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- dichkenNiveau 2
Je vous résume la situation :
- Je suis au 10è échelon.
- Je me suis arrêté pendant 5 ans avec un poste adapté (bipolaire).
- J'ai repris l'année précédente : le piège m'attend. Interventionnisme du principal, montage d'insultes à élève, inspection surprise destructrice.
- Je me sui arrêté en mars avec un congé longue maladie, mais l'acharnement est toujours là. ==>
- entretien professionnel serré avec le DRIH et l'inspectrice ainsi que la principale du nouveau collège.
- Nouvelle affectation avec une tutrice pour recadrement pédagogique.
ET RECEMMENT LE PRINCIPAL ME CONVOQUE POUR ME DIRE QUE J INSULTE LES ELEVES;
Je ne sais comment me défendre à part le prendre lui même par le col.
Je suis à bout !!!!!!!
AIDEZ MOI
AU SECOURS
HELP
- Je suis au 10è échelon.
- Je me suis arrêté pendant 5 ans avec un poste adapté (bipolaire).
- J'ai repris l'année précédente : le piège m'attend. Interventionnisme du principal, montage d'insultes à élève, inspection surprise destructrice.
- Je me sui arrêté en mars avec un congé longue maladie, mais l'acharnement est toujours là. ==>
- entretien professionnel serré avec le DRIH et l'inspectrice ainsi que la principale du nouveau collège.
- Nouvelle affectation avec une tutrice pour recadrement pédagogique.
ET RECEMMENT LE PRINCIPAL ME CONVOQUE POUR ME DIRE QUE J INSULTE LES ELEVES;
Je ne sais comment me défendre à part le prendre lui même par le col.
Je suis à bout !!!!!!!
AIDEZ MOI
AU SECOURS
HELP
- nitescenceÉrudit
dichken a écrit:
ET RECEMMENT LE PRINCIPAL ME CONVOQUE POUR ME DIRE QUE J INSULTE LES ELEVES;
Je ne sais comment me défendre
Il faut des preuves pour porter de pareilles affirmations : a-t-il des témoignages écrits ? Sinon, quelle mesure a-t-il affirmé vouloir prendre concernant ces insultes supposées ?
_________________
Mordre. Mordre d'abord. Mordre ensuite. Mordre en souriant et sourire en mordant. (avec l'aimable autorisation de Cripure, notre dieu à tous)
- InvitéInvité
dichken a écrit:
ET RECEMMENT LE PRINCIPAL ME CONVOQUE POUR ME DIRE QUE J INSULTE LES ELEVES;
Je ne sais comment me défendre à part le prendre lui même par le col.
Je suis à bout !!!!!!!
AIDEZ MOI
AU SECOURS
HELP
Comment sais-tu pourquoi il te convoque ? la raison est-elle écrite ? Parce qu'en fait, il s'agit peut-être simplement d'entendre ton avis face à d'éventuelles accusations. Le seul conseil que je puis te donner est de te rendre à cet entretien avec un délégué syndical.
- InstantKarmaNiveau 6
Ne pas aller à ce genre d'entretien seule : il faut venir avec un collègue syndiqué si possible.
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Le participe passer c’est tellement compliquer.
Supprimons le subjonctif pour que le français est plus simple à apprendre.
- IlonaHabitué du forum
Bonsoir Dichken
Nous savons tous combien l'institution pour laquelle nous travaillons, affectionne de s'en prendre aux plus vulnérables d'entre nous.
Pour ne pas donner de la matière à exploiter à vos ennemis, je vous conseille de demeurer courtois face à eux et de vous rapprocher d'un syndicat pour demander conseil au sujet de ce qui vous arrive.
Nous savons tous combien l'institution pour laquelle nous travaillons, affectionne de s'en prendre aux plus vulnérables d'entre nous.
Pour ne pas donner de la matière à exploiter à vos ennemis, je vous conseille de demeurer courtois face à eux et de vous rapprocher d'un syndicat pour demander conseil au sujet de ce qui vous arrive.
