- MenRyLJe viens de m'inscrire !
Fatras a écrit:Bonjour
Si je comprends bien le calendrier de Galaxie, du 7 juin au 15 juin il y avait une saisie des avis du recteur ou des responsable d'établissements.
Est-ce dans ce cadre là que tu as eu un avis négatif ? As-tu une idée de la raison pour laquelle cela t'es refusé ?
J'aurais pensé que dans le cas d'un avis négatif dans cette phase, on soit prévenu de manière officielle.
Bon courage à toi
Oui c’est bien dans ce cadre la mais l’avis officielle c’est le 27 juin lors de la notification des résultats moi j’ai eu l’information de l’université.
Mais j’essaie de comprendre comment fonctionnerait mon recours avec le 27 ? Car il faut bien que l’université recrute quelqu’un pour la rentrée …
- FatrasNiveau 8
Je pensais que la signature et les avis du recteur étaient une formalité, c'est vraiment pas cool que cela ne soit pas le cas.
Au vu du calendrier de Galaxie, je comprends que tu sois perplexe, car je ne vois pas quand tu peux faire un recours et j'ai bien peur que en cas de refus le 27 juin le poste soit obligatoirement proposé à quelqu'un d'autre.
Ce que tu peux peut-être faire :
- demander à ta gestionnaire du rectorat (la mienne est efficace et au courant de plein de choses),
- te rapprocher d'un syndicat.
Au vu du calendrier de Galaxie, je comprends que tu sois perplexe, car je ne vois pas quand tu peux faire un recours et j'ai bien peur que en cas de refus le 27 juin le poste soit obligatoirement proposé à quelqu'un d'autre.
Ce que tu peux peut-être faire :
- demander à ta gestionnaire du rectorat (la mienne est efficace et au courant de plein de choses),
- te rapprocher d'un syndicat.
- elsassfreiNiveau 7
Si ça peut servir, j'ai reçu un appel "urgent" d'une dame du rectorat de mon académie, autour du 6 juin, parce que j'étais " classé" et que je devais donner mes préférences SANS connaître mon classement. Je n'ai pas répondu.
La réponse est OUI : le recteur a le pouvoir de nuire dans cette procédure de recrutement.
Donc OUI un avis est émis sur Galaxie, mais pour le reste, je n'en sais pas plus et je m'en fous: étant classé (très mal puisque 2ème seulement à chaque fois) pour 2 postes, je n'attends rien des postes de PRAG cette année.
En plus, j'ai vu tellement de comportements limites (exemple : l'IUT d'Orsay) que je n'y crois même pas.
Les postes de PRAG, c'est devenu totalement bidon, et c'est juste un moyen de plus de caser des MCF qui n'ont pas de poste. Le fait d'être simplement agrégé (même dans de bonnes conditions) n'étant plus le point central de recrutement. On m'a même pourri lors d'un entretien parce que j'aurais refusé de faire l'emploi du temps des profs (et pourquoi pas envoyer les convocations aux élèves, et gérer la visite médicale au passage ?)
La réponse est OUI : le recteur a le pouvoir de nuire dans cette procédure de recrutement.
Donc OUI un avis est émis sur Galaxie, mais pour le reste, je n'en sais pas plus et je m'en fous: étant classé (très mal puisque 2ème seulement à chaque fois) pour 2 postes, je n'attends rien des postes de PRAG cette année.
En plus, j'ai vu tellement de comportements limites (exemple : l'IUT d'Orsay) que je n'y crois même pas.
Les postes de PRAG, c'est devenu totalement bidon, et c'est juste un moyen de plus de caser des MCF qui n'ont pas de poste. Le fait d'être simplement agrégé (même dans de bonnes conditions) n'étant plus le point central de recrutement. On m'a même pourri lors d'un entretien parce que j'aurais refusé de faire l'emploi du temps des profs (et pourquoi pas envoyer les convocations aux élèves, et gérer la visite médicale au passage ?)
