit donner aux élèves une armature intellectuelle forte pour affronter le monde d’aujourd’hui, elle doit faire partie de la culture du citoyen du xxie siècle, elle assurera une fonction de passage vers l’enseignement supérieur en leur apportant l’appareil critique dont ils auront besoin dans la poursuite de leurs études. Il s’agit de «remettre la raison au cœur de notre système éducatif».
je n'ai qu'une question : vont-ils mettre de la philo dès la seconde, ou bien sont-ils en train de nous prendre pour des truffaillons ?
- InvitéInvité
Le compte rendu de l'audiance de l'udppc :
http://national.udppc.asso.fr/attachments/article/776/2018-02-07%20CR_DGESCO%20Site.pdf
Les différents bilans : http://national.udppc.asso.fr/
http://national.udppc.asso.fr/attachments/article/776/2018-02-07%20CR_DGESCO%20Site.pdf
Les différents bilans : http://national.udppc.asso.fr/
- SeptimusNiveau 8
Danska a écrit:Merci pour les liens - j'espère infiniment que cette réforme va se résumer à pas grand-chose au final, mais le climat général est assez démoralisant !
Edit : le journaliste des Echos ne donne pas l'impression de s'y connaître beaucoup : il n'y a pas de droit en SES, très peu de science po à part en Tle (et un chapitre en 1ère, qui est le premier à sauter quand on est trop juste pour finir le programme)... Ou alors, il faudrait carrément transformer la discipline en tout autre chose, ce qui implique de supprimer le Capes et l'agreg de SES, de former les enseignants en SES actuels, etc.
Au sujet des SES, le Café pédagogique s'est fendu d'un article au titre assez dégueulasse... http://www.cafepedagogique.net/LEXPRESSO/Pages/2018/02/12022018Article636540152629584313.aspx
- HonchampDoyen
Effectivement, moi aussi j'ai trouvé le titre de très mauvais goût.
C'est tout de même étonnant de la part du Café Pédagogique.
C'est tout de même étonnant de la part du Café Pédagogique.
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"Tu verras bien qu'il n'y aura pas que moi, assise par terre comme ça.."
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