- CleroliDoyen
Je confirme : se rapprocher d'un syndicat et ne jamais se rendre seul à un entretien (prendre des notes sur ce qui se dit et établir ensuite un compte rendu factuel). Tu peux aussi contacter l'Autonome pour avoir des conseils. Même si c'est très dur, ne t'emporte pas devant le principal, c'est ce qu'il attend et tu ne dois surtout pas lui faire ce plaisir. Courage
- SecureNiveau 3
Bonsoir, je rejoins les messages précédents, ne pas se rendre à un prochain rdv seul, attendez s'il le faut un rdv par courrier avec accusé de réception (oui oui c'est possible) et demandez à un délégué syndical de vous accompagner (Cgt ou Fo pour moi). Bon courage
- JPhMMDemi-dieu
N'y va pas seule. C'est ton droit de te faire assister. Saisis ce droit.
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- dichkenNiveau 2
Vos témoignages me font chaud au cœur
Oui, l'entretien a déjà lieu. Je crains la suite, c'est une véritable machination.
Je suis tombé dans leur confiance affichée. Encore Je n'ai même pas perdu le contrôle d'une classe. En se rendant à l'entretien, je croyais que c'est avec confiance et sérénité pour écouter des conseils. Là, j'en reviens pas ! C'est ce que je lui avais dit : finalement j'aurais dû venir avec un représentant syndical. Au fait mon collège d'affectation actuel n'est pas loin de celui de l'année précédente où le principal est capable de tout. Véritable chemise noire, travaillant dans l'ombre, avec délectation.
Je pense même au sein de l'établissement, il y a des surveillantes qui œuvrent pour la principale ( parano ?). Par contre, les profs sont sympas. J'ai hérité d'un emploi de temps avec deux classes très difficiles sur mesure en fin de journée (spécialement pour moi ?)
A la fin de l'entretien, il (principal par intérim) me dit : "vous êtes fatigué Monsieur, vous devez vous reposer". Sur ce, j'ai répondu non, je dois continuer la dernière semaine. Côté pédagogique, la tutrice (chargée de mission) est superbe.
Question : Dois-je écrire un courrier à la Rectrice ?
Encore merci énormément de partager avec moi cette souffrance.
Oui, l'entretien a déjà lieu. Je crains la suite, c'est une véritable machination.
Je suis tombé dans leur confiance affichée. Encore Je n'ai même pas perdu le contrôle d'une classe. En se rendant à l'entretien, je croyais que c'est avec confiance et sérénité pour écouter des conseils. Là, j'en reviens pas ! C'est ce que je lui avais dit : finalement j'aurais dû venir avec un représentant syndical. Au fait mon collège d'affectation actuel n'est pas loin de celui de l'année précédente où le principal est capable de tout. Véritable chemise noire, travaillant dans l'ombre, avec délectation.
Je pense même au sein de l'établissement, il y a des surveillantes qui œuvrent pour la principale ( parano ?). Par contre, les profs sont sympas. J'ai hérité d'un emploi de temps avec deux classes très difficiles sur mesure en fin de journée (spécialement pour moi ?)
A la fin de l'entretien, il (principal par intérim) me dit : "vous êtes fatigué Monsieur, vous devez vous reposer". Sur ce, j'ai répondu non, je dois continuer la dernière semaine. Côté pédagogique, la tutrice (chargée de mission) est superbe.
Question : Dois-je écrire un courrier à la Rectrice ?
Encore merci énormément de partager avec moi cette souffrance.
- MattlecNiveau 6
Si tu as suffisamment d'éléments concrets pour étayer, pourquoi pas.
Dans le cas contraire, cela peut être jouable, mais il est à mon avis probable que cela te desserve.
Tout mon courage en tous cas. C'est déjà pénible de gérer la maladie, si en plus il faut payer pour les conséquences qu'elle peut engendrer, c'est invivable.
Dans le cas contraire, cela peut être jouable, mais il est à mon avis probable que cela te desserve.
Tout mon courage en tous cas. C'est déjà pénible de gérer la maladie, si en plus il faut payer pour les conséquences qu'elle peut engendrer, c'est invivable.