- PonocratesExpert spécialisé
Dans le Supérieur, il arrive que les enseignants organisent les emplois du temps des formations: cela peut faire partie des missions du responsable pédagogique de la filière. Cela dépend des universités, des filières et des niveaux. Et ce sont également les responsables pédagogiques qui doivent recruter des collègues pour la formation... Dans certains cas, ils s'occupent également du recrutement des étudiants ( en master en particulier), classent pour les "petites" formations les dossiers Parcoursup, etc. Le fonctionnement de l'Université repose en très grande partie sur les enseignants qui ont donc des activités administratives qui, dans le secondaire, ne seraient pas de leur ressort.elsassfrei a écrit:
On m'a même pourri lors d'un entretien parce que j'aurais refusé de faire l'emploi du temps des profs (et pourquoi pas envoyer les convocations aux élèves, et gérer la visite médicale au passage ?)
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- ErgoDevin
Les emplois du temps sont faits par des collègues des filières: il y a une commission ici réunissant administratifs et E/EC pour attribuer créneaux et salles aux filières, puis les responsables EDT des filières se débrouillent avec ça et les voeux des collègues, dans les contraintes aussi de créneaux banalisés pour x ou y option. Cela fait partie des responsabilités lourdes qui tournent (avec responsable de dep, qui gère aussi les recrutements d'intervenants extérieurs, d'année qui gèrent campus France, les réorientations etc., des relations internationales, de master...).elsassfrei a écrit:On m'a même pourri lors d'un entretien parce que j'aurais refusé de faire l'emploi du temps des profs (et pourquoi pas envoyer les convocations aux élèves, et gérer la visite médicale au passage ?)
Il peut y avoir un très très gros volant administratif: j'ai été assesseur au département, je gère depuis mon arrivée la L1 (promo de 180 inscrits, sur 150 présents environ), avec l'organisation de la pré rentrée, les réunions de suivi de handicap, les dossiers de réorientation, de césure, les classements des dossiers campus France, maintenant Parcoursup aussi, les jurys, les permanences pour les étudiants...
La collègue qui gère les relations internationales (accord Erasmus, lecteurs...) gère aussi un master etc.
On a quelques heures payées, dérisoires par rapport au temps passé mais comme on recrute peu et que le taux d'encadrement recule, les responsabilités s'accumulent et c'est une question quasi obligée en comité.
Une amie en IUT gère l'emploi du temps des collègues et des intervenants extérieurs avec toutes leurs contraintes, ainsi que la direction des études. Tous ces aspects sont vraiment un autre métier que ce qu'on fait dans le secondaire.
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- EnnaNiveau 10
Justement, Ponocrates, n' y a- t- il pas dérive depuis un certain temps?
Car enseigner et faire de la recherche, oui, ajouter qq tâches administratives ,soit,mais si elles deviennent lourdes au point d'empêcher de fonctionner correctement ?
Car enseigner et faire de la recherche, oui, ajouter qq tâches administratives ,soit,mais si elles deviennent lourdes au point d'empêcher de fonctionner correctement ?
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Enna
- EnnaNiveau 10
Pardon, je m'adresse aussi toi, Ergo, qui le vis au quotidien 🥵
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Enna
- epekeina.tes.ousiasModérateur
Ces “tâches administratives” sont en réalité “imposées” au nom d'une soi-disant “autogestion” de l'université et “monnayées” par des “missions” qui ont, le plus souvent, la double vertu de ne se traduire que par un petit volume d'heures et de permettre, si besoin, d'interdire les heures complémentaires… Pour ma part, et je ne suis pas le seul, je refuse de considérer cela comme une partie “normale” du travail.
- ErgoDevin
Je n'ai rien connu d'autre. Je trouve ça aberrant, et ça me prend du temps sur ce que je considère être mon métier mais j'ai des collègues très favorables à ce que les EDT au moins soient gérés par eux-mêmes (ou en l'occurrence des collègues): cela permet (encore !) à certains (rares) de n'avoir des cours que sur un semestre, à la majorité de choisir vraiment où mettre leurs heures (impossible à ce point dans le secondaire), de les déplacer comme ils l'entendent, avec aussi des dérives. Si on redonnait le contrôle des EDT à (des administratifs ?), il y aurait en tout cas ici pas mal de pratiques à revoir que certains ne veulent pas revoir.Enna a écrit:Justement, Ponocrates, n' y a- t- il pas dérive depuis un certain temps?