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"La culture burgonde ? Je savais même pas qu’y en avait une… Non, moi je voulais faire grec moderne, mais y avait plus de place. Il restait que burgonde ou anglais. Aaaaanglais ! Mais c’est encore moins répandu."
- laMissSage
dichken a écrit:il y a des surveillantes qui œuvrent pour la principale ( parano ?).
Cela peut arriver, d'après mon expérience.
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Si rien n'est décidé, ce sera à chacun d'entre nous de décider en conscience.
- PhénixNiveau 4
Bonjour Dichken,
Comment te sens-tu aujourd'hui ?
A ta place, je n'écrirais pas à la rectrice. Il faut espérer que les choses se tassent au niveau du collège. Comme l'a dit nitescence, il faut des témoignages écrits. Malheureusement, un CDE peut avoir beaucoup d'influence sur les collégiens et orchestrer la collecte desdits témoignages. Mais sans témoignages écrits, qu'il est obligé de te montrer avant de les faire remonter au rectorat, pour que tu en prennes connaissance ( et que tu signes) ... pas de conséquences... si ce n'est cette foutue intimidation dont tu es la victime.
Je t'envoie des
Comment te sens-tu aujourd'hui ?
A ta place, je n'écrirais pas à la rectrice. Il faut espérer que les choses se tassent au niveau du collège. Comme l'a dit nitescence, il faut des témoignages écrits. Malheureusement, un CDE peut avoir beaucoup d'influence sur les collégiens et orchestrer la collecte desdits témoignages. Mais sans témoignages écrits, qu'il est obligé de te montrer avant de les faire remonter au rectorat, pour que tu en prennes connaissance ( et que tu signes) ... pas de conséquences... si ce n'est cette foutue intimidation dont tu es la victime.
Je t'envoie des
- KalypsoExpert spécialisé
Situation difficile en tout cas. Prends conseil auprès des collègues syndiqués en effet
Sur quoi s'appuie l'administration pour cette histoire d'insultes envers des élèves ?
Sur quoi s'appuie l'administration pour cette histoire d'insultes envers des élèves ?
- TarpodNiveau 1
Bonjour Dichken,
je suis aussi tout à fait d'avis à ce que tu te rapproches d'un syndicat (je pense d'un syndicat qui a une expertise en matière de risques psycho sociaux et je ne m’autorise pas à te donner d’adresse pour le choix de celui-ci). Il existe un registre dans chaque établissement (http://www.education.gouv.fr/cid4253/sante-bien-etre-securite-travail.html), consigne les faits, ça calmera peut-être ton CdE.
A mes yeux, le harcèlement et l'humiliation sont malheureusement courantes dans l'Education Nationale (faute grave de managers mal formés aux risques et sous dotés humainement). Tu auras les plus grandes difficultés à avoir gain de cause (ici, on ne remet pas en cause la parole de l'autorité), le combat risque d'être long et injuste. Les services du rectorat protègent la hiérarchie ou ferment les yeux (valable dans toutes organisations).
Il y a environ 4 ans notre ministère lançait une campagne de communication autour du handicap, elle disait en gros, "j'ai déclaré mon handicap, j'ai bien fait", et bien non... je n'ai pas bien fait car cela ne m'a apporté que les pires ennuis. Juste pour info, le contingent d'agents handicapés (fameux 6%) est loin d'être atteint dans l'Education Nationale... Il faut savoir que 85% des personnes handicapées en France le sont pour un trouble psychique, que pour obtenir une bonification médicale depuis 2005 (mutations notamment), vous devez déclarer votre handicap (RQTH).
J’ai vu des chefs d’établissements me mettre des bâtons dans les roues et même des collègues me tourner le dos simplement parce qu’un jour, je leur ai parlé de mon handicap (avant je faisais partie des meilleurs et je n’étais pas vraiment conscient de mon handicap invisible, c’est extrêmement rare que j’en parle aux autres, ils n’entendent pas). Entendu des médecins ou des personnels de nos services sociaux vous dire « vous avez deux bras, deux jambes, de quoi vous plaignez vous ». Aux oreilles du commun, bipolaire est un gros mot. J’appelle cela, de la discrimination.
La bipolarité est tout à fait gérable (avec le temps, l’éducation à la maladie et l’expérience) dans un environnement sain. Nous sommes des personnes intelligentes, souvent douées, capables d’être de très bons enseignants, mais aussi hypersensibles et souvent sur réactives, il faut le savoir.
Courage à toi, tu n’es pas seul dans cette situation.
je suis aussi tout à fait d'avis à ce que tu te rapproches d'un syndicat (je pense d'un syndicat qui a une expertise en matière de risques psycho sociaux et je ne m’autorise pas à te donner d’adresse pour le choix de celui-ci). Il existe un registre dans chaque établissement (http://www.education.gouv.fr/cid4253/sante-bien-etre-securite-travail.html), consigne les faits, ça calmera peut-être ton CdE.
A mes yeux, le harcèlement et l'humiliation sont malheureusement courantes dans l'Education Nationale (faute grave de managers mal formés aux risques et sous dotés humainement). Tu auras les plus grandes difficultés à avoir gain de cause (ici, on ne remet pas en cause la parole de l'autorité), le combat risque d'être long et injuste. Les services du rectorat protègent la hiérarchie ou ferment les yeux (valable dans toutes organisations).
Il y a environ 4 ans notre ministère lançait une campagne de communication autour du handicap, elle disait en gros, "j'ai déclaré mon handicap, j'ai bien fait", et bien non... je n'ai pas bien fait car cela ne m'a apporté que les pires ennuis. Juste pour info, le contingent d'agents handicapés (fameux 6%) est loin d'être atteint dans l'Education Nationale... Il faut savoir que 85% des personnes handicapées en France le sont pour un trouble psychique, que pour obtenir une bonification médicale depuis 2005 (mutations notamment), vous devez déclarer votre handicap (RQTH).
J’ai vu des chefs d’établissements me mettre des bâtons dans les roues et même des collègues me tourner le dos simplement parce qu’un jour, je leur ai parlé de mon handicap (avant je faisais partie des meilleurs et je n’étais pas vraiment conscient de mon handicap invisible, c’est extrêmement rare que j’en parle aux autres, ils n’entendent pas). Entendu des médecins ou des personnels de nos services sociaux vous dire « vous avez deux bras, deux jambes, de quoi vous plaignez vous ». Aux oreilles du commun, bipolaire est un gros mot. J’appelle cela, de la discrimination.
La bipolarité est tout à fait gérable (avec le temps, l’éducation à la maladie et l’expérience) dans un environnement sain. Nous sommes des personnes intelligentes, souvent douées, capables d’être de très bons enseignants, mais aussi hypersensibles et souvent sur réactives, il faut le savoir.
Courage à toi, tu n’es pas seul dans cette situation.
- newlife2Niveau 1
Bonjour Dichken,
Je ne peux que plussoyer ce qu'ont écrit les collègues.
Fais appel à quelqu'un d'extérieur: syndicat, et préserve-toi. Ce qui signifie: pas de vagues. Je sais comme ce doit être tout bonnement insupportable d'entendre qu'il faut faire profil bas. Mais leur donner du grain à moudre, ne ferait qu'aggraver les choses...
Le témoignage de Tarpod semble confirmer qu'il est bien compliqué de trouver sa place au sein de l'EN quand on a une différence.
C'est là où ça m'exaspère moi aussi, parce qu'on martèle aux médias que l'école se veut inclusive - et de fait, elle peine encore à permettre une intégration digne de ce nom aux élèves atypiques- mais par contre, pour les profs, qu'est-ce qu'on fait? Rien!
Pour en revenir à toi, je pense que tu as intérêt à te rapprocher si ce n'est pas déjà fait d'associations ou de forums de bipolaires pour pouvoir avoir leur point de vue et leur expérience - comme l'a déjà fait Tarpon ici. Egalement, si tu as un médecin ou psy digne de confiance, mets-le au courant... il faut pouvoir évacuer en dehors du travail.