Car enseigner et faire de la recherche, oui, ajouter qq tâches administratives ,soit,mais si elles deviennent lourdes au point d'empêcher de fonctionner correctement ?
Les autres tâches suscitent dans ma fac plus de remous et de contestations que celle des EDT.
Mais en tout cas, il me semble que quand on candidate, il faut être bien tenu au courant de tous ces trucs, j'ai toujours eu la question et autant dire qu'on m'a directement refilé ce qui pouvait être refilable. Édit: refilé, parce qu'on a moins de titulaires chaque année, les départs étant rarement remplacés et je ne connais aucun titulaire qui n'ait pas au moins une responsabilité, voire plusieurs, auxquelles s'ajoutent dans mon département la moitié des titulaires qui ont en plus des mandats de direction de labo, mandats électifs en conseil UFR, CFVU, CA, Commission recherche et jusqu'à peu direction d'UFR.
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- DarxaNiveau 8
Les tâches de direction (en IUT en tous cas) sont vraiment très lourdes et peu rémunérées compte tenu du temps passé.
Pour l'avoir fait plusieurs années, cela implique d'être présent/dispo toute la semaine pour gérer les étudiants, les enseignants (titulaires et vacataires) et participer aux nombreuses réunions (réunions pédagogiques, conseil de département, conseil d'institut, etc etc...).
C'est un aspect intéressant car on comprend mieux le fonctionnement des instances, mais c'est épuisant s'il n'y a personne pour prendre la relève.
Comme il y a de moins en moins de titulaires, les responsabilités s'ajoutent et ça devient intenable.
En commission de recrutement, si on annonce d'emblée qu'on ne veut pas prendre de responsabilités, c'est sûr que ce n'est pas bien accueilli.
Pour l'avoir fait plusieurs années, cela implique d'être présent/dispo toute la semaine pour gérer les étudiants, les enseignants (titulaires et vacataires) et participer aux nombreuses réunions (réunions pédagogiques, conseil de département, conseil d'institut, etc etc...).
C'est un aspect intéressant car on comprend mieux le fonctionnement des instances, mais c'est épuisant s'il n'y a personne pour prendre la relève.
Comme il y a de moins en moins de titulaires, les responsabilités s'ajoutent et ça devient intenable.
En commission de recrutement, si on annonce d'emblée qu'on ne veut pas prendre de responsabilités, c'est sûr que ce n'est pas bien accueilli.
- elsassfreiNiveau 7
Dans ma réponse (lors des entretiens suivants, parce que depuis j'ai réfléchi à ce qu'on pouvait répondre), j'ai expliqué qu'on doit faire la différence entre une tâche a priori collective qui doit être partagée équitablement (et pourquoi pas incluse dans les "missions"), et une tâche qui concerne une seule personne dans l'intérêt du fonctionnement de l'établissement. Cette dernière étant une mission spécifique -demandant une spécialisation- et parfaitement définie DOIT absolument être rémunérée comme il se doit.
Créer et gérer un emploi du temps correspond parfaitement à cette définition.
À titre d'exemple, dans l'école d'ingés où j'ai bossé (plus de 25 ans), nous avions des promos de ~ 300 élèves, et 2 personnes appartenant à la direction de l'enseignement et de la pédagogie géraient cet emploi du temps.
Mis à part les réclamations systématiques de toujours les mêmes qui défilaient (et défilent probablement toujours) dans le bureau, c'était équitable, et a priori fait de façon objective.
Chaque enseignant devait indiquer des préférences, en respectant certaines règles (pas plus d'une 1/2 journée libérée, libération de certains créneaux possibles sous certaines conditions seulement.
Avec du recul, j'affirme que les gens qui acceptent de faire ce travail sans contrepartie ont une bonne part de responsabilité dans la dégradation des conditions de travail de tous les autres (peu importe l'établissement en fait).
Dit autrement : "Soyez résolus à ne plus servir, et vous voilà libres " mais pour cela il faut du courage, et j'ai fait le choix sans hésiter.
Créer et gérer un emploi du temps correspond parfaitement à cette définition.
À titre d'exemple, dans l'école d'ingés où j'ai bossé (plus de 25 ans), nous avions des promos de ~ 300 élèves, et 2 personnes appartenant à la direction de l'enseignement et de la pédagogie géraient cet emploi du temps.
Mis à part les réclamations systématiques de toujours les mêmes qui défilaient (et défilent probablement toujours) dans le bureau, c'était équitable, et a priori fait de façon objective.
Chaque enseignant devait indiquer des préférences, en respectant certaines règles (pas plus d'une 1/2 journée libérée, libération de certains créneaux possibles sous certaines conditions seulement.
Avec du recul, j'affirme que les gens qui acceptent de faire ce travail sans contrepartie ont une bonne part de responsabilité dans la dégradation des conditions de travail de tous les autres (peu importe l'établissement en fait).
Dit autrement : "Soyez résolus à ne plus servir, et vous voilà libres " mais pour cela il faut du courage, et j'ai fait le choix sans hésiter.
- PonocratesExpert spécialisé
Les "Écoles" ont généralement davantage de moyens: cela revient à comparer des choux et des carottes. Bien sûr que dans les écoles d'ingénieur, comme dans le secondaire, il y a des personnes qui organisent l'edt. Cela arrive également en université, quand il y a des cohortes importantes, du genre 400 personnes en L1 de droit.elsassfrei a écrit:
Avec du recul, j'affirme que les gens qui acceptent de faire ce travail sans contrepartie ont une bonne part de responsabilité dans la dégradation des conditions de travail de tous les autres (peu importe l'établissement en fait).
Mais pour ce que j'en connais, la responsabilité pédagogique d'une filière/d'un niveau donne droit à une -toute petite-décharge, et les collègues savent, en les acceptant, s'ils auront aussi l'edt à faire. Et comme l'explique Ergo, c'est plus "simple" que ce soit des enseignants qui s'y collent. L'une des raisons peut parfois aussi être que le turn-over des administratifs est très important et que toutes les personnes recrutées - les vacataires en particulier- n'ont pas les compétences pour organiser cela. De toute façon, en entretien d'embauche, il me semble que la réponse aux questions posées sur ce sujet doit être "oui, bien sûr, je peux le faire". Ensuite, ce n'est pas parce que l'on peut faire quelque chose qu'on acceptera systématiquement. Mais dire "non, ce n'est pas mon job", même si, sur le fond je comprends l'argument, ce n'est pas très diplomate. Or les collègues qui recrutent des PRAG cherchent avant tout, me semble-t-il, à compétences égales ( et ce tri est fait en amont de l'entretien) des collègues avec qui il sera facile de travailler.
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"As-tu donc oublié que ton libérateur,
C'est le livre ? "
- elsassfreiNiveau 7
Tu as raison : chacun fait comme il veut, et chacun ses chaînes.
Je dénonce simplement une dérive dangereuse dans le supérieur, en particulier concernant les postes de PRAG.
Une espèce d'Uberisation quelque part. Qu'est ce qui est le plus utile : dire non, ou accepter silencieusement ?
--
Note à propos des écoles : les moyens ce sont des plages de cours qui ont été supprimées. Là aussi, c'est à moyens constants et il n'y a pas d'argent magique.
Je dénonce simplement une dérive dangereuse dans le supérieur, en particulier concernant les postes de PRAG.
Une espèce d'Uberisation quelque part. Qu'est ce qui est le plus utile : dire non, ou accepter silencieusement ?
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Note à propos des écoles : les moyens ce sont des plages de cours qui ont été supprimées. Là aussi, c'est à moyens constants et il n'y a pas d'argent magique.
- PonocratesExpert spécialisé
Ce n'est pas ce que je dis. Vous évoquiez les entretiens de recrutement: ce n'est pas forcément le moment de dire à des collègues qu'ils ont choisi des chaînes que vous refusez, voilà tout. Je n'ai jamais dit qu'il y avait de l'argent magique, seulement, qu'en effet du point de vue administratif, il y a un peu plus de moyens. Ce sont les élèves en réalité qui le payent puisque leur formation a moins d'heures.elsassfrei a écrit:Tu as raison : chacun fait comme il veut, et chacun ses chaînes.