Tout plein de pensées positives pour toi, continue à croire en tes compétences et entoure-toi de gens bienveillants.
Je ne peux que plussoyer ce qu'ont écrit les collègues.
Fais appel à quelqu'un d'extérieur: syndicat, et préserve-toi. Ce qui signifie: pas de vagues. Je sais comme ce doit être tout bonnement insupportable d'entendre qu'il faut faire profil bas. Mais leur donner du grain à moudre, ne ferait qu'aggraver les choses...
Le témoignage de Tarpod semble confirmer qu'il est bien compliqué de trouver sa place au sein de l'EN quand on a une différence.
C'est là où ça m'exaspère moi aussi, parce qu'on martèle aux médias que l'école se veut inclusive - et de fait, elle peine encore à permettre une intégration digne de ce nom aux élèves atypiques- mais par contre, pour les profs, qu'est-ce qu'on fait? Rien!
Pour en revenir à toi, je pense que tu as intérêt à te rapprocher si ce n'est pas déjà fait d'associations ou de forums de bipolaires pour pouvoir avoir leur point de vue et leur expérience - comme l'a déjà fait Tarpon ici. Egalement, si tu as un médecin ou psy digne de confiance, mets-le au courant... il faut pouvoir évacuer en dehors du travail.
Tout plein de pensées positives pour toi, continue à croire en tes compétences et entoure-toi de gens bienveillants.
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Site: Quitter l'école accompagnement à la reconversion des talents enseignants
Page Facebook: Page Quitter l'école
- TarpodNiveau 1
+1
Comment imaginer accueillir dans notre système scolaire positivement des enfants différents alors que pour les agents, on le fait si mal ?
Comment imaginer accueillir dans notre système scolaire positivement des enfants différents alors que pour les agents, on le fait si mal ?
- mathmaxExpert spécialisé
Le recours au CHSCT a-t-il été suggéré ? Il me semble qu'il peut faire pression pour améliorer des situations de ce type.
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« Les machines un jour pourront résoudre tous les problèmes, mais jamais aucune d'entre elles ne pourra en poser un ! »
Albert Einstein
- PhénixNiveau 4
Tarpod a écrit:+1
Comment imaginer accueillir dans notre système scolaire positivement des enfants différents alors que pour les agents, on le fait si mal ?
Oui, comment ?
Dans mon bahut, formation au handicap psy et cognitif, car on doit inclure des ULIS. Pensez-vous que tous les collègues y soient allés ?
Quand j'entends certaines vannes de collègues sur les "cotorep" ou sur la consanguinité ( à propos de simples allergies alimentaires) ... je vois aussi où se situe l'ignorance et le mépris pour la biodiversité cérébrale.
De toute façon, on ne veut plus de profs brillants, on veut des gens endurants. Une certaine médiocrité qui fait face à l'usure. Quelle tristesse !
- SecureNiveau 3
Pour les prochains rdv, être accompagné. Les surveillants passent de temps en temps déposer un petit papier ou un carnet d'élève et jettent un oeil à la classe histoire de voir comment les remplaçants gèrent, ensuite certains surveillants peuvent copiner avec les élèves et là ça devient tout à fait intolérable : bruits de couloirs, les on-dits injustifiés etc...
Dans votre cas, vos collègues sont agréables, peut être pourriez-vous vous rapprocher de ceux qui semblent à l'écoute et qui pourraient vous soutenir (il y a encore des collègues qui ne s'écrasent pas devant l'injustice, j'en connais un bon nombre). Le pire serait de rester isolé. Certains CDE demandent à certains profs remplaçants / Avs etc.. de ne pas se rendrent en salle des profs, on comprend mieux alors l'expression qui se perd : À plusieurs on est plus fort.
Dans votre cas, vos collègues sont agréables, peut être pourriez-vous vous rapprocher de ceux qui semblent à l'écoute et qui pourraient vous soutenir (il y a encore des collègues qui ne s'écrasent pas devant l'injustice, j'en connais un bon nombre). Le pire serait de rester isolé. Certains CDE demandent à certains profs remplaçants / Avs etc.. de ne pas se rendrent en salle des profs, on comprend mieux alors l'expression qui se perd : À plusieurs on est plus fort.
- MaissaHabitué du forum
Il faut, en effet, se protéger : en parler à un syndicat, bien sûr, mais aussi à l'Autonome de solidarité qui peut intervenir en cas de harcèlement :
http://www.autonome-solidarite.fr/articles/asl-en-direct/le-harcelement-entre-personnels-de-leducation-mecanismes-et-reponses/
Bon courage à toi !
http://www.autonome-solidarite.fr/articles/asl-en-direct/le-harcelement-entre-personnels-de-leducation-mecanismes-et-reponses/
Bon courage à toi !
- HydrophileNiveau 5
Maissa a écrit:
http://www.autonome-solidarite.fr/articles/asl-en-direct/le-harcelement-entre-personnels-de-leducation-mecanismes-et-reponses/
+1 pour l'Autonome de solidarité. Souvent des bons conseils.
- dichkenNiveau 2
Vos témoignages me tiennent debout.
Comment dire à une telle surveillante que je vous soupçonne, sans tomber dans les insultes ? Comment ne pas leur cracher mon fiel dans le couloir en les entendant s'arrêter de parler à mon passage ? Comment laisser filer quelques provocations des élèves qui tissent le bon coton avec une surveillante ? Enfin comment rester debout face à des ennemis autour, tels des hyènes prête à bondir sur la proie ? Est-ce vraiment cela l'humain ? Ce pessimisme me fais sourire à force rire comme un fou. Sincèrement, j'ai peur de ma réaction.
Merci pour vous
Comment dire à une telle surveillante que je vous soupçonne, sans tomber dans les insultes ? Comment ne pas leur cracher mon fiel dans le couloir en les entendant s'arrêter de parler à mon passage ? Comment laisser filer quelques provocations des élèves qui tissent le bon coton avec une surveillante ? Enfin comment rester debout face à des ennemis autour, tels des hyènes prête à bondir sur la proie ? Est-ce vraiment cela l'humain ? Ce pessimisme me fais sourire à force rire comme un fou. Sincèrement, j'ai peur de ma réaction.
Merci pour vous
- IlonaHabitué du forum
Je pense qu'ignorer cette surveillante serait la meilleure attitude à adopter.
Ne pas s'en prendre à elle verbalement, elle aurait tôt fait de retourner les choses contre vous avec le soutien d'une partie de la direction (si j'ai bien compris le contexte).
Tous les humains ne sont pas animés de mauvaises intentions, mais certains le sont, cela ne fait pas de doute.
Ne pas s'en prendre à elle verbalement, elle aurait tôt fait de retourner les choses contre vous avec le soutien d'une partie de la direction (si j'ai bien compris le contexte).
Tous les humains ne sont pas animés de mauvaises intentions, mais certains le sont, cela ne fait pas de doute.
- InvitéInvité
Pour dire franchement les choses dichken je suis interpellé par la violence qui émane de vos messages. Je veux bien entendre qu'il s'agisse du miroir de la violence que vous estimez subir. Mais je trouve cela tout de même inquiétant. Comme il vous l'a été recommandé il me semble important que vous vous rapprochiez d'un syndicat ou de collègues de l'établissement afin d'objectiver plus facilement les choses et de faire la part de ce qui relève d'une volonté réelle de vous nuire et ce qui pourrait relever d'une surinterprétation de votre part. L'idée par exemple d'un complot rectorat-divers établissements pour saboter sciemment vos conditions de travail et vous pousser à la démission m'étonne beaucoup par exemple. Ce qui ne veut pas dire que le rectorat ne songe pas à un licenciement pour inaptitude. Il faut d'autant plus préparer une défense appuyée par un syndicat et faire extrêmement attention à la manière dont vous gérez la classe. Qu'en dit d'ailleurs votre tutrice?
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