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- ErgoDevin
Quelle dérive dangereuse ? Celle des référentiels des tâches ?elsassfrei a écrit:
Je dénonce simplement une dérive dangereuse dans le supérieur, en particulier concernant les postes de PRAG.
Qu'on ne veuille pas de ces "missions" rémunérées par référentiel, je comprends parfaitement, mais en général, elles sont décrites sur la fiche de poste; c'est donc normal qu'en comité, les collègues posent la question, comme ils posent des questions sur le reste de la fiche de poste.
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- IridianeFidèle du forum
Je suis entièrement d’accord pour dire que les tâches administratives des PRAG et MCF (enfin, dans le supérieur tout simplement) sont chronophages, mal ou pas payées, et nuisent aux missions pédagogiques ou de recherche puisqu’elle rognent sur le temps dévolu à ces dernières. Et je suis d’accord pour dire qu’il s’agit d’une dérive problématique. En revanche, quand on candidate à un poste (PRAG, MCF), on n’est pas en position de refuser et il est normal que le comité s’assure que le futur collègue ne va pas se débiner devant les corvées. Et comme c’est un concours très sélectif, il est tout à fait logique que le comité écarte une personne qui va lui dire « ah non les EDT très peu pour moi ». Si l’on ne veut pas être chargé de ces tâches (ce que je comprends parfaitement), il ne faut pas candidater sur ce genre de postes, et d’autant plus que comme le disait quelqu’un plus haut l’aspect administratif est souvent indiqué sur la fiche de poste, donc l’acte de candidature revient tacitement à l’accepter.
- elsassfreiNiveau 7
Il n'est pas question de se débiner devant les corvées, et il était clair qu'il y avait des choses faisant partie du poste (par exemple, participer à des salons, faire un suivi personnalisé des étudiants -surtout que l'effectif assez faible le permettait, quelques surveillances, etc).
Mais il y a des limites à ne pas dépasser, même dans un entretien.
Mais il y a des limites à ne pas dépasser, même dans un entretien.
- IridianeFidèle du forum
Oui mais quand même, on sait bien qu’à l’université ce sont toujours les enseignants qui gèrent les EDT… du coup quand il y a écrit « tâches administratives » sur la fiche de poste ça en fait partie. Et précisément parce que c’est une tâche pénible il faut qu’elle tourne et que chacun prenne sa part.
- YrrevNiveau 1
Bonjour tout le monde, je suis classé 1er sur un poste de PRAG de la seconde campagne, et je l'ai classé premier sur Galaxie. C'est le seul poste pour lequel j'ai postulé.
Pour le second degré, je suis affecté comme TZR. C'est ma première affectation car je suis stagiaire, je valide mon agreg en tant que doctorant contractuel.
Je voudrais savoir si je devrais contacter ma gestionnaire pour l'informer et savoir si le recteur a déjà donné son avis. Qu'en pensez-vous ?
Ou bien je dois juste attendre le 27 juin pour avoir la réponse ? Sachant que je voudrais faire un recours au cas où le recteur émettrait un avis négatif.
Merci !
Pour le second degré, je suis affecté comme TZR. C'est ma première affectation car je suis stagiaire, je valide mon agreg en tant que doctorant contractuel.
Je voudrais savoir si je devrais contacter ma gestionnaire pour l'informer et savoir si le recteur a déjà donné son avis. Qu'en pensez-vous ?
Ou bien je dois juste attendre le 27 juin pour avoir la réponse ? Sachant que je voudrais faire un recours au cas où le recteur émettrait un avis négatif.
Merci !
- elsassfreiNiveau 7
Bonjour,
Je n'arrive pas à retrouver l'information : quelle est la limite pour répondre au classement proposé ? Le 22 au soir ou le 23 au soir (16h je pense) ?
Merci d'avance si vous avez un lien à me proposer :-)
EDIT : je viens de trouver :
Tous les candidats classés doivent exprimer leurs vœux d'affectation du jeudi 16 juin 2022, 10 h (heure de Paris) au jeudi 23 juin 2022, 16 h (heure de Paris).
Je n'arrive pas à retrouver l'information : quelle est la limite pour répondre au classement proposé ? Le 22 au soir ou le 23 au soir (16h je pense) ?
Merci d'avance si vous avez un lien à me proposer :-)
EDIT : je viens de trouver :
Tous les candidats classés doivent exprimer leurs vœux d'affectation du jeudi 16 juin 2022, 10 h (heure de Paris) au jeudi 23 juin 2022, 16 h (heure de Paris).
- valentinlNiveau 3
Bonjour Yrrev,
Les recteurs ont déjà donné leurs avis (ils avaient jusqu'au 15 de mémoire). Normalement si l'avis est négatif, il y a de fortes chances que l'université connaisse l'avis du recteur. C'est le cas pour moi et une autre personne de mon entourage cette année. Tu peux demander directement à l'université.
Pour demander à ta gestionnaire, tu peux toujours lui demander, mais pas certain qu'elle te réponde.
Même si c'est le seul poste auquel tu as postulé, n'oublie pas de le valider dans galaxie
Valentin
Les recteurs ont déjà donné leurs avis (ils avaient jusqu'au 15 de mémoire). Normalement si l'avis est négatif, il y a de fortes chances que l'université connaisse l'avis du recteur. C'est le cas pour moi et une autre personne de mon entourage cette année. Tu peux demander directement à l'université.
Pour demander à ta gestionnaire, tu peux toujours lui demander, mais pas certain qu'elle te réponde.
Même si c'est le seul poste auquel tu as postulé, n'oublie pas de le valider dans galaxie
Valentin
Yrrev a écrit:Bonjour tout le monde, je suis classé 1er sur un poste de PRAG de la seconde campagne, et je l'ai classé premier sur Galaxie. C'est le seul poste pour lequel j'ai postulé.
Pour le second degré, je suis affecté comme TZR. C'est ma première affectation car je suis stagiaire, je valide mon agreg en tant que doctorant contractuel.
Je voudrais savoir si je devrais contacter ma gestionnaire pour l'informer et savoir si le recteur a déjà donné son avis. Qu'en pensez-vous ?
Ou bien je dois juste attendre le 27 juin pour avoir la réponse ? Sachant que je voudrais faire un recours au cas où le recteur émettrait un avis négatif.
Merci !
- YrrevNiveau 1
Merci pour ta réponse Valentin, je vais voir le chef du département demain j'en profiterais pour demandé si il a déjà eu un retour. Si il avait un retour négatif il me l'aurait déjà dit je pense puisqu'on discute de la rentrée ! Je vais voir si je trouve quelqu'un de la DRH à contacter.
Désolé pour toi et ton ami :| Tu vas faire un recours ?
Désolé pour toi et ton ami :| Tu vas faire un recours ?
- valentinlNiveau 3
Pas de soucis. Pour mon cas personnel je me suis mal exprimé, pour nous deux le rectorat a donné son accord et l'université nous a indiqué que c'était bon.
- BouboudnunuNiveau 7
Je profite des différentes discussions sur les taches administratives pour poser ma question.
Lors de mon RDV avec la chef de département de l'IUT pour ma prise en fonction en septembre, il m'a été suggéré (on va le dire comme ça) d'endosser la mission de responsable des stages. Pourriez-vous me dire à quoi cela correspond ?
Merci d'avance !
Lors de mon RDV avec la chef de département de l'IUT pour ma prise en fonction en septembre, il m'a été suggéré (on va le dire comme ça) d'endosser la mission de responsable des stages. Pourriez-vous me dire à quoi cela correspond ?
Merci d'avance !
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- DarxaNiveau 8
Bouboudnunu a écrit:Je profite des différentes discussions sur les taches administratives pour poser ma question.
Lors de mon RDV avec la chef de département de l'IUT pour ma prise en fonction en septembre, il m'a été suggéré (on va le dire comme ça) d'endosser la mission de responsable des stages. Pourriez-vous me dire à quoi cela correspond ?
Merci d'avance !
Il n'y pas de fiche de poste "type". Les missions varient d'un IUT à l'autre, et même d'un département à l'autre.
Le mieux est de prendre contact avec la personne qui le faisait avant toi (je crois que M. l'a fait avant de commencer sa thèse).
- BouboudnunuNiveau 7
Oui oui en effet. Elle me l'avait dit. Je lui demanderai lors de la réunion d'équipe de la semaine prochaine.
Merci
Merci
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